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Quels pays sont véritablement dotés d'armes nucléaires ?
S
25 juillet 2015 14:00
Savez vous quels pays sont véritablement dotés d'armes nucléaires ?
D
25 juillet 2015 14:04
Citation
Sanawildworld a écrit:
Savez vous quels pays sont véritablement dotés d'armes nucléaires ?

[fr.wikipedia.org]
m
25 juillet 2015 15:04
Le pays qui pose problème c'est Israel.

Tant que Israel possèderait la bombe nucléaire le monde ne sera pas sûr.

Parce-que je vois mal les régimes militaires voisins se tourneraient les pousses éternellement, tout en craignant le petit caniche enragé.
m
25 juillet 2015 16:19
Par rapport a ce qui se passe en Irak et en Syrie, la bombe atomique parait plus miséricordieux, elle réduit la souffrance des victimes, ne fait pas de réfugiés et permet de reconstruire moderne et intégralement.
Plusieurs pyas se trouvent a un stade avancé d'avoir la bombe atomique, l'Algérie par exemple est un exemple percutant profitant de l'aide de l'Iran et de la chine et a l'avantage d'avoir sur place les installations Françaises abondonnées a la hate en quittant le pays de meme que des archives. Ce qui met la puce a l'oreille des chercheurs a propos de l'algérie c'est la structure de base remise constamment // les sous marins, le porte helico, les avions gros porteurs tout cela est peut etre un vecteur ou conteneur de bombes atomiques Algériennes
T
25 juillet 2015 16:33
Salam !

On parle d'armes nucléaires regardez cette vidéo, elle est édifiante !

Ce sont tous les test de bombes nucléaires effectués de 1945 à 1998 !

A ce rythme là, c'est toute la terre qui est irradiée !

25 juillet 2015 16:36
Bonjour,
Je crois on oublie souvent 1 pays qui maitrise aussi bien la technologie nucleaire
civile mais aussi militaire c'est l'Argentine. et en parlant de l'argentine puissance nucleaire civile et miltaire est iun sujet nteressant pour les marocains de le savoir pour la bonne raison:

De 1983 à 2006

L'enrichissement d'uranium, nécessaire à la construction d'une bombe atomique, est abandonné par le nouveau président civil Raul Alfonsin (1983-1988) 1, qui était sous pressions pour renégocier la dette externe de l'Argentine. Le programme nucléaire est alors mis sur pause dans les années 1980, et un entrepreneur sans expérience en science et technologie, Alberto Costantini, est nommé au poste de président de la CNEA.

Les effets de la mauvaise gestion de Costantini se font immédiatement sentir. Des départs volontaires sont organisés, car le néolibéralisme montant considère le personnel scientifique et technique comme un parasite de l'État, et non plus un dépositaire du savoir technologique de la Nation. L'asphyxie budgétaire réduit la productivité de ceux qui restent. Beaucoup de physiciens et ingénieurs nucléaires argentins doivent émigrer, faut de projets; une partie se reconvertit dans l'aérospatial; d'autres réussissent dans l'informatique et même dans la finance.

Malgré ces difficultés -ou ce qui semble plus plausible, à cause d'elles-, le plan nucléaire de la Commission nationale de l'énergie atomique (CNEA) a exporté des technologies nucléaires au Pérou, en Algérie, en Égypte (réacteur à uranium enrichi d'Inshas, mis en service en 1997) et en Australie 1 (construction du réacteur OPAL par la firme argentine INVAP). En liaison avec la Chine, l'Argentine avait aidé l’Algérie à se doter de deux réacteurs nucléaires expérimentaux, Nour basé à Draria (inauguré en 1989) (Alger) et Salam à Aïn Oussara (Djelfa, en service depuis 1993) 4.

La holding ENACE devait diriger la construction d'Atucha II, dans laquelle 10 millions de dollars par an sont investis dans l'entretien 1, mais les travaux furent interrompus sous Carlos Menem (1988-1999), en 19941.

