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la prunelle de mes yeux
d
27 décembre 2010 16:57
parle lui avec douceur,
empresse toi de lui apporter toutes les bonnes chosesqu elle aime.
donne lui ce k elle souhaite avant meme qu elle ne le demande.
sois pour elle un servantdévoué.
obéis lui tant que cela n amène pas de péché.
ne la devance pas en mangeant ou en buvant.
réjouis la en invoquantpour elle la guidée, la miséricordeet le pardon pendant la nuitet aux
extremités du jour.
ne tiens pas compte de ses fautes et ses faux pas.
ne parle pas d elle a quiconque d un ton plaintif ou mauvais et n exprimea personne ce qui te chagrinea son sujet.
fais lui plaisir et respecte la.
ne t enorguillis pas face a elle ,
car tu étais a linterieur de ses entrailleset tu étais entre ses main .
rends la heureuse............. ta MERE
M
27 décembre 2010 17:03
f khattérrrr les mamans du monde entier.............w lbbawat aussithumbs up
X
27 décembre 2010 17:09
Barak Allahu Fik. Wa Ahsana Allahu ilayki wa ila ummik.

Quelques remarques au passage...

Les filles surpassent souvent les fils en matière de bienfaisance envers la mère. Elles participent aux taches ménagères allégeant ainsi le travail de ces dernières. Chose que ne font pas les hommes.

Les filles, surtout quand elles ont des enfants, savent ce qu'être une mère signifie : porter un enfant dans son ventre durant 9 mois. Impossibilité de dormir sur le ventre, sur le dos, trop longtemps sur les côtés. Difficultés à se baisser, à se mouvoir.
Les hommes n'en savent rien. Il n'y a donc rien qui leur rappelle ce que leur mère a enduré pour eux. Ils se sont contentés de venir au monde, de grandir et de faire des enfants (cette dernière "tache" se limitant au stricte minimum).

La femme à moins de droits que l'homme en Islam mais la mère est favorisée sur le père. "Ta mère, puis ta mère, puis ta mère. Puis ton père." La mère bénéficie donc d'une meilleure position que celle du père. Elle passe aussi avant l'épouse.
B
27 décembre 2010 20:41
Voici la lettre d’une mère meurtrie adressée à son fils bien-aimé. Cette pauvre maman, après avoir cru accomplir l'éducation de son fils, veillé les nuits entières pour lui, sacrifié sa vie et son bonheur pour sa cause, et organisé son mariage avec une des jeunes filles de son choix, s’est vue soudainement reniée par ce dernier en lui désobéissant et en la rejetant.

Elle dit dans un extrait de sa lettre :

« Mon fiston, il y a maintenant vingt-cinq ans, ce fut dans ma vie une rayonnante journée lorsque le médecin m’informa que j’étais enceinte. Tu sais, mon fils, les mères maîtrisent bien le sens de ce mot ; c’est à la fois un mélange de joie et de peur, avec le début de la fatigue et les changements psychologiques et physiologiques.

Après cette bonne nouvelle, je t’ai porté dans mon ventre pendant neuf mois, heureuse et enjouée. Pourtant, je me levais péniblement, je dormais difficilement, je mangeais à contrecœur, et je respirais malaisément.
Malgré tout, cela n’a jamais affaibli l’amour que je te porte et la joie de t’avoir. Au contraire, plus les jours passaient et plus mon amour pour toi se développait tel un embryon et le désir de te voir, de te palper avec mes mains ne cessait de grandir.
Je t’ai porté, mon fils, subissant pour toi peine sur peine et douleur sur douleur. Cependant, j’étais heureuse, heureuse chaque fois que je ressentais dans mon ventre un de tes mouvements. Je me réjouissais lorsque tu prenais du poids bien que la grossesse m’était pénible. C’est en effet une longue fatigue.

L’aube de cette fameuse nuit est arrivé, cette nuit où je n’ai pas dormi, pas pu fermer l’œil. car j'étais secouée par des douleurs atroces, une agonie faite d'anxiété et de peur. Une situation extraordinaire qu’ il m'est impossible de décrire par les mots ou par les verbes.

Je jure par Allah mon enfant, à maintes reprises, j’ai perçu la mort de mes propres yeux dans l'attente interminable de ta venue au monde.
Tes larmes de naissance se sont mêlées à mes larmes de joie, et toutes mes douleurs et mes blessures ensanglantées ne valaient alors plus à mes yeux, tout avait disparu que tu étais encore là.

Mon cher fils, pendant les premières années de ta vie, je t’ai porté dans mon coeur, je t’ai lavé de mes propres mains, mon giron fut ton lieu pour dormir et de ma poitrine tu prenais ta nourriture .
J’ai veillé des nuits pour que tu dormes, et durant mes jours, je me suis fatiguée pour ton bonheur. Mon seul souhait était de pouvoir entrevoir ton sourire et ma joie de tout instant était que tu me demandes de te préparer quelque chose. Ceci était mon bonheur extrême. J'étais ta servante sans reproche, une nourrice ininterrompue et une travailleuse sans relâche. Ceci jusqu’à ce que tu aies atteint ta maturité et ta pleine croissance, et jusqu’à commencer à voir en toi les signes de la virilité précoce.

