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Je suis vraiment triste aujourd'hui, et ne me demandez pas pourquoi


la souffrance


la maladie la emportée
tant de souffrances
supportées...

Comment a t-elle fait
je ne pouvais
que l'admirer...

Pourtant quand
je la regardais
c'est de la tristesse
que je voyais...

parfois un sourire
elle m'offrait
ou un clin d'oeil
elle me faisait...

parler elle ne pouvait plus
se déplacer non plus
impossible de manger
les sondes la nourrissaient...

Toutes ces années de souffrance
toujours avec indifférence
jamais elle se plaignait
juste à petit feu s'éteignait...

Toi si douce et belle
jamais rebelle
toujours remplie de gentillesse
et pleine de délicatesse...

Aujourd'hui ton absence
me manque terriblement
même si je sais
que tu repose en paix...



(

Indifférence



Je ne sais pas comment expliquer ce sentiment....comment définir ce qui me tourmente
Pourtant cette vie m'indiffère
Je fais partie d'un jeu qui ne se termine jamais
Une boucle continue qui se perd dans l’espace temps

Etre libre? J’aimerai tellement
Pourtant quoi que je fasse prendre mon envol m'est impossible
Les lois et le moral me retiennent
Enchaînée aux idéologie de l’être humain
Je souffre en silence

A quoi bon sourire pleurer, aimer ou détester
Faire semblant d'aller bien alors que tout va mal
Non, ce monde n'est pas le mien
Les valeurs fondamentales simples mais si importantes n’existent plus

Je suis comme pétrifiée, aucun sentiment ne m’atteint
Cœur de pierre ou simplement humaine
Les gens vivent dans l’indifférence, aider son prochain ?
Non cela n’existe pas
Certains profitent des plus faibles pendant que les autres crèvent à chaque instant

Et moi où suis-je? Spectatrice de la discorde j’attends impatiente
De rejoindre mon idéal
Le néant
Pourquoi suis-je encore là...prends moi...ce monde s'en sortira si bien sans moi

Je t'en veux


Je t'en veux, pour le mal que tu me fais.
j'en veux à ton indifférence, à tes airs apaisés.
Pouruoi tu fais ça? quel intêrét?
Pourquoi aujourd'hui je dois manqué de toi,
Pourquoi dois-je vivre dans cette état?
Mon Dieu!! qu'ai-je fais pour mériter cela!!
J'ai tant donner, je t'ai tant aimer,
Et j'ai tellement espèrer de toi,
Une belle vie, celle que tu m'avais promis...
Mais aujourd'hui, seule, je me retrouve sans rien,
Ni toi près de moi pour m'épauler,
Ni la vie pour me soulager.
Et j'en veux à cette vie pour ce qu'elle m'a prit.
J'en veux à l'amour aveuglant,
Aux belles promesses non retenues,
Aux belles paroles déjà oubliées.
Je t'en veux, je m'en veux parce qu'un jour :
je t'avais dit OUI.

Tu m'as tout pris


Toute ma vie, je ne te souhaite que le bonheur,
et plus encore, je fais tout pour,
Je t'offre par amour le sourire,
Je t'offre la joie de vivre,
J'aurais pas cru que t'étais si trompeur,
Tu n'a été qu'un grand profiteur.
Tu m'a tout pris, même mon bonheur,
Tu as volé le sourire de mes lèvres,
Tu as pris la bonté de mon coeur,
Pourquoi tu m'as tout pris!!
Je ne voulais que tout te donner.
Tu m'as privé de t'aimer,
Tu m'as tuer, aujourd'hui, mille fois.

Je reviens, avec mes quelques touches trés personnelle:


Une lettre :

Je ne pensais pas possible de pouvoir encore t'écrire, te parler. T'écrire cette lettre est si réel, que je me demande si je dois vraiment poursuivre...
Tu manques si tu savais... Cela fait presque 2 ans et 2 mois que je ne t'ai pas vu, pas parlé. Cela fait 2 ans et 2 mois que je n'ai pas eu mon bisou du matin, que je n'ai pas entendu un de tes mots. 2 ans et 2 mois que je ne t'entends plus prononcer mon nom. Tu manques tellement. Je ne pensais pas possible de pouvoir encore t'écrire, te parler. T'écrire cette lettre est si réel, que je me demande si je dois vraiment poursuivre...
Nous que tu aimais plus que tout. Jamais il ne m'a été donné de voir une autre mère adorer autant sa famille. À chaque fois qu'une copine venait à la maison, il fallait que tu la fasses rire, et d'ailleurs à chaque fois qu'une personne faisait ta connaissance; je n'ai jamais vu personne repartir sans être totalement sous ton charme. Car s'il faut reconnaître ton charme, il faut aussi parler de ton unique générosité, gentillesse. Ton sens de l'humour que tu as su conserver intact jusqu'à la fin.
Tu t'es tellement battu pour nous, et pour moi. Maman, on m'a dit une fois que lorsque l'on t'avait annoncé que tu étais malade, tu avais pleuré et que tu t'en faisais plus pour moi que pour toi. Tu as dit que tu voudrais avoir au moins 2 ans de plus pour t'occuper de moi. Et tu sais quoi ? Tu y es arrivé. Les docteurs, cancérologues, infirmières... tous ont réalisé que tu étais une femme extraordinaire et courageuse. Une femme unique, qui a marquée tous ceux qu'elle a rencontrés.
J'ai regardé absolument toutes tes photos, et je reconnais tous ces sourires.
Rien de nouveau à la maison, de toute manière, je sais que tu es au courant de tout car tu es présent à chaque instant. Je sais que tu es resté à la maison.
Tu n'as pas été là pour mon vingt quatrième anniversaire,ni pour les quinze ans de ta petite fille, ni pour les douze ans de ton petit garçon, pas là non plus pour les fêtes.. Comment continuer sans toi ?
Tu es resté la plus belle, et tu laseras à jamais pour moi et les autres. maman me manques à chaque instant, tu es dans mon cœur, dans mon esprit. Ne plus t'avoir physiquement à mes cotés est insupportable. La seule chose qui me réconforte est que je suis totalement persuadée que tu es bien là où tu es. Tel que je te connais je sais que tu dois mener les autres à la baguette et que tu les fais rire en même temps. Où que tu sois, je sais que tu n’es pas totalement parti de chez nous et que tu reviens à chaque fois que l’on t’appelle.
Merci maman de t’être battu comme tu l’as fait, merci de nous avoir autant aimés, merci d’avoir été un papa à part : le meilleur.
Ma petite maman chérie préférée, nous nous reverrons bientôt, quoi qu’il arrive ; tu sais que je t’aime.


Ta grande fille

(

Ah Brunette en ce jour dial joumou3a,

je prie ALLAH afin qu'il fasse miséricorde à ta maman, que les yabis qui t'ont connus depuis le debut, doivent connaitre sans meme l'avoir vu ,


Je retrouve en toi un frere que je connais et dont la maman ets partie egalement suite à une grave maladie

il y a 8 ans


....

aujourd'hui il ne s'en remet toujours pas, cela brisé totalement, et cette tristesse se lit ds ses paroles , son visage , son comportement, son attitude....


moi lui de cette epreuve que je ne connais point, j'aimerais tant vs aidez, tellement ohkti et akhay, ...


et sur ce site, je n'aime pas du tout te voir ds cet état, triste ma belle,

car moi egoiste, je ne mesure pas la chance que j'ai de l'avoir à mes côtés

maman je t'aime, .....


sensible que je suis, je t'aurais envelopper ds mes bras, afin de puiser de cette tristesse et t'envoyer les ondes d'amours que j'ai en votre personne, courageuse et admirable


excuse moi du débordement, .... mais je voulais te le dire


une soeur en Dieu .

Merci rhislene pour ton message, si touchant et qui reflète la bonté de ton cœur machallah.
Tu sais hamdollah que aujourd’hui, dans ma vie, je suis heureuse, avec ma petite famille(enfin ce qui me reste de cette famille), mon mari que je remercie du fond du cœur parce qu’il est là, toujours, prêt à me soutenir, parce que lui, comme les certains(es) yabiladiens(nes) qui me lisent, il sait que malgré tous mes rires, toutes mes joies de vivre, toute ma vie d’aujourd’hui, tout simplement, eh bien au fond, cette vie qu’est la mienne à très mal et est souffrante d’un manque immense : l’amour d’une mère, et je te confirme que cet amour est le seul et unique que jamais ne sera remplacé, quand on le perd c’est le vrai sourire qui se perd même quand il est toujours là, et il doit l’être, pour les autres, pour ceux qui restent ici bas, pour ce qui me reste de ma petite famille..il le faut.
Ici, Hamdollah, contrairement à chez-moi, auprès de ma petite sœur et mon petit frère, je peux dire ce que j’ai écrit et sortir ce qui est dans le coeur, ici, enfin, je peux me libérer, être consolée, et rentrer en fin de journée pour distribuer mes sourires de joies de retrouver ma petite famille et surtout, pour que eux reste ou continue aussi à faire semblant qu’ils sont heureux..malgré la grande déchirire qu’on vit tous au fond.


Merci à toi.

Citation
Mme Brunette a écrit:
Merci rhislene pour ton message, si touchant et qui reflète la bonté de ton cœur machallah.
Tu sais hamdollah que aujourd’hui, dans ma vie, je suis heureuse, avec ma petite famille(enfin ce qui me reste de cette famille), mon mari que je remercie du fond du cœur parce qu’il est là, toujours, prêt à me soutenir, parce que lui, comme les certains(es) yabiladiens(nes) qui me lisent, il sait que malgré tous mes rires, toutes mes joies de vivre, toute ma vie d’aujourd’hui, tout simplement, eh bien au fond, cette vie qu’est la mienne à très mal et est souffrante d’un manque immense : l’amour d’une mère, et je te confirme que cet amour est le seul et unique que jamais ne sera remplacé, quand on le perd c’est le vrai sourire qui se perd même quand il est toujours là, et il doit l’être, pour les autres, pour ceux qui restent ici bas, pour ce qui me reste de ma petite famille..il le faut.
Ici, Hamdollah, contrairement à chez-moi, auprès de ma petite sœur et mon petit frère, je peux dire ce que j’ai écrit et sortir ce qui est dans le coeur, ici, enfin, je peux me libérer, être consolée, et rentrer en fin de journée pour distribuer mes sourires de joies de retrouver ma petite famille et surtout, pour que eux reste ou continue aussi à faire semblant qu’ils sont heureux..malgré la grande déchirire qu’on vit tous au fond.


