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Khabtus* a écrit:
Mon quartier cest le seul endroit au monde ou je me sens le + à l'aise, jy suis bien, je nme sens pas juger, je nme sens pas regarder, rien quon rigole, rien quon se titille, rien quon se lance des pique, le petit delire avec le grand, le barbu avec le chiteu.
Seul bémole, a trop etre resté dans notre quartier, on a du mal avec l'extérieur. Notre langage, nos mimique, notre gestuelle sont des habitudes qui peuvent nous entraver dans les relations sociales avec les gens qui ne viennent pas des quartiers.
En tout cas perso jai un peu de mal avec l'extérieur pourtant j'ai fais des etudes, j'ai un master etc mais voilà
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CHN-W a écrit:
Assalāmou 'alaykoum wa rahmatoullāh.
Le quartier de La Défense ou le quartier des ambassades dans le 16ème, il en sort des gens pas mal aussi.
Wassalāmou 'alaykoum wa rahmatoullāh.
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Septime a écrit:
J'ai grandi dans un quartier en Alsace. Pour rien au monde je n'aurais voulu grandir autre part. Je me souviendrais toute ma vie des grosses parties de "aux gendarmes et au aux voleurs", des grosses parties de football, des caches caches dans les caves etc... Mais c'était la belle époque, les années 90. Il y'avait encore du respect. Les valeurs étaient glorifiées et le vice honni.
Quand un papa ou une maman passait, peu importe son origine, on faisait attention à notre langage. Quand un grand frère passait, il avait autorité sur nous. On baissait la tête et on lui obéissait. Et ce grand frère veillait à ce que nous nous tenions loin des embrouilles. Je me souviens, quand j'étais au collège, avoir croisé un grand du quartier en ville. Il a remarqué que je séchais les cours. Gifle dans ma tronche.
Va voir aujourd'hui. Une armée de sale gosse, de khamjines qui parlent de "beurette", de "chicha", qui se traitent de "fils de p*te" et qui te regardent droit dans les yeux alors qu'ils n'ont même pas encore 15 ans. Et quand tu te plains aux grands freres, ils te prennent pour un fou. Pour eux, l'agressivité de leur petit frère c'est la classe ! Du coup je comprends le mépris du peuple pour les quartiers.
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Onestpassortidusable a écrit:
Y'a un gros décalage entre l'ancienne génération et les jeunes de maintenant c'est sûr. Plus aucun respect maintenant même envers les anciens. Ça dégrade le quartier, les immeubles et après ça se plaint que tout est pourri et ça accuse les autres. Les gosses qui te traite de sale p... parce qu'on leur apprend que montrer ses cheveux c'est montrer son c...
Je pense que bcp de parents ont lâcher l'éducation, ou leur ont donné une mauvaise, et que le mauvais rap a fait bcp de dégâts. Ça va peut-être s'améliorer, y'a de plus en plus d'imam qui en parlent et essayent de faire des rappels ( bon ils se font un peu menacer du coup), on verra bien.
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Septime a écrit:
J'ai grandi dans un quartier en Alsace. Pour rien au monde je n'aurais voulu grandir autre part. Je me souviendrais toute ma vie des grosses parties de "aux gendarmes et au aux voleurs", des grosses parties de football, des caches caches dans les caves etc... Mais c'était la belle époque, les années 90. Il y'avait encore du respect. Les valeurs étaient glorifiées et le vice honni.
Quand un papa ou une maman passait, peu importe son origine, on faisait attention à notre langage. Quand un grand frère passait, il avait autorité sur nous. On baissait la tête et on lui obéissait. Et ce grand frère veillait à ce que nous nous tenions loin des embrouilles. Je me souviens, quand j'étais au collège, avoir croisé un grand du quartier en ville. Il a remarqué que je séchais les cours. Gifle dans ma tronche.
Va voir aujourd'hui. Une armée de sale gosse, de khamjines qui parlent de "beurette", de "chicha", qui se traitent de "fils de p*te" et qui te regardent droit dans les yeux alors qu'ils n'ont même pas encore 15 ans. Et quand tu te plains aux grands freres, ils te prennent pour un fou. Pour eux, l'agressivité de leur petit frère c'est la classe ! Du coup je comprends le mépris du peuple pour les quartiers.
