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Salam les yabi,

Pk quand une mère perd sont fils ou sa fille, elle sont très mal et quand nous on perd notre mère, on est très mal?
Ausso pk la mort d'un père nous fait moins mal que la mère? Même si le décès du père fait très mal aussi.

alaykoum salam

il y a un lien physiologique entre les mères et les enfants,

des échanges cellulaires durant la grossesse ( "microchimérisme fœtal" )

perdre sa mère pour un enfant
perdre son enfant pour une mère

>>> c'est perdre une partie de soi

article intéressant sur le sujet :
[sciencepost.fr] a-naissance/

Citation
memede210 a écrit:
Salam les yabi,

Pk quand une mère perd sont fils ou sa fille, elle sont très mal et quand nous on perd notre mère, on est très mal?
Ausso pk la mort d'un père nous fait moins mal que la mère? Même si le décès du père fait très mal aussi.

Modifié 1 fois. Dernière modification le 29/05/22 10:53 par PrincessDark.

Ça je ne sais pas

Citation
PrincessDark a écrit:
alaykoum salam

il y a un lien physiologique entre les mères et les enfants,

des échanges cellulaires durant la grossesse ( "microchimérisme fœtal" )

perdre sa mère pour un enfant
perdre son enfant pour une mère

>>> c'est perdre une partie de soi

article intéressant sur le sujet :
[sciencepost.fr] a-naissance/

Salam

Je suis pas sûr qu'on puisse établir un lien de cause à effet entre les 2 .... sinon Quid des greffes d'organes ou même tout simplement des transfusions ?


Posteur je suis même pas sûr qu'on puisse dire que ton hypothèses est vraie alors l'expliquer perso je passe mon tour lol

Certes la relation mère enfant est spéciale... de là à dire que la mort de la mère fait plus mal que celle du père....je dirait peut être qu'étant dans une société patriarcale le lien est forcément plus fort car la mère est vue comme 'fragile/ faible) mais en faire une vérité je pense pas


Plus encore qd il s'agit de la perte d'un enfant dire que la mère souffre plus que le père... c'est encore plus hasardeux à mon sens... mais la encore les pères le montrent peut être moins aussi pour la même raison.

Citation
PrincessDark a écrit:
alaykoum salam

il y a un lien physiologique entre les mères et les enfants,

des échanges cellulaires durant la grossesse ( "microchimérisme fœtal" )

perdre sa mère pour un enfant
perdre son enfant pour une mère

>>> c'est perdre une partie de soi

article intéressant sur le sujet :
[sciencepost.fr] a-naissance/

Le lien mère enfant est le plus fort qui soit, parce qu'il a été fusionnel au niveau physiologique et affectif.

La mère, c'est celle qui nous a porté, c'est notre premier repère dans le monde, la première source d'affection, c'est elle qui a pris soin de nous déjà avant notre naissance, elle est une partie de nous et nous d'elle.
Dans l'autre sens, quand on sens un être grandir dans son ventre, qu'on le met au monde dans la douleur, qu'on prend conscience de sa fragilité et qu'on est son protecteur, son pilier, son tuteur, qu'on prends soin de lui, on le voit grandir et on l' accompagne du mieux qu'on peut, ça crée des liens indéfectibles.

Après, bien sûr des liens très forts se créent aussi avec le père... Mais la mère restera la première dans la majorité des cas.

Je pense que cela dérive à la fois des lois de comportements comme des relations.

Il suffit d'étudier les relations mère/enfant et père/enfant et de les comparer.

Du point de vue spatio-temporel, le maintien dans le temps du contact bébé ou enfant/ père ou mère, de la proximité spatiale est distinct :

* Allaitement, perception : vue, odeur, chaleur, contact physique, proximité, attention.
* Volet inné, instinctuel, acquis et réfléchi
* Rapport alimentation, hygiène, habillement, réponse aux pleurs et demandes etc...

Les temps alloués par la mère sont sans commune mesure à ceux du père, même en cas d'adoptions


Même du point de vue législatif et juridique, il y a une différence vu que l'autorité parentale est attribuée en premier lieu à la mère en cas de divorce.

Les abandons statistiquement sont plus le fait des pères que des mères.
Le rapport au père est différent en "général" : moins d'intimité, de confidences et est marqué par le respect.



Modifié 2 fois. Dernière modification le 29/05/22 11:30 par Sarrazin.

Enfin un raisonnement qui se tient....



Dommage qu'il ne fasse que paraphraser le mien


Je te taquine

Citation
Sarrazin a écrit:
Je pense que cela dérive à la fois des lois de comportements comme des relations.

Il suffit d'étudier les relations mère/enfant et père/enfant et de les comparer.

Du point de vue spatio-temporel, le maintien dans le temps du contact bébé ou enfant/ père ou mère, de la proximité spatiale est distinct :

* Allaitement, perception : vue, odeur, chaleur, contact physique, proximité, attention.
* Volet inné, instinctuel, acquis et réfléchi
* Rapport alimentation, hygiène, habillement, réponse aux pleurs et demandes etc...

Les temps alloués par la mère sont sans commune mesure à ceux du père, même en cas d'adoptions


Même du point de vue législatif et juridique, il y a une différence vu que l'autorité parentale est attribuée en premier lieu à la mère en cas de divorce.

Les abandons statistiquement sont plus le fait des pères que des mères.
Le rapport au père est différent en "général" : moins d'intimité, de confidences et est marqué par le respect.

Japprend des choses

La relation avec la mère est à part.
C'est évident.

Chaque perte laisse sa propre trace aussi distinctive et unique.

Je pense la gestion du deuil varie en fonction de chacun d'entre nous mais également en fonction de la profondeur du lien qu'il y'avait entre l'enfant et le parent.
Cette profondeur du lien que nous avions avec eux , et qui après leur perte est souvent compliquée à gérer car ils étaient notre lien principal avec le monde...

À-t-on moins de chagrin pour un père ?
Je ne pense pas, un chagrin différent, sûrement...mais pas moins....
Tout dépend du lien affectif, de la profondeur de la relation...

Mon père est autant une partie de moi que ma mère

Citation
PrincessDark a écrit:
alaykoum salam

il y a un lien physiologique entre les mères et les enfants,

des échanges cellulaires durant la grossesse ( "microchimérisme fœtal" )

perdre sa mère pour un enfant
perdre son enfant pour une mère

>>> c'est perdre une partie de soi

article intéressant sur le sujet :
[sciencepost.fr] a-naissance/

Enfet je pense que ça dépend des cultures.

Chez les musulmans la femme est reine de la maison et garde les enfants.

C'est très différent, quand la place de l'homme et de la femme sont les mêmes à la maison
Dans les pays nordique le père reste aussi garde les enfants.

Le congé parental est divisé