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un prof a giflé mon fils de 11 ans
9 février 2016 16:48
salam aleikoum, mon fils est au collége et il m appelle pour me dire que son prof de sport lui

a donne une gifle parce qu il avait fait tomber en jouant un eleve avant d entrer en sport.

j ai appele le prof directement car je n ai pas voulu faire de vague avec le cpe, il a minimiser

les faits, dis que c était juste une tape derrière la tête rien de méchant. l échange avec lui

me laisse perplexe je lui ai di que je n était pas d accord avec son comportement et qu il y a

avait d autre solutions comme punition il a très vite écourter la discussion ,ne s est pas

excuser mais dit qu il n y aura plus de soucis, j ai l impression qu il ma prise pour une

idiote.Que me conseillez vous? je regrette de l avoir appelé lui et non la cpe...
C
9 février 2016 16:58
Bonjour

Alors, j'ai eu des soucis aussi d'un autre ordre avec l'éducation nationale. Donc je te fais pars de mon expérience en la matière.

Déjà, faut savoir que les profs, ainsi que le directeur de l'établissement, se tiennent les coudes dans des cas comme ça. Ils sont quasi intouchables. Mais toi, tu vas devoir faire du bruit.

Déjà, il va falloir aller trouver le directeur, avec et sans ton fils. Ensuite, il va falloir contacter les parents d'élèves (en principe, ce sont les lèche-culs, le principe de faire parti des parents d'élèves, c'est que leurs gosses soient bien vus par les profs, ni plus, ni moins, ma mère en faisait parti, je sais comment ça se passe, mais il faut les voir et faire un scandale).

En aparté, il faut que tu te rapproches des autres parents et vois si tu peux recueillir des témoignages en ta faveur. Si ce prof tape, ce n'est sans doute pas la première fois, surtout qu'il a su mentir dès le départ. Mais les parents ont toujours peur des retombés, donc beaucoup se taisent. Mais il faut faire bouger la souricière. Poser une griffe de chat au milieu pour que chacun sache et parle de l'événement. Dans le lot, il y en a toujours un qui parle. Et quand il y en a un qui se lève, d'autres se lèvent, ça fait effet boule de neige. Mais faut en soulever de la neige pour avoir cette fameuse boule.

Donc à toi de voir. Ne rien faire, ton gamin risque de devenir une tête de turc et il n'aura même pas eu le soutien de sa propre mère entre temps. Et si tu bouges, tu vas en entendre des vertes et des pas mures, donc attends toi à passer un sale moment et ton fils aussi.

Je te raconte mon histoire dans le post suivant, histoire que tu vois comment le système fonctionne.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/02/16 18:06 par Cathy91.
s
9 février 2016 17:00
Salam

Ne laisse pas passer ça!!
passe par le directeur de l'établissement directement! Il manquerait plus que ça.
9 février 2016 17:54
salam
tu l'appelles, il te dit qu'il y aura plus de souci de ce genre, et toi t's pas contente? ben, tu l'as appelé pour quoi au juste, si ce n'est pour t'assurer que ca se reproduira plus? tu voulais qu'il te verse des dommages et interets ou quoi?
C
9 février 2016 18:05
Bon alors. Je te raconte cette histoire pour que tu vois la progression des événements. Que tu saches à quoi t’attendre. Mais je le redis, il va falloir te bouger, pour le bien de ton fils, même si c’est difficile au quotidien.

Quand j’étais en 5e, on a eu un prof de sport, Bruno, qui était un pervers. Il s’amusait à rentrer dans les vestiaires des filles pendant qu’elles se déshabillaient. Avec lui, il y avait deux femmes, mais c’était toujours lui qui s’occupait du vestiaire des filles. Donc pour moi, ces collègues féminines était de mèche.

Non seulement il rentrait dans le vestiaire pour se taper la discute avec les filles, mais en plus, il y avait dans ces vestiaires un coin douche où celles qui se déshabillaient complètement se planquaient et il y allait aussi, normal, et il y avait des pincements de fesses au passage.

Au passage, il avait instauré un sport pour le trimestre : lutte. Et qui prenait-il comme partenaire pour montrer les gestes ? Je te le donne en mille. Alors dans le lot, il y avait les filles qui le trouvaient répugnant, et les filles qui le trouvaient sexy et qui se laissaient faire.
Autant être franche, il ne choisissait que celles qui avaient déjà des formes et qui étaient plutôt consentantes. Moi, il n’a pas osé mettre les mains sur moi, il a vu dans mon regard que j’aurais fait un scandale. Malgré tout, je trouvais vraiment son attitude dégueulasse et j’ai fini par en parler à ma mère.

