J'avais vu un reportage montrant un homme consulter une femme avec, entre eux deux, un drap ou voile de façon à ce que ni l'un ni l'autre ne soit gêné. C'était en Afghanistan.
Allah ou ai3lem
Amicalement Yazz
Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui reçoit ne doit jamais oublier.
Salaam pour moi un musulman ki se destine a des etudes de gynecologie n a pas de sens. Il y a de nombreux branches en medecine ou l etudiant musulman peut choisir d y aller telles ke l opthalmologie,la pneumologie,la podologie, la chirurgie dentaire,la pediatrie etc etc etc....il peut kan meme eviter de choisir plusieurs annees de specialisation en gynecologie.
Il y a une difference entre etre oblige d ausculter une patiente au niveau de ses parties intimes pour cause medicale et le fait de choisir de longues etudes concernant les parties intimes de la femme. Dans le premier cas c une necessite le medecin est d abord medecin et donc agit pour la sante de la femme. le deuxieme cas j appelle ca donner le baton pour se faire battre.
A vous les femmes faites des etudes de gynecologie vous me rendrez un grand service .
sache kun savant musulman réputé a été médecin gynécologue
lis ce qui suit :
Ali ben El-Abbès ( Que Dieu ait son âme )
alors qu’Hippocrate et ses disciples prétendent que l’enfant sort spontanément du ventre de sa mère, ali ben El-Abbès découvre que c’est la contraction de l’utérus qui expulse le foetus, il rédige des traités sur les abcès de l’utérus et du col de l’utérus, ainsi que sur le cancer de l’utérus. Dix siècles avant Darwin, il parle de ‘ L’origine des espèces par voie de sélection naturelle ‘.
Haly Abbas des latins, médecin gynécologue réputé.
Ali ben El-Abbès, médecin traitant du sultan Adoud ed-Dawla et contemporain de Gerbert d’Aurillac, déclare : ‘Parmi tous les ouvrages médicaux, anciens et modernes, que j’ai passé en revue, je n’en ai pas trouvé un seul qui fût vraiment complet, qui embrassât l’ensemble des connaissances nécessaires à l’étude de la médecine. Les écrits d’Hippocrate sont trop succincts, et beaucoup de ses figures de rhétorique, par trop obscures, nécessiteraient un commentaire... Les ouvrages de Galien sont nombreux mais chacun d’eux ne traite que d’une partie de la médecine, présentant des données totalement erronées. Ils sont d’ailleurs beaucoup trop diffus et fourmillent de redites, je n’ai pas trouvé un seul ouvrage de Galien qui fut propre à instruire un futur praticien ..’
Ali ben El-Abbès examine soigneusement, un par un, tous les ouvrages des Grecs, mais se voit dans l’obligation de les récuser l’un après l’autre. A leur sujet, il disait : ‘ Les données grecques servirent de base au travaux des Musulmans, ni plus ni moins. Les méthodes étaient vétustes, obscures et difficilement accessibles. Il ‘y avait aucune pédagogie, beaucoup de redites et pleines de confusion’.
Et c’est ainsi qu’Ali ben El-Abbès réalise le projet qu’avait caressé Er-Razi, son ouvrage qui s’intitule le ‘ Livre royal ‘ ( Kitab el Maliki ) tiens le juste milieu entre la trop grande minutie d’El-Hawi’ rédigé par Er-Razi, et la trop grande concision d’El-Mansouri. Il est dédié au sultant ‘Adoud Ed-Dewla, fondateur du grand hôpital de Bagdad et protecteur royal des sciences. Ce livre, en vérité, qui aujourd’hui encore mérite toute notre admiration fut très longtemps utilisé par les Occidentaux.
Les traités et encyclopédies, les guides composés sous forme de questions et de réponses à l’usage des étudiants, les précis et tableaux où toutes les connaissances, anciennes et nouvelles, ont été passées au crible et ordonnées avec une clarté et une harmonie exemplaires, tous ces ouvrages arabes qui font d’excellents livres d’enseignement témoignent de l’indubitable esprit scientifique de leurs auteurs : lucidité, ordre,précision, esprit d’observation.