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amirene a écrit:
je ne connais pas une personne qui a vécu dans un quartier qui voudrait y fonder une famille
ceux qui ont le choix partent, preuve que ce n est pas si bien
mais ceux qui ne sont jamais sortis du quartier ne le savent pas
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Septime a écrit:
J'ai grandi dans un quartier en Alsace. Pour rien au monde je n'aurais voulu grandir autre part. Je me souviendrais toute ma vie des grosses parties de "aux gendarmes et au aux voleurs", des grosses parties de football, des caches caches dans les caves etc... Mais c'était la belle époque, les années 90. Il y'avait encore du respect. Les valeurs étaient glorifiées et le vice honni.
Quand un papa ou une maman passait, peu importe son origine, on faisait attention à notre langage. Quand un grand frère passait, il avait autorité sur nous. On baissait la tête et on lui obéissait. Et ce grand frère veillait à ce que nous nous tenions loin des embrouilles. Je me souviens, quand j'étais au collège, avoir croisé un grand du quartier en ville. Il a remarqué que je séchais les cours. Gifle dans ma tronche.
Va voir aujourd'hui. Une armée de sale gosse, de khamjines qui parlent de "beurette", de "chicha", qui se traitent de "fils de p*te" et qui te regardent droit dans les yeux alors qu'ils n'ont même pas encore 15 ans. Et quand tu te plains aux grands freres, ils te prennent pour un fou. Pour eux, l'agressivité de leur petit frère c'est la classe ! Du coup je comprends le mépris du peuple pour les quartiers.
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Mehdi67100 a écrit:
Quand je vois vos commentaires sur les quartiers je suis pas d’accord ac vous
C’est où qu’on retrouve les affaires criminels les plus sordides ?? Oui ds les quartiers y’a la drogue les bagarres les voitures qui brûle mais pas tout le temps. Alors que ds l’es campagnes on vois des histoires de fou ! Starfallah .
Les plus grand pedophile ou psychopathe ou tueur en série il viennent d’où ??
Ben je regrette pas d’avoir grandis ds mon quartier et c’est pas pour autant que je le vénère pasque n’oublions pas que nos parents fesai semblant d’être heureux ds c’est put... de logement infecte !!
Malgré tout sa il y’a des footballeurs pro , des ingénieurs , des informaticiens etc qui sont sortis de mon quartier !! Un petit exemple abdal Malik ancien chanteur du groupe nap, un ancien de mon quartier et regarder il est où mnt !
Même mon petit frère mashallah il a eu son bac son bts et il continue et tous sa en traînant comme vs dites ac c’est pote !
J’ai vue des hommes mauvais qui ont fait beaucoup de mal se transformer en homme bon ds mon quartier
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Khabtus* a écrit:
Mon quartier cest le seul endroit au monde ou je me sens le + à l'aise, jy suis bien, je nme sens pas juger, je nme sens pas regarder, rien quon rigole, rien quon se titille, rien quon se lance des pique, le petit delire avec le grand, le barbu avec le chiteu.
Seul bémole, a trop etre resté dans notre quartier, on a du mal avec l'extérieur. Notre langage, nos mimique, notre gestuelle sont des habitudes qui peuvent nous entraver dans les relations sociales avec les gens qui ne viennent pas des quartiers.
En tout cas perso jai un peu de mal avec l'extérieur pourtant j'ai fais des etudes, j'ai un master etc mais voilà
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PoissonRVB a écrit:
J ai aussi grandi ds un quartier en Alsace et l epoque des annees 90 me manque bcp ! C etait vrmt genial.
Auj tt a changé et l envie de partir de ma ville est intense car voir d autres horizons ca ft du bien.
Je suis fatigué des minos d auj qui pensent etre des "thugs" americains avec le stricte minimum ds le cerveau.
J espere pouvoir quitter le nord pr le sud ds un endroit calme, beau, propre, avc vu sur la mer mdrrr car ici jen ai marre de voir des batiments partt
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