Comme elle faisait parti des parents d’élèves, elle en a discuté un jour lors d’une réunion, les autres ont écouté, ont tenté de minimiser les choses, mais le message était passé. Y’avait plusieurs parents qui avaient ce Bruno dans la liste des profs de leur gamin, ils ont mené leur enquête. Mais dans le lot, aucun des enfants de ces parents n’étaient réellement concernés par l’affaire. Au pire, ils acceptaient les dire, mais personne ne se plaignaient d’attouchements, alors les parents ont laissé couler. Normal, quand se porte parent d’élèves, c’est pour que notre enfant soit bien vu par les profs et qu’il devienne un chouchou. Alors aucun des parents n’allait risquer d’avoir des ennuis.

Comme personne ne bougeait, ma mère est allée voir un jour où j’étais en cours le proviseur. Elle n’a pas voulu me parler de cette visite, histoire de ne pas m’influencer, ni de m’inquiéter. Mais le lendemain matin, le prof de sport est venu me voir et m’a dit que ce n’était pas bien de raconter des salades. Il avait mis son bras autour de mes épaules, comme si j’étais sa copine et il essayait de m’amadouer. Je m’étais reculer et à ce moment-là, il m’avait mise en garde de me taire. Je lui ai alors dit que je n’étais pas au courant de rien.

A peine sorti du sport, le prof m’appostrophe et me dit que le proviseur m’attend dans son bureau. Moi qui ne savais pas que ma mère lui avait rendu visite, et après les menaces du prof, j’avais le trouillomètre au summum. Jamais je n’avais été dans le bureau du proviseur.

Arrivée sur place, le proviseur a d’abord fait le gentil, me demandant ce qui se passait. Je lui raconte alors que le prof rentre dans les vestiaires et que ce n’est pas bien. Et qu’il s’amuse à prendre des filles sur ses genoux, qu’il les touche. Et là, le proviseur me tombe dessus, me traite de menteuse, que je devrais avoir honte de raconter des choses pareilles, que ça peut aller loin ces histoires, bref, je passe pour LA criminelle de service à abattre. Il n’ira pas plus loin dans les menaces, mais il me demande à son tour de me taire et d’arrêter avec ça.

Je rentre le midi en pleurs, forcément, traumatisée par ce qui venait de m’arriver, je ne voulais même plus revenir à l’école. Ma mère, en colère, m’oblige à retourner chez le proviseur avec elle, histoire qu’on règle ça une bonne fois pour toute. Arrivée sur place, je vais littéralement me liquéfier. Ma mère g…ant d’un côté, le proviseur me questionnant, mais comme aucun son ne sortira de ma bouche, il finira par dire à ma mère que ce que je raconte n’est que mensonge, la preuve, devant elle, je ne disais plus rien.

Ma mère m’en voudra un peu de ne pas avoir parlé, mais elle comprendra que j’étais morte de peur. Il n’y avait pas eu moyen d’avoir gain de cause, alors ma mère m’a demandé le nom de toutes les filles qui étaient consentantes dans l’aventure. Je savais à peu près où elles habitaient, j’ai donné les infos à ma mère et elle est allée voir seule les parents de chacune. Elles étaient 4 ou 5, je ne sais plus bien. Bref, la plupart des parents sont tombés des nus et forcément ont attrapé leur fille le soir venu.

Dans la semaine qui suivait, le temps qu’elle fasse le tour de tout le monde, j’avais et le prof de sport sur le dos, le proviseur, et en prime à présent, ces filles qui forcément m’en voulaient elles aussi. L’angoisse. Je ne te raconte pas dans quel état j’étais. L’horreur, vraiment. Emotionnellement parlant, c’était vraiment l’horreur.

Mais maintenant que les autres parents concernés étaient au courant, eux aussi sont allé
C
9 février 2016 18:05
Mais maintenant que les autres parents concernés étaient au courant, eux aussi sont allés voir le proviseur pour savoir quoi. Et un matin, j’arrive en cours de sport, le prof me voit et me dit, directement « Toi, tu dégages de mon cours ». Moi, tombant des nues « hein, mais où je vais alors ? » « J’en ai rien à faire, je ne veux plus te voir dans mes pattes ». Alors une des profs femme (ma prof de maths d’ailleurs, oui, elle faisait maths et sport en même temps, et tu remarqueras que pas une fois je n’ai parlé d’elle dans l’histoire, elle ne s’est jamais mêlée de tout ça, jusqu’à ce moment-là) m’a récupérée, et les autres filles ont été mises dans l’autre groupe tenu par l’autre femme.

