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QUAND LYONEL JOSPIN PERSITE ET SIGNE..., IL N'Y A PLUS DE CONSIGNES, VOTEZ,...
S
29 août 2006 01:46
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Voici l'intervention de M. L. JOSPIN au Colloque de SANTANDER
Démocratie et dialogue : l’Occident et le monde arabe
Lundi 21 août 2006


Session 3 : la démocratie comme antidote approprié à la violence




Le nouveau drame qui s’est noué cet été au Proche-Orient crée un contexte peu propice à une réflexion sereine sur la question de la violence et de la démocratie dans le monde arabe. Mais peut-il y avoir jamais une réflexion sereine sur la violence ? et n’est-ce pas cette violence elle-même qui justifie qu’on lui recherche un remède ?

Sous nos yeux, une démocratie, Israël, indûment provoquée par une faction libanaise, le Hezbollah, a frappé en représailles non seulement celui qui l’a agressé : le « parti de Dieu », mais les populations civiles, les infrastructures et l’économie du Liban, une des rares démocraties au Proche-Orient. Sans doute est-ce une démocratie particulière, communautarisée, instable et dont la souveraineté est limitée de l’intérieur par le Hezbollah et de l’extérieur par la Syrie. Mais c’est pourtant une démocratie.

Comme souvent face aux agressions, Israël a sur réagi, comme si ce pays jouait à chaque fois son existence même, et il a déployé sans ménagement la supériorité de sa puissance de feu. Ayant une fois de plus l’argument légitime des attaques qu’il subit, l’Etat hébreu fixe à ses interlocuteurs possibles des obligations qu’ils ne peuvent satisfaire en l’état : pour l’Autorité palestinienne, empêcher toute violence sur des territoires précarisés (sans recevoir de perspective politique en retour), pour l’Etat libanais, démilitariser le Hezbollah (sans que soit réglé le problème de la frontière entre le Liban et Israël).

Ne dosant pas sa puissance, ne cherchant pas à circonscrire le conflit et à négocier, multipliant les victimes civiles et les destructions et étant meurtrie à son tour, Israël accroît le nombre de ses adversaires dans la région et, au lieu d’isoler ses ennemis, les sert politiquement. L’engrenage de la violence n’offre pas de solution durable et nourrit dans le monde arabe et ailleurs les forces extrémistes.
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Dans ce contexte, la complexité de notre thème est telle qu’il me faut en clarifier les termes.

Le monde arabe. Si l’idée d’arabité est apparue au XIXéme siècle contre la puissance ottomane, si l’arabité est devenue une référence institutionnelle après la deuxième guerre mondiale avec la Ligue arabe, le monde arabe n’est pas un acteur politique. Non seulement des nations, même artificielles, se sont imposées contre le mythe de la « Nation arabe », mais ces trente dernières années, le monde arabe s’est constamment divisé.

Pourtant, le monde arabe existe comme réalité humaine, partageant une langue, une culture, des références complexes à une religion principale, des médias, une passion pour la politique, un sentiment de profonde frustration et une immense capacité d’émotion collective commune. Il faut donc appréhender le monde arabe comme un ensemble mais non comme un tout.

L’Occident. A-t-il une seule figure ? Dans le regard hostile des fanatiques, sans doute. Dans la perception des opinions arabes, parfois. L’ensemble composé de l’Europe et de l’Amérique du Nord partage une histoire, les valeurs démocratiques, un niveau de développement économique et technique, une forme de civilisation et des intérêts communs. Mais les compétitions internes, les différences nationales, de cultures et de langues ne font pas de l’Occident un bloc homogène.

Non seulement l’Europe s’est affirmée en s’unissant mais, depuis quelques années, elle tend à s’écarter, de façon encore trop timide, de la politique américaine dans ce qu’elle a d’excessivement manichéen et agressif, en particulier au Proche-Orient. L’Europe, qui a su s’unifier, qui a renoncé à son passé de domination, qui est voisine, où est présent un Islam autochtone confronté à la sécularisation, intéresse le monde arabe et a des choses à lui dire.

La violence. Elle prend des formes diverses dans le monde arabe. Il y a la violence d’Etat des dictatures qui pèse sur les sociétés et les individus privés de liberté. Il y a la violence entre les individus et les groupes dans les sociétés déstructurées où l’Etat est devenu faible ou impuissant. Il y a la violence terroriste des petits groupes radicalisés contre leurs ennemis intérieurs ou étrangers. Ces types de violence différents n’appellent pas des réponses identiques.

