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Progres du Maroc
c
12 février 2011 00:28
Spot TV diffusé sur LCI à partir de mars 2010 - Réalisé par Guillaume Didier - Directeur de la Photographie: Sébastien Kriloff - Producteur exécutif: Richard Martineau - Agence/Production: MCMC Production Ltd - Un grand merci à Moroccan Movies System et Save Cinemas in Morocco
Parc dactivités tertiaires dédié aux sociétés spécialisées dans le développement de logiciels, la gestion dinfrastructures, le back office bancaire et de lassurance, la gestion de la relation client

Premier pôle nearshore du Maroc, le plus grand dAfrique du Nord
Plus de 300 000 m² de bureaux et services
Vivier de ressources humaines considérable
Cadre incitatif spécial et coût dopération compétitif
Cadre de travail et qualité de vie exceptionnels

CASANEARSHORE S.A est une filiale de la holding CDG DEVELOPPEMENT du groupe CDG.
La Caisse de Dépôt et de Gestion, institution financière, créée sous forme détablissement public par le Dahir du 10 février 1959 est un grand groupe constitué de nombreuses filiales, dont lactivité sétend à différents secteurs. Il intervient activement dans léconomie Nationale et se positionne comme le principal investisseur institutionnel.

Indicateurs clés de la CDG
Près de 5000 collaborateurs
100 milliards de dirhams d'actifs sous gestion 35 filiales spécialisées
44 participations
4 400 lits dhôtels
45 000 logements construits
Près d'un million de clients servis au quotidien

[www.youtube.com]


Casablanca Finance City sort le grand jeu



Avantages fiscaux pour les entreprises, zone immobilière dans le quartier d’Anfa… La plateforme financière, dont le statut a enfin été publié, affûte ses armes pour devenir incontournable en Afrique du Nord.
Lancé mi-2008 sous la double impulsion du ministre de l’Économie Salaheddine Mezouar et du gouverneur de la banque centrale, Abdellatif Jouahri, le projet de renforcement du secteur financier marocain affiche un objectif ambitieux : dépasser à terme l’Egyptian Exchange, la place forte d’Afrique du Nord avec une capitalisation de 60 milliards d’euros (contre 52,9 milliards d’euros à Casa), en attirant les entreprises spécialisées. Les Marocains veulent prendre de vitesse Tunisiens et Algériens, qui ont lancé eux aussi leurs propres projets de place financière régionale.
Après la nomination en avril 2010 de l’ancien trésorier du royaume, Saïd Ibrahimi­, à la tête de ce projet stratégique, une société spécifique a été constituée : le Moroccan Financial Board (MFCool a pour actionnaires la banque centrale, la Caisse de dépôt et de gestion et la Bourse de Casablanca pour le secteur public, les banques Attijariwafa, BMCE et Banque populaire côté privé.
À peine mise en place, la nouvelle structure s’est attelée à concevoir le statut de Casablanca Finance City (CFC) et à le faire valider. Approuvé par le Parlement fin novembre 2010, il a été publié au Bulletin officiel le 31 décembre 2010. Dès cette année, il permettra aux sociétés du secteur financier installées au Maroc de bénéficier d’exonérations fiscales sur leurs revenus dégagés à l’exportation et sur les salaires de leurs spécialistes expatriés. Les premières entreprises à en bénéficier devraient être désignées dans les trois prochains mois.
Pour passer à la vitesse supérieure, l’équipe menée par Saïd Ibrahimi s’est par ailleurs étoffée, passant de cinq salariés l’été dernier à une quinzaine aujourd’hui. Elle vient de prendre place dans des locaux flambant neufs au onzième étage des Twin Towers, en plein centre de Casablanca, et travaille dans un environnement hautement sécurisé : filtrage sourcilleux à l’entrée du bâtiment et portes à identification biométrique. L’heure n’est pas à la communication tant que la stratégie n’est pas complètement ficelée : le MFB doit encore définir les catégories d’entreprises à cibler et les nouvelles mesures incitatives qui viendront compléter le statut de CFC, et élaborer un calendrier de prospection à l’international.

