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Quand démocratie rime avec hypocrisie
w
26 août 2012 16:22
Salam

Les médias nous bombardent de slogant de démocratie.

Qu'on est-il de tout ça.

Que veule-t'il nous dire ?

C'est quoi que cela la démocratie ?

peut-on croire à cette fable.

Et oui ...


Mais que ce passe-t-il en Birmanie ==> Quand démocratie rime avec hypocrisie

[www.dailymotion.com]


Euhh ???? Mais au faite est-ce que cette Aung San Suu Kyi à du coeur ? Est-elle honnête. prix nobèle de la paix moody smiley

Que dit-elle, dénonce-t-elle le massacre commis sur nos soeurs et frères de Birmanie.

Ou, sont-il trop musulman à ses yeux. Pourquoi les boudistes massacrent nos frère de Birmanie.
que fait le Dala¨lama. c'est autre prix nobèle de la paix ?

Que font tout ces hypocrites ?????
que font ces média arabe et occidental ?




[www.youtube.com]


[www.alterinfo.net]




Modifié 2 fois. Dernière modification le 26/08/12 16:43 par wakrim.
A
26 août 2012 16:31
sleeping

Le contenu de votre message est trop court.
Lorsque vient l'heure de la sanction, aucun haut responsable ne peut y échapper.
w
26 août 2012 16:52
Salam


Massacre des musulmans en birmanie, Aung san suu kyi interrogée aurais déclarée qu'elle ne savait même pas qu'ils etaient birmans.

Presence de l'islam en Birmanie

Birmanie

L’Islam fit sa première apparition importante en Birmanie au début du XVe siècle, par l’intermédiaire du roi d’Arakan, Narameihkla. Ce monarque revint de son exil au Bengale en 1430, en compagnie de partisans musulmans. Il établit sa capitale à Mrohaung, où fut érigée la mosquée Sandikhan. Par la suite, des rois arakanais, quoique bouddhistes, employèrent des dénominations musulmanes et émirent même des médailles portant la kalima. L’influence musulmane devint plus grande lorsque …

Aung san suu kyi fait l'autruche. quelle hypocrite.

c'est une monnaie de l'etat d'ARAKAN en birmanie 1593/1612
voila un modele




Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/08/12 17:01 par wakrim.
w
26 août 2012 20:19
Citation
Ali le Barbare a écrit:
sleeping

Le contenu de votre message est trop court.

Salam oihalikou oi rahmatoullah.

Le massacre des Rohingyas en Birmanie vu par la presse française et internationale



Le massacre des Rohingyas en Birmanie vu par la presse française et internationale

Voilà bientôt deux mois que l’état Rakhine voit s’opposer musulmans et bouddhistes. Deux longs mois d’affrontements sanglants et de répression. Pourtant très peu de médias ont traité la question, contrairement à une couverture médiatique généralisée de la « démocratisation » du pays depuis 2010 ainsi que de la remise du prix Nobel de la paix à l’opposante Aung San Suu Kyi. Bien que sa tournée en Europe ait coïncidé avec le début des affrontements, cette dernière n’en resta pas moins silencieuse sur les évènements qui se jouaient dans son pays. Revue de presse et du web du traitement médiatique de l’oppression des Rohingyas en Birmanie.
La Paix : aveugle mais quasi intouchable

Au moment où commencent les massacres et où Aung San Suu Kyi prépare sa tournée européenne, Anaïs Bouniol écrivait pour Le Point : « les événements se déroulant actuellement à l’ouest de Birmanie terniront certainement ce voyage ». Effectivement, tout portait à croire qu’en tant que lauréate du prix Nobel de la paix, elle profiterait de cette mise en lumière pour dénoncer le statut de l’ethnie rohingya en Birmanie et appeler à la fin des affrontements.

Le journal le Monde en date du 21 Juin s’interroge sur ces Rohingyas « que même l’ »héroïne birmane de la démocratie », Aung San Suu Kyi, a hésité à défendre durant son séjour en Europe ». Ou encore Libération qui nous explique que « Signe d’une grande tension, Aung San Suu Kyi s’est elle-même montrée malhabile et confuse sur le sujet, qui l’a rattrapée dans sa tournée ».