Il faut déjà admettre que la violence n’est pas inhérente au monde arabe et ne nous est nullement étrangère. Elle a été au cœur de nos sociétés et au principe de nos Etats pendant des siècles. Plus tard, l’existence chez nous de la démocratie ne nous a pas interdit de brutales conquêtes coloniales y compris dans le monde arabe. C’est pourquoi celui-ci, à qui nous reprochons sa violence, n’a pas une vision irénique de l’Europe d’hier et des Etats-Unis d’aujourd’hui.

Et puis, il y a à peine plus de deux décennies, la violence des Etats et des groupes armés dominait encore l’Amérique latine. L’Asie, malgré certains progrès, l’Afrique sont encore marquées par la violence. Ne traitons donc pas de la violence dans le monde arabe comme si celui-ci en avait le monopole ou en négligeant la misère, l’intensité des problèmes sociaux et des frustrations qui, ici comme ailleurs, sont à sa source.

La démocratie. Elle est normalement antinomique de la violence. Les règles de l’Etat de droit, le respect des individus, l’existence d’institutions légitimes autorisant l’alternance, la résolution négociée des conflits permettent de traiter les problèmes en se passant de la violence.

Bien sûr, dans le monde tel qu’il est, les démocraties n’excluent pas tout recours à la force. Mais elles doivent normalement le faire de façon légitime, c'est-à-dire en se fondant sur les principes du droit international et en se conformant au droit de la guerre. Si elles ne le font pas, elles transgressent leurs propres normes. D’où le débat suscité au sein du monde occidental par l’usage extensif fait par les Etats-Unis des concepts de légitime défense ou de « preemptive action ».

La démocratie est-elle l’antidote approprié contre la violence ? sans doute. Mais à condition de supposer le problème résolu, c'est-à-dire de présumer un monde arabe où n’existeraient que des nations démocratiques et où les gouvernements seraient légitimes, les peuples écoutés et où les droits de l’homme y compris ceux de la femme seraient garantis.

La difficulté est de savoir comment passer de l’état actuel à l’autre ? Comment administrer l’antidote, qui est le thérapeute et quel est l’état d’esprit du patient ?

On ne peut s’attendre à ce que les régimes despotiques ou autoritaires s’auto réforment spontanément et se transforment en démocraties. C’est même l’argument que l’administration Bush a utilisé en fin de compte pour justifier son intervention militaire en Irak. Nous ne pouvions être indifférents à la brutalité de la dictature de Saddam Hussein et aux souffrances du peuple irakien et rester sans rien faire. Pour elle, la seule solution était donc une intervention étrangère.

Mais peut-on vraiment imposer la démocratie de l’extérieur, par la force des armes, sous occupation militaire ? Peut-on croire qu’une intervention suffisamment puissante, déterminée et prolongée va, à partir du point initial d’ébranlement, propager les ondes bénéfiques de la démocratie dans toute une région ? A la lumière crue de l’expérience irakienne, on doit en douter.

La dictature de Saddam Hussein est tombée, des techniques démocratiques ont été opportunément introduites en Irak : élections libres, multipartisme, fin de la domination d’une minorité, compromis constitutionnel. Pourtant, la violence meurtrière flambe en Irak. L’Etat et la citoyenneté cèdent le pas à une mosaïque confuse, ethnique, confessionnelle, tribale et clanique, à partir de laquelle une démocratie aura bien du mal à se stabiliser. Quant à la région, elle connaît un surcroit de tensions en réaction à la présence étrangère et à la pression envahissante des Etats-Unis.

Nous sommes donc placés en face d’un dilemme. Ne rien faire, c’est se résigner à la perpétuation de régimes brutaux et impopulaires imposant la violence et la subissant en retour faute de répondre aux besoins de leurs peuples. Intervenir de l’extérieur par la force, c’est risquer de déchaîner d’autres violences dans des pays qui rejettent l’intervention étrangère et qui ne sont pas prêts à accueillir une démocratie importée.

Est-il possible d’éviter ces impasses ? On doit le tenter. Mais à condition de bannir tout esprit de croisade, de prendre en compte la réalité des sociétés arabes et d’admettre que l’évolution vers la démocratie prendra du temps. Nous devrons aussi mettre nos actes (dans la vie internationale et en particulier au Proche-Orient) en accord avec nos proclamations et user plutôt de la pression (sur les régimes) et du dialogue (avec les forces vives des pays arabes) que de la force.