Facilités de bail
Les financiers de Casablanca attendent beaucoup du projet et ont leur idée sur les entreprises qu’il faudrait attirer pour doper le secteur : « Il nous manque de grands fonds d’investissement, que ce soit de capital-risque, pour aider au démarrage d’entreprises, ou de capital-développement, pour en accélérer la croissance. Nous avons également besoin de courtiers, mais aussi d’assureurs spécialisés, sans oublier les sociétés de finance islamique », estimait en mai dernier Khalid Nasr, vice-président de la banque d’affaires BMCE Capital.
Pour attirer ces acteurs, une zone immobilière de 100 ha est prévue sur l’ancien aéroport désaffecté d’Anfa, au sud-est de Casablanca, avec pour les futurs locataires des facilités de bail et d’infrastructures. La mise en chantier, pilotée par une entité à part, l’Agence d’urbanisation et de développement d’Anfa, est prévue pour 2012, et la commercialisation des lots pour 2014. Si cette zone prend son envol, la Bourse, actuellement située en plein centre, pourrait à terme y déménager.

Jeune Afrique

Investissements
Ecisa, géant espagnol du BTP, s'installe au Maroc

C'est au Qatar où il construit une académie militaire que le groupe a fait ses premiers pas hors de l'Europe. Au Maroc, le recrutement d'ingénieurs en génie civil a commencé.


La crise immobilière en Espagne n’en finit pas de pousser les principaux acteurs ibériques du secteur en dehors des frontières. Et le Maroc, où les chantiers de BTP et les projets immobiliers se maintiennent, s’érige en relais naturel de croissance. Par conséquent après les groupes Marina d’Or, Lubasa, Edonia (voir La Vie éco du 14 janvier 2011) et autres, un nouvel opérateur espagnol de ce secteur vient de s’installer au Maroc. Il s’agit du groupe Ecisa (Empresa consultora de ingenieria y saneamiento ambiental) qui, après avoir fait ses premiers pas hors d’Europe, précisément au Qatar en 2009 où il parachève la construction d’une académie militaire, a récemment créé à Casablanca sa première filiale en Afrique. Ecisa Maroc a déjà entamé le recrutement d’ingénieurs en génie civil, d’ouvriers et du personnel administratif. Pour l’instant rien ne filtre sur la nature des premiers projets au Maroc, mais l’effectif devrait rapidement dépasser le cap de 50 personnes.



Le chiffre d’affaires 2009 s’élève à 172 millions d’euro

Le groupe Ecisa, basé à Alicante, est présent dans la maîtrise d’œuvre, la promotion immobilière et les services où il opère aussi bien dans la concession de parkings que celle des autoroutes, mais également dans le domaine environnemental, puisque ses filiales proposent des prestations dans des spécialités aussi variées que la conformité aux exigences légales, la gestion de la qualité et de la sécurité, la gestion des produits chimiques, l’approvisionnement en eau, le traitement des eaux usées et des déchets solides et semi-solides ou encore le traitement des émissions dans l’atmosphère.

En 2009, son chiffre d’affaires consolidé a atteint 172 millions d’euros (1,9 milliard de DH) dont 80% sur son marché domestique. Avec un carnet de commandes de près de 300 millions d’euros (3,3 milliards de DH) soit près de 1,7 fois son chiffre d’affaires, Ecisa fait partie des sociétés espagnoles du bâtiment qui ont le moins souffert de la crise immobilière. Voilà qui devrait rassurer les maîtres d’ouvrage marocains dont certains deviennent méfiants à l’égard des entreprises ibériques du BTP, notamment après le désengagement du Groupe Bruesa de sa filiale marocaine pour cause de mise en redressement judiciaire de la maison mère espagnole.


