Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
La première femme prisonnière d’opinion du contre-Printemps tunisien !
h
20 juillet 2013 22:23
Pour soutenir Amina, la première femme prisonnière d’opinion du contre-Printemps tunisien !

[www.agoravox.fr]

Salah HORCHANI
20 juillet 2013 22:30
Citation
a écrit:
incarcérée depuis plus de deux mois pour avoir peint le mot "FEMEN" sur le muret d'un cimetière à Kairouan

Elle proteste ok mais pourquoi avoir fait ça? et en plus dans un cimetiere.... je ne conteste ce contre quoi elle protestait à ce moment précis mais là c'est de la pure provocation islamophobe. fidèle au femen quoi.
h
21 juillet 2013 12:03
Procès d’Amina : «Des éléments qui vont choquer l'opinion»


«Lundi, le 22 juillet 2013, se tiendra au tribunal cantonal de M'saken un nouveau procès pour l'activiste féministe Amina Sebouii. Je ne vais pas divulguer nos éléments de défense, mais j'affirme que le dossier contient des éléments qui vont choquer l'opinion publique et détruisent l'idée de l'indépendance de la magistrature. Le procès Amina est un procès politique par excellence, calqué sur le modèle de l'ancien régime, mais avec beaucoup de maladresse».

C’est ce qu’affirme Maître Souheib Bahri, l’un des avocats d’Amina Sbouii, qui a publié ce texte, ce samedi 20 juillet, sur les réseaux sociaux.

La Femen tunisienne sera jugée lundi 22 juillet pour «outrage et diffamation de fonctionnaire» après un incident survenu dans la prison où elle est incarcérée depuis deux mois. Ces accusations sont passibles respectivement d'un an et six mois de prison ferme, a indiqué son avocat Ghazi Mrabet, qui précise que «les détails de l'incident n'avaient pas été encore explicités».

De son côté, Mounir Sbouï, le père d’Amina déclare que «cette nouvelle affaire est fabriquée pour la laisser en prison». A noter que Human Rights Watch (HRW) a estimé que la militante était détenue pour des «raisons politiques».

Source :

[www.mag14.com]

Salah HORCHANI
U
21 juillet 2013 14:53
Il faut qu'Amina sorte de prison.

Elle est primodélinquante, ce qui, en Europe, conduit au sursis.

Même deux mois de prison préventive, c'est disproportionné.


Il y a cependant une chose tout aussi urgente: Chasser illico la junte putschiste qui s'est arrogé le Pouvoir.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
h
21 juillet 2013 18:23
Ma position par rapport aux FEMEN

« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire »

Cette citation (attribuée faussement, semble-t-il, à Voltaire) exprime deux grands principes défendus par Voltaire : la liberté et la tolérance ; tout en sachant que la liberté est un besoin et la tolérance une vertu.

Tout en avouant ne pas partager, ni cautionner, les méthodes d’action des FEMEN, je comprends les choix qu’elles ont faits et je les respecte. Tout individu, groupe ou mouvement social est libre de choisir la méthode de lutte qu’il croit la plus efficace. En outre, je ne peux que m’incliner devant le courage dont elles ont fait preuve en venant protester, à leur façon, devant le Palais de justice de Tunis contre l’incarcération d’Amina. Peu importe que l'on soit ou pas au diapason de leur manière de s'exprimer, il est du devoir de tous les démocrates de défendre leur droit à penser et s'exprimer comme elles le décident.

Salah HORCHANI
w
22 juillet 2013 16:49
Salam

En France

L'outrage public à la pudeur était un délit réprimé dans l'article 330 de l'ancien Code pénal impérial français de 1810 :

« Toute personne qui aura commis un outrage public à la pudeur sera punie d'un emprisonnement de trois mois à deux ans, et d'une amende de 500 F à 15 000 F.»

— Article 330 de l'Ancien code pénal1

En 1960, à la suite de l'amendement Mirguet, l’ordonnance du 25 novembre 19602 créant l'alinéa 2 de l'article 330 du Code pénal, double la peine minimum pour outrage public à la pudeur quand il s'agissait de rapports homosexuels. Cette discrimination sera supprimée par la loi du 23 décembre 19803.

En France, il est aujourd'hui sanctionné en droit positif sur le fondement de l'article 222-32 du Code pénal français. La qualification judiciaire est aujourd'hui : exhibition sexuelle. Les auteurs sont aussi considérés comme des délinquants sexuels.

« L'exhibition sexuelle imposée à la vue d'autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende.»

...
La vrai question qui se pose est: doit-on soutenir un délinquant ?



Modifié 1 fois. Dernière modification le 22/07/13 16:52 par wakrim.
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook