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Quand tu es triste, comprends ceci…‏
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11 janvier 2012 01:07
Le remède efficace contre la tristesse, l’affliction et l’angoisse
Au Nom de Dieu, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.

À lire attentivement et à méditer profondément…

1. Suivre le droit chemin et professer l’Unicité de Dieu ; l’égarement et l’associationnisme étant les causes principales de l’angoisse existentielle.
2. La lumière de la foi sincère que Dieu installe dans le cœur du croyant, accompagnée de l’accomplissement de bonnes œuvres.
3. Le savoir utile. Plus le savoir du croyant s’élargit, plus son âme s’épanouit et s’apaise.
4. Se repentir et revenir à Dieu, Lui vouer un amour absolu et sincère, se diriger vers Lui en L’adorant et vivre la félicité que cette adoration procure au croyant.
5. Évoquer Dieu en permanence, en tout lieu et en toute circonstance. L’évocation a un effet extraordinaire ; elle apaise l’âme, procure le bonheur au cœur et dissipe le l’inquiétude et l’affliction.
6. La bienfaisance envers les gens, en leur accordant, autant que possible, tout ce qui est charitable et bénéfique. Car on ne devient généreux et bienfaisant que lorsqu’on est, plus que quiconque, épanoui, bon et heureux.
7. Le courage. Cette qualité reflète, en effet, l’épanouissement et l’indulgence de la personne.
8. Purifier le cœur des qualités blâmables qui entraînent son angoisse et sa souffrance, telles que : l’envie, la haine, la rancœur, l’inimité, la discorde et l’iniquité. La tradition authentique confirme qu’on interrogea le Prophète, paix et bénédictions sur lui, sur le meilleur d’entre les gens, et qu’il répondit : « Celui dont le cœur est propre et les propos véridiques. » – « Nous connaissons ce qu’est d’avoir des propos véridiques, mais qu’entends-tu par «cœur propre ? lui demanda-t-on de nouveau. » Il répondit : « Il s’agit du cœur pieux, pur, exempt de tout péché, toute injustice, toute haine et toute jalousie. » (rapporté par Ibn Mâja, 4216)
9. Éviter ce qui est superflu en ce qui concerne les pensées, les propos proférés ou entendus, la fréquentation des gens, la nourriture et le sommeil. Cela est l’un des moyens qui permettent l’épanouissement de l’âme, le bonheur du cœur, la dissipation de l’inquiétude et de l’affliction.
10. S’occuper d’une activité utile ou d’un savoir bénéfique ; cela représente une consolation qui contribue à détourner le cœur de ses soucis.
11. Accorder une importance primordiale aux activités présentes et quotidiennes. Éviter de trop se projeter dans l’avenir ou de s’affliger pour le passé. Le croyant doit s’évertuer à accomplir ce qui lui est bénéfique pour sa foi et sa vie dans ce monde, en implorant Dieu de lui accorder aide et réussite dans la réalisation de ses projets. Cet état d’esprit contribue effectivement à la dissipation de l’inquiétude et de la tristesse.
12. Porter un regard méditatif sur ceux dont la situation est inférieure à la nôtre, et non sur ceux qui nous sont supérieurs, en ce qui concerne la bonne santé, les bien acquis et ce quoi leur est relatif.
13. Oublier les malheurs qu’on a subis et qu’on ne pouvait repousser, et ne plus y penser.
14. Quand le croyants subit une catastrophe quelconque, il doit faire son possible pour l’éloigner de son esprit et la minimiser, en supposant les pires conséquences auxquelles elle aurait pu aboutir.
15. Consolider la force de l’âme. Cela permet d’éviter tout malaise et toute réaction négative devant les illusions ou les fantasmes générés par les mauvaises pensées. Cela permet aussi d’éviter la colère et la crainte infondée de perdre ce qu’on aime ou subit un malheur. Le croyant doit s’en remettre entièrement à Dieu (à Lui la Puissance et la Majesté), tout en recourant aux moyens utiles d’existence et en demandant à Dieu de lui accorder indulgence et protection.
16. S’appuyer sur l’aide de Dieu, s’en remettre à Lui et avoir confiance en Lui (exalté soit-Il), car les illusions ne sauraient influencer celui qui s’en remet à Lui.
17. L’homme raisonnable sait parfaitement que la véritable vie est celle emplie de bonheur et de quiétude, et qu’elle est très courte. Il n’admet donc pas de l’écourter encore plus par l’inquiétude ou en s’abandonnant aux ennuis, car cela est défavorable à une vie saine.
18. Quand le croyant subit un malheur, il devra le comparer aux nombreux bienfaits spirituels et matériels dont il a été comblé ; il découvrira alors l’importance de ces derniers par rapport au malheur qu’il a subi. Il doit également comparer les dangers qu’il redoute aux multiples possibilités de demeurer sain et sauf ; il ne doit pas se soumettre à ce qui est improbable et délaisser ce qui est plausible. En ayant cet état d’esprit, ses soucis et ses craintes se dissiperont.
19. Il doit savoir que les torts des gens envers lui, notamment les propos malsains, ne portent nullement préjudice à sa personne mais à ceux qui les commettent. Il ne doit donc leur accorder aucune importance ni en faire un souci.
20. Il doit orienter ses pensées vers ce qui lui est bénéfique dans ce monde-ci et dans l’autre.
21. Pour ses services rendus aux autres, il ne doit s’attendre à aucune gratitude hormis la récompense de Dieu. Sa bienfaisance envers les autres étant un acte voué à Dieu, il ne doit attacher aucune importance à la reconnaissance de ses obligés : {C’est pour la Face de Dieu que nous vous nourrissons ; nous ne voulons de vous ni récompense ni gratitude.} (Sourate 76, verset 9). Cet état d’esprit doit se conformer surtout dans les relations entre les époux et celles avec leurs enfants.
22. Placer au premier rang de ses préoccupations les projets bénéfiques et œuvrer pour les réaliser. N’accorder aucune attention aux choses nuisibles et les empêcher d’occuper son esprit.
23. Achever chaque tâche en son temps, afin d’entamer les prochaines activités avec vigueur et lucidité.
24. Opter pour le plus important parmi les tâches utiles qu’on compte accomplir ou les connaissances bénéfiques qu’on espère acquérir, notamment quand on désire intensément les entreprendre. Pour cela, il faut d’abord s’appuyer sur l’aide de Dieu, puis sur les conseils d’autrui. Si, ensuite, l’activité en soi s’avère bénéfique, il faudra l’entreprendre avec détermination en s’en remettant à Dieu.
25. Évoquer les bienfaits apparents ou cachés, accordés par Dieu. Connaître ces bienfaits et en parler contribuent à la dissipation de l’angoisse et incitent le croyant à rendre grâce à Dieu.

