Jazâkallâhu khyran pour ce partage, et ce sujet important sur la réforme individuelle ou spirituelle, et qui malheureusement ne connait pas assez de considération, alors qu'elle est la base de toute réforme, même religieuse. De là, on peut comprendre la crise religieuse, si on peut ainsi dire, dont on voit les symptômes, et en fait on peut considérer que les crises que connaît l'humanité en général comme symptômes d'une crise plus essentielle, la crise spirituelle. D'où la nécessité d'une réforme de base, de fond, allant à l'origine du problème, et non seulement à ses symptômes, et la clé est dans la spiritualité, revenir et retrouver cette dimension fondamentale, la retrouver dans les différents aspects et domaines de la vie, aussi individuel que collectif, religieux que profane, même économique, même politique. Mais là encore, il s'agit de spiritualiser le politique, sacraliser le profane, et non politiser le spirituel, profaner le sacré, il ne faut pas tomber dans cet inversement de sens.
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