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Ephémère* a écrit:
Je ne sais pas si l'article initial est plus étoffé mais ce qui est présenté ici me parait assez court en terme d'analyse.
Je ne suis pas sûre que souffrir de l'absence d'un père soit genrée. Un garçon ne souffrirait-il donc pas de l'absence d'un père? Ne serait-il pas amené à vivre les mêmes manquements qu'une fille?
Que fais-tu donc des conséquences de l'absence du père quand bien même il vit sous le même toit que le reste de sa famille? Les souffrances seraient-elles différentes parce que le père est théoriquement présent mais physiquement ou mentalement indisponible pour x raisons?
La présence d'un parent (le terme me semble plus pertinent que l'absence), peu importe lequel, que ce soit le père ou la mère est toujours primordiale pour l'équilibre affectif de l'enfant pour autant bien entendu que cette présence soit saine et bienveillante. Des parents présents mais qui font subir une ambiance toxique aux enfants n'est pas des plus propices à l'épanouissement psychologique ou physique. Alors quelle serait la solution?
Le mythe du prince charmant est "has been" me semble-t-il et peu de filles s'y réfèrent pour y chercher la figure paternelle. Tout comme les garçons ne se référent plus à la fragile et délicate princesse comme référence de la figure maternelle. La société a évolué et avec elle les valeurs et les références. Les familles mono-parentales sont presque une norme dans certaines sociétés. La figure paternelle ou maternelle (avec tout ce qu'elles représentent) ne sont plus ce qu'elles étaient jadis et beaucoup d'enfant grandissent sans ses repères et prennent comme référence l'oncle, le grand frère, le grand-père, le voisin, l'instit...
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Hammmouda1983 a écrit:
Nb qu'ici j'avais parlé de la relation père-fille , la prochaine je parlerai de la la relation mére-fils (souffrance des mamans)
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Hammmouda1983 a écrit:
Nb qu'ici j'avais parlé de la relation père-fille , la prochaine je parlerai de la la relation mére-fils (souffrance des mamans)
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Femme! a écrit:
Très bonne argumentation posteuse !
Tu développes précisément avec pertinence une évidente réalité.
Même si certaines reflexions ne sont pas bien acceptées dans notre communauté car la politique de l'autruche est parfois plus simple que d'analyse des causes de beaucoup de maux.
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Ephémère* a écrit:
Il y a beaucoup d'autres points qui soulèvent questions mais bon... je trouve dommage de continuer à opposer les questions de genre comme s'il fallait perpétuer cette scission indéfiniment. Hors la société a évolué et avec elle les valeurs, les principes éducatifs, les moeurs, les visions de vie,...
Parler de souffrances dues à une absence est un cliché parce qu'il permettrait de justifier une dépendance affective, hors beaucoup d'enfants grandissent sans parents ou dans l'indifférence de ces derniers et ne sont pas nécessairement pour autant des handicapés émotionnels comme cette réflexion le laisse supposer.
La réflexion mériterait beaucoup plus de profondeur que les sempiternelles aprioris réchauffés. Enfin c'est mon avis.
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a écrit:
quand tu m'a demandée si je me suis un partisan des mouvements féministes ou non.
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Ephémère* a écrit:
Hammouda
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a écrit:
quand tu m'a demandée si je me suis un partisan des mouvements féministes ou non.
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kaloupile a écrit:
Toutes les filels rêvent du prince charmant. Alors échec de l'éducation islamique ?