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♕Bee a écrit:
Enfant j'avais rien à voir avec ce que je suis aujourd'hui, j'avais énormément de caractère, j'étais très joyeuse, sociable, compétitrice. On me disait tout le temps que j'étais mature aussi.
J'ai commencé à changer durant ma 6ème.
Voilà
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LeilaMalibu a écrit:
Ca se voit que tu as du caractère mashallah. Le caractere c pas avoir une grande g**le pour dire tour et nimporte quoi.
Il s'est passé quoi en 6e ?
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♕Bee a écrit:
Peut-être mais comparé à avant ça n'a rien à voir, j'avais peur de rien, jamais dans la discrétion etc.
Et toi leila ? Je t'imagine garçon manqué
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غربة a écrit:
Beaucoup trop de rêves, trop d’espoirs, j’ai appris malgré moi à devenir réaliste, c’est pas plus mal la vie c’est réelle.
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LeilaMalibu a écrit:
Sérieux ?
Comment ça jamais dans la.discretion ? En gros tetais hyper extravertie ? Je savais pas du tout looool
En fait oui et non.
Garçon manqué dans le sens où je m'habillais tout le temps en garçon loll surtout en primaire, je faisais que des sports de gars et je les battais d'ailleurs, mais à côté je traînais qu'avec des meufs et je faisais aussi des activités de filles, danse etc.. j'aimais les deux.
Sinon pareil, j'avais peur de rien, g t très gentille, terre a terre,malheureusement g énormément régressé ces dernières années.
t'arrêtes avec ta taciturnité Citation
MrSoso a écrit:
Enfants j'étais un optimiste avec des idéaux plein la tête et maintenant je suis un cynique taciturne et sarcastique qui lit Batman.
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Renart a écrit:
Tout petit j'étais super gentil, j'aimais faire plaisir quitte à être moi-même lésé.
Puis j'en ai eu marre et j'ai commencé à devenir solitaire en ne me tenant qu'au strict minimum avec les autres. Je perdais vite patience et m'énervais vite quand quelque chose me déplaisait. Et je le montrais sans retenue.
Avec le temps je me suis débrouillé seul et je m'en suis plutôt bien sorti mais ça a donné naissance à un égo démesuré.
Je pensais avoir tout compris et que les autres étaient soient faibles soit idiots. J'avais un idéal en tête et il "suffisait" juste de le suivre.
Puis encore quelques années après, je me rend compte qu'on est tous qu'une poussière dans cet univers et que le meilleur est certes le plus endurant. Et surtout que je suis encore très loin de mon idéal et encore trop "faible".
Et c'est avec ces années que je me rends compte à quel point mon père est exceptionnel, je n'ai jamais connu une personne vivante plus endurante que lui.
Ce à quoi j'aspire ? La perfection de mon âme, mais ça demande beaucoup de force.
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