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Realisations de M6, a vous les Pro-M6-Monarchie-executives
l
25 février 2011 14:23
Citation
salmones a écrit:
Citation
déesse Chou a écrit:
ça s'appel le syndrome de Stockholm. C'est humain Heu

Salam,

Sais-tu ce qu'est le syndrome de Stockholm ?

Non je sais pas j'écris des mots comme ça. tu as d'autres questions aussi pertinentes ?
x
25 février 2011 15:00
Veuillez nous enumerer les realisations de TUTUS, dans les aspets critiques de la vie des marocains: enseignement, niveau de vie/pauverete,l'emploi, la sante, la justice/injustice, corruption, liberte d'expression, la liberte de la tele, violence/crimes, logement, l acces l'eau/electricite des regions defavorises, transparense..etc

p.s: attention on ne parle pas des efforts de TUTUS, comme: il a innaugure telle ou telle route, il a initie telle ou telle association, il a signe tel ou telle conventions, on parle des REALISATIONS concretes et specifique que TUTUS a realise. Si c est le cas, il doit aussi y avoir des statistiques, sinon comment peut on pretendre que TUTUS a bcp fait pour le maroc sans que l'on appuie cela par des statistiques objectives

Veuillez noter que la liberte d expression sur Internet n est pas initie ou realise par TUTUS mais c est plutot grace aux fondateurs FaceBook, tuiter, la defense americaine qui a invente Internet, l inventeur du Chat...etc donc parlez nous de la liberte d expression a la Tele, a la radio...etc

Veuilez aussi noter un autre point: 12 ans de blabla est bcp, il s'agit d'un "3mmarr darrri", donc ne pas nous dire : il faut attendre TUTUS10


bref, on attend la liste de ces realisations qu'on ne cesse de nous repeter par la minorité des marocains anti-systeme du status quao
R
25 février 2011 17:47
Citation
ouldabbas a écrit:
@Rad006

Peut etre que tu ne m'a pas compris. Moi je suis pour le roi.
Meme maroco-americain je n'aime pas ce qui se passe ces jours ci
dans nos pays. Il faut etre debile pour ne pas realiser que tout est bien programme.
La doctrine Bush est en action. Obama presse. L'europe ne comprend plus rien.
Ben Ali et Moubarak les vieux ont fui. Qaddafi comme Saddam va resister jusqu'a la mort.
Personellement j'ai donne mes instructions a mes cousins et freres de mourir pour notre roi.
Je suis en contact avec eux chaque jour. Agadir et Marrakech. Si mon roi est en detresse
je leur ai dit de balayer tout les traitres. A la Qaddafi. Pas de pitie pour les traitres. Aucune.
Et si dieu le veut je serai avec eux. C'est l'histoire du maroc. Je ne vais pas la rater.

Vive Le Roi.

Bonsoir l'Ami

tu n'étais nullement visé par mon intervention qui était adressée particulièrement à Tutus, toi, tu es un l’ambassadeur dans tt marocain ne peut être que fier je ne te connais pas, mais j'ai appris à travers tes messages à déceler en toi un homme de valeur et de principes, pas comme certains qui une fois gagné leur green card à une loterie ils deviennent moralisateurs, anarchistes et Che Guevaristes à la petite semaine. On ne peut aimer un renégat à son pays, les gens resteront tjr le qui-vive face à une personne traître qui se garde toute son énergie de la journée pour enfin jouir de toute son âme.. et gicler sa haine sur son écran telle une forte jouissance. Pauvre personne je dirais …

Pour certain qui ont quitté le pays du temps d’Hassan II et de Basri, venez voir ce qui a été réalisé en 10 ans, venez voir les chantiers, les réalisations et tout ce qui a été entrepris au Maroc, ce pays qui a vu naître vos parents, vos familles.

Je serai curieux d’écouter Tutus, Chibani R, Salmones etc parler à leur enfants de leur pays d’origine, comment ils le décrivent, comment ils parlent des indigènes que nous sommes etc etc

Leur enfants, reviendront-ils plus tard sur les tombes de leurs ancêtres après tant de dénigrements .. je serai bien curieux de le savoir..

Aichfakir
t
26 février 2011 06:39
Citation
a écrit:
@oulabas
Personellement j'ai donne mes instructions a mes cousins et freres de mourir pour notre roi.
Je suis en contact avec eux chaque jour. Agadir et Marrakech. Si mon roi est en detresse
je leur ai dit de balayer tout les traitres. A la Qaddafi. Pas de pitie pour les traitres. Aucune.
Et si dieu le veut je serai avec eux. C'est l'histoire du maroc. Je ne vais pas la rater.
Vive Le Roi

Tu seras le suivant a juger, apres kaddafi et zinne alabiddine, pour menace et genocide contre des manifestants pacifiques. D ailleurs a cause des gens comme toi qui passe la belle vie au detrimenent des pauvres marocains n ayant meme pas 300 DH pour payer les medicaments, a cause des gens comme vous, on veut netoyer le pays du cercle de M6 qui se pense au dessus de tout le monde

bon pour ne pas sortir du sujet , y retournons:

Citation
lahlay9i a écrit:
liberté

L’élargissement des libertés, première mesure du règne de Mohammed VI
le retour des prisonniers politiques exilés, dont le plus emblématique est sans conteste Abraham Serfaty, qui atterrit à Rabat avec son épouse Christine Daure le 30 Septembre 1999, où un aréopage de personnalités est venu l’accueillir. La scène est non seulement symbolique, mais également poignante, car derrière les sourires des retrouvailles, l’on devine les crispations de certaines branches sécuritaires, qui n’auraient jamais imaginé que le vent du changement puisse souffler aussi fort, aussi vite. . En effet, avec la multiplication des titres, la course au scoop, certains débordements poussent les pouvoirs publics à réagir afin de redéfinir les nouvelles lignes rouges, rappelant que tout ne peut être dit sous couvert de liberté de la presse.
.

Voici le classement du Maroc pour ce qui est des droits de l homme (bon la liberte d expression fait une sous partie) , il faut cliquer sur la colone R5 pour voir le classement parmis les pays, a peu pres 30 ou 50 pays sont plus pourri que le Maroc, et les pays meilleurs que le Maroc ds la liberte d expression depassent 150 ou 200. donc meme en 2007 on ne parle meme pas de classer le maroc parmi les grands pays comme le Canada, la finlande...etc loin de la, il ne peut meme reclamer avoir fait mieux que des pays pourri comme: Qatar, bahrain, colombia, kenia, tanzania. Ces derniers sont mieux que le Maroc pour ce qui de la liberte d expresion, et il y en a 200 au moins meilleurs.

cliquer sur la colone R5 pour trier par categorie : Droits de l homme
[www.carleton.ca] Rights

Maintenant.
Citation
a écrit:
..........et le Maroc, peu à peu, va devenir le pays du monde arabe à la presse la plus libre, malgré quelques crispations liées aux bouleversements en cours dans la presse marocaine

le fait qu on compare le Maroc a la tunisie et a l Egypte et peut etre a la Coree du nord alors qu on est en 2010, ca montre que le roi n a pas fait grand chose a ce niveau. D ailleurs, surement le Maroc etait mieux que ces 40 pays les plus plus plus POURRI avant meme l acces de M6 au trone.

