De celui qui tient bon, que pouvons-nous comprendre Quand la violence est là et qui tend l'autre joue Nul personne ni moi le méchant à tout prendre Qui manque de force pour enrayer la moue.
De celui qui aime, que pouvons-nous comprendre Nul personne ni moi l'imparfait qui a tort Je suis comme un outil ne servant qu'à pourfendre Aucune harmonie vraie, est-ce possible alors ?
De celui qui cherche, que pouvons-nous comprendre Dans la bonne foi mais non dans le vrai désordre On sait juger l'autre, mais sans vraiment apprendre, La paille dans son oeil, la poutre dans le nôtre.