Et de là, les choses ont commencé à se tasser. Les choses sont progressivement revenues à la normale, mais ça a fichu mon année en l’air. Voire le début de l’année suivante aussi, car j’avais encore quelques élèves sur le dos jusque là.

Mais le meilleur de l’histoire reste à venir. Arrive la fin de l’année, dernière réunion avec les profs et ma prof de français (ma prof principale qui jusque là était aussi restée muette) s’approche de ma mère, lui demande comment je vais et on remet l’histoire sur le tapis. J’écoute, et là, j’entends ma prof de français dire « vous savez, j’ai mon mari qui est prof et qui travaille dans un autre collège de la région, et il s’avère que l’année dernière, ce prof de sport exerçait dans son collège. Et il y a eu exactement les mêmes histoires qu’ici. Ce n’est pas la première fois que ça arrive, déjà cette année, ce prof était sur le coup d’une mutation. »

Ça nous a fait à ma mère et à moi comme un coup de poignard dans le dos. On a eu tout le monde, mais vraiment tout le monde sur le dos. Pas une personne ne s’est levée pour prendre ma défense pendant tout ce temps et au final tout le monde savait déjà l’histoire, surtout le proviseur.

L’envers du décor. Toujours. C’est ça le système. Et c’est pareil en entreprise et c’est pareil partout.

Alors ma mère a cru comprendre que certains profs s’étaient mobilisés pour moi, j’étais une bonne élève, calme, et on a quand même voulu me protéger. Ma prof de maths ? Ma prof de français ? Peut-être même ma prof d’histoire qui je me souviens m’avait demandé un jour comment j’allais. Me rappelle n’avoir répondu que par un haussement d’épaules, genre qu’est-ce que j’y pouvais ? En tout cas, de là où j’étais, j’ai rien vu, et ma mère non plus. Si on m’a aidé, ça s’est fait en interne. Peut-être que c’est grâce à cette aide que ma prof de maths m’a prise dans son cours de sport et que les autres filles ont été dispatchées dans l’autre groupe. En tout cas, aucun autre prof n’est venu directement me parler de cette histoire en cours d’année.

Et ce prof de sport a encore changé d’établissement l’année suivante. Il n’a pas été licencié, non, on l’a encore muté …

Donc voilà, j’ai passé une sale année, encore maintenant, j’ai 41 ans et je sens ma mâchoire qui se crispe de stress et mes larmes qui font tout leur possible pour ne pas couler. C’est pas de la tristesse ou de la peur que je ressens, c’est de la rage, du dégoût, de la colère, 25 ans après encore.

Ma mère n’a pas su faire virer le prof. En même temps, elle n’a pas écrit à l’académie, mais est-ce que ça aurait changé quelque chose ? En tout cas, tout ce que je sais, c’est que ma mère était là. Elle aura fait tout ce qui était possible pour que tout cela s’arrête. Et rien que ça, ouf, au moins une personne à mes côtés.

Alors tu peux laisser cette claque au passé, ou faire en sorte que ça ne se reproduise plus. Mais tu sais à quoi t’en tenir. Perso, je ne remercierai jamais assez ma mère d’avoir fait ce qu’elle a fait. Jamais je ne lui en ai voulu, bien au contraire. Même si j’ai passé une année en enfer avant l’heure.

Donc je n’ai pas raconté cette histoire pour qu’on pleure avec moi, mais pour t’expliquer comment ça se passe en interne. Histoire que tu sois prévenue. Voilà voilà. En espérant que ça puisse t’aider.
T
10 février 2016 05:29
Je rejoins Cathy91, l'établissement ne fera qu'un et le corps professoral fera tout Pr minimiser l'acte de ce professeur. Te plaindre ça sera comme "pisser dans un violon" comme dirait l'autre. En plus si ton enfant est connu Pr etre turbulent ou chahuteur il l'aura limite "mérité" selon eux.
Le professeur ne sera jamais inquiété de ce qu'il a fait, meme si on te soutiendra le contraire.

Apres c sûr entreprends tes démarches auprès du cpe, du directeur et de l'académie (courriers A/R) meme si ça sert à rien c'est juste Pr le geste mais surtout vas voir ce prof Pr lui expliquer que la prochaine fois que ça arrive c'est toi qui viendra le gifler !

Les mamans si vous saviez qui enseignent à vos enfants Jvous jure vous feriez l'école à la maison!
e
10 février 2016 06:50
Il est formellement interdit de frapper un éleve donc ne laisse pas passer ça !

