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Un "printemps turc" est-il en train de naître ?
c
1 juin 2013 16:02
Turquie : M. Erdogan ou l'ivresse du pouvoir
LE MONDE | 01.06.2013 à 11h40 • Mis à jour le 01.06.2013 à 13h43

Par Editorial du "Monde"


Manifestation contre le gouvernement turque de Tayyip Erdogan, le 12 mai.


Un "printemps turc" est-il en train de naître ? Taksim est-elle la "place Tahrir" d'Istanbul, comme certains manifestants le clament ? A coup sûr, la mobilisation qui s'est enclenchée cette semaine aux abords de la grande place centrale d'Istanbul va marquer un tournant politique en Turquie.

Lancée par une poignée de manifestants "marginaux", comme aime les qualifier le premier ministre, Tayyip Erdogan, pour la sauvegarde d'un morceau de jardin public, elle s'est transformée en un vaste mouvement d'union contre la politique du chef du gouvernement, encouragé par une violente répression policière et un usage excessif de la force.

De l'extrême gauche à la droite de l'échiquier politique, le mouvement cristallise tous les griefs accumulés contre celui qui monopolise le pouvoir depuis maintenant dix ans. Les laïques s'émeuvent, chaque jour un peu plus, de l'irruption de la religion dans l'espace public et de son instrumentalisation par M. Erdogan pour gouverner.

C'est ainsi que, en quelques jours, une loi a été votée pour restreindre la consommation d'alcool. Sevan Nisanyan, un intellectuel arménien de Turquie, a été condamné pour "blasphème" à treize mois de prison après avoir critiqué le prophète Mahomet. Et la mairie d'Ankara a appelé les citoyens "à adopter un comportement conforme aux valeurs morales".

Les partis de gauche et d'extrême gauche, les étudiants, ainsi que les organisations syndicales, sont éreintés par la répression des manifestations et les vagues d'arrestations dont ils ont été la cible depuis des mois au nom de la lutte contre le terrorisme. Les alévis turcs, une branche minoritaire et libérale de l'islam, s'estiment victimes de discriminations de la part du gouvernement du Parti de la justice et du développement (AKP), qui ne reconnaît pas leur particularisme cultuel. La liste est longue.

Tous dénoncent, à l'unisson, la dérive autoritaire du chef du gouvernement turc, son style brutal, les projets urbains mégalomaniaques dont il affuble Istanbul et le système clanique qu'il s'est bâti dans la ville lorsqu'il en était maire, il y a près de vingt ans.

Adossé au départ au processus de négociations d'adhésion à l'Union européenne et à une dynamique réformatrice, le pouvoir de M. Erdogan était encadré. Il a été renforcé par deux élections, qui ont tourné au plébiscite, en 2007 et 2011, avec respectivement 47 % et 50 % des voix à l'AKP.

Cette mainmise électorale a permis à M. Erdogan de se débarrasser de tout contre-pouvoir en interne. L'armée, l'appareil bureaucratique et judiciaire, la presse, qui lui étaient autrefois opposés, sont devenus des instruments au service de l'AKP, le parti majoritaire, et de son chef.

Ainsi, pendant que les émeutes éclataient à Taksim, les chaînes de télévision montraient M. Erdogan tenant une conférence pour le jour de la lutte contre le tabac. Les forces de l'ordre, dont les effectifs ont triplé depuis l'arrivée de M. Erdogan au pouvoir, ont fait preuve d'une violence inouïe contre les manifestants, en toute impunité.

En 2014, c'est la présidence de la République que M. Erdogan souhaite conquérir, après avoir fait réformer la Constitution et fait évoluer la Turquie vers un régime présidentiel. Ce qui fait craindre à beaucoup un nouveau tour de vis.
[www.lemonde.fr]
f
1 juin 2013 16:19
Et le printemps français?

franchement, il faut que t'arrête un peu avec ce genre de sujet...