J.B. La Vie éco
www.lavieeco.com

Renault : la Maroc va devenir une des grandes plateformes de production du groupe

Aujourd'hui à 16h17

(Boursier.com) -- Dans le cadre de son nouveau plan stratégique, Renault a rappelé ce mercredi qu'il compte faire du Maroc une de ses grandes plateformes de production de la gamme "Entry" qui regroupe la gamme Dacia. L'usine marocaine de Tanger, dédiée aux véhicules développés à partir de la plateforme Logan, commencera son activité en 2012 avec une ligne de production de 30 véhicules par heure. Cette capacité de production sera doublée en 2013 et devrait atteindre à terme 400.000 véhicules par an. Ces voitures produites au Maroc serviront l'Europe, mais aussi l'Afrique ou le Moyen Orient.

Logan berline, break, pick-up et fourgonnette, Sandero et Duster : ces différentes voitures représentent la gamme "Entry" du groupe Renault et sont vendues sous le badge Dacia ou Renault selon les pays. Avec un total de 685.000 Logan, Sandero et Duster en 2010, cette gamme a représenté plus d'un quart des ventes de Renault l'an dernier alors même que la demande en Duster n'a pu être totalement servie faute de capacités de production suffisantes. Actuellement, le succès de la filiale roumaine de Renault est particulièrement marqué en France, au Brésil où elle concerne près des deux tiers des ventes mais aussi en Russie, en Allemagne et en Iran.

Le nouveau plan stratégique de Renault est axé sur le fort potentiel des zones hors d'Europe que le groupe voit progresser de près de 50% entre 2010 et 2016 alors qu'en Europe, les ventes d'automobiles resteraient en baisse de façon durable, sans retrouver d'ici 2016 leur niveau de 2007 avant la crise.

Le groupe souligne que les ventes d'automobiles au Brésil, en Russie, en Inde et en Chine (BRIC) ont été multipliées par 4 en 10 ans et représentent désormais un tiers des ventes de voitures dans le monde. A l'inverse, les ventes aux Etats-Unis, en Europe ou en Japon sont aujourd'hui inférieures à 50%.

Sur les zones émergentes, Renault affirme que produire localement est "indispensable pour être compétitif, réactif et pouvoir vendre au bon prix nos produits". Renault estime que ses ventes hors d'Europe devraient passer de 37% du total actuellement à 43% en 2011. Renault va donc continuer d'investir, en particulier au Brésil, en Inde et en Russie. Renault prévoit une enveloppe de 5,7 Milliards d'Euros entre 2010 et 2013 dans ses sites industriels, dont 40% en France.

O.C. - ©2011 www.boursier.com
c
12 février 2011 14:06
AU COEUR DU GIGANTISME ADDOHA
REPORTAGE SUR L’UN DES PLUS GROS CHANTIERS ACTUELS DU PROMOTEUR
HAY SALAM: UN PROGRAMME QUI S’ÉTEND SUR 128 HECTARES
BUDGET: 4,2 MILLIARDS EN 4 ANS



Les premiers immeubles sortis de terre. Cité Salam: une véritable usine à bâtiments qui s’étend sur 128 hectares, avec des process bien huilés. 7.000 à 8.000 ouvriers, principalement des maçons, sont à pied d’œuvre au quotidien



CHANTIER immense! 22.000 logements sortent de terre dans la banlieue sud-ouest de Casablanca, exactement à la sortie du quartier El Oulfa, côté boulevard Oum Rbiaâ. En plein champ, 7.000 à 8.000 ouvriers, principalement des maçons, sont à pied d’œuvre au quotidien. Une véritable usine à bâtiments qui s’étend sur 128 hectares, avec des process bien huilés. D’ailleurs, le promoteur se donne les moyens de ses ambitions. Budget global: 4,2 milliards de DH sur 4 ans, à raison de 1 milliard par an. «C’est une grosse machine qui s’est mise en branle depuis l’acquisition du foncier, avec les phases études, conception, autorisations, fondations…», précise un responsable sur site. L’enjeu est de privilégier la politique du tir groupé et faire jouer des synergies de manière à construire des groupements d’habitations de manière simultanée.