Parles en au directeur et s'il minimise.ou défend.le.prof menace d'aller plus loin !
Pas de MP.
b
10 février 2016 14:56
Il fut un temps où lorsqu'on recevait une claque d'un prof, on fermait sa g... pour éviter d'en prendre une seconde par ses parents. Après on s’étonne qu'il n'y ait plus d'autorité dans les écoles...

Est-ce que tu t'es posé la question de savoir s'il la méritait sa claque?

Je sens que je ne vais pas me faire d'amis sur ce coup smoking smiley
M
10 février 2016 17:56
Un prof n'a pas à touche un élève physiquement.
Utiliser la violence c'est faire preuve de faiblesse, encore heureux qu'on est plus à l'époque où il était normal de frapper un élève.
Heuresement les moeurs évoluent, il serait temps que vous aussi vous évoluez.
Citation
botfonasste a écrit:
Il fut un temps où lorsqu'on recevait une claque d'un prof, on fermait sa g... pour éviter d'en prendre une seconde par ses parents. Après on s’étonne qu'il n'y ait plus d'autorité dans les écoles...

Est-ce que tu t'es posé la question de savoir s'il la méritait sa claque?

Je sens que je ne vais pas me faire d'amis sur ce coup smoking smiley
C
10 février 2016 18:50
Tu sais Botfonasste (c'est quoi ce pseudo ?), j'ai connu, et mes parents aussi, des profs qui utilisaient cette violence permise autrefois pour défouler leurs nerfs sur les gamins. Des sadiques, y'en a partout.

Je me souviens d'un prof au CP, il avait l'habitude de punir les enfants en les mettant debout sur une chaise devant tout le monde, et parfois, il faisait baisser la culotte pour mettre une fessée cul nu. Et ça durait et durait, parfois même une demie-heure comme ça ... Et fallait pas qu'on bronche, sinon, on le rejoignait. Et le prof faisait en sorte qu'on rigole de la situation.

Imagine un peu l'humiliation que l'enfant pouvait ressentir. Et forcément, ces profs ne s'en prennent qu'aux élèves dont on sait que les parents laisseront faire. Je me souviens très bien de cet élève, et même de son nom et prénom, pour te dire si ça m'a marqué. En même temps, dans ma famille, on n'est pas du genre à taper, et encore moins à humilier ...

Et j'ai connu un autre prof qui avait tendance à mettre des gifles ou des coups de règles à ceux qu'il n'aimait pas. Pas à ceux qui fichaient le bazar, à ceux dont la tête ne lui revenait pas.

Et mes parents en ont aussi dans la mémoire, et à leur époque, l'école était non mixte, donc même les profs femmes avaient leurs méthodes sadiques. Mes deux parents ont reçu des gifles pour des problèmes de maths non compris, ou autres.

Ma mère me raconte qu'elle avait une prof sur le dos pendant tout le premier trimestre comme ça, sans raison. Et ma mère est devenue première de la classe pour lui mettre la pression encore plus qu'elle. Elle a fini par avoir le dessus. C'est une teigne ma mère de ce côté-là.
Mon père par contre a quitté l'école à cause d'une gifle. A 14 ans, face à un prof qui n'arrêtait pas de lui mettre des raclées (bon, faut croire qu'il n'était pas si sage que ça, il me l'a avoué, m'enfin quand même), un jour, il s'est mis en face du prof et lui a dit que s'il le giflait, il ne reviendrait plus à l'école. Il s'est exécuté, mon père est parti dans la vie active.

ça et les coups de règles en fer sur les doigts, les oreilles arrachées (et c'est pas un euphémisme), les têtes qui valdinguent dans le tableau .... Mouais ...

Je peux comprendre qu'une gifle de temps en temps ne fait pas de mal, mais si on laisse faire, on sait que certains en abusent volontiers. Et là, quand c'est permis, y'a pas moyen de mettre les Oh Là.

Je suis assistante maternelle, et on a les mêmes consignes, no fessée. Alors ok, les gamins sont très petits, mais y'a déjà des petites terreurs parfois. C'est tentant, faut le dire. Mais quand on commence, on a vite fait de se faire une tête de turc. Faut d'autres méthodes que la violence physique quand même.

Faut apprendre à avoir de l'autorité sans frapper. Ma mère, j'ai jamais pu lui désobéir, alors qu'elle n'a jamais levé sa main sur moi, mais franchement, j'ai 41 ans, et j'ai encore peur d'elle par moments ... Je n'arrive pas à prendre certaines décisions alors qu'elle habite à 300 km de chez moi, c'est dire. Je rigole, mais c'est ça. Et on ne m'a jamais enfermé dans un placard non plus, je jure. lol.