Il en est allé de même après le premier discours d’Aung San Suu Kyi au parlement birman le 25 juillet 2012, où elle a appelé les législateurs à mettre en place les lois nécessaires à la protection des minorités. Avec des titres comme « Devant le Parlement, la «Dame de Rangoun» soutient les minorités » ou « Birmanie: premier discours au parlement de Suu Kyi, qui soutient les minorités », nous serions tentés de croire que la député d’opposition, qui a apporté un soutien inconditionnel aux 135 ethnies de son pays, ait inclus les Rohingyas. Il n’en fut rien en réalité.

Dans les faits, la lauréate du prix Nobel de la Paix 1991 et promotrice de la démocratie « est restée relativement silencieuse sur le sujet » comme le rappel BBC News. Faisant suite à son discours et à son silence sur la situation, le site d’information rappelle que « lorsqu’il lui a été demandé au mois de juin (note : lors de sa tournée en Europe) si les Rohingyas doivent être considérés comme Birmans, sa réponse fut « je ne sais pas », ajoutant que la Birmanie doit clarifier ses lois sur la nationalité ».

Encore, nous aurions pu nous attendre à ce qu’elle use de sa casquette de député de l’opposition et s’indigne de la solution avancée par le président Thein Sein pour régler définitivement la question des Rohingyas : celui-ci a en effet proposé au commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, Antonio Gutterez, de confier ceux qu’il qualifie d’immigrés clandestins au Haut commissariat aux refugiés ou à tout pays qui voudrait bien d’eux. Autrement dit, le président birman, qui est perçu comme l’initiateur des changements démocratiques de son pays depuis 2010, propose purement et simplement leur déportation.

En parcourant la presse nationale, on nous indique simplement qu’elle ne se prononce pas, sans que personne ne critique l’attitude passive de « la Dame de Rangoun » qui ne semble décidément pas prête à faire usage de son aura sur la scène internationale pour tenter de mettre fin au nettoyage ethnique en cours.

Outre-Manche, The Telegraph donne la parole à des soutiens de longue date de Suu Kyi dans sa lutte pour la démocratie et qui, aujourd’hui, ne comprennent pas son silence sur la situation des Rohingyas.

Ainsi, Brad Adams d’Human Right Watch pour qui Aung San Suu Kyi a « manqué une occasion de dire une bonne chose » déclare : « bien que tout a explosé alors qu’elle était en Europe, elle n’y a pas fait face. » Mis devant l’argument qu’un éventuel soutien aux Rohingyas aurait des conséquences désastreuses pour l’avenir politique de l’opposante, il ajoute que « c’est une question sans équivoque, une situation où la clarté s’impose. Elle est une telle icône, elle aurait pu rallier une importante partie de l’opinion publique si elle s’était intéressé à la cause. »

Anna Roberts, de l’ONG Burma Campaign UK ajoute : « c’est perturbant, elle est dans une situation difficile mais les gens ont été déçus qu’elle ne se soit pas prononcé sur le sujet. » Enfin, Maung Zarni, universitaire d’origine birmane qui a participé aux discussions avec Aung San Suu Kyi lors de sa visite à la prestigieuse London School of Enonomics concède « qu’elle a été très évasive sur le sujet des Rohingyas.»

S’il fallait encore se convaincre que nos journaux français ont du mal à voir les comportements anti-démocratiques de ceux qui ont été présentés comme des icônes de la démocratie, la couverture du comportement des moines birmans finira de nous convaincre. En 2007, la junte miliaire réprimait les moines pour avoir pris la tête de la révolution safran. Le sort qui leur avait été réservé avait alors réussi à se frayer un chemin jusqu’aux pages de nos quotidiens.

En revanche, il est impossible de trouver dans nos journaux un article dédié aux actions de ces mêmes moines contre les Rohingyas. Il faut à nouveau traverser la Manche et c’est The Independent qui nous rapporte leurs agissements. Leurs actions incluent notamment la diffusion de tracts appelant la population à se désolidariser des Rohingyas, ainsi que des propos tenus par Ashin Htawara, un des leaders des moines, qui, selon The Independent, aurait « appelé le gouvernement birman à renvoyer les Rohingyas dans leur “terre natale” » lors d’un évènement anti-Rohingyas qui s’est tenu à Londres.