Naturellement, le terrorisme doit être combattu avec la plus extrême détermination, par l’action combinée de la justice, de la police, des services de renseignement et de l’armée. Mais comme le sommet de Madrid sur le terrorisme l’a rappelé, nous devons mener cette lutte sans nous départir des règles de droit qui sont le privilège et la contrainte des démocraties. Nous devons aussi conduire une action de conviction politique, non pas bien sûr auprès des groupes extrémistes mais auprès de ceux qu’ils peuvent influencer, notamment dans la jeunesse, pour les détourner de cette culture de la mort. Cela suppose d’utiliser avec prudence la rhétorique du Bien et du Mal et de refuser une logique culturaliste d’affrontement entre d’un côté « les barbares » et de l’autre « les décadents ».

Dans nos rapports avec les Etats absolus ou autoritaires du monde arabe, nous devons rester fermes sur nos valeurs et nos principes. Si nous ne pouvons pas cultiver l’illusion de les faire changer par la force, nous ne devons pas accepter passivement leurs méthodes, mais exercer les pressions les plus utiles. S’il nous faut nous garder des interventions militaires à l’irakienne, nous n’allons pas reprocher aux Etats-Unis leur militantisme en faveur de la démocratie, alors que nous les avons parfois critiqués dans le passé pour leur indulgence à l’égard des dictatures.

Encore ne faut-il pas être surpris par les paradoxes de la démocratie. Aujourd’hui, compte tenu du discrédit qui affecte les forces politiques liées aux pouvoirs en place et de la faiblesse des courants démocratiques, des élections libres –comme les votes en Palestine et ailleurs l’ont montré- peuvent donner la victoire à des partis religieux du type « Frères musulmans ». Le pari est alors de les pousser à se détourner de la violence, à accepter le pluralisme et l’alternance, afin de les intégrer progressivement au jeu politique démocratique, à l’image de ce que furent les partis de la démocratie chrétienne en Europe. Il n’est pas pour autant question de laisser croire qu’une réislamisation des sociétés arabes constituerait une solution pour aller vers la modernité. Le monde arabe devra, au contraire, affronter la question de sa sécularisation.

Dans le climat politique plutôt sombre du monde arabe, on peut au moins se réjouir de voir certaines monarchies, comme le Maroc ou certains Emirats du Golfe, moderniser leur système politique. Encourageons tout ce qui propose un autre choix que la dictature ou l’intégrisme.

Au-delà des Etats, il est crucial de se tourner vers les sociétés arabes, je dirais même de les aider à se constituer vraiment en sociétés. La tentation communautariste est explicable : face à des pouvoirs arbitraires et au dénuement, les solidarités ethniques, religieuses ou tribales apparaissent comme une protection. Certains observateurs occidentaux sont même tentés de croire que ces structures anciennes pourraient constituer un cadre de stabilisation. Je ne partage pas ce point de vue. D’une part, parce que les nations arabes ont moins besoin de communautés -elles sont déjà si présentes- que de construire chez elles de véritables sociétés civiles. D’autre part, parce que rien ne remplace l’Etat (surtout démocratique) comme instance potentielle de modernisation politique, de citoyenneté et de solidarité.

Le désir de démocratie existe naturellement dans les sociétés arabes mais il se heurte à d’autres tentations, unanimistes ou fusionnelles. Les élites intellectuelles, artistiques, économiques sont capables d’éveiller les consciences. C’est pourquoi le dialogue avec elles et le soutien à leurs membres les plus exposés à l’oppression ou à l’intimidation sont si importants. A nous de témoigner concrètement de l’universalisme des aspirations humaines à la justice, à la dignité, au progrès et à la paix.

S’il est vain de vouloir imposer la démocratie par la force, il faut continuer à croire à la force de la démocratie. Les solutions viendront progressivement des sociétés arabes elles-mêmes, mais nous devons explorer les voies de la démocratie avec elles, dans les relations bilatérales, mais aussi grâce à l’Union Européenne, qui permet d’éviter le face à face des amours propres nationaux.