Merci à toi.

Je t'en prie ce fut si spontanée,

j'applaudis ce courage ,


et fais ns part autant que tu veux de ce qu'il ya au fond de toi, ce sera un plaisir ....


garde ce sourire car tu le vaut bien

je reviens à mon coin "liberté",comme toujours, de temps en temps...un morceau VRAI


MARRE

Je me lasse vite, je pleure vite,
Mes jours sont sombres, pire que mes nuits.


Où est donc partie ma vie d’avant ?


J’avais toujours le sourire,
Toujours heureuse même quand ça n’allait pas trop.
J’étais entouré par des gens sincères,
Des gens qui m’aimait et que j’aimais.
J’avais un père, j’avais une mère, j’avais une famille,
Le soleil illuminait notre vie.
Malgré les hauts et les bas de la vie on était joyeux,
Joyeux juste parce qu’on était ensemble, c’est tout ce qui comptait.


Aujourd’hui reste plus rien que des souvenirs.
Tout a disparu, tout est fini.


Ma vie aujourd’hui n’est qu’une longue nuit,
Ah ! et si seulement je dormais non je souffre…
Seule aujourd’hui je dois me battre,
Même si personne ne m’avait demander mon avis,
Avant de me jeter dans cette vie.
Seule je me bat pour vivre, pour moi et pour ceux qui me restent d’avant.


Je suis tombé maintes fois et je me relève encore et encore,
Mais jusqu’à quand vais-je pouvoir le faire ?!!!!!!
Moi j’ai peur, comme une petite fille abandonnée,
Peur de la vie, peur de mon moi de mes douleurs…
Alors jusqu’à quand dites-moi vais-je pouvoir supporter !!!!!!!



Revenez…




Votre fille



Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/03/07 11:23 par Mme Brunette.

ma hada ya Mme brunettela9ad a7santi walahikalamoun jamil











p.s kayfa 7alo ahli 9oraych

Aller un joyeux quand même pour une fois héhé..aimer d'amour ou mourir d'amour


Un jour, sans prévenir, tu as déboulé dans ma vie
Et d’un coup mon cœur s’est remis à battre
Sensation grisante que l’on redécouvre par un grain de folie
Qui rejaillit de sa boîte où il ne cessait de se débattre

Un jour, sans prévenir, tu m’as regardée
Et ma gorge est devenue un désert où seule une oasis subsiste
Et où mes lèvres assoiffées n’ont de cesse de la chercher
En priant pour que, regard après regard, elle résiste.

Un jour, sans prévenir, tu m’as souris
Et d’un coup mon bas ventre s’est noué de douleur
Poignardée de plein fouet par je ne sais quelle sorcellerie
Par Toi, mon meurtrier, dégageant tant de douceur

Un jour, sans prévenir, tu m’as parlée
Et d’un coup j’ai redécouvert que de donner un sourire
N’était pas un geste calculé ni décidé
Mais tout simplement un réflexe face au plus doux des plaisirs



Et puis un jour …



Et puis un jour, tu m’as embrassée
Et mon cœur s’est arrêté de battre
Sensation étouffante que l’on redécouvre terrorisée
Mais sans aucune envie de se débattre




Ce dont parlent ces quelques lignes, je l’ignore encore
Mais ces douleurs que tu me fais, je les adore
Et elles ne sont rien comparées à la souffrance
Que j’éprouve en subissant ton absence








Modifié 1 fois. Dernière modification le 06/03/07 15:27 par Mme Brunette.

ya illahi ya sara mada taf3alina houna!! hal jouninti!!!

Mon Dieu !!
Comment le décrire ce sentiment !
Comment lui dire ce que je ressens !
J’ai beaucoup écris,
Je lui est tout dis,
Mais mon amour, sans arrêt grandi..
Il grandi un peu plus chaque jour.
Comment faire ?
Cet amour m’a envahi.
Je lui est déjà dit qu’il me manquait,
Que je ne fais que penser à lui,
Que j’ai besoin de lui…
Beaucoup, énormément, terriblement.
J’écris tous les jours, j’écris chaque seconde.
Pour toute la vie je lui écrirais,
Ce chez mari qui m’a tout pris et qui m’a tout donné..
Je lui écrirais mon amour toujours…

QUOI!!!

je sai pa

tant mieux