[www.arabecontact.com]Citation
a écrit:
Mais Mutairi, 28 ans, estime qu’aucun changement ne sera possible tant que de
nombreuses voix s’élèveront en Arabie pour présenter toute velléité de
modernisme et de libre expression par l’art, notamment le cinéma, comme « un
attachement immoral aux valeurs occidentales ». « Le problème de la société
saoudienne avec l’art, c’est que la moitié le considère comme contraire aux
valeurs religieuses et les autres pensent que c’est honteux », conclut-il.
[www.maghrebarts.ma]Citation
a écrit:
La cinéaste égyptienne Inas al-Déghaidi a même dû comparaître devant un tribunal pour avoir fait dire, dans son dernier film Les mémoires d'une adolescente, à l'un de ses personnages que "la moitié des jeunes femmes égyptiennes sont tombées enceintes après avoir pratiqué l'adultère."
Ces restrictions ne sont pas propres à l'Égypte mais à d'autres pays arabes, dont le Liban où le film de la réalisatrice Randa Chahal, Civilisées, avait été censuré en 1998 pour avoir traité de la sexualité et de la religion.
Citation
a écrit:
En Europe, la reconnaissance de l'individu, de l'Etat de droit et des principes de liberté de penser (plus tard de liberté de la croyance ou non-croyance) sont les bases de la démocratie. Cela n'a pas été facile en France d'arriver à séparer l'Eglise de l'Etat (loi votée le 9 décembre 1905). Dans le monde arabe, l'émergence de l'individu en tant qu'entité unique et singulière ne s'est pas encore réalisée, tout être étant défini par rapport à sa famille, son clan ou la tribu d'où il provient. Je donne un exemple (personnel) : en 1974, le journal Le Monde m'a envoyé faire un reportage sur le pèlerinage à la Mecque. C'était la première fois qu'un journal occidental publiait un tel reportage : j'y racontais ma dure expérience, je critiquais sévèrement l'organisation du pèlerinage et je dénonçais l'incurie des Saoudiens. Autant le reportage a plu en Occident, autant il a provoqué un grand scandale dans le monde arabe et musulman. Les autorités saoudiennes se sont adressées officieusement au palais royal de Rabat pour que je sois puni. Les Marocains calmèrent les Saoudiens et firent dire à mon père qu'il devrait mieux éduquer son fils. A l époque, il n'y avait pas encore de vagues islamistes. Je fus sermonné par quelques officiels de l'Etat marocain mais sans plus. Ainsi, ce n'était pas moi, en tant qu'individu, qui était rendu responsable mais mon pays et ma famille.
Mead Aldin Adeeb, PDG de Good News Group, dont le rêve était de « ranimer ce cinéma en se mettant sur le marché mondial », mais « sans faire du cinéma américain, l’original étant toujours plus réussi qu’une copie », précise-t-il.Citation
a écrit:
Emad Eldin Adeeb, ajoute: « Nous avons besoin de reconstruire des ponts, nous sommes tous coupables de rester silencieux. » Les producteurs n’entendent pas « défendre » Ben Laden, « un terroriste et un criminel », mais donner des « éléments de compréhension ». Ils sont d’ailleurs en discussion avec « un acteur américain parmi les dix plus grands » pour incarner l’ennemi numéro 1 des États-Unis.
Citation
a écrit:
Nan nan nan
Le peuple marocain demande :
Et enfin le peuple marocain veut aussi des toilettes propres et une chasse d'eau qui marche
Citation
a écrit:
bravo soufianou, t'es le meilleur llah ikattar man mtalik pour développer notre pays