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Le pouvoir des mots
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10 décembre 2009 20:51
Qaund j’etais etudiante, je me souvienne des temps que j’ai passé a lire les journaux, et surtout le peu d’argent du poche que j’en avais besoin, mais je prefere les consacrer à tout les types de journaux, du socialiste jusqu’au liberale, islamiste, et autres de differnetes couleurs,et direction, celles aussi qui n’ont aucune couleur.

je me souvienne qu’au lieu de prendre un bus de lycée qui etait loin du foyé, je prefere rentrer par pieds, pour que je ne gaspille pas les monnaies qui me permttent d’acheter chaque jour les journaux.

Je me souvienne que le seul lien qui les relie, etait celui du critique, critique des gouvernements qui ont gouverné l’etat, critique de la societé et ses divers problemes dans tout les domaines, rien que la critique, d’autres journaux consacré seulement à raconter avec tout les details les crimes les plus atroces, et les evennements les plus dur que peut arriver à un citoyen, je me souvienne que au fur et a mezure, que je lis ces journaux,j’ai arrivé à me deprimer.

Je me suis senti une jeune citoyenne dans un pays sombre, ou regne la loi du jungle.

Je me suis senti une jeune citoyenne dans une societé qui n’a plus du respect au petit , au grand, une societé qui tue, qui viole, qui vole, une societé ou le mensonge est vertu, et l’honneteté est lacheté.

Je me suis senti peureuse, et tout les malheurs du monde m’attendent au seuil de la porte du foyé, si j’ose l’affranchir.

Deprimée, angoissée, c’etait les resultats d’avoir pour longtemps lire des articles et des journaux contenant des milliers des mots qui tuent, qui fondent les etres dans plus en plus d’incertitude, d’inqietude….et j’ai cessé de rever.

Le monde n’etait qu’une nuit noir, sombre qui ne verra jamais plus la lumiére, c’etait le monde ou nous ont pour longtemps sombré ces journaux, ….et puis un jour est venu, et je me suis devorcé avec tout les journaux marocains, et je me suis derigé à ma petite houbie qui est la lecture, je me suis derigé à la librairie du centre culturelle francais, et là, à ma grande enthousiasme, j’ai decouvert d’autres ecritures, d’autres styles de communiquer aux autres, d’autres logiques, et surtout j’ai decouvert des ecrivains qui ont porté les memes reves que j’ai revé, les memes pensées que j’ai pensé, le meme amour et certitude que j’ai failli perdre entre les pages des vielles journaux,celles ci meme dans les pages litteraires se reflettent un genre de litterature syniste, et dangereusement mortelle, puiseque la pluspart des fins des histoires se terminent par un suicide.

Pour un jeune ouvrier sous une responsabilité si dure, de la famille, les obligations de la vie, les factures qui attendent chaque mois d’etre regler,les effets qu’il doit chaque mois à la banque qui lui paye l’appartement, et un jour le chomage apres une faillite de l”usine, le jeune chomeur s’adresse à tout les sociétés, sans vin, un jour devant l’air impitoyable qui l’entourer, il choisit dans une heure deprimante de mettre fin à sa penible vie….., c’est bien une penible histoire que j’ai lu et que j’avais l’habitude de lire dans les journaux, et qu’ils ont l’habitude de raconter, tantot comme fait divers, tantot comme anecdote, tantot comme une nouvelle litteraire, la litterature qui a la force de deprimer!!!est ce sort que voit ce genre de journaux dans leurs pages litteraires convenable au citoyen?!

Il faut cesser de lire et d’ecouter les gens qui ne font que nous casser, ces journaux, ces articles, cette litterature qui ne peuvent que casser, on ont n’a pas besoin.

On a besoin d’une litterature qui donne de nouveau, qui fait bouger les coeurs, les ames, les esprits, les gens…., ainsi pour les journaux, ceux qui ouvrent les yeux, qui ne les ferment pas, qui portent de l’espoir, qui ne le rejette pas…et non celles qui nous plongent dans les sortes de detresse et malaises.

En rencontrant les ecritures des grands auteurs comme Mohammed Kheir eddine, Driss chraibi, Si mohammed sefrioui…..j’ai pu sentir ce pouvoir des mots qui nous poussent a agir et reagir, qui nous poussent a reflechir, a aimer, a revolter avec sagesse, a changer les choses, et si on le pouver pas, on regrettera pas de l’avoir essayer, a changer les ames, a donner la force de vivre, de croire, et de contunuer, ce pouvoir des mots ou on sentent l’humanisme, ce pouvoir des mots qui nous portent les plus belles sens, les plus vrais reves, et surtout nous portent la confiance qu’on a de la chance de vivre, dans ce temps ou on est, dans ce pays ou on est, ce genre de pouvoir qui est la veritable raison de la litterature.

[www.tamghart.com]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 10/12/09 20:53 par simane.
 
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