La même année, les centrales Atucha et Embalse, dirigés par la CNEA, passent sous le contrôle de Nucleoeléctrica Argentina (NASA). Associée à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), la NASA possède trois centres (à Bariloche, Constituyentes et Ezeiza) ainsi qu'un complexe à Pilcaniyeu (dans le département du même nom).
C
25 juillet 2015 19:16
" Autres États dotés non-officiellement d'armes nucléaires (Israël) " Mon cul, oui...
i
25 juillet 2015 22:06
Le trilogie

USA - Israel - France

ou

Israel - USA - France

Sont la maîtrise totale de l'arme nucléaire
C
25 juillet 2015 22:08
Citation
imtiyaz a écrit:
Le trilogie

USA - Israel - France

ou

Israel - USA - France

Sont la maîtrise totale de l'arme nucléaire
La Trinité nucléairienne ah ah !
U
26 juillet 2015 11:20
Citation
imtiyaz a écrit:
Le trilogie

USA - Israel - France
ou

Israel - USA - France

Sont la maîtrise totale de l'arme nucléaire

Contrairement aux USA, les villes de France et d’Israël sont trop proches des sites de lancement possibles.

Grâce à ses sous-marins, la France pourrait raser le pays qui l'aurait détruite.
Puisque la cible est déterminée après coup, il n'y a pas besoin de beaucoup de bombes et le danger est donc plus limité.

Israël ... euh ... Que ce pays l'ait ou pas, ça ne change rien: Une seule bombe nucléaire éliminerait les Israéliens ET les Palestiniens ET contaminerait les pays qui se trouvent dans la bande de territoire qui va de l'Himalaya à l'Atlantique, au sud des montagnes du sud de l'Eurasie.
Selon les vents, les retombées pourraient se produire dans les montagnes marocaines.

La bombe d’Israël serait donc inutilisable, sauf si ce pays et ses habitants étaient détruits.
Dans ce cas, tout le territoire israélo-palestinien serait rendu inhabitable pour les vainqueurs.
En clair, c'est un chantage au suicide:
1.- Soit il y a Israël et les Palestiniens
2.- Soit il n'y a plus ni Israël, ni Palestiniens.

Une bombe israélienne, ce serait rendre définitivement impossible la destruction d'Israël.
Ça pourrait être le mobile: Un bouclier humain encore plus meurtrier que celui du Hamas.


Parce qu'elle n'a aucune utilité pour attaquer une autre puissance nucléaire, la bombe israélienne n'a aucune conséquence notable sur la prolifération et le risque de destruction totale de toute l'Humanité.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
i
26 juillet 2015 12:37
Citation
Unesuggestion a écrit:
Contrairement aux USA, les villes de France et d’Israël sont trop proches des sites de lancement possibles.

Grâce à ses sous-marins, la France pourrait raser le pays qui l'aurait détruite.
Puisque la cible est déterminée après coup, il n'y a pas besoin de beaucoup de bombes et le danger est donc plus limité.

Israël ... euh ... Que ce pays l'ait ou pas, ça ne change rien: Une seule bombe nucléaire éliminerait les Israéliens ET les Palestiniens ET contaminerait les pays qui se trouvent dans la bande de territoire qui va de l'Himalaya à l'Atlantique, au sud des montagnes du sud de l'Eurasie.
Selon les vents, les retombées pourraient se produire dans les montagnes marocaines.

La bombe d’Israël serait donc inutilisable, sauf si ce pays et ses habitants étaient détruits.
Dans ce cas, tout le territoire israélo-palestinien serait rendu inhabitable pour les vainqueurs.
En clair, c'est un chantage au suicide:
1.- Soit il y a Israël et les Palestiniens
2.- Soit il n'y a plus ni Israël, ni Palestiniens.

Une bombe israélienne, ce serait rendre définitivement impossible la destruction d'Israël.
Ça pourrait être le mobile: Un bouclier humain encore plus meurtrier que celui du Hamas.


Parce qu'elle n'a aucune utilité pour attaquer une autre puissance nucléaire, la bombe israélienne n'a aucune conséquence notable sur la prolifération et le risque de destruction totale de toute l'Humanité.


Ce que tu ne comprends pas. Israel c'est aussi les autres pays qui détiennent cette puissance Israel ne peut pas frapper lui mémé. Les plus grands techniciens du monde en armement sont juifs ou israéliens (blanc bonnet bonnet blanc).