Te voyant déjà un bel homme, je me suis précipitamment mise à courir ici et là pour te trouver la femme que tu demandais.
Puis vint le jour de ton mariage.
Mon cœur déchiré, alors mes larmes coulaient, car j’étais d’une part heureuse de contempler ta nouvelle vie de bonheur, et d’autre part, j’étais triste de te quitter.


Les jours s’écoulèrent lentement, et lentement j'apercevais que tu n’étais plus le fils que j’avais connu auparavant.
Tu m’as rejetée et tu as feint d’oublier mes droits sur toi : les jours passent sans que je te vois, ni t’entende. Tu as feint d’ignorer celle qui t’a présenté le meilleur service. Mon enfant, je ne demande rien de plus que de me compter parmi les membres les plus éloignés de tes amis et parmi ceux que tu rencontres le moins souvent.

Mon tendre fils, fais en sorte de m’accorder chaque mois une visite,une seule visite, pour te voir ne serait-ce que pour quelques minutes.

Mon cher fils, sache que mon dos s’est courbé, mes membres tremblotent, les maladies m’exténuent, je ne suis plus aussi saine ni aussi forte. En effet, je ne me lève que difficilement et ne m’assieds que péniblement et à peine si je peux ouvrir la porte. Malgré tout, je t'aime toujours aussi fort.

Si un jour une personne te montre du respect, n'est-ce pas que tu t’empresseras de la remercier pour avoir bien agi et pour le bienfait reçu, alors que dire de ta mère – que mon Seigneur te garde !-- qui a été bonne envers toi, d’une bonté que tu ne conçois pas et d’une bienfaisance à laquelle tu es ingrat. ?
Cette mère qui était aux petits soins avec toi et s’est occupée de toi des années successives ; cette mère qu’a-t-elle donc récolté comme récompense et qu’a-t-elle obtenue en compensation ?! Comment en es-tu arrivé à être aussi insensible et comment le temps a-t-il autant agi sur toi ?!

Mon fils chéri, chaque fois qu’on m’apprend que tu es heureux dans ta vie, ma joie et ma réjouissance redoublent. Cependant, je suis étonnée par ton comportement alors que tu es le produit de mes mains.

Je me pose la question : quel crime ai-je commis pour être devenue ton ennemie et pour ne plus vouloir de moi, et pour te montrer méprisant à mon égard ?!

Pourtant, je ne vais pas me plaindre de toi (auprès d’Allah) et je ne vais pas communiquer ma tristesse (à Allah), car si jamais elle s’élève au-dessus des nuages et monte jusqu’aux portes du ciel, alors le malheur te frappera pour avoir été ingrat (envers moi), le châtiment t’atteindra, et l’adversité s’installera dans ta propre maison. Non ! Je ne le ferai pas, car tu es toujours — ô mon enfant — le fruit de mes entrailles, le doux parfum de ma vie, et le plaisir de mon existence.


crying(
BBR
c
27 décembre 2010 23:01
Salam,

très émouvant ...

Juste ce passage qui me gène : Cependant, je suis étonnée par ton comportement alors que tu es le produit de mes mains.

Que dire ? ce sujet doit être un bon rappel à toutes les épouses qui entretiennent une relation tendu avec la belle mère
Ce conflit souvent du à une rivalité entre la mère et la belle fille...
B
28 décembre 2010 00:18
C'est aussi et surtout un rappel pour les hommes qui délaissent leurs mères une fois mariés et leur préfèrent femmes et enfants.Il y a beaucoup de mères qui souffrent en silence de l’ingratitude d'un fils.
qu'Allah nous aide à être bons envers nos parents et ne nous prive pas de leur satisfaction.Amine.

Il porte sa mère sur son dos pendant le Hajj
[i]Rose des Sables,Rose des Vents[/i].
J
28 décembre 2010 05:02
Citation
doucceur a écrit:
parle lui avec douceur,
empresse toi de lui apporter toutes les bonnes chosesqu elle aime.
donne lui ce k elle souhaite avant meme qu elle ne le demande.
sois pour elle un servantdévoué.
obéis lui tant que cela n amène pas de péché.
ne la devance pas en mangeant ou en buvant.
réjouis la en invoquantpour elle la guidée, la miséricordeet le pardon pendant la nuitet aux
extremités du jour.
ne tiens pas compte de ses fautes et ses faux pas.
ne parle pas d elle a quiconque d un ton plaintif ou mauvais et n exprimea personne ce qui te chagrinea son sujet.
fais lui plaisir et respecte la.
ne t enorguillis pas face a elle ,
car tu étais a linterieur de ses entrailleset tu étais entre ses main .
rends la heureuse............. ta MERE


Salama alikoum,

Enfin un post intelligent !

