Citation
MamanMuslima a écrit:
Slm o'alaykom
Pensez vous qu'il faille être forcément hypocrite pour avoir des amies ou des oreilles attentives même dans la famille ?
Je m'explique mon cercle amical s'est réduit à néant après des trahisons et parce que fatiguée de devoir toujours les inviter ou demander des nouvelles alors qu'elles ne faisaient aucun effort pour prendre de mes nouvelles.
A force je les raye de ma vie, ensuite mes sœurs elles c'est le contraire elles viennent quand elles veulent chez moi, dorment là... Mais quand je tente de passer les voir je sens le malaise, elles me font comprendre que sans les enfants c'est mieux... Donc je dois moi supporter les leurs et les miens c'est non. Je précise que je surveille qu'ils ne touchent à rien, ils rangent les jouets, évitent les bruits et sont obéissants mais elles ont un seuil de tolérance qui fait qu'elles ne tolèrent que les leurs.
Ce sont des enfants pas non plus des statues et en + nos neveux, ils se voient peu, ceux qui vivent près de chez ns c'était histoire d'une aprem par semaine ou ts les 15 jours et ceux qui vivent ds une autre région c'était une soirée durant les vacs scolaires.
Autrement dit pas bcp de temps donc ya de quoi sbar sinon on finit par les voir qu'à leur majorité Allah istar.
L'été dernier c'était un peu la goutte d'eau, j'ai eu le prêt d'un appartement par un proche de mon mari, jy suis allée avec mes enfants dans la région de mes sœurs plus âgées sans mon mari qui lui était est resté travailler, et ce pour une quinzaine de jours donc j'étais seule et pensais qu'on passerait ttes ensemble de supers moments mais si je ne les contactais, pas personne ne pensais à me contacter.
On était à 20 minutes les unes des autres.
Ensuite j'ai voulu voir ma plus grande sœur vivant seule avec son fils, je la texto la veille pour la voir donc le lendemain et elle me dit on va plutôt se voir dans un parc. Son fils n'était pas là, elle savait que c'était histoire de se voir une petite aprem... Bref l'esquive quoi. Mais quand elles remontent chez mes parents elle viennent ici et dorment aussi ici. Je les met à l'aise et les acceuille comme il faut.
Je n'arrive donc plus à me prendre la tête pr elles ni pour qui que ce soit d'autre d'ailleurs, trop de déception. Elles viennent merhba ça reste la famille mais faire comme avant les appeler... Jy arrive pas.
Faut il donc forcément accepter mes coups pour ne plus se sentir seule ?
J'ai du mal à faire comme si de rien n'était...
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MamanMuslima a écrit:
Slm o'alaykom
Pensez vous qu'il faille être forcément hypocrite pour avoir des amies ou des oreilles attentives même dans la famille ?
Je m'explique mon cercle amical s'est réduit à néant après des trahisons et parce que fatiguée de devoir toujours les inviter ou demander des nouvelles alors qu'elles ne faisaient aucun effort pour prendre de mes nouvelles.
A force je les raye de ma vie, ensuite mes sœurs elles c'est le contraire elles viennent quand elles veulent chez moi, dorment là... Mais quand je tente de passer les voir je sens le malaise, elles me font comprendre que sans les enfants c'est mieux... Donc je dois moi supporter les leurs et les miens c'est non. Je précise que je surveille qu'ils ne touchent à rien, ils rangent les jouets, évitent les bruits et sont obéissants mais elles ont un seuil de tolérance qui fait qu'elles ne tolèrent que les leurs.
Ce sont des enfants pas non plus des statues et en + nos neveux, ils se voient peu, ceux qui vivent près de chez ns c'était histoire d'une aprem par semaine ou ts les 15 jours et ceux qui vivent ds une autre région c'était une soirée durant les vacs scolaires.
Autrement dit pas bcp de temps donc ya de quoi sbar sinon on finit par les voir qu'à leur majorité Allah istar.
L'été dernier c'était un peu la goutte d'eau, j'ai eu le prêt d'un appartement par un proche de mon mari, jy suis allée avec mes enfants dans la région de mes sœurs plus âgées sans mon mari qui lui était est resté travailler, et ce pour une quinzaine de jours donc j'étais seule et pensais qu'on passerait ttes ensemble de supers moments mais si je ne les contactais, pas personne ne pensais à me contacter.
On était à 20 minutes les unes des autres.
Ensuite j'ai voulu voir ma plus grande sœur vivant seule avec son fils, je la texto la veille pour la voir donc le lendemain et elle me dit on va plutôt se voir dans un parc. Son fils n'était pas là, elle savait que c'était histoire de se voir une petite aprem... Bref l'esquive quoi. Mais quand elles remontent chez mes parents elle viennent ici et dorment aussi ici. Je les met à l'aise et les acceuille comme il faut.
Je n'arrive donc plus à me prendre la tête pr elles ni pour qui que ce soit d'autre d'ailleurs, trop de déception. Elles viennent merhba ça reste la famille mais faire comme avant les appeler... Jy arrive pas.
Faut il donc forcément accepter mes coups pour ne plus se sentir seule ?
J'ai du mal à faire comme si de rien n'était...
Citation
MamanMuslima a écrit:
Slm o'alaykom
Pensez vous qu'il faille être forcément hypocrite pour avoir des amies ou des oreilles attentives même dans la famille ?