L'addiction désigne l'asservissement d'un sujet à une substance ou une activité dont il a contracté l'habitude par un usage plus ou moins répété. La toxicomanie désigne l'usage habituel et excessif, nuisible pour l'individu ou pour la société, de substances toxiques, ce qui engendre un état de dépendance psychique et/ou physique. Les addictions les plus courantes concernent des substances peu toxiques (caféine), toxiques (nicotine) ou des drogues dures (héroïne). L'addiction à une activité est probablement liée à une libération d'endorphines dans la circulation sanguine en rapport avec le plaisir procuré par cette activité, et on peut généralement la différencier du comportement obsessionnel compulsif.
mido-de-paris
1 juin 2013 18:39
Encore un coup des sionistes.
1 juin 2013 20:15
tout est possible, il lui en veulent de ca sortie lors de l'attaque des bateaux turcs en eaux internationales et ils veulent pas de ca visite programée a Gaza dans deux semaines

donc le moment est bien choisis

il faut aussi dire qu'il s'est mit beaucoup de monde a dos, surtout la partie la plus liberale, les juifs, les chrétians,

30% des juifs Turcs ont quité les 2 derniers anneés, pour Isra Hell!

donc il fait mossad a istanbul
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
c
1 juin 2013 20:49
Citation
Btof a écrit:
tout est possible, il lui en veulent de ca sortie lors de l'attaque des bateaux turcs en eaux internationales et ils veulent pas de ca visite programée a Gaza dans deux semaines
donc le moment est bien choisis
il faut aussi dire qu'il s'est mit beaucoup de monde a dos, surtout la partie la plus liberale, les juifs, les chrétians,
30% des juifs Turcs ont quité les 2 derniers anneés, pour Isra Hell!
donc il fait mossad a istanbul



tu oublies la gauche, les laiques, les syndicalistes, les journalistes, les musulmans non reconnus ...etc
ça fait du monde qui supporte de plus en plus mal l'autoritarisme.
l'ecrasante majorité des manifestants sont des turcs musulmans.
pourquoi toujours vouloir mettre tout sur le dos des juifs?
c'est maladif. Oups
c
1 juin 2013 22:48
Citation
Btof a écrit:
tout est possible, il lui en veulent de ca sortie lors de l'attaque des bateaux turcs en eaux internationales et ils veulent pas de ca visite programée a Gaza dans deux semaines

donc le moment est bien choisis

il faut aussi dire qu'il s'est mit beaucoup de monde a dos, surtout la partie la plus liberale, les juifs, les chrétians,

30% des juifs Turcs ont quité les 2 derniers anneés, pour Isra Hell!

donc il fait mossad a istanbul


+1
l’état escroc dit israel n'est qu'une arnaque !.
2 juin 2013 12:18
C une belle place taksim c bien dommage...
Sinon pkoi parler de printemps turc ? A chaque manif dans n'importe quel pays on va parler de printemps !?
S
2 juin 2013 19:48
Erdogan, ainsi que son Parti Justice et Développement, jouissent d'une légitimité que ni Moubarak, ni BenAli ne comptait à leur bord. Les gouvernements ne peuvent faire l'objet d'aucune comparaison possible, ni même la population et encore moins les formes de manifestations, alors parler de "printemps turc" c'est un peu beaucoup exagéré.
Si depuis 2003 on souligne les dérives autoritaires du régime sous le PJD, il ne faut pas occulter le développement économique et social du pays avec Erdogan aux commandes.

Dans tous les cas, un changement commençait à se faire sentir depuis déjà quelques temps...à voir!
c
2 juin 2013 22:23
Citation
heywa a écrit:
C une belle place taksim c bien dommage...
Sinon pkoi parler de printemps turc ? A chaque manif dans n'importe quel pays on va parler de printemps !?


ben disons que si parler de printemps turc est exagéré, on quand méme bien obligé de reconnaitre que la manif contre un projet immobilier a fédéré bien au dela de ce motif.
la contestation s'est étendu à d'autres villes.
il y a un vrai ras le bol.
3 juin 2013 09:16
Manifestation occidental =les indignes.

Manifestation dans un pays musulman = "printemps" avec toute la quonotation mental que ce mot peux avoir.

Les mots peuvent atteindre des endroits ou meme les lazers n arrivent pas. Citation d un illuminati bien connu
Nadafa minal imane wal imane minal islam... il est temps de subsidier les panneaux solaires
3 juin 2013 09:21
Manifestation occidental =les indignes.

Manifestation dans un pays musulman = "printemps" avec toute la quonotation mental que ce mot peux avoir.