Ainsi, Ali ben El-Abbès a offert au monde médiéval un ouvrage sans précédent,et dès lors, nombreux seront les émules d’Ali ben el-Abbès.
La date de sa mort ne nous est pas connue. Que Dieu ait son âme.
ken dis tu mon cher creillois ? ceci est tiré d'un livre que je dévore chaque jours et ke je recopie personnellement sur mon ordi pour corriger les fautes d'ortho
" les savants musulmans oubliés de l'histoires " de Hébri Bousserouel aux éditions Universel ....
oui la gynécologie et islam n'est pas incompatible...y'a des hommes qui sont passionnés par leur travail et non par hm hm...de plus dans beaucoup de pays musulmans il se trouve que les femmes n'ont pas autant accès au etudes qu'aux hommes dont le secteur de la gynecologie, alors qui va soigner les patients si les hommes ne le font pas....
mais perso, si j'etais une fille, je partirai à 99% chez une femme gynéco....si j'ai le choix, y'a pas photo
ma chere rifia La tu nous parles d un chercheur d un savant ki cherchait a a aller vers la connaissance comme nous l incite notre belle religion et a cette epoque il n y avait pas de femmes savantes. La nous parlons d un jeune musulman ki voudrait se destiner a toucher les parties intimes des femmes toute sa vie,k il laisse cela a des futures femmes medecins. Dites moi y a til des femmes medecins specialises dans la prostate ou te ce ki touche les organes genitaux masculins.
Hakim je suis d accord avec toi on peut etre passione par la medecine mais mets toi en x eme annee de medecine generale a ce moment la tu decide de te specialiser.franchement en tant ke musulman tu va pas te dire tiens je vais faire gynecologue plutot ke pneumologue,ophtalmo ou dentiste meme si tu ne pense pas au hum hum hum comme tu dis.
Quant au pays ou il y a peu voire pas de femmes medecin ou femmes gyneco la par necessite bien sur on pourrait se dire je vais devenir gyneco car il y une penurie a ce niveau la.
Dans le cas ou on a le choix il doit eviter cette branche.
Salaam Mohamed.
Creillois l homme ki a tenté de remettre la femme a sa place ( a sa vraie place) :):):).
Mais ke sa femme a remis a sa place a sa vraie place :(:(:(.
Baraka Allah oufik creillois, de toutes les façons nos grands-mères n'ont jamais eu à faire à un gyneco, nos mères était obligé parfois d'accepter à contre cœur de ce faire visiter par un homme gyneco, fautes de femmes gyneco . Mais aujourd'hui el hadoullilah les femmes ont le chois, et moi je préfère une femme gyneco, même mon généraliste est une femme. Un homme aujourd’hui devrait laisser cette spécialité à une femme même s'il n'est pas musulman, et faire plutôt urologue comme tu le propose, les deux sexes seraient plus a l’aise en cas de probléme.
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
rifia1 c'est ce que j'aime en toi, tu ne défends jamais tes idées, même quant tu as raisons. le site serais un havre de paix, si certaines personnes étaient comme toi.
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
aicha a écrit: ------------------------------------------------------- > rifia1 c'est ce que j'aime en toi, tu ne défends > jamais tes idées, même quant tu as raisons. le > site serais un havre de paix, si certaines > personnes étaient comme toi. > > avec l'expérience de la vie, j'ai acquis la > conviction que lorsque le désespoir est là, il > reste l'espérance.
je suis émue wallahy
des paroles touchantes venant de ta part me font chaud au coeur .....
ce qu'il faut retenir, c'est que chacun choisit la voie qu'il veut, s'il veut faire une spécialité gynéco, c'est sa vie, celà n'a rien à voir avec l'islam, faut pas tout melanger encore...de plus la patiente saura choisir si elle veut aller chez un homme ou une femme...elle a le choix, mais pas le choix de dire à un medecin de faire une autre spécialité pour cause de religion....ça n'a aucun sens, il est là pour guerrir des maladies, on peut avoir une conscience de travail sans penser à ça 24h/24....