Citation
a écrit:
Le paysage audiovisuel marocain (PAM), a également connu également de changements très importants avec la création en 2002 d’une instance de régulation et de contrôle, la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA), chargée de libéraliser le secteur et de procéder à la suppression du monopole de l’Etat. En 2005, une loi relative à la communication audiovisuelle vient compléter le dispositif et mettre à niveau l’instrument réglementaire. Ainsi, le front de libéralisation et de renouveau s’est incontestablement incarné en la nouvelle génération de radios, qui ont très rapidement trouvé leur place dans le paysage radiophonique marocain.
Cette évolution est très positive dans la mesure où les nouvelles radios ont permis d’agrandir l’agora publique en donnant au citoyen la parole sur des sujets aussi divers que la culture, la politique, l’économie ou les identités.

Qu est ce que ca a ajoute tout ca, on voit la preuve de la pauverete de la liberte de presse ces jours ci, la tele, quand est ce que quelqu un a critique le pouvoir a la tele darbba attammm, a part qques journaux caches et le font presque en clandestinite et sous toute sorte d harcelement

Veuillez nous eppargner des idees comme:
Citation
a écrit:
En effet, dans toute société démocratique, certaines règles déontologiques de base doivent être respectées par les journalistes, telles que le recoupement de l’information, sa vérification, le respect de la vie privée, l’inviolabilité de la correspondance privée, le respect du secret/défense, et la violation de ces règles entraine, partout dans le monde des sanctions.

achjabb assmmma allaradd, parler encore de detenus pour opinion et l existence en 2010 encore des lois qui permettent d emprisonner : mourtada et emprisonner Mohamed Erraji qui a critique le roi au maroc et dire apres que : tout est pareil, excuse mais la , on emprisonne pas les gens ds les pays democratiques qui critiquent les presidents, on ne le fait meme pas en Tanzannie apparement d apres le classement du rapport

Citation
a écrit:
Dans le cas du Maroc, le rapport du pouvoir avec la presse a connu des évolutions notables, malgré quelques cas où l’on pourrait regretter que la justice aie été quelque peu sévère. Néanmoins, en dix ans, les arrestations de journalistes sont devenues exceptionnelles, ces dernières se comptant sur les doigts d’une seule main. Ainsi, selon Reporters Sans Frontières, ONG que l’on ne peut accuser d’aucune complaisance à l’égard du royaume Chérifien : « Il est indéniable que les conditions de travail des journalistes marocains se sont améliorées au cours des dix dernières années car les « lignes rouges », si elles existent toujours, ont reculé, grâce à la ténacité de la presse indépendante et à une volonté d’assouplissement de Mohammed VI ». Toujours selon l’ONG: « les journalistes marocains peuvent aborder aujourd’hui avec une certaine audace des thèmes totalement tabous il y a dix ans, comme le roi et la monarchie, le gouvernement, l’islam, la sexualité, le Sahara occidental… Il faut également saluer, aujourd’hui, l’absence de journaliste emprisonné pour « délit de presse », même s’il reste toujours de nombreux détenus d’opinion. »

Amnesty internationnal:

Attacks increased on freedom of expression, association and assembly in relation to issues viewed as integral to the state's internal or external security. Human rights defenders, journalists seen as transcending red lines in reporting on the monarchy, proponents of self-determination in Western Sahara, and members of the unauthorized political organization Al-Adl wal-Ihsan faced harassment, arrests and prosecutions. Terrorism suspects were arrested and detained, at times incommunicado. Arrests and collective expulsions of migrants continued. Perpetrators of ongoing and past human rights violations enjoyed almost total impunity.
Freedom of expression
The authorities remained intolerant of views expressed or information published deemed offensive to the monarchy. They seized or suppressed editions of national and international publications containing opinion polls, articles or cartoons about the royal family, and closed down publications. They also prosecuted journalists under various provisions of the Penal Code and Press Code, both of which can be used to punish peaceful expression with imprisonment.
.......
.......
Repression of Dissent:

The rights to freedom of expression, association and assembly continued to be restricted. Criticism of the monarchy or views contradicting the official position on other politically sensitive issues, especially the question of Western Sahara, were penalized.

Sahrawi (Western Saharan) human rights activists continued to face harassment:

.........
Hundreds of members of the unauthorized Islamist political organization Al-Adl wal-Ihsan were questioned by police and at least 188 were charged with participating in unauthorized meetings or belonging to an unauthorized organization. The trial of the group's spokesperson, Nadia Yassine, charged in 2005 with defaming the monarchy, was postponed.
.........
Excessive Use of Force :
Security forces used excessive force to disperse antigovernment demonstrations, highlighting the failure of the authorities to implement a key recommendation of the Equity and Reconciliation Commission (IER).
..........
Discrimination: Violence Against Women and Homosexuals :
In January an appeal court upheld prison terms of up to 10 months against six men convicted of ?homosexual conduct? in Ksar El-Kebir, north-western Morocco. Same-sex sexual relations between consenting adults are criminalized under Moroccan law.
Refugees, Asylum seekers and migrants
Thousands of people suspected of being irregular migrants were arrested and collectively expelled, mostly without any consideration of their protection needs and their right under Moroccan law to contest the decision to deport them or examine the grounds on which it was made
..........

[www.amnestyusa.org]

p.s: y a t il des vrais accomplissment/realisations du nouveau trone ??? on parle de trucs tangible et essentiels digne d un vrai leader de pays et non pas des petits trucs a gauche et a droite ?
26 février 2011 10:49
je sais que tu vas ( tutus) tjs trouver un truc à dire mais le Maroc avance et dans la bonne direction :

du concret voilà :

L’énergie, un secteur en pleine évolution:

Vecteur du développement économique et social, le secteur de l’énergie occupe une place importante dans l’économie marocaine. Il fait partie des grands chantiers de réforme que connait le Maroc sous le règne de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

En effet, durant les dix dernières années, le Maroc a réalisé des avancées considérables dans la réforme de son secteur énergétique. Il a pris des orientations stratégiques visant à mettre à niveau le secteur énergétique du pays selon une nouvelle vision prospective et ambitieuse. L’encouragement de l’initiative privée, la mobilisation des ressources renouvelables dans la satisfaction des besoins, la promotion de l’efficacité énergétique ou encore l’intégration de la protection de l’environnement sont autant d’éléments structurant cette nouvelle vision du secteur.

Durant les dix dernières années, la consommation énergétique a connu une forte augmentation : + 41,24 %, ce qui représente un taux moyen annuel d’évolution de 4,4 %. Ainsi, à fin 2007, la consommation énergétique totalisait 13,7 millions de tonnes équivalent pétrole (Tep), contre 9,7 millions de Tep en 1999. Cette consommation est couverte à 97,3% par des importations.