Les mots peuvent atteindre des endroits ou meme les lazers n arrivent pas. Citation d un illuminati bien connu
Nadafa minal imane wal imane minal islam... il est temps de subsidier les panneaux solaires
c
4 juin 2013 20:55
Turquie : excuses et appel au calme du vice-premier ministre
Le Monde.fr avec AFP | 04.06.2013 à 05h42 • Mis à jour le 04.06.2013 à 17h15

Le porte-parole du gouvernement cherche l'apaisement alors que l'une des plus importantes centrales syndicales a appelé à une grève de deux jours.

Après quatre jours de manifestations, le porte-parole du gouvernement turc semble chercher l'apaisement. Bülent Arinç, également vice-premier ministre du pays, a présenté mardi 4 juin ses excuses aux très nombreux manifestants blessés à l'occasion du mouvement de contestation antigouvernementale qui agite depuis cinq jours l'ensemble de la Turquie. Les violences des quatre derniers jours ont fait plus de 1 500 blessés à Istanbul et au moins 700 à Ankara, selon les organisations de défense des droits de l'homme et les syndicats de médecins.

"Je présente mes excuses à tous ceux qui ont été victimes de violences parce qu'ils sont sensibles à la défense de l'environnement", a déclaré M. Arinç, lors d'une conférence de presse à l'issue d'un entretien avec le président Abdullah Gül. Il a également jugé "justes et légitimes" les premières manifestations organisées à Istanbul la semaine dernière pour dénoncer un projet d'urbanisation du gouvernement islamo-conservateur turc et qui se sont transformées en contestation politique.

Lire l'éclairage Des projets d'urbanisme démesurés à l'origine des émeutes d'Istanbul

"Tout le monde n'est pas obligé de nous apprécier, mais nous sommes ouverts aux opinions de ceux qui ne nous soutiennent pas", a-t-il déclaré, alors que les manifestants dénoncent la dérive autoritaire du premier ministre, Recep Tayyip Erdogan, et l'accuse de vouloir "islamiser" la société turque.

M. Arinç a conclu son intervention en invitant les Turcs à cesser la manifestations dès aujourd'hui : "J'en appelle à tout les syndicats, tous les partis politiques et à tous ceux qui aiment et pensent à la Turquie de le faire aujourd'hui". Et d'ajouter que le gouvernement avait "tiré la leçon" des événements des derniers jours.

APPEL À LA GRÈVE

Un appel au calme qui intervient alors que le bras de fer se durcit entre le premier ministre et les contestataires. Même absent, M. Erdogan, qui cristallise les tensions, continue à défier le mouvement. En visite officielle jusqu'à jeudi dans les pays du Maghreb, il a jugé que la situation était "en train de revenir au calme". "A mon retour de cette visite, les problèmes seront réglés", a-t-il estimé.

Lire aussi La mosaïque de la contestation en Turquie

Or, signe de l'aggravation du mécontentement populaire, l'une des plus importantes centrales syndicales a appelé à une grève de deux jours à partir de mardi afin de dénoncer le recours à la "terreur" par l'Etat contre les contestataires. Marquée à gauche, la Confédération des syndicats du secteur public (KESK), qui revendique 240 000 adhérents regroupés dans 11 syndicats, a également estimé que la brutalité de la répression traduisait l'"hostilité envers la démocratie" du gouvernement islamo-conservateur au pouvoir.



