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OursBrun a écrit:
J aime bien cette partie " Mais n’oublie pas, la sagesse passe par les fissures de notre égo"....je trouve ça vrai. On le ressent en nous quand l égo est touché et je trouve que dans ce cas, pour "acquérir la sagesse" l'ego a LITTÉRALEMENT besoin d etre briser. C est assez fou comme ressenti.
Aujourd'hui ça me fait doucement/amèrement sourire quand je ressens ça....mais c est fou....sobhan Allah
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Gandalf le gris a écrit:
- Maître, on me rejette, on m’abandonne, je souffre, j'en peux plus...
- Oui, c'est normal, ceci fait partie du cours normal de la vie. C’est l’envers d’une même médaille, indissociable de l’autre face, qui est l’Amour.
- Mais comment bien vivre le rejet, ou mieux vivre cette souffrance ?
- Accepter la médaille qu’on te donne, dans son entièreté. Mais est-ce que tu le DECIDES vraiment ? Toutes les ressources sont en toi.
- Non, en ce moment je n’ai pas la force de décider, et d’aller mieux.
- Alors la force te viendra quand tu auras touché le fond. Quand la situation te sera insupportable ou inacceptable.
- Mais n’y a-t-il pas de raccourci ? Sommes-nous donc obligés de passer par la souffrance pour comprendre, évoluer ?
- Un raccourci ? Peut-être la sagesse, celle que tu pourrais puiser dans certains livres par exemple. Mais n’oublie pas, la sagesse passe par les fissures de notre égo, ces fissures créées par nos blessures. La sagesse est une des nombreuses formes de l’Amour.
Il est une sagesse très impopulaire qui consiste à « aimer sa souffrance », autrement dit, à l’accepter. Car c’est bien la souffrance, et les blessures, qui permettent à l’amour de cheminer/pénétrer en toi à travers ces fissures. N’oublie jamais deux choses : "Le rejet est l'arme maîtresse de ceux qui ont peur" et "Qui m’abandonne me rend à moi-même".
"Stephan Schillinger"
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Gandalf le gris a écrit:
Aleykoum salam
Merci pour le partage ..
Ça fait très bohémien, on ressent la sincérité de l'artiste à travers sa philosophie de vie
ça t'a fait penser à mon post?
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Poussière* a écrit:
Ça me rappelle ça :
Les créatures m’ont abandonné mon Seigneur, et c'est en cet instant que je me retrouve à Te chercher.
Quelle injustice j’ai eu envers Toi, et quelle peine d’avoir tant tardé.
Que j'aimerais échanger ces jours d’absence, contre des nuits de veille devant Toi.
Et c’est en cet instant que je me rappelle de Toi mon Seigneur, maintenant qu’il n’y a plus que Toi.
Tu es pourtant le premier et le dernier, voilà ce que me rappelle mon âme ingrate. Ô que j’aurais voulu Te choisir par choix
J’ai été injuste envers Toi, je sais que tu ouvres la porte au repentir mon Seigneur, permets moi de revenir vers Toi.
Des nuits fraîches aux aubes éclatantes je donnais mes heures à des plaisirs ingrats.
Et quelle douleur que de me rappeler de Toi mon Créateur, maintenant que je n’ai plus le choix
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J.V. a écrit:
Je t'en prie.
" ça t'a fait penser à mon post?"
Lol oui. Cette chanson parle à beaucoup de monde
La vie est un apprentissage, une succession de leçons qu'il convient d'apprendre et d'accepter pour avancer. Le rejet en est une.
L'essentiel est de garder le cap pour ne pas se laisser entraîner par le chant des sirènes , pour ça faut faire un travail sur soi, apprendre à se connaître. Lâcher prise et déculpabiliser.
Surtout ne pas (trop) attendre de l'autre sinon tu ne fais rien de ta vie. ? L'ennui c'est la mort
À y voir de plus près, c'est sans fin. Tu me rejettes - je te rejettes- nous nous rejetons , vous vous rejetez, tout le monde se rejette lol
Un probleme systèmique.
Ex : j'ignore un individu pq il me semble infréquentable.
Une réaction vécue : lynchage ou tentative de lynchage.
On te crucifie (les femmes sont parfois méchantes voire des des diables sur pattes) ou peut -être que je l'ai blessée (Antigone m'a fait cogiter (son post " l'amour inconditionnel) Je n'avais pas pensé à cette dernière possibilité )
Autre exemple : je suis pas "normale", différente On ne m'accepte pas telle que je suis. J'ai pas envie de me fondre dans la masse alors on me fait sentir que je suis trop ceci ou cela, bizarre etc
Soit je me remets méchamment en question et culpabilise donc je vais en pâtir -lutte intérieure - soit je rejette aussi ceux qui ne m'acceptent pas dans mon entièreté. Je mène ma vie comme je l'entends. C'est ma façon de survivre à un système répressif.
Le chanteur dit qu'il ne veut pas oublier ses racines. Moi non plus sinon j'aurais l'impression de perdre mon essence, de m'effacer pour plaire à ...
Au nom de quoi ? Rien ni personne. En gros, je me laisserais grignoter jusqu'à la moelle...
Dans ce bas monde, je vois qu'il est difficile pour certains d'aimer un autre juste pour ce qu'il est. Si ya pas d'intérêt, au mieux, n passe son chemin,au pire, tu te fais dégommer. Tout est dans le calcule, le vice etc
Bon, je ne vais pas m'aventurer sur ce chemin là hein. J'ai eu ma dose de clous
Ma conclusion / philosophie : chacun fait ce qu'il veut de sa life et mène sa barque où il le désire tant qu'on me laisse tranquille De mon côté, j'embete personne (enfin, je croyais mais ça c'est un autre sujet ...)
Tolérance oblige