moi je le romp à l'heure de la prière exactement, je boit un peu d'eau et je fais la prière parce que l'adan (c'est bien l'apel a la prière?) se fai avan l'heure de la prière bien sur
Voila mais bon je suis pa sur car c la 1ere année que je le fai
Je regarde le calendrier et quand c'est l'heure miam miam. Si je me basais sur le soleil, je risquerai de manger toute la journée, il est souvent caché par les nuages lol
Concernant la question de l' "adhân", il suffit d'entendre le premier "takbîr" du "mou-adhdhin" pour pouvoir rompre le jeûne. D'ailleurs, il est possible (et sûrement mieux) pour le "mou-adhdhin" de rompre son jeûne (une gorgée d'eau ou une datte...) avant de lancer l'appel. En effet, c'est le constat du coucher du soleil ("ghouroûb" qui marque l'entrée du "Maghrib" (ou l'heure indiquée sur le calendrier) et donc, de la rupture du jeûne, et non l'appel ("adhân" en lui-même.
Chaykh al 'Outhaymîne (rahimahoullâh) dit dans une de ses "fatâwâ" qu'il faut répéter après le "mou-adhdhin" tout en mangeant (en rompant le jeûne). ("Fatâwâ arkânil Islâm", question n°436).
tachilhite78 a écrit: ------------------------------------------------------- > salama 3alikoum > > ca c'est valable si l'appel a la prière est fait > dans notre ville (non?).. mais si on l'entend à la > radio par exemple c'est la meme chose? > > par exemple en banlieue on a l'adhan de Paris, > est-il recommandé d'attendre quelques minutes > avant de rompre son jeune? > > Barak'Allah o fikoum pour vos réponses > > salam >
Tu sais le décalage horaire entre la banlieu parisiène et paris doit étre au maximum de ...... 30 secondes ! On mets 15mn en voiture d'aulany a Paris par exemple !
Le décalage horaire est de quelques minutes 3 ou 4 minutes avec certaine villes ... Lille, rennes ....
Donc c'est valable avec l'adan de la radio aussi...
il y a pas de "radio saint denis" ou radio "aubervilliers" ...
Donc c'est bon, on suis l'adan de paris,quand on est en balieue parisienne.
qui marque l'entrée du "Maghrib" (ou l'heure indiquée sur le calendrier) et donc, de la rupture du jeûne, et non l'appel ("adhân"
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