Les produits pétroliers représentent près de 60% de la consommation nationale en énergie primaire. La consommation nationale en produits pétroliers est passée de 6,71 millions de tonnes en 1999 à 8,06 millions de tonnes en 2007 et serait de 9,07 millions de tonnes en 2008 (estimation), soit une hausse annuelle moyenne de 3,7 % depuis 1999.

Au niveau de la structure de consommation des produits pétroliers, les parts relatives du gasoil et du propane ont augmenté de plus de 4%, principalement au détriment du fuel-oil (-9%).
L’énergie électrique nette a, quant à elle, progressé de 70,46%, passant de 13.264 GWh en 1999 à 22.608 GWh en 2007 (soit un taux de croissance moyen annuel de 6,9%). La couverture de la demande en électricité est assurée à 85% par la production locale et 15% par les importations. La production locale se répartit entre le thermique, l’hydraulique et l’éolien à respectivement de 92%, 7% et 1%.
Le Maroc a mis en œuvre un programme d’électrification rurale qui a permis à 1.843.183 foyers d’avoir accès à l’électricité, portant ainsi le taux d’électrification rurale (TER) de 39% en 1999 à 95% en 2007. A fin 2008, le TER devrait atteindre 98%.
Source : Office National de l’Electricité
Les investissements réalisés dans le cadre de ce programme s’élèvent à 16,58 MDH. Ce programme d’électrification rurale s’est accompagné d’une diffusion de services énergétiques de proximité dans le monde rural par la promotion de micro-entreprises, les Maisons Energie.
Les services offerts par les Maisons Energie sont très variés : approvisionnement en gaz butane, travaux d’installation et d’entretien, commercialisation d’équipements et d’accessoires électriques et produits, service après-vente, promotion de programmes énergétiques…
Secteur à dominante monopolistique et publique jusqu’à la fin des années 90, l’énergie s’ouvre progressivement à l’initiative et au financement privés. Depuis l’année 2000, des opérateurs privés assurent prés de 60% de la production d’électricité dans le cadre de contrats exclusifs de long terme avec l’ONE.
De même, la distribution de l’électricité dans les villes de Casablanca, Rabat, Tanger et Tetouan, soit une part de 55%, a été concédée à des sociétés privées.
Par ailleurs, le seuil de l’autoproduction a été porté en juillet 2008, de 10 MW à 50 MW, ce qui permet aux industries à forte intensité énergétique de lancer des projets de production d’électricité pour leurs besoins propres.
Sur le plan opérationnel, le programme EnergiPro de l’ONE définit des conditions avantageuses de transit de l’énergie produite, exclusivement par une source renouvelable, entre les points de production et de transport et garantit le rachat de l’excédent non consommé.
De même, les activités de distribution et de raffinage des produits pétroliers sont libéralisées, le raffinage ayant bénéficié d’une protection temporaire des importations jusqu’à fin 2008.
Les énergies renouvelables prennent progressivement place dans le portefeuille énergétique marocain.
En effet, durant les dix dernières années, ont été mis en service les deux premiers parcs éoliens, Abdelhalek Torrès (Tetouan) et Amogdoul (Essaouira), de puissance respective 50 MW et 60 MW ;
L’énergie solaire, quant à elle, a connu différentes applications : production d’électricité : mise en service de la première centrale photovoltaïque d’une puissance de 50 MW à Tit Mellil, lancement de la construction de la première centrale thermo-solaire à Ain Beni Mathar ; électrification rurale : 48.837 foyers dans des douars isolés ou à habitat dispersé ont été électrifiés par kits photovoltaïques dans le cadre du PERG ;production d’eau chaude : 200 000 m² de chauffes eau solaires ont été installés en 2007.
Par ailleurs, le Maroc a valorisé le gaz naturel de redevance du GME, ce qui a permis d’introduire à Tahaddart, près de Tanger, une nouvelle filière de production d’électricité, plus efficiente que les existantes et moins polluante, le cycle combiné.
Sur le plan réglementaire, la structure institutionnelle a été mise en place. Elle consiste en la transformation du Centre de Développement des Energies Renouvelables en Agence de Développement de Energies Renouvelables et de l’Efficacité Energétique et en la création d’un fonds de garantie de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables (FOGEER). Ce Fonds, géré par Dar Addamane, assure la couverture du financement des projets d'efficacité énergétique ou ceux mobilisant des énergies renouvelables.
La protection de l’environnement est progressivement prise en compte dans les choix énergétiques.
Ainsi, à partir de l’année 2009, deux carburants, uniquement, sont commercialisés : le gasoil 50 ppm de soufre et le supercarburant sans plomb, ce qui permettra de réduire les émissions atmosphériques de 760 tonnes de plomb/an et 54.000 tonnes de soufre/an.
De même, depuis la fin des années quatre-vingt dix, l’ONE réalise systématiquement des études d'impact environnemental pour tous les projets de production et de transport de l’électricité, sur la base du référentiel de normes recommandées par la Banque Mondiale et l'Union Européenne.
L’Office a lancé également la réalisation du projet d'amélioration des performances des tranches à charbon de la centrale thermique de Mohammedia et de leur impact sur l'environnement. Ce projet vise la réduction des rejets atmosphériques, gaz et poussières, pour être conforme aux normes internationales, la récupération et valorisation des cendres au lieu de leur rejet en mer. Enfin, la future centrale thermique de Safi utilisera la technologie du charbon propre.
Grâce à un nouveau code des hydrocarbures, adopté en février 2000, jugé très attractif par l'industrie pétrolière internationale, l’exploration pétrolière au Maroc a connu un afflux sans précédent de sociétés pétrolières internationales, dont le nombre s’élève actuellement à 29 contre 8 en 1999.
Le nombre de permis de recherche est ainsi passé de 5 permis en 1999 à plus de 110 permis actuellement, couvrant une superficie de 196.386 km², dont 41% en offshore. En plus des permis, le domaine minier portant sur la recherche pétrolière comporte 7 autorisations de reconnaissance couvrant 128.183 km² et 10 concessions d’exploitation couvrant une superficie de 117,36 km².
La création en 2005 de l’Office National des Hydrocarbures et des Mines (ONHYM), par la fusion du BRPM et de l’ONAREP, a également contribué à ce développement de la prospection par l’étude en amont et la promotion des bassins sédimentaires.
Source : Ministère de l’Energie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement
Pour répondre aux enjeux de l’avenir, une nouvelle stratégie énergétique a été élaborée, dans le cadre d’une vision prospective claire et sur la base d’options technologiques et économiques réalistes. Elle a été conçue avec l’appui des experts nationaux et internationaux, grâce au financement du Fonds Hassan II pour le Développement Economique et Social. Elle a également fait l’objet de concertations avec l’ensemble des acteurs du secteur.
Cette stratégie se traduit en plans d’actions thématiques, concrets et réalisables à court, moyen et long termes, accompagnés de mesures organisationnelles et réglementaires permettant de donner la visibilité nécessaire aux opérateurs.
Un Plan National d’Actions Prioritaires dans le secteur électrique est mis en œuvre depuis le 15 avril 2008. Il vise à rétablir l’équilibre entre l’offre et la demande d’électricité durant la période 2008 - 2012. Les dispositions retenues prévoient d’une part, le renforcement de l’offre par la construction de nouvelles capacités de production et d’autre part, l’amélioration des dispositifs d’efficacité énergétique.
A court et moyen termes, le charbon, en raison de sa compétitivité et de son abondance, constituera le cœur du mix électrique, tout en optimisant les ressources en gaz disponibles, les apports de l'éolien et de l’hydroélectricité ainsi que le recours aux interconnexions euro-méditerranéennes.
En cas d'accès économique et sécurisé, le gaz sous sa forme de gaz naturel et/ou de gaz naturel liquéfié pourrait, en 2030, représenter 30% des combustibles utilisés pour la production électrique au lieu de 4% aujourd'hui en se substituant au charbon et au fuel dont les parts respectifs baisseraient de 34% à 19% et de 24% à 8%.
A l’horizon 2020-2030, au fur et à mesure de la confirmation de leur faisabilité économique et technique, l’électronucléaire, les centrales aux schistes bitumineux, le solaire de puissance et la biomasse occuperont une place importante dans le bouquet électrique.
D’ici 2012, la part des énergies renouvelables devrait représenter près de 10% du bilan énergétique et près de 20 % de la puissance électrique installée en mettant en service de nouvelles centrales totalisant 1440 MW en éolien et 400 MW en hydroélectricité et en déployant 400.000 m2 de panneaux solaires nouveaux.
La puissance hydroélectrique installée sera portée de 1.730 MW actuellement à 2.700 MW par la construction de nouveaux barrages et stations de transfert d’énergie par pompage.
Considérée comme une révolution énergétique à la fois par les changements technologiques et de comportement sociétal qu'elle implique, l’efficacité énergétique permettra au Maroc de réaliser des économies d'énergie de 15% en 2020 et de prés de 25% en 2030.