NB : Dieu, exalté soit-Il, dit : {Si vous comptiez les bienfaits de Dieu, vous ne sauriez les dénombrer.} (Sourate 14, verset 34. Comparés aux innombrables bienfaits accordés par Dieu, les malheurs et les contrariétés ne représentent qu’un nombre insignifiant qui ne mérite point d’absorber toute notre attention et nous empêcher ainsi de jouir de la vie. Pour mieux saisir cette subtilité, pourtant évidente, le lecteur devra méditer la sourate 93 du Saint Coran.

26. Dans ses relations avec son épouse, son proche parent ou toute autre personne, le croyant doit comparer leurs défauts à leurs qualités et ne prendre en compte que le côté positif de leur personnalité. Grâce à cela, il maintiendra leur compagnie dans ses conditions paisibles. Le Prophète, paix et bénédictions sur lui, a dit : « Un croyant ne déteste jamais une croyante (son épouse). Si l’un de ses comportements provoque sa répulsion, il y a sûrement en elle ce qui lui procure satisfaction. » (rapporté par Muslim, 1091)
27. Implorer Dieu d’améliorer en bien tout ce qui le concerne. La meilleure invocation à ce propos est la suivante : « Ô Dieu ! Améliore en bien mon (attachement à la) religion, car ceci me protège (de l’Enfer). Améliore en bien mes affaires mondaines, car ceci me permet de vivre. Améliore en bien ma situation dans l’au-delà, car c’est mon inévitable destination. Fais que ma vie dans ce bas monde soit un surplus de toutes sortes de biens, et que ma mort soit une délivrance de toutes sortes de maux. » (rapporté par Muslim, 2087)

Il y a aussi cette autre invocation : « Ô Dieu, c’est Ta miséricorde que j’espère. Ne me délaisse pas donc à moi-même, serait-ce pour un bref instant, et améliore en bien tout ce qui me concerne. Il n’y a point de divinité hormis Toi. » (rapporté par Abou Daoud et Ahmad Ibn Hanbal)

28. Le combat pour la cause de Dieu. Le Prophète, paix et bénédictions sur lui, a dit : « Combattez pour la cause de Dieu. Le combat pour la cause de Dieu est l’une des portes qui permettent l’accès au Paradis et l’une des œuvres grâces auxquelles Dieu délivre de l’angoisse et de l’affliction. » (rapporté par Ahmad Ibn Hanbal et Al Hâkim)

Quiconque médite les éléments cités et les applique sincèrement découvrira certainement qu’elles représentent les meilleurs moyens qui permettent d’obtenir la guérison des maladies psychiques, notamment le stress. Recommandés par certains savants comme remdè pour de nombreux cas de maladies psychiques, ils ont donné des résultats très efficaces, grâce à Dieu.

Article tiré du livre « الدعاء والعلاج بالرقى – Invocations et Ruqya » du Cheikh Sâ’id Al Qahtânî.
Et Dieu Seul sait, Il est le Meilleur Connaisseur.
source
11 janvier 2012 17:43
barak ALLAH OUFIK
n
12 janvier 2012 21:35
barak Allah ou fik smiling smiley
hamdoulilah sa fai du bien
p
14 janvier 2012 22:35
allah ibarek fikoum
 
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