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Quand le fondateur de l’USFP fut emprisonné pour avoir dit non à Hassan II...
m
28 juin 2017 12:44
Je crois q´un vrai opposant n´aura jamais accepté un poste de ministre dans un government dont la constitution ne lui donne pas les pouvoirs de décision. Ces pouvoirs ne sont pas dans les mains d´élus et donc pas de comptes á rendre. Les résponsabilités ne sont pas claires et ca continue toujours.......the show goes on....
n
26 juin 2019 10:42
Ce nom me donne la chaire de poule. Personnage nationaliste historique ayant bercé notre enfance et ayant tout fait pour mettre le Maroc sur de bons rails, mais malheureusement...
L
26 juin 2019 10:56
Ce qui est désolant et malheureux c est de voir ce personnage qui a tant marqué le paysage politique marocain , remplacé par des opportunistes et des affairistes .
L actuel secrétaire général en est bien l exemple , tout ce qui l intéresse c est un poste bien rénumere pour lui et pour les siens .
n
26 juin 2019 11:13
De nos jours c'est la Salade des partis politiques, PJD ect.... Bref tout le monde s'improvise, j'allais dire que c'est devenu du marketing et non de la politique comme au temps de feu Bouabid.
Citation
LGD1511 a écrit:
Ce qui est désolant et malheureux c est de voir ce personnage qui a tant marqué le paysage politique marocain , remplacé par des opportunistes et des affairistes .
L actuel secrétaire général en est bien l exemple , tout ce qui l intéresse c est un poste bien rénumere pour lui et pour les siens .
C
26 juin 2020 11:06
Toujours le palais à les pleins pouvoirs, les partis politiques sont des marionettes qui jouent dans une pièce théâtrale, qui est la scène politique marocaine et ça ce voit de plus en plus que la réalisation de cette pièce théâtrale est médiocre. Le peuple n'aura jamais son mot â dire s'il ne prend pas son destin lui même.
k
26 juin 2020 12:15
C'est incroyable ! Quel est ce "non" qu'il a dit à H2O ??? Vous ne dites rien de rien !!!
H
26 juin 2020 14:24
Kampung