.


.
U
26 juillet 2015 13:29
Citation
imtiyaz a écrit:
Ce que tu ne comprends pas. Israel c'est aussi les autres pays qui détiennent cette puissance Israel ne peut pas frapper lui mémé. Les plus grands techniciens du monde en armement sont juifs ou israéliens (blanc bonnet bonnet blanc).

Donc, c'est comme je l'écris: Ça ne change rien qu'Israël ait la bombe ou non, sauf si le but est le chantage au suicide.


Bien sûr que ce sont d’autres pays qui ont beaucoup de bombes atomiques. C'est là qu'est le principal danger.


Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
m
26 juillet 2015 14:31
Citation
Unesuggestion a écrit:
Contrairement aux USA, les villes de France et d’Israël sont trop proches des sites de lancement possibles.

Grâce à ses sous-marins, la France pourrait raser le pays qui l'aurait détruite.
Puisque la cible est déterminée après coup, il n'y a pas besoin de beaucoup de bombes et le danger est donc plus limité.

Israël ... euh ... Que ce pays l'ait ou pas, ça ne change rien: Une seule bombe nucléaire éliminerait les Israéliens ET les Palestiniens ET contaminerait les pays qui se trouvent dans la bande de territoire qui va de l'Himalaya à l'Atlantique, au sud des montagnes du sud de l'Eurasie.
Selon les vents, les retombées pourraient se produire dans les montagnes marocaines.

La bombe d’Israël serait donc inutilisable, sauf si ce pays et ses habitants étaient détruits.
Dans ce cas, tout le territoire israélo-palestinien serait rendu inhabitable pour les vainqueurs.
En clair, c'est un chantage au suicide:
1.- Soit il y a Israël et les Palestiniens
2.- Soit il n'y a plus ni Israël, ni Palestiniens.

Une bombe israélienne, ce serait rendre définitivement impossible la destruction d'Israël.
Ça pourrait être le mobile: Un bouclier humain encore plus meurtrier que celui du Hamas.


Parce qu'elle n'a aucune utilité pour attaquer une autre puissance nucléaire, la bombe israélienne n'a aucune conséquence notable sur la prolifération et le risque de destruction totale de toute l'Humanité.

Franchement de dire "Que ce pays (Israël) l'ait ou pas, ça ne change rien" n'a aucun sens objectif, soit tu es juif aveuglé, sioniste ou juste aucune jujotte.

Un être humain c'est un être humain qu'il soit au pole sud ou au pole nord, si un voisin qui s'est installé après lui, revendique sa terre, lui refuse les mêmes droits et qui a des velléités expansionnistes, personne ne sera rassuré tant qu'il ne pourra pas se défendre avec les mêmes armes, voir aller chercher des armes encore plus puissantes, c'est comme ça, l'homme a toujours été autodéstructeur.

S'il y a un Etat qui ne doit pas détenir l'arme nucléaire pour éviter que d'autre puisse vouloir les fabriquer c'est Israël. et ça personne n'ose en parler à la téloche et compagnie....



Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/07/15 14:32 par moss_26176.
t
26 juillet 2015 15:06
israel a l arme nucleaire qui lui a été fournit par les service secret Français
t
26 juillet 2015 15:11
Dans les années 1950, Paris et Tel-Aviv, mus par une hostilité commune contre l'Égypte de Nasser, ont coopéré étroitement dans la recherche atomique.




Dans le domaine de la dissuasion, cela s'appelle une politique d'ambiguïté nucléaire. Officiellement, l'État hébreu, qui fête ces jours-ci son soixantième anniversairen'a toujours pas la bombe atomique. Il n'a pas signé le traité de non-prolifération nucléaire (TNP) et n'est donc pas soumis au contrôle des inspecteurs de l'Agence internationale à l'énergie atomique (AIEA). Mais c'est un secret de Polichinelle, dans cette région troublée du Proche-Orient, qu'Israël dispose d'ogives atomiques, surtout depuis que le premier ministre Ehoud Olmert l'a implicitement reconnu, en décembre 2006. De fait, Israël a la bombe depuis 1967. Et c'est l'aide, décisive, de la France, qui lui a permis de devenir la sixième puissance nucléaire de la planète.