Istanbul, samedi 1er juin.
Ankara, samedi 1er juin.
A plusieurs reprises, la police a fait usage de gaz lacrymogènes et de canons à eau autour de la place Taksim pour disperser des petits groupes qui ont riposté par des jets de pierres.
L'opposition politique a pris le relais de ces critiques en s'affichant avec les protestataires. Au sein même du pouvoir, plusieurs voix se sont élevées pour dénoncer la réaction disproportionnée de la police.
Si le revenu par habitant a triplé en Turquie depuis 2002, M. Erdogan est accusé de dérives autoritaires et de vouloir "islamiser" la société turque. Le récent vote d'une loi restreignant la consommation et la vente d'alcool a suscité l'ire des milieux libéraux.
Dès vendredi soir, la contestation partie d'Istanbul s'est propagée à d'autres villes du pays, comme Izmir (ouest), Antalya (sud) ou Ankara. Samedi encore, des incidents ont opposé, dans la capitale turque, la police à des manifestants qui défilaient aux cris de "Dictateur ! démission !".
"Personne ne veut de toi, Tayyip !", scandaient également les protestataires à Ankara.
Samedi, le gouvernement turc a lâché du lest en rouvrant aux manifestants l'accès à la place Taksim à Istanbul, le cœur de la révolte.
Immédiatement, des milliers de personnes ont envahi les lieux dans une immense clameur de victoire en défiant le chef du gouvernement aux cris de : "Nous sommes là, Tayyip ! Où es-tu ?"
La journée de dimanche s'est déroulée dans un calme relatif à Istanbul, après deux jours de manifestations antigouvernementales qui ont fait plusieurs centaines de blessés et plus de 1 700 arrestations.
Mais de nouvelles violences ont éclaté dans la nuit de dimanche à lundi entre policiers et manifestants.
Des manifestants se heurtent à la police antiémeute, dimanche 2 juin, à Istanbul.
Le calme semblait revenu lundi matin à Istanbul, au quatrième jour du mouvement de contestation.
Le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan, a invité, lundi, ses compatriotes à ne pas céder aux provocations d'"éléments extrémistes". "Soyez calmes, détendus, et nous trouverons une solution à tout cela", a-t-il également déclaré.
Signe de l'aggravation du mécontentement populaire, l'une des plus importantes centrales syndicales turques a appelé à une grève de deux jours à partir de mardi afin de dénoncer le recours à la "terreur" par l'Etat contre les contestataires.
Pour la première fois depuis le début du mouvement, à Ankara, la police a dispersé lundi soir à l'aide de gaz lacrymogènes et de canons à eau des groupes hostiles au gouvernement.
Le porte-parole du gouvernement et vice-premier ministre, Bülent Arinç, a présenté mardi ses excuses aux très nombreux manifestants blessés.
c
5 juin 2013 20:03
Turquie : la place Taksim ne désemplit pas à l'appel des syndicats
Le Monde.fr avec AFP | 05.06.2013 à 06h47 • Mis à jour le 05.06.2013 à 18h10


Au sixième jour de protestation, des milliers de manifestants se sont réunis à l'appel d'une douzaine de syndicats turcs de gauche pour occuper de nouveau la place Taksim à Istanbul, en exigeant à nouveau la démission du premier ministre, Recep Tayyip Erdogan, actuellement en visite dans le Maghreb. A Ankara, au moins 10 000 manifestants, certains portant des badges à l'effigie du fondateur de la Turquie moderne Mustafa Kemal Atatürk, se sont rendus dans le parc de Kizilay.
La Confédération des syndicats du secteur public (KESK), qui a appelé mardi à un arrêt de travail de deux jours par solidarité avec les manifestants, a été rejointe par la Confédération syndicale des ouvriers révolutionnaires (DISK), qui revendique 420 000 membres. Ils ont appelé à des manifestations dans la plupart des grandes villes du pays et ont été rejoints par les partis laïques et de gauche.

Lire nos explications : La mosaïque de la contestation en Turquie

PLUS DE 3 000 BLESSÉS

Des affrontements ont encore eu lieu, dans la nuit de mardi à mercredi, dans plusieurs villes de Turquie : à Ankara, la police a utilisé des canons à eau pour disperser les protestataires ;des heurts ont également eu lieu dans la ville de Hata, où un jeune homme de 22 ans était mort la veille. Hormis les deux personnes mortes dimanche et lundi, les violences des quatre derniers jours ont fait plus de 3 000 blessés, selon les organisations de défense des droits de l'homme et les syndicats de médecins. Ces chiffres n'ont pas été confirmés par les autorités.

Au sixième jour de protestation, des milliers de manifestants se sont réunis à Istanbul et à Ankara, en exigeant la démission du premier ministre.

Enfin, au moins 25 personnes ont été appréhendées à Izmir pour avoir répandu sur Twitter des "informations trompeuses et diffamatoires", selon l'agence Anatolia. Ali Engin, un responsable local du principal parti d'opposition, le Parti républicain du peuple (CHP), assure que les suspects étaient détenus pour avoir "appelé les gens à manifester".

Lire notre reportage : A Ankara, la rue comme nouvel espace de parole

VOLONTÉ D'APAISEMENT

Mardi, au lendemain d'une nouvelle nuit de violences marquée par la mort d'un deuxième contestataire, le vice-premier ministre, Bülent Arinç, avait tenté d'enrayer le mouvement en qualifiant de "légitimes" les revendications des écologistes à l'origine des troubles et invité les mécontents à rester chez eux.