Cet objectif sera atteint :

*
dans l’industrie, en systématisant les diagnostics et les audits énergétiques pour éviter toute perte d’énergie dans les chaînes de production modernisées et performantes, en recourant à la cogénération et aux énergies alternatives.
*
dans les transports, en rajeunissant le parc par des véhicules économes en carburants, en développant et modernisant les transports collectifs pour réduire l’usage des voitures individuelles.
*
dans les bâtiments de tous genres, en y intégrant l’ensemble des dispositifs d’efficacité énergétique tels que orientation, isolation, chauffe-eau solaire et en éduquant les usagers à rationaliser l’utilisation de l’énergie.

Conscient de l’importance stratégique du secteur de l’énergie et de son rôle moteur dans le développement socio-économique du pays, le Maroc vient d’initier la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, une grande réforme énergétique prospective, ambitieuse et très engagée.
s
26 février 2011 16:17
Réponse ouldabbas


41 ans ingénieur civile, J2EE,JAVA-SOA, BPEL(ORABEL) archetect … dans une boite télécom à Bruxelles, je gagne très très bien ma vie et je dispose d'une gosse voiture de managment+carte diesel et comme le dit très justement note ami Abdalghafor je suis conte le système actuel dans notre pays.

Permet moi de te dire que l'on a rien à … de notre petite personne, il s'agit de 35 millions marocains.
s
26 février 2011 17:25
Réponse à lahlay9i

Ah, je t'aime bien toi.
No no

Ce sont les belles réalisations en Microsoft PowerPoint exhibés sur RTM et rien d'autre.

Une idée; tu sais que 1m2 de panneaux solaire(photovoltaïque) produira plus 3MWh/an soit l'équivalent de +/- 300m3 de de gaz.
quelques(2 à 5) km2, associés aux éoliennes pour palier au déficit pendant la nuit, le Maroc ne brulera pas une goute de gaz pour produire son électricité.

Il faut toujours rêver.
26 février 2011 17:47
@ sam69555

même si RTM vous montre le soleil en plein jour vous allez dire c'est la propagande .

Le Maroc veut miser sur le développement durable. Un projet de 9 milliards de dollars a été présenté lundi au Roi Mohammed VI à Ouarzazate. La secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton, en visite au Maroc, était présente. Le projet vise à développer l’énergie solaire dans le pays. L’objectif : réduire la dépendance du pays.

MEDI1TV
26 février 2011 18:00
Euh, j'aime bien Marrakesh moi perso...

Et le côté glamour qu'a le Maroc aujourd'hui...

Va voir n'importe quelle jolie fille en Europe et dit lui si elle est prête à te suivre pour une week end de rêve à Marrakesh... Et tu vas voir ce qu'a fait le roi...

ATTENTION: Des femmes mariées risquent d'accepter.
s
26 février 2011 18:14
Réponse à lahlay9i

Je suis pas aux courent de ce projet, ce que je sais est les allemands étudient gigantesque un projet e.solaire sur le sahel y copris le Maroc pour alimenter toute l'Europe.

Mais nous on discutait le réalisations marocaines!!!
26 février 2011 19:21
@ sam69555

daba 3rafithe smiling smiley

pour les réalisations voila :

Santé : grandes réformes structurelles pour l'équité de l'offre des soins :

Sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Maroc a franchi des pas importants sur la voie de la modernisation de son secteur de santé à travers des réformes structurelles visant la modernisation des prestations fournies et l’amélioration des indicateurs de ce secteur.
Durant la décennie passée, quatre chantiers de réformes ont été lancés pour diversifier l’offre de soins, améliorer la qualité des prestations et étendre la couverture géographique. Il s’agit de la réforme du financement de la santé, la réforme hospitalière, la réforme institutionnelle et la réforme budgétaire.
La mise en œuvre de toutes ces réformes s’est accompagnée d’une amélioration notable en matière d’offre de soins à l’échelon national en termes d’infrastructures de base et hospitalière, d’encadrement médical et paramédical et d’équipements des établissements de santé.
Le plan d’action quinquennal 2008-2012 dans le domaine de la santé vise à consolider les acquis en matière de lutte contre les maladies à potentiel épidémique, à renforcer les capacités de détection et de riposte aux maladies émergentes et ré-émergentes en vertu de l’entrée en vigueur du nouveau Règlement Sanitaire International (RSI 2005) et à s’adapter aux nouveaux enjeux, le vieillissement de la population et l’augmentation des maladies chroniques, et aux risques sanitaires liés au changement climatique et à la qualité de l’environnement.
Les progrès en matière de réduction de la mortalité précoce et évitable ont été obtenus grâce à l’extension des soins de santé de base (SSCool, tels que l’augmentation de la couverture vaccinale, de la prévalence contraceptive, de l’utilisation de la réhydratation orale, etc.
Un plan d’action d’accélération de la réduction des mortalités maternelle et infantile, pour atteindre l’objectif de 50 décès maternels pour 100.000 naissances vivantes et 15 décès infantiles pour mille d'ici l’an 2012 vient d’être mis en place. Il comprend trois axes : la réduction des barrières d’accès aux soins obstétricaux et néonatals et amélioration de la disponibilité d’un personnel qualifié dans les structures d’accouchement ; l’amélioration de la qualité de la prise en charge de la grossesse et de l’accouchement et des complications obstétricales et l’amélioration du pilotage du programme de lutte contre la surmortalité maternelle et infantile
Une politique spécifique de lutte contre les maladies non transmissibles a dû également être définie. Elle est déclinée en plans d’actions sectoriels pour la période 2008-2012 qui concernent notamment le cancer, le diabète, l’insuffisance rénale terminale, les maladies cardiovasculaires et la santé mentale.
Sur un autre registre, la déconcentration permet d’accélérer la prise de décision pour répondre aux besoins locaux et de recentrer l’administration nationale sur un rôle stratégique de définition de politiques publiques.
Dans ce cadre, la création en septembre 2008 de Directions Régionales de Santé (DRS) dotées d’unités spécialisées constitue un saut important vers plus de proximité et de réactivité. Les unités régionales s’occuperont de la surveillance épidémiologique et la veille sanitaire ; l’approvisionnement en médicaments et produits pharmaceutiques ; la gestion prévisionnelle des ressources humaines et la protection de la santé et de sécurité au travail pour les professionnels de la santé ; l’allocation des ressources budgétaires aux délégations relevant de la DRS ; la maintenance des équipements biomédicaux ; la communication et l’éducation sanitaire.
Cette création dote les Régions d’un interlocuteur, habileté à prendre des décisions concertées avec les autres départements ministériels et avec les intervenants locaux en particulier les élus et les ONG. Elle assure une coordination des services de santé à l’échelle régionale
En outre, de nouvelles pratiques managériales ont été introduites : budgets-programmes régionaux triennaux, schémas régionaux d’offre de soins, projets d’établissement hospitaliers, gestion de la maintenance du patrimoine immobilier et des équipements ….
Cette dynamique vertueuse mérite un renforcement par la visibilité des domaines projetés du partenariat et la transparence des démarches et procédures. La création de Directions Régionales de Santé offre à juste titre le cadre idoine de la concertation et de la mutualisation pour que la synergie escomptée ne soit plus un vœu pieux mais un dessein réaliste et réalisable.
Une loi sur le système de santé et l’offre de soins est en cours de finalisation. Parmi les composantes essentielles de cette loi, figurent la carte sanitaire et le schéma régional de l’offre de soins. L’adoption et la disponibilité de ces outils joueront un rôle primordial dans la régulation de l’offre de soins et donc dans la répartition équitable de cette offre à l’échelon national (entre les régions) et au sein de chaque région.
Dans le cadre de la mise en œuvre de cette loi, une nouvelle démarche de planification de l’offre de soins sera adoptée afin de disposer d’un outil scientifique de projection des besoins en offre de soins d’ici 2020 et d’un système d‘information géographique (SIG)
Par ailleurs, la mise en œuvre de la Couverture Médicale de Base (CMCool a été instituée par la loi 65-00 portant code de la CMB, promulguée par le Dahir 1-02-296 du 3 octobre 2002 et publiée au Bulletin Officiel du 21 novembre 2002.
Cette loi institue un système de CMB comprenant : un régime d’assurance maladie obligatoire (AMO) fondé sur le principe contributif et sur celui de la mutualisation des risques ; un régime d’assistance médicale (RAMED) fondé sur les principes de l'assistance sociale et de la solidarité nationale au profit de la population démunie.
En effet, depuis son entrée en vigueur en août 2005, l’AMO bénéficie aux salariés actifs et pensionnés des deux secteurs public et privé avec deux organismes gestionnaires : la CNOPS pour le régime des fonctionnaires et agents du secteur public et la Caisse nationale de Sécurité Sociale (CNSS) pour les salariés du secteur privé. En 2008, la population couverte par l’AMO représente 17% de la population nationale et le taux de couverture médicale s’élève à 26,5%.

La population couverte par la CNOPS se situe à 3,2 millions de personnes bénéficiaires des prestations du régime, répartie comme suit :

Population couverte par la CNOPS (septembre 2008)





--------------------------------------------------Régime Facultatif ---------------- Adhésions AMO -------------- Total

Actifs ---------------------------------------------773 753------------------------------- 139 000---------------------------912 753

Retraités ----------------------------------------148 359-------------------------------110 000 -------------------------- 258 359

Assurés ---------------------------------------- 922 112------------------------------- 249 000 --------------------------1 171 112

Ayant droit ------------------------------------- 1 577 888----------------------------- 451 000-------------------------- 2 028 888

Total bénéficiaires----------------------------2 500 000 ----------------------------700 000--------------------------- 3 200 000


Quant à la CNSS, elle assure la couverture médicale pour la première fois d’une population estimée à 2,13 millions de personnes, réparties comme suit :
Population couverte par la CNSS (septembre 2008)

----------------------------------------------Actifs------------------------Pensionnés------------- -----------Total

Assurés----------------------------------703 365--------------------182 631-----------------------------885 996

Ayants droit------------------------------1 001 830------------------244 769-----------------------------1 246 599

Total bénéficiaires---------------------1 705 195------------------427 400----------------------------2 132 595