vous parlez de gens qui ont fait des etudes de 8-10 ans, s'ils etaient passionés par autre chose, ils auraient ouvert des bordels et voilà tout...et non guerrir des maladies....
rifia, si tout le monde ici avait ton niveau de sagesse, ça serait le paradis, mais y'a pas mal de frustrées donc voili voilou
je suis très surpris des réponses (que je respecte bien sûre) concernant la pratique masculine de la gynécologie. J'ai l'impression que l'on ne fait plus le distingo entre féminité et masculinité, un peu à la façon androgyne (sans sexe) que la mode vestimentaire propose depuis deux décennies. Brouillé le rôle féminin et masculin pour mieux pénétrer le marché avec un article à vendre... ceci explique sans doute cela. Mais pour ce qui est du mode de vie , du choix que l'on fera pour une consultation ou une pratique... je suis très étonné qu'un prof de religion islamique n'a pas d'idée claire à ce sujet ( notez au passage qu'un de mes prof de religion venait quasi ivre au cours...). On tend dans le monde laic à sacrifier la pudeur au nom de la "fausse pudeur", ce qui est compréhensible dans la débauche des moeurs que l'on voit tous les jours; mais dans la communauté de l'Islam, je crois qu'il doit en etre tout autrement, n'en déplaise aux laics de tout poil ! Notre communauté, n est "communauté" que sur base de valeurs qui lui sont propres et non pas en fonction du "faciès", n'en déplaise aux fashos de tout poil ! ainsi je ne crois pas que toutes les pratiques médicales sont abordables par l'un et l'autre sexe; il y a des sensibilités et des nécessités (pudeur oblige s'il en est) qui ne permettent pas qu'une croyante dénude sa partie la plus intime et la plus fragile à un homme (qui ne vit pas ces sensibilités et fragilité, et quand bien même , qu'il garde cela pour sa femme et ses filles ! les femmes ne doivent pas lui servirent à exalter ses sensibilités ou envies !...) on aura beau parler de "champ médical", il me semble que l'enjeu dans ces questions est beaucoup plus de gommer nos valeurs morales au profit de l'intolérance laic qui s'installe; ceci est sans doute une question d'un autre niveau puisqu'elle touche plutot la liberté que l'on permet ou pas aux patients musulmans (...) ; mais qu' à notre niveau, par pitié, que l'on ne se laisse pas séduire par des élans de "tolérance" (alors qu'il sagit de fausses-tolérances de fait, puisque l'on se trouve sur le registre du respect des valeurs de chacun, la question de "tolérance" ne se pose donc pas) , alors que l'intolérance la plus abjecte nous assaillent partout ! Si en mon âme et conscience je prend une décision à propos d'une pratique, et que ma foi/confiance me dicte que cela prête à la subversion, alors je me retient au nom du bien être des mères de famille et adolescantes; je n'ai que le choix des pratiques de médecine dans un autre panel... moins insolent, moins dégradant... imaginez une "haaja" venant auprès d'un musulman, lui expliquant les infections et autres galères du genre qui lui font mal, et lui, où ira-t-il puiser sa légitimité de conscience pour la voire lever sa jellaba et aller plonger sa main au plus secret de son intimité...! Si cela ne suffit pas, alors je demande à ceux qui auraient quelque veléité à se complaire dans la profession: pourriez vous recevoir dans votre cabinet votre mère ou votre propre soeur et faire cela??? !!! si "non", alors sache, mon frère, que cela vaut autant pour les étrangères, et plus encore.... tachons donc de relire la sourate "la lumière", et nous comprendrons peut etre où réside l'alcoove des lumières: "dans la préservation/protection des valeurs illustres que nous intériorisons et pratiquons", contre vents et marées, contre tout laics (intolérants) et fashos de notre temps.
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