Le journal rapporte également les propos de Chris Lewa, directeur de l’ONG Arakan project: « ces derniers jours, les moines sont apparus comme les principaux promoteurs de la suppression de l’assistance humanitaire aux musulmans, mettant ainsi en pratique les déclarations faites par les politiciens. » Il ajoute qu’un membre d’une organisation humanitaire installé a Sittwe lui a rapporté que des moines, postés à l’entrée des camps de déplacés, essayaient d’identifier et de dissuader toute personne souhaitant porter assistance aux déplacés Rohingyas.
Le silence a un prix

Pour expliquer le silence généralisé de la communauté internationale, le New York Times nous livre une vérité bien crue: « Pourquoi est-ce que ce pogrom n’attise pas plus l’indignation de la communauté internationale ? Certainement parce que la Birmanie est devenue une destination pour les investisseurs étrangers maintenant que les Etats-Unis, l’Union Européenne et le Canada ont accepté les déclarations du gouvernement dans le sens d’une démocratisation et ont largement levé les sanctions économiques qu’ils avaient commencé à appliquer après 1988 (mesures qui n’ont pas empêché la Chine, l’Inde, la Corée du Sud, la Thaïlande, Singapour et des multinationales du pétrole de faire des affaires avec la Birmanie). Toujours est-il que la Secrétaire d’Etat Américaine, Hillary Clinton a visité la Birmanie l’an passé et a salué les premier pas du pays vers la démocratie, elle a aussi mis en place des conditions au renforcement des relations avec le pays, conditions qui incluent la fin des violences inter-ethniques ».

De son côté, The Economist, a livré un rapport[1] au mois d’avril 2012, faisant état des opportunités d’investissement en Birmanie mais aussi des perspectives d’évolution de la situation économique et politique. Sur les trois perspectives d’évolution présentées, celle que The Economist juge la plus probable à 60%, est que le pays se démocratise juste assez pour accueillir des investisseurs étrangers mais ne change pas fondamentalement sur le plan structurel. Ce que le rapport désigne comme « le meilleur des deux mondes ». Dès lors les questions liées à la démocratisation et au traitement des minorités pourraient rester sans suite sans que cela ne remette en question l’arrivée de capitaux étrangers. Ceci pour deux raisons : la première serait que des changements, dans le sens de la démocratie, ont déjà eu lieu et ont été reconnus au plan international. La seconde est la présence d’Aung San Suu Kyi sur la scène politique birmane, qui apporte au régime de la légitimité sur la scène internationale et garantit que le cap de la démocratisation, même à un rythme lent, sera maintenu. Le rapport était donc dans le vrai, puisque depuis avril 2012, les sanctions économiques ont été levées sans que le processus de démocratisation ne se renforce ni que les droits de l’homme ne soient respectés.
ONG et universitaires : Acteurs principaux de la solution

Il semble clair que les objectifs de la démocratisation en Birmanie commencent à porter leurs fruits et continueront malgré le génocide en cours. Les Rohingyas n’ont donc plus rien à attendre des acteurs politiques de la démocratisation en Birmanie, que ceux-ci soient médiatisés ou pas.

La lettre d’une lectrice[2], Kelly Staples, du Département des sciences politiques et des relations internationales de l’université de Leicester publiée par le Guardian propose des pistes sérieuses afin de venir en aide aux Rohingyas sur le long terme et rappelle le rôle de chacun pour arrêter le génocide :

« Votre article sur la situation humanitaire dans l’Etat Arakan, dans l’Ouest de la Birmanie, expose de manière évidente l’absence de volonté politique chez le gouvernement Thein Sein de trouver une solution à la détresse de la minorité musulmane Rohingya. Ceci est surprenant, étant donné la persécution constante des Rohingyas par les militaires.

Plus troublant est l’absence d’engagement en faveur de l’obtention de la nationalité birmane pour les Rohingyas de la part du parti de la Ligue Nationale pour la Démocratie, le parti d’Aung San Suu Kyi, qui fait l’objet de lobbying de la part d’ONG et d’universitaires pour qu’il agisse.

En Asie, comme en Afrique, les politiques électorales intensifient souvent les risques entourant la question des apatrides. Même si en réalité, la pratique de la souveraineté étatique rend difficile le respect au droit à la nationalité, les universitaires et les ONG doivent faire du lobbying auprès de la Ligue Nationale pour la Démocratie en faveur des Rohingyas. Même s’il faut garder à l’esprit les risques encourus notamment celui d’encourager le régime de Thein dans son action à expulser les Rohingyas. La communauté internationale serait la plus à même de venir en aide à ceux qui fuient les persécutions.