Source : CNSS
Le RAMED constitue la seconde composante du système de couverture médicale de base prévu par la loi 65-00. Ce régime bénéficie aux personnes démunies non couvertes par un régime d'assurance maladie. Son financement est assuré principalement par l'Etat et les collectivités locales ainsi que par une contribution annuelle des bénéficiaires éligibles à une prise en charge partielle.
Il devra couvrir, selon la dernière étude actuarielle, une population de 8,5 millions dont 4,5 millions en situation de vulnérabilité et 4 millions en situation de pauvreté
Le RAMED a été lancé en novembre 2008 au niveau de la région de Tadla-Azilal en tant que zone pilote. La généralisation progressive à toutes les régions du Maroc est prévue à partir de 2010.
Au niveau de la région de Tadla-Azilal, la population éligible au RAMED a été estimée à 420.000 personnes, soit 152.000 éligibles à titre absolu et 268.000 éligibles à titre relatif. A cette population, s’ajoutent les éligibles de droit.
INAYA est le régime médical destiné aux indépendants qui ne sont couverts ni par l’AMO, ni par le RAMED. La population potentiellement couverte par ce système est de 10 à 13 millions de citoyens, soit près de 30 % de la population marocaine.
INAYA est un contrat d’assurance vendu par des compagnies d’assurance privées ou des mutuelles, qui s’engagent à accepter tout demandeur quelque soit sa situation de santé antérieure et à ne pas modifier le contenu du contrat pendant 3 années. Le prix est établi sur une base forfaitaire et augmente en fonction de l’étendue des prestations couvertes. 3 formules existent : Chifaa assassi, Chifaa moutakamil et Chifaa chamil.
Dans l’objectif d’accélérer la mise en place de ce régime, deux lois ont été adoptées et promulguées en 2007 : la loi n° 03-07 portant obligation de souscrire à une assurance maladie à « certaines catégories de professionnels du secteur privé » ; la loi n° 04-07 autorisant le recours au microcrédit pour le financement de contrats d’assurance, ouvrant ainsi la possibilité aux personnes pauvres de recourir à des prêts pour financer INAYA.
A fin novembre 2008, le nombre de personnes ayant souscrit à ce régime d'assurance a atteint près de 6.730 personnes. Les souscriptions sont effectuées, dans la majorité des cas, à titre individuel, et ne concernent qu’une population âgée et caractérisée par une forte consommation des services de santé.
Durant la décennie passée, le Maroc a mis en service plus de 562 établissements de Soins de Santé de Base (ESSCool, ramenant ainsi la proportion de la population située au-delà de 10 km d’un ESSB de 34 % à 25 %.
Le ratio habitants par établissement de Soins de Santé de Base (Habitants/ESSCool a ainsi évolué de 13.516 à 12.034 habitants par ESSB entre 1998 et 2007, enregistrant une évolution positive de 11%. Cette évolution est plus marquée en milieu rural (18%) qu’en milieu urbain (1%).
Le renforcement de l’encadrement de la population par des médecins a enregistré une évolution significative durant la dernière décennie. En effet, le nombre de médecins exerçant dans les deux secteurs, public et privé, est passé de 12.081 en 1998 à 18.269 en 2007 enregistrant un taux d’accroissement de 51% ; ce taux est de 70% pour les médecins exerçant dans le secteur public dont le nombre a dépassé les 10.000 en 2007.
Par ailleurs, trois nouvelles facultés de médecine et de pharmacie ont été créées à Fès, Marrakech et Oujda. A l’horizon 2020, 3.300 médecins seront formés chaque année afin de doubler la densité médicale au Maroc.
Durant la dernière décennie, 23 hôpitaux publics ont été mis en service, ce qui représente une augmentation de 10% de la capacité d’accueil hospitalière. De même, la médecine universitaire s’est enrichie par l’ouverture du pôle de la santé de la mère et de l’enfant à Marrakech. Les travaux pour la construction de CHU sont en cours à Oujda, Marrakech et Fès.
La dotation en équipements lourds s’est amélioré tant sur le plan quantitatif que qualitatif : le nombre des IRM a doublé durant cette période passant de 8 à 16 unités ; celui des scanners est passé de 82 à 125, soit une augmentation de 52%. Les moyens de prise en charge de l’insuffisance rénale terminale ont été renforcés par l’acquisition de 250 générateurs.
Pour répondre à des besoins spécifiques exprimés par la population, notamment celle qui souffre d’affections lourdes et coûteuses (ALC) ou de longue durée (ALD), des pôles d’excellence ont été constitués.
Les activités de greffe rénale ont bénéficié de la création d’un nouveau centre à Rabat et de la modernisation du centre de Casablanca. 110 transplantations rénales ont été réalisées ces dix dernières années, soit près des 2/3 des greffes réalisées dans notre pays.
Dans le même sens, deux centres de prise en charge des brûlés ont été créés à Casablanca et Meknès et trois nouveaux centres spécialisés en chirurgie cardiaque à Casablanca, Marrakech et Fès.
En partenariat avec l’Association Lalla Salma de Lutte Contre le Cancer, l’offre en oncologie s’est diversifiée : création de quatre nouveaux centres régionaux d’oncologie (Oujda, Agadir, Al Hoceima, Casablanca) ; mise en service à Rabat d’un centre de référence pour le dépistage des cancers du sein et du col de l’utérus; ouverture à Rabat d’un centre d’évaluation et de traitement de la douleur ainsi que d’un hôpital de jour de chimiothérapie.
L’amélioration de l’accessibilité financière aux médicaments demeure un objectif fondamental de la politique sanitaire nationale. Ans ce cadre, certains médicaments essentiels ont été défiscalisés et d’autres exonérés de TVA. Les droits de douane ont été réduits sur les médicaments de l’asthme, du diabète, du système cardiovasculaire, du SIDA, de l’hémodialyse, des vaccins et des médicaments dérivés du sang.
La loi 17-04 portant code du médicament et de la pharmacie promulguée en novembre 2006 constitue une réforme majeure et structurante du secteur pharmaceutique. Elle a défini le médicament générique et libéralisé le capital pharmaceutique, ce qui aura pour conséquence de stimuler les investissements dans le secteur et de développer la production des génériques suite à l’essor de l’enregistrement enregistré ces dernières années.
Plus de 5.000 médicaments, couvrant l’ensemble de l’arsenal thérapeutique mondial, sont actuellement commercialisés au Maroc. L’industrie pharmaceutique locale est performante, de pointe et hautement normalisée, reconnue notamment par l’Organisation Mondiale de la Santé qui place le Maroc dans la zone Europe par rapport aux standards de qualité des médicaments. Grâce au niveau de contrôle exercé par le LNCM, le médicament fabriqué au Maroc jouit d’une réputation de qualité qui lui permet d’être exporté partout dans le monde.
Le système national de surveillance épidémiologique en vigueur a connu un développement soutenu ces dernières années, caractérisé par la mise en place de 16 observatoires régionaux d’épidémiologie et de 69 cellules provinciales d’épidémiologie. La quasi-totalité du personnel de ces structures de surveillance sont formés en épidémiologie d’intervention.
Ce système de surveillance a permis de réaliser des avancées considérables en matière de contrôle et de maîtrise des maladies transmissibles : élimination du choléra, de la poliomyélite, du tétanos néonatal, du paludisme autochtone, de la bilharziose, du trachome cécitant et de la lèpre; réduction de la morbidité et de la mortalité liées aux maladies épidémiques ; amélioration de la situation des ophtalmies transmissibles; réduction lente mais effective de la morbidité liée à la tuberculose…Un meilleur contrôle de la diphtérie de la coqueluche, de la rougeole et des autres maladies parasitaires est un acquis à consolider.
La lutte contre les maladies transmissibles a largement bénéficié des actions d’hygiène du milieu visant à maîtriser les déterminants environnementaux de la santé. Parmi les actions importantes réalisées, figurent la mise au point d’un nouveau cadre réglementaire pour le contrôle sanitaire des eaux de boisson, l’institutionnalisation de la Gestion Intégrée de la Lutte Anti-vectorielle et la réalisation du profil national de sécurité chimique en collaboration avec le département de l’Environnement.
En vue d’améliorer son système de santé et pour capitaliser sur ses acquis, le Maroc a mis en place une stratégie ambitieuse. En effet, la stratégie 2008-2012 vise à assurer l'équité de l'offre des soins entre les régions et entre le milieu urbain et rural et à faciliter l'accès aux soins pour les plus démunis et surtout pour la population rurale. Elle a pour objectif de rendre au citoyen la confiance dans le système de santé par l'amélioration de l'accueil, l'information, les urgences, la propreté et la disponibilité des médicaments ainsi que par la réduction du coût des soins de santé et des médicaments.
Elle a, aussi pour but, de moraliser le secteur de la santé, renforcer la veille et la sécurité sanitaire, réduire la part supportée par les ménages dans le financement de la santé à moins de 25% à l'horizon 2015 et prendre totalement en charge les affections de longue durée.
Cette stratégie prévoit d'autre part de réduire le taux de mortalité maternelle à 50 décès pour 100.000 et celui de la mortalité infantile à 15 décès pour 1.000 à l'horizon 2012, et de disposer d'un service public de santé compétitif et performant (taux d'hospitalisation à 5% de la population à l'horizon 2012).
Cette stratégie s'articule autour de quatre axes qui portent sur le repositionnement stratégique des différents intervenants dans le système de santé au Maroc par notamment la création de plusieurs organismes publics autonomes de gestion des infrastructures hospitalières avec l'introduction d'un système de péréquation verticale ou horizontale leur permettant un équilibre financier tout en s'acquittant de leur mission de service public et des exigences de la solidarité nationale ce qui implique un recentrage du rôle du ministère de la santé sur les activités de régulation, de planification, de contrôle et de veille sanitaire.
Ce repositionnement exige aussi l'établissement d'un partenariat stratégique avec le secteur privé basé sur l'approche participative et un autre avec les ONG qui tient compte de leur dynamisme et de leur force de proposition.
Le deuxième axe porte sur une mise à la disposition du citoyen d'une offre de soins accessible suffisante en quantité, de qualité et équitablement répartie sur l'ensemble du territoire à travers la mise à niveau des hôpitaux, la mise en place d'une politique concertée des médicaments, une coordination efficace et systématique entre l'ensemble des institutions sanitaires, la mise en place de la carte sanitaire, une politique de ressources humaines basée sur le renforcement et le développement des compétences et la mise en place du régime d'assistance médicale (Ramed) et sa généralisation.
Le troisième axe porte sur l'introduction de la planification stratégique à moyen et longs termes par la mise en place de plans nationaux spécifiques et ciblés, alors que le dernier axe repose sur la prévention, la sécurité et la veille sanitaire.
L'élaboration de cette stratégie a pris en considération les principaux acquis du système de santé marocain (l'offre de soins, ressources humaines, le financement, les produits de santé et la sécurité sanitaire) et ses points à améliorer pour une équité de l’offre des soins au profit de tous les citoyens dans toutes les régions du pays.
s
26 février 2011 20:07
Réponse à lahlay9i