Abdrahime Bouabide était plus patriote que le Roi qu'il a fait emprisonner parcequ'il a dit non au référendum au Sahara finalement c'est lui qui avait raison.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/06/20 16:56 par HMIMID69.
R
26 juin 2021 11:26
Oui le peuple subit, mais si le pays change on voit ce qui ce passe dans d'autres pays. Aucun pays musulman n'a montré un exemple ,alors même si le rois est roi
Le pays n'es pas en état de guerre ou la famine
C'est vrai que le roi a la main mise sur tous, plus toute la richesse, les châteaux , hôtels particuliers voitures ,bateaux ,Banque ,holdings avec tous ses entreprise,en France 7eme ,a Best region parisiennes, etc ....et toute sa famille,que ferait un autre a la place regarder Benali, khadafi etc.. tous ces pays arabes qui ce déchire, le pays est loin d'être comme un pays démocratique ou on peut voir un président qui peut être jugé et condamné, la liberté n'a pas de prix, le pays peut être influencés par des escrocs qui veulent le pouvoir il n'es pas près au changement, alors vaut mieux avoir un rois riche qui cherche la paix plutôt qu'un président pauvre.
H
26 juin 2021 11:33
La Hassan II a fait là la plus grosse connerie de sa vie, heureusement que les États Unis ont dit aussi non sinon le destin du Sahara aura été peut être différent, qui sait ?
26 juin 2021 12:42
Sur la question du référendum c'est vrai Hassan II avait tort mais il faut revenir à la situation de l'époque. Sur le plan politique comme militaire pour le Sahara et il fallait trouver quelque chose qui crée l'événement et qui convainc des alliés. Toujours la même illusion d'optique, juger hier avec les yeux d'aujourd'hui.
Je profite pour répondre à quelques posts sur le système marocain et sa comparaison avec les démocraties européennes. Des quasi-nuits blanches de débats quand j'étais étudiant. Le système politique est fait pour la majorité des Marocains et non pas pour une élite instruite tournée vers l'Occident. Cette majorité de Marocains tire la notion de gouvernance de son Histoire. Si (je fais dans l'extrême) on lui importe un système fortement inspiré par la Finlande, il ne s'installera jamais. Et puis il faut regarder l'Histoire. Toute les démocraties sont venues et se sont installées après l'émergence économique. On ne sera différents ni de l'Europe ni de l'Asie. Donc nos dirigeants ont conçu un système pyramidal où les gens se reconnaissent avec leur culture et qui permet de construire le Maroc moderne avec ses racines d'hier. La stabilité de ce système est la première chose qui compte et on l'oublie car plusieurs pays analogues au nôtre ont sombré dans l'instabilité quand ce n'est pas la guerre civile. La deuxième chose est la construction des bases économique à partir d'un niveau très faible (moins de 500$/hab pour le Maroc à l'indépendance). Après, installer les grandes bases d'une future démocratie: la Justice et les différentes libertés. Elle ne sont naturelles dans aucune culture et il faut les apprendre. Et ce n'est pas l'affaire de l’État seulement mais du citoyen aussi. Il faut plusieurs générations.
Tout ça pour dire que les pouvoirs du Roi sont excessifs en se référents à des pays qui ont des systèmes d'au moins deux deux siècles, ça ne veut rien dire. Il faut arrêter cette comparaison systématique à l'Occident. Des pays se sont développés sans démocratie et la démocratie est arrivée après, quand elle est arrivée. Je pense à Taïwan, à la Corée et dans une moindre mesure au Japon (qui a un système particulier).
26 juin 2022 09:24
Je relis ce commentaire qui est le mien il y a un an et je n'y changerai absolument rien. Sur l'affaire du référendum Bouabid que j'aimais moyennement avait raison mais... Hassan II était dans une posture politique pour piéger la junte algérienne et il a réussi car elle avait refusé. Aujourd'hui devant ses échecs, elle se rabat dessus. Hassan II était plus fort que Bouabid, elle ne boxaient pas dans la même catégorie.
Pour la démocratie, là aussi attention aux raccourcis dans le raisonnement. Nous avons un système qui nous convient parfaitement et surtout qui nous fait avancer et qui aboutira vers une démocratie d'un pays développé le jour où jour où nous le serons. Mais notre système est bon.
g
26 juin 2022 16:14
Il faut arrêter avec ces comparaisons ridicules et incohérentes, entre systèmes politiques et culturels différents. On ne peut évacuer l'histoire, la culture, les traditions et l'âme une grande nation, sois prétexte que les valeurs de la démocratie à l'occidentale sont les valeurs universels de référence! Un prétexte très souvent pour des trolls antimarocains incultes pour venir semer leurs graines de discorde ici et ailleurs.
Le Maroc vit avec son temps, évolue avec son temps, s'adapte à son époque, mais sans gommer ses racines et ses valeurs ancestrales. Et le pouvoir politique, ne fait pas exception: la Monarchie marocaine, dotée aujourd'hui d'une constitution aussi souple qu'équilibrée, s'adapte, se modernise et s'ouvre sur la société et le monde, avec même parfois un temps d'avance sur eux! ...
SM Le Roi Mohamed VI n'est pas feu SM le Le Roi Hassan II, qui lui-même fut loin de régner comme son père, feu Mohammed V, tant dans le style que dans la manière de gouverner et de gérer ce passage nécessaire et délicat qu'il fallait entreprendre entre tradition et modernité.
Et nul doute que le futur Roi, l'actuel prince héritier Moulay Hassan, apportera son génie propre, sa jeunesse, ses inspirations et ses convictions nées d'une formation et d'un apprentissage des plus pointus et des plus exigeant, pour la prise en charge des défis et problèmes du Maroc de demain.
Après, comparer Bouabid, leader d'un socialisme populaire, voire populiste, à l'époque certes triomphant et conquérant, mais dont le Roi Hassan II, avec son génie visionnaire connu, savait déjà vers qu'elles impasses il pouvait mener ... La comparaison est impossible et injuste. On parle là d'un Roi visionnaire, doté d'une culture phénomènale , d'un sens du leadership unique, et d'un engagement et d'un amour sans faille pour son pays, son peuple et son histoire. Alors Bouabid, Hassan II ... On ne boxe pas dans la même catégorie ... Avec tout mon respect pour le militant que fût feu Bouabid ...
Pour revenir à cette question de la démocratie et des systèmes politiques traditionnels, le système de gouvernance marocain actuel et l'exercice du pouvoir politique dans notre pays n'ont à mon avis aucun complexe à entretenir vis-à-vis des systèmes démocratiques occidentaux. Le Maroc moderne, sous la direction de SM le Roi Mohammed VI, aura réussi à créer une rare symbiose entre une Monarchie libérale, ouverte, tolérante, respectueuse des libertés, et un peuple attaché à son Roi et son histoire, tout en se montrant demandeur de modernité, de libéralisme, de justice sociale et de progrès économique et social.
C'est la magie marocaine: le pari réussi d'un ancrage dans la modernité en préservant les valeurs et les repères héritées d'un passé aussi ancien que glorieux. Un peu à l'image du Japon d'après-guerre. Résultat au final: le Maroc, l'un des pays les plus stables au monde, est en voie aujourd'hui de réussir une véritable émergence économique et sociale, que nous envient de nombreux voisins ...
Alors, notre ''démocratie'' à nous, elle se construit au fur et à mesure de notre évolution économique et sociale, de la construction de notre prospérité, de la consolidation définitive de notre intégrité territoriale ... Et tout cela, toujours sous la devise Allah Al Watan Al Malik ...
26 juin 2023 11:35
Hassan II savait que la solution du référundum ne pourrait pas se concrétiser, du fait de l'impossibilité de recenser une population nomade, vivant à cheval sur trois pays.
Voyant loin , comme à son habitude, il décida d'accepter le principe du reférundum d'autodétermination, pour stopper les reconnaissances internationales de la RASD, et conforter les amis du Maroc , qui pourraient mieux prendre sa défense, et le soutenir.
Mais Bouabid et ses amis ne voulaient rien comprendre au raisonnement du Roi, assimilant son projet à une concession qui remettrait en cause la revendication fondamentale du Maroc.
D'ou le malentendu irréductible entre les deux parties. Mais comme la gauche n'avait rien d'autre à proposer que le Non, le Roi a pris ses responsabilités.
S
26 juin 2023 13:42
"...Mais comme la gauche n'avait rien d'autre à proposer que le Non, le Roi a pris ses responsabilités...."