Aujourd’hui, le souhait d’Addoha est d’ériger ce programme en modèle avec des immeubles-types et le développer à l’identique sur d’autres villes. Seule différence: le choix des finitions (carrelage), des coloris et l’étendue du site bien sûr.

Lancé il y à peine 8 mois, le projet Al Farah (partie intégrante de Cité Assalam) est aujourd’hui à 40-45% de l’état d’avancement global. Un programme qui devra s’achever vers fin 2014, début 2015. Ceci étant, les premiers acquéreurs ont déjà reçu leurs trousseaux de clés il y a une semaine. En tout, ils sont au nombre de 1.225 à pouvoir emménager fin février ou début mars au plus tard!

«Au total, le programme Cité Assalam de Casablanca comprend quelque 22.000 logements répartis selon une configuration qui privilégie la mixité sociale», précise Salah Tazi, promu récemment directeur technique à Addoha. Bien entendu, la composante sociale s’offre la part du lion avec 18.354 habitats. S’y ajoutent 3.605 logements de moyen standing répartis entre appartements et villas au nombre de 500 semi finies type F6, allant de 200 à 474 m2. Le reste étant réparti entre des espaces bureaux (27.700 unités) et des locaux commerciaux étendus sur 10.000 mètres carrés.

Côté équipements de proximité, cette ville dans la ville comprend 9 écoles publiques que le promoteur compte réaliser et céder à la collectivité, 5 collèges, 2 lycées, 3 centres de santé, 3 administrations (commune, arrondissement…), 3 mosquées, 2 maisons de jeunes, des terrains de sport, 2 foyers féminins, des espaces verts… Une fois le programme livré clés en mains, 32 équipements socio-administratifs réalisés par Addoha seront cédés à titre gracieux à l’Etat. «Ce n’est pas une obligation, mais Addoha le fait bénévolement», tient à préciser le directeur technique. Parallèlement, le promoteur a programmé 14 équipements privés qui seront commercialisés, notamment des hammams, crèches, gymnases, écoles privées, centre commercial… Cette offre sera déclinée en terrains et bâtiments à céder. Plus encore, le programme d’habitations Salam sera doté d’une zone artisanale avec des ateliers-métiers. L’autre pari est d’arriver à planter plus de 18.000 arbres, à raison d’un arbre de 3 mètres de hauteur par appartement ! Autre atout et non des moindres, une double voie avec une emprise de 30 mètres sillonne l’ensemble du projet. Selon le directeur technique d’Addoha, le projet Al Farah du programme Salam répond à un cahier des charges très strict avec des engagements des entreprises sur les délais et la qualité. «Notre force réside dans la maîtrise des délais et la rationalisation des coûts sans pour autant lésiner sur la qualité de la conception jusqu’à la remise des clés», soutient Salah Tazi. En moyenne, poursuit le directeur, chaque appartement absorbe 12 tonnes de ciment et 2,5 tonnes d’acier, soit un total de plus de 216.000 tonnes de ciment et quelque 50.000 tonnes d’acier sur l’ensemble des logements sociaux de ce programme. Valeur aujourd’hui, les délais d’attente des clients oscillent entre 12 et 18 mois.

Premier arrivé, premier servi !

CONÇU par le cabinet d’architectes Lahlou, les premiers coups de pioches du projet Al Farah ont été donnés vers la fin du premier semestre 2010. L’ensemble résidentiel sera opérationnel dans sa globalité en 2015. Au total, six entreprises spécialisées dans le tout corps d’état travaillent sur ce chantier. Ce sont généralement des entreprises qui ont une taille critique et capables de produire entre 500 et 1.000 logements. Le programme comprend plusieurs quartiers conçus à l’identique. Le plus avancé est celui baptisé Farah. Sur les 5.600 appartements programmés, près de 50% sont en phase de livraison. Ce projet a fait récemment l’objet d’une visite royale. Les clés des premiers appartements ont déjà été remises. En termes d’attribution des logements et de choix, Addoha se base sur le principe «du premier arrivé, premier servi». Autrement dit, les premiers acquéreurs sont ceux ayant signé les premiers bons de commandes.

leconomiste
 
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