La situation est tellement grave que l’agence des Nations Unies pour les réfugiés a demandé aux pays voisins de la Birmanie d’ouvrir leurs frontières aux réfugiés. Pour éviter une situation où une fois de plus, le coût de la protection des réfugiés soit pris en charge de manière disproportionnée par les pays en développement, les pays donateurs à l’agence des Nations Unies pour les réfugiés doivent honorer leurs engagements ostensibles en faveur des droits de l’homme, incluant le droit d’être reconnu où que ce soit comme une personne, tel que promis par la déclaration des droits de l’homme. »

source : ==> [www.foulexpress.com]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/08/12 20:27 par wakrim.
c
26 août 2012 20:52
ben la démocratie, ça veut dire entre autres pouvoir ecrire tout ce qu'on veut, y compris les pires théories conspirationnistes, sans finir dans uen geale avec des électrodes sur les parties.
ce qui n'est pas le cas, par exemple, en syrie.
w
26 août 2012 21:17
Citation
coldman a écrit:
ben la démocratie, ça veut dire entre autres pouvoir ecrire tout ce qu'on veut, y compris les pires théories conspirationnistes, sans finir dans uen geale avec des électrodes sur les parties.
ce qui n'est pas le cas, par exemple, en syrie.

Salam

Belle pirouette que là, je ne te lis pas entrain de dénoncer le génocide en birmanie.

C'est clair, si on en parle pas dans les "médias français" ça ne peut être que de la conspiration.
Belle mentalité que cela.

Juste pour parler de conspiration. du cold men pur et dur.

On te parle de massacre, de génocide. Mais bon, ce ne sont que des musulmans, c'est ça.

aucune dénonciation pff
w
26 août 2012 23:08
Salam

JUILLET 2012 : (Pierre Dortiguier, Spécialiste des questions internationales). Pierre Dortiguer démystifie le bouddhisme, accuse les Etats-Unis et le Dalaï Lama (agent de la CIA) d 'être responsables de loin ou de prêt des massacres en Birmanie. P. Dortiguer accuse aussi le silence de la pseudo prix Nobel de la paix Mme Aung San Suu Kyi agent de l 'Empire.
Les choses sont claires, les musulmans Birmans n 'auront pas le droit à la même médiatisation que d 'autres peuples dans le monde qui souffrent aussi. En effet, les choix de médiatisation dépendent des intérêts occidentaux.

[www.youtube.com]
c
27 août 2012 06:31
c'est de la propagande ce soit disant génocide.
de la propagande véhiculée par le lobby islamiste.
la birmanie fait face à des forces islamistes financées par l’étranger pour la destabiliser.
voila la vérité.
w
27 août 2012 10:48
Citation
coldman a écrit:
c'est de la propagande ce soit disant génocide.
de la propagande véhiculée par le lobby islamiste.
la birmanie fait face à des forces islamistes financées par l’étranger pour la destabiliser.
voila la vérité.

Salam

C'est de la propagande pour toute réponce à ce génocide, ce massacre moody smiley

CQFD On sait pour qui tu bosses.
27 août 2012 11:28
Citation
coldman a écrit:
c'est de la propagande ce soit disant génocide.
de la propagande véhiculée par le lobby islamiste.
la birmanie fait face à des forces islamistes financées par l’étranger pour la destabiliser.
voila la vérité.
Oui la birmanie est tellement une grande démocratie que les islamites veulent la distabiliser !!
Hypocrite
[center][b]« Tout le monde pense à changer le monde mais personne ne songe à se changer lui-même. »[/b][/center] اكتُب مبادئك بقلمٍ جاف حيث الرسوخ و الثبات •• و اكتب آرائك بقلمِ رصاص حيث التعديل و التصحيح
27 août 2012 11:52
Monsieur ou Mademoiselle Coldman, ou est passé votre humanisme?
Vous dites que c'est de la propagande? ou sont vos source? le Mossad?
vous me décevez mon cher, vos arguments manque de crédibilité ce coup ci.
Un mort et un mort et cela doit être condamné.
Imaginé que demain les Americains ce mettent a poursuivre les juifs a cause de leurs pouvoir a décider qui va être président.
que diriez vous alors ? que c'est de la propagande car le lobby sioniste veux déstabiliser les USA?
Ce que je dis c'est pas de la science fiction, en Europe, Australie et aux USA, il y a de plus en plus de voix qui se levent contre ce pouvoir mal sain qu'on les sionistes.Le pas sera vite franchi. suivez mon regards