Cela commence par la défense des droits de l’homme. Nous devons soutenir les militants des droits de l’homme, rappeler les principes sur lesquels sont fondés les traités signés par l’Union Européenne, faire agir davantage nos représentations diplomatiques, envisager la conditionnalité de l’aide économique (je ne fais pas allusion ici à l’aide aux Palestiniens qui doit être maintenue).

Encourager la promotion des femmes est une clef pour l’évolution vers la démocratie. En matière de scolarisation durable, d’âge et de droit du mariage, d’accès au travail, les accords négociés par l’Union pourraient servir de leviers.

Le modèle européen, parce qu’il est fait d’unité, de diversité, de règlement pacifique des conflits, attire le monde arabe. Il doit lui être offert sans esprit de domination mais avec un souci de dialogue. Les Etats de l’Union et le Parlement européen doivent à cet égard exercer leur responsabilité.

Mais d’autres acteurs sont indispensables. Les partis politiques de nos pays peuvent encourager les évolutions positives, dénoncer les situations inacceptables, signaler les régressions, analyser les blocages. Les organisations non gouvernementales, particulièrement celles qui agissent pour les droits de l’homme, doivent être soutenues. Les collectivités locales, en charge de la coopération décentralisée, ont l’occasion de multiplier les rencontres entre élus responsables et populations sur des projets concrets. Enfin, les autorités de l’Islam européen ont à porter auprès de leurs homologues des pays arabes le message de cultes musulmans insérés dans des sociétés démocratiques, laïques ou sécularisées.

Pour réduire la violence dans le monde arabe et faire avancer la démocratie, des avancées décisives seront indispensables dans deux domaines. Le premier est économique. Le développement économique, une distribution des richesses moins inégale et des progrès sociaux sont nécessaires pour asseoir la démocratie. Selon le poids de la démographie et la possession ou non de ressources pétrolières, les pays arabes sont inégalement dotés. Nous devons les aider à relever ensemble le défi du développement.

Le second domaine est politique et il est aussi fondamental qu’actuel : il concerne le conflit entre Israël et les Palestiniens, Israël et les pays arabes. Depuis 60 ans, ce conflit non résolu pèse sur deux peuples, sur toute une région et même sur le monde.

Israël continue à vivre dans le statu quo d’un isolement armé, fort de son droit absolu à exister et en ne faisant confiance qu’à sa capacité militaire. La communauté internationale a consacré son droit à l’existence, trouve légitime qu’il le défende mais n’approuve plus toujours les moyens qu’emploie Israël pour s’affirmer.

Les Palestiniens, privés de leur terre, contraints à vivre de façon précaire en Cisjordanie, à Gaza ou dans les camps de réfugiés n’ont pas totalement renoncé à l’utilisation de la violence, considérant que le processus politique dans lequel l’OLP les avait engagés s’est interrompu en chemin. Or, les dirigeants israéliens prennent prétexte de cette violence pour refuser de négocier, leur refus et la brutalité de leurs répliques servant à leur tour d’argument pour la perpétuation de la violence du côté palestinien.

Pour changer la donne, il faudrait trois ruptures. Du côté palestinien, renoncer au terrorisme et à la violence armée. En comprenant que l’affirmation du caractère exclusivement politique et pacifique de la lutte palestinienne, loin d’être un abandon, lui donnerait au contraire une force irrésistible. Du côté israélien, sortir de la logique du statu quo. Offrir aux Palestiniens une véritable solution politique : un Etat palestinien souverain, viable, libre de colonies israéliennes, ouverts à un certain nombre de réfugiés et ayant une part de Jérusalem. Proposer aux pays arabes une solution globale aux problèmes posés entre eux et Israël. Du côté de la communauté internationale et donc des Etats-Unis et de l’Europe, décider que le temps est venu de trouver une solution juste au problème palestinien et agir en conséquence. Une telle attitude aurait un impact positif considérable sur les opinions du monde arabe, désarmerait pour partie l’hostilité à l’Occident et contribuerait à isoler les tenants du fanatisme.