Il a reçu une délégation d'architectes opposés au projet de la place Taksim, qui a notamment exigé le renvoi des chefs de la police de plusieurs grandes villes du pays, dont Istanbul et Ankara. Il refuse en revanche de s'entretenir avec d'autres groupes qu'il accuse de profiter de la situation pour attiser les tensions.
[www.lemonde.fr]
U
6 juin 2013 00:34
Erdogan a perpétré un coup d'état discret, en accusant les principaux militaires de tout un tas de crimes plus ou moins imaginaires.

Or les Militaires ont le mandat de garantir les institutions et la non-ingérence des religions dans l'État.
C'est plus ou moins comme si, en France, un Président de la République tentait de modifier le Conseil Constitutionnel.


C'est donc une situation transitoire qui se terminera lorsque le recours l'Armée Turque sera indispensable.
À première vue, c'est ce qui se prépare emboutira inéluctablement à la Restauration de l'État turc.

Comme lors de toutes les guerres, les pays voisins connaissent un boum économique. Cette illusion de développement s'effondrera aussitôt qu'el Assad aura bouté le Salafiste hors de Syrie.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
7 juin 2013 23:40
Salut

Quoiqu il en soit je n'aimerais pas etre a la place de Erdogan.

Le peuple turc semble vraiment etre déterminé a se faire entendre , c'est tout a fait compréhensible.

S
13 juin 2013 22:35
Citation
coldman a écrit:
Citation
heywa a écrit:
C une belle place taksim c bien dommage...
Sinon pkoi parler de printemps turc ? A chaque manif dans n'importe quel pays on va parler de printemps !?


ben disons que si parler de printemps turc est exagéré, on quand méme bien obligé de reconnaitre que la manif contre un projet immobilier a fédéré bien au dela de ce motif.
la contestation s'est étendu à d'autres villes.
il y a un vrai ras le bol.

Je suis bien curieuse de savoir si tu encouragerais la population à foutre le chaos en israel comme tu le fais pour les pays musulmans.
Melez vous de ce qui vous regarde bon sang
c
13 juin 2013 22:49
Citation
Selmya13 a écrit:
Citation
coldman a écrit:
Citation
heywa a écrit:
C une belle place taksim c bien dommage...
Sinon pkoi parler de printemps turc ? A chaque manif dans n'importe quel pays on va parler de printemps !?


ben disons que si parler de printemps turc est exagéré, on quand méme bien obligé de reconnaitre que la manif contre un projet immobilier a fédéré bien au dela de ce motif.
la contestation s'est étendu à d'autres villes.
il y a un vrai ras le bol.

Je suis bien curieuse de savoir si tu encouragerais la population à foutre le chaos en israel comme tu le fais pour les pays musulmans.
Melez vous de ce qui vous regarde bon sang


déja, c'est quoi ce procés d'intention? c'est quoi ce "vous" ?
je ne représente que moi. pareil pour toi.
et je ne suis en rien juif ni sémite.
par contre, je suis solidaire de mes camarades communistes, syndicalistes ou anarchistes turcs.
l'ethnique, c'est pour les boeufs.
I
14 juin 2013 20:26
On attend le tout des saouds et des qataris, c'est eux les plus grands fauteurs de troubles et leurs tour s'approche!!
r
15 juin 2013 11:26
En effet , tant que l'empire du qatar n'a pas donnez son feu vert pour que la communauté lance la machine infernale de propagande pour justifier une intervention quelconque dans le cas Turc il ne se passera rien.

Ce n'est ni un "printemps" ni une révolution seulement des manifestations comme dans toute démocratie ! ce n'est pas parce que une poignée de gens sont sortie qu'il font en faire tout un plat
Car proportionnellement à la population globale turc il y a davantage de personne chez eux que sur la place taksim.
U
15 juin 2013 23:23
Erdogan et son Régime ont arrêté un grand nombre d'avocats.

C'est un signe qui ne trompe pas: L'avocat étant celui qui met en évidence les violations de la Loi et/ou de la Constitution, le violeur les élimine de manière plus ou moins définitive.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
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