Lorsque naît l'État hébreu, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale qui a vu, pour la première fois, l'utilisation de l'arme suprême par les États-Unis contre le Japon, les responsables israéliens misent sur la bombe pour éviter qu'un second Holocauste puisse un jour être commis contre le peuple juif. L'arme nucléaire devra assurer la survie du nouveau pays sur le long terme. Plus tard, elle devra aussi le protéger des menaces représentées par l'Irak et l'Iran, soupçonnés d'avoir eux-mêmes des ambitions nucléaires militaires.

Le programme nucléaire israélien est lancé en 1949 par le premier ministre, David Ben Gourion. À l'époque, les États-Unis refusent d'y contribuer. Déjà, la perspective de voir un jour la Chine et la France rejoindre le club très fermé des puissances nucléaires ne plaît guère à Washington. Les dirigeants américains veulent à tout prix éviter la nucléarisation du Proche-Orient. Sous John F. Kennedy, l'Administration américaine n'aura de cesse d'essayer de convaincre Israël de renoncer à son programme atomique. En échange, le Pentagone offrait son parapluie nucléaire et des garanties sur la dissuasion. En vain.

En 1954, Ben Gourion se tourne vers Paris, à qui il propose une entraide mutuelle pour la mise au point de la bombe. La France possède un double avantage : elle a une longueur d'avance en matière de recherche nucléaire et veut laver la honte de la Collaboration en cajolant les victimes juives du nazisme. Le rapprochement franco-israélien se noue autour de la guerre de Suez. Les deux pays ont un ennemi commun : l'Égypte de Gamal Abdel Nasser, qui soutient d'un côté le Front de libération nationale (FLN) algérien contre la France et arme, de l'autre, les fedayins palestiniens contre Israël.

Programme clandestin

Lorsque le président égyptien ferme le canal de Suez à la navigation israélienne avant de le nationaliser en 1956, Paris et Tel-Aviv font front commun et décident d'intervenir aux côtés de la Grande-Bretagne. Ce sera un fiasco, en raison de l'hostilité américano-soviétique à l'aventure. Mais l'amitié franco-israélienne se poursuit. En octobre 1957, Paris et Tel-Aviv passent des accords diplomatiques et techniques et lancent véritablement le programme nucléaire clandestin, supervisé par Shimon Pérès et financé par des fonds secrets prélevés sur le budget du ministère israélien de la Défense.

La France avait promis de fournir la centrale nucléaire de Dimona, dans le désert du Néguev, avant la crise de Suez. Mais la coopération, qui doit permettre à Israël d'obtenir la maîtrise complète du cycle de combustible et de se hisser au rang de nouvelle puissance nucléaire, est renforcée après l'invasion du Sinaï égyptien par l'armée israélienne. Paris envoie plusieurs centaines de techniciens, livre un réacteur nucléaire de 24 mégawatts et entame les travaux à Dimona en 1958.

Le contrat prévoit également la construction d'une usine souterraine de séparation isotopique. En échange de son soutien déterminant, la France, qui cherche elle aussi à se doter de l'arme atomique ce sera chose faite en 1960 espère «bénéficier de la technologie américaine, à laquelle les scientifiques israéliens sont supposés avoir accès», explique l'historien Pierre Razoux (*).

Lorsque de Gaulle revient au pouvoir en 1958, il freine, puis ordonne l'arrêt de la coopération nucléaire avec Israël. Le général veut réorienter la politique étrangère de la France dans un sens plus favorable aux pays arabes, surtout après les accords d'Évian sur l'indépendance algérienne en 1962. Les essais nucléaires français ayant été concluants, de Gaulle estime qu'il n'a plus besoin des Israéliens pour faire progresser la recherche. «Mais surtout, il veut assurer le caractère français de la bombe, recentrer l'outil de dissuasion sur le territoire national», indique Pierre Razoux, qui occupe aujourd'hui des fonctions au Collège de défense de l'Otan à Rome.