À part le non ou le oui, Ils auraient pu proposer quoi à ton avis??
Citation
Le barreur a écrit:
Hassan II savait que la solution du référundum ne pourrait pas se concrétiser, du fait de l'impossibilité de recenser une population nomade, vivant à cheval sur trois pays.
Voyant loin , comme à son habitude, il décida d'accepter le principe du reférundum d'autodétermination, pour stopper les reconnaissances internationales de la RASD, et conforter les amis du Maroc , qui pourraient mieux prendre sa défense, et le soutenir.
Mais Bouabid et ses amis ne voulaient rien comprendre au raisonnement du Roi, assimilant son projet à une concession qui remettrait en cause la revendication fondamentale du Maroc.
D'ou le malentendu irréductible entre les deux parties. Mais comme la gauche n'avait rien d'autre à proposer que le Non, le Roi a pris ses responsabilités.
26 juin 2023 16:47
pour tous ceux qui denigre la gauche la vrai clle du bien commun
un des personnalité marquante au Maroc
il a mis le Maroc de Mohamed VI sur de bon rail

un des militants de l indépendance qui défendait les résistant algériens également

allah y rahmou
26 juin 2023 19:12
A mon avis, ils auraient pu proposer, en tant que GAUCHE, de se charger de rallier les autres courants de gauche à la cause du Maroc,et mettre un terme aux reconnaissances de la RASD, car c'etait surtout le fait des gouvernements dits de gauche. Et, chemin faisant, de convaincre l'Algérie de soutenir le Maroc.
Voilà.
Citation
Sakina2020 a écrit:
"...Mais comme la gauche n'avait rien d'autre à proposer que le Non, le Roi a pris ses responsabilités...."

À part le non ou le oui, Ils auraient pu proposer quoi à ton avis??
R
27 juin 2023 01:12
C'est les États-Unis en particulier Bill Clinton qui a remis le Maroc sur les bons raille pour opter pour une autonomie sur le Sahara Marocain et surtout pas le référendum .
 
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