Aie aie,

Je continuerai la lecture demain !!

Bonne soirée et à +
m
26 février 2011 20:07
Citation
Rad006 a écrit:
Citation
ouldabbas a écrit:
@Rad006

Peut etre que tu ne m'a pas compris. Moi je suis pour le roi.
Meme maroco-americain je n'aime pas ce qui se passe ces jours ci
dans nos pays. Il faut etre debile pour ne pas realiser que tout est bien programme.
La doctrine Bush est en action. Obama presse. L'europe ne comprend plus rien.
Ben Ali et Moubarak les vieux ont fui. Qaddafi comme Saddam va resister jusqu'a la mort.
Personellement j'ai donne mes instructions a mes cousins et freres de mourir pour notre roi.
Je suis en contact avec eux chaque jour. Agadir et Marrakech. Si mon roi est en detresse
je leur ai dit de balayer tout les traitres. A la Qaddafi. Pas de pitie pour les traitres. Aucune.
Et si dieu le veut je serai avec eux. C'est l'histoire du maroc. Je ne vais pas la rater.

Vive Le Roi.

Bonsoir l'Ami

tu n'étais nullement visé par mon intervention qui était adressée particulièrement à Tutus, toi, tu es un l’ambassadeur dans tt marocain ne peut être que fier je ne te connais pas, mais j'ai appris à travers tes messages à déceler en toi un homme de valeur et de principes, pas comme certains qui une fois gagné leur green card à une loterie ils deviennent moralisateurs, anarchistes et Che Guevaristes à la petite semaine. On ne peut aimer un renégat à son pays, les gens resteront tjr le qui-vive face à une personne traître qui se garde toute son énergie de la journée pour enfin jouir de toute son âme.. et gicler sa haine sur son écran telle une forte jouissance. Pauvre personne je dirais …

Pour certain qui ont quitté le pays du temps d’Hassan II et de Basri, venez voir ce qui a été réalisé en 10 ans, venez voir les chantiers, les réalisations et tout ce qui a été entrepris au Maroc, ce pays qui a vu naître vos parents, vos familles.

Je serai curieux d’écouter Tutus, Chibani R, Salmones etc parler à leur enfants de leur pays d’origine, comment ils le décrivent, comment ils parlent des indigènes que nous sommes etc etc

Leur enfants, reviendront-ils plus tard sur les tombes de leurs ancêtres après tant de dénigrements .. je serai bien curieux de le savoir..

Aichfakir


vous êtes trop naifs de croire qu'ils sont marocains
B
26 février 2011 20:39
Citation
medecinmaghribi a écrit:
je crois que depuis le règne de M- le gouvernement youssoufi est le meilleurs qu'on a vu , si on a eu récemment des personnes auusi respectées dans ce gouvernement et surtout le 1er ministre rien de tout celà ne serait arrivé , maintenant comme abbass fassi est presque ,le Roi se trouve accusé de tous les maux de la société ! pourtant c'est le peuple qui a vôté ou qui n'a pas vôté pour ce gouvernement !

Salut un medecinmagribi,
je trouve que jettou etait encore mieux. Un technocrate, un homme qui se connait en economie et qui est respecté par la gauche et la droite en me temps.
Abbas fassi a ete voté par le peuple, mais c´ etait vraiment une surprise.
26 février 2011 21:09
j'aurais demandé quelque chose de plus concret aux Marocains: depuis la venue de M6 qu'est ce qui a changé dans votre vie de manière positive. Donnez des exemples concrets.


je crois que ça ne sert à rien de parler des réalisations si on n'en donne pas de preuves concrétes.
26 février 2011 23:38
Citation
bouloulou4 a écrit:
j'aurais demandé quelque chose de plus concret aux Marocains: depuis la venue de M6 qu'est ce qui a changé dans votre vie de manière positive. Donnez des exemples concrets.


je crois que ça ne sert à rien de parler des réalisations si on n'en donne pas de preuves concrétes.

avec tous ça et tu n'es pas convaincu ?

je pense que tu ne le seras jamais , les réalisations du roi Mohammed VI sont pour tous les marocains sans exception , même pour toi ( MRE) .