Merci infiniment pour ce magnifique partage, que je considère aussi comme un rappel et une leçon.

Qu'Allah préserve nos Mamans, et nous les garde en bonne santé, amine.

Jiyène
" Lorsqu'on voit toujours les mêmes personnes, (...) elles finissent par vouloir transformer notre vie. "
H
28 décembre 2010 06:11
mascha'Allah c'est trop beau ce que tu as écris .
comme on dit le paradis ce trouve aux pieds de nos mère.
m
28 décembre 2010 11:58
magnifique ça fais chaud au coeur tentendre des paroles coome ça!! merci pour ton post


mama je tAimeeeeeeeeeeeeeee
t
28 décembre 2010 18:12
Barak allahou fik ma soeur pour ce partage

qu'Allah protège nos mères et leur donne une bonne santé amine

thumbs up merci pour ton post
Kawtar,repose en paix petit ange,maman et papa t'aiment...
O
29 décembre 2010 00:57
Salam,

TRès beau, magnifique,qu'Allah protége vos mamans et yarham celles qui sont artis bien trop loin mais qu'on n'oublie pas..

Les belles paoles d'une très belle chanson, MA chanson du moment: Kayna Samet : YEMMA

Yema j'ai tellement peur que le ciel m'eloigne de toi
Yema j'en ai le coeur qui tremble le soir quand je rentre
Yema tu m'avais dit que là-bas mes jours seront meilleurs
Yema oh tu me manques
Yema je revois ton regard à la fenetre quand j'ai franchi la porte
Le soir où j'ai traverse la mer pour rejoindre la côte
Et toi toi qui n'as jamais cesse de prier pour moi
Loin des yeux mais pas du coeur je reviendrai sur mes pas
Yema !

(refrain)
Yema les souvenirs me reviennent et me nouent la gorge
Yema chaque jour que Dieu fait je t'ai dans la peau
Yema n'oublie pas que je t'aime meme loin de toi

Yema

Yema j'ai su voler de mes ailes je tiens ça de toi
Yema comme un reve evanoui dans le froid
Yema privee de toi j'essaie d'etre forte

Mais quand viens la nuit
Je revis tous ces instants de joies
Ce sourire pose sur ton visage
L'odeur de jasmin sur tes doigts
Et je me dit que les meilleures annees de ma vie
Sont restes derrière moi
Tu me manques Yema

(refrain)

Yema ces crase me separent de toi
Je mettrai les voiles pour te dire t'ecrire
Ces mots sur le sable

Loin des yeux mais pas du coeur je reviendrai sur mes pas

(refrain)

Loin de toi...


[www.youtube.com]
[center][b]اللهم اكفنا شر من يريد ضرنا من إنس و جن و باغ و حاسد و ادفعهم عنا بيدك القوية إنك على كل شيء قدير [/b][/center]
O
30 décembre 2010 21:46
Citation
BulleBelle&Rebelle a écrit:
Voici la lettre d’une mère meurtrie adressée à son fils bien-aimé. Cette pauvre maman, après avoir cru accomplir l'éducation de son fils, veillé les nuits entières pour lui, sacrifié sa vie et son bonheur pour sa cause, et organisé son mariage avec une des jeunes filles de son choix, s’est vue soudainement reniée par ce dernier en lui désobéissant et en la rejetant.

Elle dit dans un extrait de sa lettre :

« Mon fiston, il y a maintenant vingt-cinq ans, ce fut dans ma vie une rayonnante journée lorsque le médecin m’informa que j’étais enceinte. Tu sais, mon fils, les mères maîtrisent bien le sens de ce mot ; c’est à la fois un mélange de joie et de peur, avec le début de la fatigue et les changements psychologiques et physiologiques.
.....
crying(

waw c'est une très belle lettre. Elle est si vraie, si réelle et décrit l'ingratitude des hommes envers leurs mamans. Elle me fait penser à ma chère et tendre maman qui se plaint par moment de cette ingratitude de mes frères pourtant elle en a pas fait peu pour nous. J"ai bien l'impression que c'est le cas de tous les hommes.
Et comme l'a si bien dit Rastapopûlos, nous les femmes qui ont porté un enfant connaissons le parcours d'une maman et tou ce qu'elle a du enduré pour ses enfants et ca nous rapproche certainement d'avantage d'elles.

Allah yesmahe lina men walidine,
Allahoma je3ale omahatina sayidate mine sayidate el firdawss
Allahoma a3ina 3ala hosni mo3amalitana tijaha omahatina, wa je3alna 3inda hosni danihima ya rabe
Allahoma rehamhoma
U3îdhukumâ bi-kalimâti l-lâhi t-tâmmati min kulli shaytânin wa hâmmatin, wa min kulli 3aynin lâmmatin
d
31 décembre 2010 10:13
salem


ALLAH OU MA AMINE yawning smiley
 
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