Loin d‘un « âge d’or arabe » mythique qu’il faudrait retrouver ou d’un « malheur arabe » où se complaire, l’enjeu du dialogue entre le monde arabe et l’Occident est de désarmer le nationalisme, le traditionalisme, le fanatisme religieux . De faire reculer, d’un côté la misère et les frustrations, de l’autre le désir de puissance, le goût de le domination et l’esprit de croisade. Alors, cessant d’être étouffée ou dévoyée, la révolte des peuples du Proche-Orient contre leurs conditions d’existence pourra s’affirmer dans l’exigence démocratique.
Lionel JOSPIN
Sources :

[www.enfantsdepalestine.org]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 30/08/06 01:21 par Sanrival.
B
29 août 2006 22:43
Jospin ne veut vraiment pas que le PS soit au 2ème tour. Il est pitoyable, sait rien faire et accumule échec sur échec d'abord en tant que ministre de l'éducation nationale en suite comme premier ministre. Il a eu la chance d'être Premier ministre quand l'économie mondiale se portait bien. Les français n'ont pas été stupide et lui ont fait comprendre

Il est nul comme pas permis et risible. ça ne lui a pas suffit de se faire caillasser après avoir insulter les palestiens chez eux. Il faut qu'à 8 mois du premier tour s'exprimer ainsi c'est vouloir couler le navire. Rassurez moi qu'il en fait expret.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 29/08/06 22:51 par Belle.
Ben quoi 0-°
s
29 août 2006 23:43
assalatou 3la aljanaza yarhamkoumou allah, wa howa rajoul(lionel jospin).grinning smiley.
Il n a toujours pas compris que ,politiquement, il est mort.
S
30 août 2006 00:39
Citation
Belle a écrit:
Jospin ne veut vraiment pas que le PS soit au 2ème tour. Il est pitoyable, sait rien faire et accumule échec sur échec d'abord en tant que ministre de l'éducation nationale en suite comme premier ministre. Il a eu la chance d'être Premier ministre quand l'économie mondiale se portait bien. Les français n'ont pas été stupide et lui ont fait comprendre

Il est nul comme pas permis et risible. ça ne lui a pas suffit de se faire caillasser après avoir insulter les palestiens chez eux. Il faut qu'à 8 mois du premier tour s'exprimer ainsi c'est vouloir couler le navire. Rassurez moi qu'il en fait expret.

Ma chère Belle

Je crois que tu as bien saisi le problème de ses égarements

Mais ce dinosaure mortifère tente encore désespérément
De s'accrocher à la chose comme un morpion mort-vivant
Parce qu'il a le syndrome du retour sur les lieux du crime
Pour se faire battre comme ses compères au Liban idem...grinning smiley

Et je pense qu'il est atteint par le mal du récidiviste incurable

Pour se faire de nouveau caillasser et lapider tel le diableevil



Modifié 1 fois. Dernière modification le 30/08/06 00:57 par Sanrival.
B
30 août 2006 11:17
Citation
Sanrival a écrit:
Ma chère Belle

Je crois que tu as bien saisi le problème de ses égarements

Mais ce dinosaure mortifère tente encore désespérément
De s'accrocher à la chose comme un morpion mort-vivant
Parce qu'il a le syndrome du retour sur les lieux du crime
Pour se faire battre comme ses compères au Liban idem...grinning smiley

Et je pense qu'il est atteint par le mal du récidiviste incurable

Pour se faire de nouveau caillasser et lapider tel le diableevil

Il ne dit rien de nouveau. En tout cas, il n’a rien inventé l’abominable homme des neiges ou big foot si tu préfère. Son discours est tout ce qu’il y a de plus simple c'est-à-dire un plagiat. C’est exactement ce que dit Bush.

Revenir sur la scène politique à quelques mois des élections présidentielles, pour un mort. ça ne peut pas être sucidaire : il est déjà mort. Une résurrection !! j'en doute. Plutôt un fantome avec des objectifs obscures. Les électeurs n'aiment pas les fantomes. ça fait peur et on ne sait jamais de quoi ils sont capables. Ce que je conseille aux socialistes c'est de l'enfermer dans une bouteille et de l'enterrer.

Sérieux, je ne comprends pas les objectifs de cet hommeOh. Si tu y pige quelques choses éclaire moi de tes lumières.

Après j’aimerai revenir sur un petit détail de ton intervention à savoir : « Ma chère Belle ». Mon cher ami mieux vaut éviter d'être séduit par Belle ou que Belle soit séduite. Belle est semblable à la mante religieuse. Sais tu ce que fais la mante religieuse fait de ses amants. La mante religieuse leurs coupe tongue sticking out smiley



Modifié 1 fois. Dernière modification le 30/08/06 11:22 par Belle.
Ben quoi 0-°
 
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