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PellYm785 a écrit:
Wa aleykoum salam wa rahmatullah wa barakatuh
Oula t'es sûr, tu ne t'es pas perdu pour demander un truc aussi pointu sur ce forum ? ^^'
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baliygh75 a écrit:
Salam
Le Reproche est Négatif ? ! S’il Est Dans L’Erreur ? Ton Devoir Est de Le Corriger ! Et Non seulement De Le , Lui Reprocher .. Tu Le Laisses Dans L’ignorance !!! Lui Expliquer L’Erreur Commise... Serait Plus Sage. Et Gratifiant.,.
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soso44800 a écrit:
Salam aleykoum mes frères et sœurs,
J'ai 2 questions auquel j'aimerai trouver des réponses :
1/ Quelqu'un peut il m'aider à m'expliquer la signification de "tahdhib al-sunnan" dans le texte suivant ?
2/ Quelqu'un peut il me donner la source du texte cité ? Où Ibn Abass finis par réfuté l'idée du mariage temporaire.
Merci beaucoup d'avance pour vos réponses
Voici le texte :
Dans Tahdhib al-Sunan, on peut lire : Ibn Abbâs a autorisé un temps le mariage temporaire en cas de besoin et non de manière absolue. Mais lorsqu'il apprit que les musulmans en abusaient, il revint sur ce qu'il avait dit. Ceci étant, Ibn Abbâs a défendu à celui qui n'en éprouve pas la nécessité de contracter un mariage temporaire. À la mort du prophète Ibn Abass était encore jeune (13ans), il n' étaient donc pas forcément au courant des hadith de l'abrogation du mariage temporaire.
Al-Khattabi rapporte que Said Ibn Jubayr questionna Ibn Abass en ces termes : « As-tu conscience de ce que tu viens de faire et de l'avis juridique que tu viens de donner ? Ton avis est parvenu aux quatre coins du pays et les poètes ne manquent pas d'en faire l'écho ». Ibn Abass demanda : « Et que disent-ils ? » Said Ibn Jubayr répondit : « Ils disent ceci : Je proposai au cheikh, après qu'il soit resté un long moment dans la continence : Oh compère ! Pourquoi ne prends-tu pas l'avis d'Ibn 'Abass ? Pourquoi ne prends-tu pas une compagne pour te détendre, chez qui tu fais halte jusqu'au terme d'usage chez les gens ? »
À l'écoute de ces vers, Ibn Abass s'écria : « Nous sommes à Dieu, et c'est à Lui que nous retournons ! J'en jure par Dieu, ce n'est pas là l'avis que j'ai donné, ni ce que j'ai voulu ; je n'ai déclaré licite que ce que Dieu a déclaré tel lorsqu’il a permis la consommation des bêtes mortes, du sang et de la viande de porc à celui qui y est acculé. Or, le mariage temporaire ne sort pas de ce cadre ».