.
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
c
27 août 2012 12:16
je pensais que vous comprendriez le second degré.
je m'etais mis dans la peau d'un propagandiste pro bachar ou pro kadhafi, justifiant l'injustifiable avec des arguments ridicules.
bien sur que le sort réservé aux minorités (karen, musulmans ... autres) est infame.
mais je vois pas en quoi cela remet en cause l'idée méme de démocratie. c'est ridicule.
oui, les médias en parlent peu. mais ils en parlent.
des minorités sont oprimés partout, quotidiennement.
vous aviez déja entendu parler du peuple karen? pourtant ils sont victimes d’épuration, de déplacement ....etc depuis 48.
et ça fait que quelques entrefilets dans la presse depuis des décennies.
il y a des massacres plus médiatiques que d'autres.
je n'ai pas vu beaucoup de mobilisation en france pour la tchetchenie . pourtant c'etait pas si loin et bien plus meutrier que le conflit israelo palestinien.
c'est ainsi.
U
27 août 2012 13:01
La Birmanie, une Démocratie ???
ptdrptdrptdr

C'est encore une dictature militaire avec de vagues aspects démocratiques.

Quand aux Bengalis de Birmanie, ils sont exactement dans la même situation que les Israéliens: Transplantés ailleurs que chez eux, le Bengale.

@ Coldman:
Je suis parti de l'idée qu'il y a bel et bien des pogroms.
Il est évident que je ne prends aucune source islamique, parce qu'on y trouve rarement des informations indépendantes, ni youtube&Cie, parce que c'est un foutoir. J'ai donc pris une source qui n'est pas polluée par la propagande islamique.

[www.la-croix.com]


As-tu des sources qui démontrent l'intervention de forces de déstabilisation islamistes ?

Dans la zone entre le Bengale et la Birmanie, on sait que la Chine est à l’œuvre, mais je n'avais encore jamais rien lu au sujet des Islamistes payés par l'Étranger.

Ce qu'on peut aussi constater, c'est que le pays de leurs ancêtres n'en veut pas. Ça, c'est surprenant et on aimerait bien savoir pourquoi.
(l'information est vieille, mais il serait intéressant de connaitre l'actualité au Bangladesh: Il y a peut-être eu du changement.)

Citation
La Croix: 11/6/12 - 14 H 40 Actualité - Monde a écrit:
Les gardes-frontières du Bangladesh renvoient vers la Birmanie des musulmans Rohingyas

Des gardes-frontières au Bangladesh ont renvoyé lundi 11 juin huit embarcations transportant plus de 300 musulmans de la minorité des Rohingyas, pour la plupart des femmes et des enfants, qui tentaient de fuir les violences religieuses en Birmanie, a indiqué l’un d’entre eux.Les Nations unies ont par ailleurs commencé l’évacuation «temporaire» de leur personnel international de certaines zones touchées par les violences religieuses dans l’ouest de la Birmanie.Les violences entre la minorité musulmane et les bouddhistes en Birmanie ont fait au moins sept morts et 17 blessés depuis le vendredi 8 juin, selon les Nations unies. Elles faisaient suite au lynchage de 10 musulmans par des bouddhistes, voulant ainsi venger le viol d’une femme bouddhiste. L’état d’urgence a été décrété et l’armée a été appelée par le pouvoir pour ramener la sécurité.Musulmans, les Rohingyas ne font pas partie des minorités ethniques reconnues par le régime birman. Beaucoup de Birmans les considèrent comme des étrangers et leur sont ouvertement hostiles. Ils sont environ 750000 en Birmanie, confinés dans le nord de l’État Rakhine, et 300000 dans des camps au Bangladesh.

(écrit à 12:00 Coldman a répondu entretemps.)



Modifié 1 fois. Dernière modification le 27/08/12 13:04 par Unesuggestion.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
27 août 2012 18:43
Cher Coldman, je connais les Karen depuis les années 70. Leurs malheurs c'est qu'ils sont dans le triangle de l'opium et ils ont étaient mêlés, bien malgré eux, eux différentes guerres contres les communistes par les US, Français, et autres. puis depuis qu'ils traficotent ou pas avec les parrain des différentes mafias, les gouvernements des differents pays limitrophes les accusent de différentes chose. Tout le peuple Karen n'est pas coupable mais ils subissent les erreurs de quelque usn d'entre eux. et leurs persécution n'est pas justifiable. Pour en revenir a la Birmanie, j'aurais compris le second degrés si vous aviez condamné puis essayer de faire de l'humour; Ce que je fais parfois.
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
 
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