Bref, faut faire attention quand même à la violence gratuite comme ça. Si la posteuse laisse faire, le prof recommencera car son gamin sera un moyen pour lui de se calmer les nerfs, faut pas laisser faire, faut réagir. Mettre la pression sur tout le monde.
10 février 2016 21:18
Assalâmou 'alaykoum wa rahmatoullâh.
Porte plainte pour coups et blessures volontaires sur mineur de moins de 15 ans par personne chargée d'une mission de service public dans l'exercice de ses fonctions. Détails ici et .

On paie des impôts et des taxes pour financer un appareil judiciaire. Il faut s'en servir.

Wassalâmou 'alaykoum wa rahmatoullâh.




Modifié 1 fois. Dernière modification le 10/02/16 21:33 par CHN-W.
10 février 2016 23:16
dans la majorités des cas, c'est les eleves qui sont violents avec les profs, surtout au college. ah mais pour eux personne dit que c'est faire preuve de faiblesse, surtout pas les momans du petit cheri.
vous trouvez que les profs sont surprotegés, mais c'est les eleves qui le sont. un collegien peut rayer la voiture du prof, lui crever les pneus, lui casser ses lunettes en lancant une gomme dessus, et je passe sur toutes les insultes qu'ils recoivent, jamais il sera defendu par sa hierarchie, on lui demandera toujours de se la fermer et de pas faire de bruit. et si jamais il se plaint a la maman du cheri, c'est elle qui vient lui refaire le portrait ou se venger sur sa voiture.
voila la realité d'un grand nombre de colleges de france, ce serait different si ces gamins recevaient quelques gifles de leurs parents de temps en temps. ah mais non, la violence c'est mal, pauvre choupinou, il s'est battu aujourd'hui a l'ecole, alors pour le consoler je vais l'emmener au macdo.
Citation
Munduki96 a écrit:
Un prof n'a pas à touche un élève physiquement.
Utiliser la violence c'est faire preuve de faiblesse, encore heureux qu'on est plus à l'époque où il était normal de frapper un élève.
Heuresement les moeurs évoluent, il serait temps que vous aussi vous évoluez.
a
10 février 2016 23:45
Bonsoir Cathy

tu dois être très âgée pour le coup , car le coup des fessées que tu décris (fesses nues) ça remonte à loin tout de même
[center][color=#FF0099][i]" y ya el khak am ou khizoune "[/i][/color][/center]
g
11 février 2016 17:44
Lol, elle a 41 ans,attend elle a pas encore un pied dans la tombemoody smiley
Citation
ainvittel a écrit:
Bonsoir Cathy

tu dois être très âgée pour le coup , car le coup des fessées que tu décris (fesses nues) ça remonte à loin tout de même
a
12 février 2016 09:49
disons que ce type de fessées à ma connaissance remonte à bcq plus loin genre une personne à la retraite ou la soixantaine
Citation
grain_de_raisin a écrit:
Lol, elle a 41 ans,attend elle a pas encore un pied dans la tombemoody smiley
[center][color=#FF0099][i]" y ya el khak am ou khizoune "[/i][/color][/center]
C
14 février 2016 18:12
Ah ben ça se faisait encore quand j'étais gamine, tu vois bien, c'était en 1980, quand j'étais au CP.

Et le prof qui giflait, il a exercé jusqu'à ce que je quitte la primaire et il n'a pas changé de méthodes entre deux. Donc on peut aller comme ça jusqu'en 1985 ...

Et encore à cette époque là, les parents laissaient faire parce que malgré tout, les profs apprenaient comme il fallait aux enfants (en même temps, ils en avaient tellement peur qu'ils apprenaient sans doute mieux aussi ... lol)

D'ailleurs, en y repensant, y'avait une vieille prof à la maternelle pour ma grande, et c'était une terreur aussi. Et elle est devenue directrice en fin de carrière. Les gamins pleuraient pour ne pas aller à l'école à chaque rentrée de vacances. J'habite en face de l'école et fenêtre double vitrage fermée, des fois je l'entendais g...er sur un gamin dans la cour de récré. Et là on remonte à il y a 12 ans, donc en 2004 ...

Les jeunes profs n'ont plus d'autorité, mais les vieux profs ont encore des méthodes barbares pour certains ... Mais ce sont généralement les meilleurs profs ...
15 février 2016 23:12
Porte plainte ou plain toi au près des profs directeur
17 février 2016 12:19
Hey hey mais ça va pas ou quoi ??

Porter plainte carrément ?? !!!

Nan mais vous voulez envoyer un prof en prison parce qu'il a juste fait une tappette sur la tête de ton fils ?

Oh la la ! Peut être que ton fils a augmenté les faits !

Vous vous rendez pas compte !!
 
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