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LynTu a écrit:
Salam,
No panic !
Cette femme, soeur, elle a doit bien avoir un oncle maternel ou paternel, un grand-père, un frère, ou le mari d'une tante ...
Il y a toujours Une ou plusieurs solutions.
Qu'elle prépare son mariage tranquillement.
Et que son père aille se taper la tête contre mur... bon vent !
Ps: elle pense bien à lui envoyer un faire part, quand même ?
S'il vient tant mieux, sinon, tant pis pour lui!
Mabrouk aleikom.
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FaireDodo a écrit:
Lorsque mes parents ont divorcé, mon père m'a abandonné, donc je n'ai entre guillemets pas de père . Pour le mariage c'était ma mère le mahram, il y avait aussi ma soeur et le mari de celle ci .
Il y a toujours des solutions.
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La charia nous ordonne de faciliter le mariage et nous interdit d’être excessivement exigents en ce qui a trait à celui-ci, Telle était la ligne de conduite du Prophète () en se mariant et en mariant autrui. a écrit:
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Invisible_23 a écrit:
Depuis quand le mari d'une tante est un mahram????
Le zawaj sunna se fait avec le tuteur qui est de facto le père. C'est seulement s'il est absent qu'il peut déléguer ce rôle à un mahram.
De plus, ici nous n'avons pas de détails sur l'objet de la dispute.
Je donne un exemple :
La famille du côté de la mère voudrait faire un mariage mixte (hommes et femmes melangés). Et bien je peux comprendre la colère du père suite à une telle proposition et qu'il veuille se retirer de cette mascarade (même si elles disent que finalement ça ne le sera pas, on sait comment ça se termine en général)
Tout ça pour dire que nous n'avons pas tous les éléments, vous ne vous rendez pas compte des mauvais conseils que vous donnez sur ce forum.
Et quand bien même le père n'aurait aucune raison valable de refuser ce mariage, je conseillerais à la sœur d'abandonner, ALLAH lui réserve peut être bien mieux. Il ne faut jamais se marier sans la bénédiction de ses parents. Souvent quand ça commence ainsi, ça ne présage rien de bon pour la suite , des problèmes, des problèmes et encore des problèmes...et après on se dit : "Ah si seulement j'avais écouté mes parents..."