Modifié 1 fois. Dernière modification le 28/02/11 22:26 par lahlay9i.
27 février 2011 00:07
Citation
lahlay9i a écrit:
Citation
bouloulou4 a écrit:
j'aurais demandé quelque chose de plus concret aux Marocains: depuis la venue de M6 qu'est ce qui a changé dans votre vie de manière positive. Donnez des exemples concrets.


je crois que ça ne sert à rien de parler des réalisations si on n'en donne pas de preuves concrétes.

avec tous ça et tu n'es pas convaincu ?

je ne pense que tu ne seras jamais , les réalisations du roi Mohammed VI sont pour tous les marocains sans exception , même pour toi ( MRE) .




il serait bon que des marocains nous disent ce qui a changé dans leur vie en donnant des exemples concrets, je pense que c'est comme ça qu'on peut mesurer si les gens sont satisfaits ou pas, ça ne sert à rien de dire le Roi à fait ci , le Roi a fait ça. Je ne suis ni pour le Roi ni contre le Roi
27 février 2011 10:36
L’INDH : redonner de la dignité et promouvoir l’égalité des chances

La fibre sociale de Sa Majesté le Roi Mohammed VI a imprimé magistralement sa marque au cours de cette dernière décennie. En effet, le chef de l’Etat a fait du développement humain un chantier de règne en mettant
l'être humain au centre de toutes les réformes et les actions entreprises.
Lancée le 18 mai 2005, l'Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH) est un grand chantier social du Royaume du Maroc. Elle vise à lutter contre la pauvreté, la précarité et l'exclusion sociale à travers quatre programmes : «La lutte contre la précarité», «La lutte contre la pauvreté dans le milieu rural», «La lutte contre l'exclusion en milieu urbain» et «Le programme transversal».
Initiative louable et perspicace, l'INDH est issue d'une vision globale pour l'édification d'un Maroc moderne. Une Vision Royale fondée sur la démocratie, l'Etat de droit et la justice, afin de gérer des réformes et des projets générateurs de progrès, de développement humain dans ses dimensions économiques, sociales et culturelles. Elle traduit également la Volonté Royale de donner aux couches sociales défavorisées la possibilité de se prendre en main et d’emprunter le chemin de la réinsertion socio-économique sans exclusion ni marginalisation. De ce fait, elle constitue une réponse idoine en matière de lutte contre toutes les formes de disparité et d’exclusion sociale en se fondant sur une approche novatrice de participation, de proximité et de ciblage mettant l'accent sur le renforcement des capacités des acteurs locaux.
Tout le monde s’accorde à dire que l'INDH a déclenché une dynamique exceptionnelle et vertueuse dans les quatre coins du Royaume en faveur du développement humain. Elle sied parfaitement avec les objectifs du millénaire ayant pour valeurs le respect de la dignité de l’Homme, la protection et la promotion des droits de la femme et de l’enfant, l'ancrage de la confiance des citoyens en l’avenir, l’implication et l’intégration de tous les citoyens dans le circuit économique du pays.
Multidimensionnelle, l'INDH n'a pas cessé de multiplier ses actions dans toutes les régions du pays à travers des actions de soutien aux activités génératrices de revenus, de développement des capacités, d’amélioration des conditions d'accès aux services et infrastructures de base (éducation, santé, culte, route, eau et assainissement, protection de l’environnement etc.) et des actions de soutien aux personnes vulnérables.
L’INDH s’appuie sur une démarche déconcentrée qui respecte les principes de participation, de planification stratégique, de partenariat et convergence des actions et de bonne gouvernance.
INDH
L'INDH est incontestablement sur les bons rails. Les acquis sont très perceptibles tant au niveau de l'amélioration des conditions de vie et de l'activation du tissu associatif qu’au niveau de l'adoption de la population de ses projets et la mise en place des mécanismes de bonne gouvernance.
Les chiffres sont éloquents et témoignent de la réussite de l’initiative. L'implication des acteurs locaux a déjà donné ses preuves. En atteste le taux de financement qui évolue au fil des années. D’autant plus que les mécanismes de gouvernance ont donné leurs fruits à travers la mobilisation de plus de 11.000 hommes et femmes dans le cadre de différentes commissions de développement humain ainsi que les groupes d'animation des quartiers et des communes.
Les perspectives de 2009 et 2010 sont axées sur l'amélioration de la qualité de vie et la promotion de l'élément humain ainsi que sur la pérennité des acquis.
Le développement humain et social est, aujourd'hui plus que jamais, au cœur des stratégies nationales. Les projets d'infrastructure et d'assistance ont cédé la place à des programmes de développement social et territorial avec une participation communautaire.
L'INDH est passée par deux phases clefs : le programme prioritaire 2005 et le programme INDH au titre de la période 2006/2010. La première s'assignait pour objectif le ciblage des régions, l'adoption des programmes et le suivi de tous les intervenants tandis que la deuxième est plutôt axée sur le renforcement des mécanismes de la bonne gouvernance et la réalisation des projets.
Les différentes préfectures et provinces du Royaume disposent désormais d'un cadre institutionnel et opérationnel définissant les objectifs, tant généraux que particuliers, afin de veiller à élaborer des projets qui répondent à la méthodologie participative et intégrée de l'INDH.
Sur le plan organisationnel, les efforts se sont traduits par l'élaboration des textes de base de l'INDH, l'instauration de l'ensemble des organes de gouvernance, la mise en service d'un système d'information et de suivi des projets de l'INDH, le lancement du site web INDH visité par des milliers d'internautes, la mise en
INDH
place du réseau d'experts et de l'Observatoire National de Développement Humain créé le 21 juillet 2006, la production et la diffusion des manuels de procédures, l'élaboration de la stratégie de communication et du plan de formation et de renforcement des capacités
En outre, l'INDH a apporté un diagnostic renouvelé des politiques publiques menées dans ce domaine et une nouvelle manière d'approcher les problèmes de pauvreté, d'exclusion et de précarité. Un financement de 10 milliards de dirhams étalé entre 2006-2010, dont 6 milliards du budget général de l'Etat, deux milliards des collectivités locales et deux milliards dans le cadre de la coopération internationale, a été consacré à ce grand projet.
L'importance de l'Initiative Royale et sa force résident dans le fait qu'elle offre à la société civile l'occasion de proposer des projets, des idées et des conceptions dans les domaines économique, social et culturel à des comités spécialisés sur les plans local, provincial ou national.
Le résultat est très probant, avec une myriade de projets et de grandes réalisations, l’INDH est arrivée à libérer les initiatives locales en associant le tissu associatif à travers des projets générateurs de revenu ciblés territorialement. Améliorer les conditions de vie du citoyen marocain et œuvrer pour la réalisation d'un développement humain, durable, harmonieux, équilibré et au service de la cohésion sociale du Royaume, sont autant d’objectifs assignés à ce grand chantier de règne qu’est l’INDH.
A
27 février 2011 23:49
@Oulabass,

To tell you the truth I do not care who is ruling Morocco as long as justice and democraty prevail. It's far from being the case in todays Morocco under the rule of King Mohamed 6. I am not needy, but feel compassion towards the poor of Morocco who are helpless. I was so lucky to have had a quality education as son of a moroccan immigrant in France. Not many moroccans have access to western standards education except the regime clercs.
Its great time for democratic changes such that people of Morocco will decide for themselves, not a single man who decides for all
You are not doing any good to the King if keep supporting present statu quo
S
28 février 2011 09:54
wikipedia et le copier/coller a encore de beaux jours devant lui visiblement... Heu

La même question posée à un libyen pro système aura les mêmes réponses... A savoir le manuel d'éducation nationale.
Quelqu'un a un doute sur l'objectivité de cette personne ?
Je ne prétends pas détenir LA vérité, je revendique simplement que personne ne la détient.
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