Après lui, Georges Pompidou, Valéry Giscard d'Estaing puis Jacques Chirac mèneront une politique nucléaire beaucoup plus proliférante. Paris ira même jusqu'à fournir un réacteur nucléaire, celui d'Osirak, à l'Irak de Saddam Hussein. «Mais sous de Gaulle, la politique nucléaire de la France est vraiment recadrée. Nous ne sommes plus dans l'amitié très forte qui liait la classe politique française et les travaillistes israéliens», explique Bruno Tertrais, spécialiste du nucléaire à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS) à Paris.

Un gilet pare-balles

L'aide française aura néanmoins été déterminante. Le programme israélien est suffisamment avancé pour pouvoir être mené jusqu'à son terme. Les principales étapes ont été franchies et l'usine de Dimona est terminée. Nasser s'en alarme, qui déclare en 1966 : «L'Égypte se lancerait dans une guerre préventive si Israël se mettait à fabriquer des armes nucléaires.» Le président égyptien multiplie les provocations envers l'État hébreu, envoie ses avions survoler Dimona. Mais il est trop tard. À la veille de la guerre des Six-Jours en 1967, les premières armes nucléaires sont quasi opérationnelles au sein de Tsahal.

Pendant tout ce temps, le secret est conservé sur le programme nucléaire israélien. Pour en avoir révélé l'ampleur dans une interview au Sunday Times, en octobre 1986, l'ancien technicien Mordechai Vanunu a été condamné à dix-huit ans de prison.

Après avoir longtemps servi de gilet pare-balles contre la menace irakienne, lorsque Saddam Hussein était au pouvoir, le programme nucléaire vise aujourd'hui en grande partie à protéger l'État hébreu de la menace iranienne. Les ambitions nucléaires de Téhéran et l'intransigeance de Mahmoud Ahmadinejad, qui estime qu'Israël devrait être «rayé de la carte», ont potentiellement rétabli la menace existentielle qui pesait contre l'État hébreu avant la guerre des Six-Jours de 1967 ou pendant la guerre de Kippour de 1973.

Selon la publication britannique spécialisée Jane's Intelligence Review, la menace est plus sensible encore depuis la publication, en décembre 2007 à Washington, du rapport des agences de renseignements américaines, le NIE, qui, en relativisant la menace nucléaire iranienne, a rendu improbable une intervention militaire des États-Unis.

La peur de se retrouver seul face à l'Iran nourrit les rumeurs d'une intervention militaire israélienne contre les installations iraniennes. Benyamin Ben Eliezer, le ministre israélien des Infrastructures, a prévenu le mois dernier qu'une «attaque iranienne contre Israël déclenchera une riposte dure qui provoquera la destruction de la nation iranienne».

L'État hébreu disposerait aujourd'hui, selon les spécialistes, de 100 à 200 têtes nucléaires. Son armée détient toute la gamme des vecteurs pouvant délivrer une arme atomique, notamment des bombardiers de fabrication américaine F 15 ou F 16, ainsi que des missiles.

La dissuasion israélienne s'appuierait aussi, depuis peu, sur une composante marine. Avec l'aide, non plus de la France, mais de l'Allemagne cette fois ! Au début des années 1990, Tel-Aviv a passé des accords de coopération avec Berlin, qui concernent notamment la livraison de trois sous-marins Dauphin, appartenant à la dernière génération. Selon Pierre Razoux, il est probable que des missiles nucléaires puissent être embarqués dans ces sous-marins dotés d'une technologie anaérobie. «Les Allemands sont antinucléaires chez eux, mais permettent à Israël de renforcer sa dissuasion nucléaire en lui livrant de nouveaux vecteurs», remarque le spécialiste.

(*) Pierre Razoux est l'auteur de «Tsahal, Nouvelle histoire de l'armée israélienne», Perrin 2006
C
26 juillet 2015 22:22
Lorsqu'on compare génétiquement les Arabes et les Bédouins de Palestine avec les Juifs d'Israël -principalement ashkénaze-, ont sait qui est légitime la-bas et qui ne l'est pas.

Une chose est sûre, Israël influence les états occidentaux.
 
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