Je m'explique mon cercle amical s'est réduit à néant après des trahisons et parce que fatiguée de devoir toujours les inviter ou demander des nouvelles alors qu'elles ne faisaient aucun effort pour prendre de mes nouvelles.
A force je les raye de ma vie, ensuite mes sœurs elles c'est le contraire elles viennent quand elles veulent chez moi, dorment là... Mais quand je tente de passer les voir je sens le malaise, elles me font comprendre que sans les enfants c'est mieux... Donc je dois moi supporter les leurs et les miens c'est non. Je précise que je surveille qu'ils ne touchent à rien, ils rangent les jouets, évitent les bruits et sont obéissants mais elles ont un seuil de tolérance qui fait qu'elles ne tolèrent que les leurs.
Ce sont des enfants pas non plus des statues et en + nos neveux, ils se voient peu, ceux qui vivent près de chez ns c'était histoire d'une aprem par semaine ou ts les 15 jours et ceux qui vivent ds une autre région c'était une soirée durant les vacs scolaires.
Autrement dit pas bcp de temps donc ya de quoi sbar sinon on finit par les voir qu'à leur majorité Allah istar.
L'été dernier c'était un peu la goutte d'eau, j'ai eu le prêt d'un appartement par un proche de mon mari, jy suis allée avec mes enfants dans la région de mes sœurs plus âgées sans mon mari qui lui était est resté travailler, et ce pour une quinzaine de jours donc j'étais seule et pensais qu'on passerait ttes ensemble de supers moments mais si je ne les contactais, pas personne ne pensais à me contacter.
On était à 20 minutes les unes des autres.
Ensuite j'ai voulu voir ma plus grande sœur vivant seule avec son fils, je la texto la veille pour la voir donc le lendemain et elle me dit on va plutôt se voir dans un parc. Son fils n'était pas là, elle savait que c'était histoire de se voir une petite aprem... Bref l'esquive quoi. Mais quand elles remontent chez mes parents elle viennent ici et dorment aussi ici. Je les met à l'aise et les acceuille comme il faut.
Je n'arrive donc plus à me prendre la tête pr elles ni pour qui que ce soit d'autre d'ailleurs, trop de déception. Elles viennent merhba ça reste la famille mais faire comme avant les appeler... Jy arrive pas.
Faut il donc forcément accepter mes coups pour ne plus se sentir seule ?
J'ai du mal à faire comme si de rien n'était...
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youyou__ a écrit:
Salam
Moi j en pense que tu devrais simplement arrêter de te prendre la tête pour des personnes qui ne se prennent pas la tête pour toi. Tu as l air de faire des pieds et des mains pour voir tes sœurs etc mais personne ne te le rend à un moment donné on se re place et on fait sa vie . Les gens aiment profiter et ce même dans le cercle familial ( je l’ai connu). Être là bonne poire ça va deux minutes fait ta petite vie de ton côté répond leur si elles prennent de tes nouvelles et tu te devrais t arrêter là mais c est insupportable bon courage
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MamanMuslima a écrit:
Je suis bien d'accord mais là je suis à 2 doigts de la dépression, j'ai personne à qui parler, me confier... Être la bonne poire me fatigue, j'accueille avc plaisir et veut tjrs acceuillir d'ailleurs juste que maintenant la différence c'est que je n'appelerait plus ni n'insisterai pr qu'elles restent un peu + elles sentent le malaise et ne mappellent plus car durant les vacs de Noël elles ont tenté de venir mais j'étais sortie, fut un temps où j'aurais laissé tombé ce que je fais pour les acceuillir que là non donc mesdames se rendent sûrement compte de ça.
La solitude est terriblement dure à supporter et en mm temps je sais que c'est un remède pour ne plus souffrir de l'attitude des autres...
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youyou__ a écrit:
Si as un conjoint ou mari rapproche toi de lui aussi c’est ta moitié
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Magneto* a écrit:
Les anciens chez nous disaient : "dyr el kheyr wa ensah". C'est à dire fais le bien et oublie le.
Avec la famille, il faut éviter les comptes et la surenchère. Même si on a l'impression d'être lésé ici bas, car tout est compté dans la balance et alourdira les bonnes actions le jour où on en aura le plus besoin.
Médite la récompense, en attendant de trouver des confidentes avec qui tu pourras échanger. Facile de dire qu'il suffit de se confier à Allah...mais il ne faut pas sous-estimer le bienfait des douas. Allah est le maitre des cœurs et Il peut lever cette peine que tu ressens s'Il le souhaite. Demande alors.
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MamanMuslima a écrit:
Là il s'agit quand même du fait de ne même pas être invitée par mes propres soeurs à plus de 300 kms de chez moi seule avc mes enfants, pr une fois que j'étais là bas dans un appartement prêté ya meme pas la contrainte de ns héberger sachant que toutes ces années jevitais de me faire héberger avc mes enfants pr les voir et visiter les environs.
Ici où je suis ya aussi mes parents elles viennent régulièrement et font le tour de la fratrie qui est restée ds la région d'origine.
La plus grande préfère même dormir chez moi c'est pr dire et là je me suis sentie vraiment ignorée.
Ça m'a surtout fait mal au cœur pour mes enfants qui réclamaient d'aller voir leur tata.
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Magneto* a écrit:
Je comprends. C’est effectivement blessant. Mais essaie d’être meilleure et de montrer le bon exemple. Tu ne seras que gagnante.