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☀️ a écrit:
Quand on a pas reçu ce qu'on devait recevoir c'est hyper difficile de s'aimer. Vraiment vraiment dur.
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Un Z comme zoufri a écrit:
Salam,
Belle réflexion comme d'habitude
Je pense que l'intention est fondamentale dans ce regard.
Si on regarde ses défauts sous le prisme de l'autre, alors on ne cherche qu'à rentrer dans ce moule, dans ce regard/jugement porté sur nous.
Par exemple, le moule du physique où il faudrait avoir tel IMC.
Sortir de ce cadre devient un défaut alors que la personne est peut être à l'aise, n'a aucun souci de santé, mais elle va rentrer dans ce moule.
De même pour les qualités mentales, certaines sont catégorisés à tort comme des défauts, tel la sensibilité.
En revanche, regarder ses défauts et les connaître est une bonne chose et si on peut corriger c'est encore mieux.
Par exemple, si quelqu'un est avare, alors il doit se connaître lui-même et avancer dans la maîtrise de ce défaut. Mais dans ce cas, il le fait dans son propre intérêt et non pas celui d'autrui.
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Plandesite a écrit:
Parce qu'on aime plaire.
On a envie d'être aimé
C'est l'approbation, l'amour qu'on recherche on essayant de se changer...
Il faut apprendre à ne plus chercher l'amour des autres.
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O&L a écrit:
S'aimer soi-même ou aimer les autres tels qu'ils sont avec leurs petits défauts ne signifient pas que nous devons pas nous améliorer ou que les autres ne doivent pas s'améliorer si c'est récurrent ou gênant.
Il faut en discuter sans avoir de jugement de valeurs .
Il faut argumenter pour montrer à l'autre ce qui nous dérange et faire des compromis et y mettre du sien sans chercher à le changer.
Autrement l'autre en face va répliquer en pointant nos défauts dans ce cas il faut l'accepter aussi.
Après ce n'est facile pour personne de se voir tel qu'on est et il est plus facile de projeter sur l'autre et d'y voir ses défauts.
Nous avons toujours tendance à percevoir l'autre au travers de nos propres désirs et de nos propres peurs.
Je parle de " petits défauts ". Les gros gros défauts ne sont pas tous acceptables et aucune obligations de les supporter les subir comme la violence physique et psychologique, nervosité etc selon le seuil de tolérance de chacun.
Nous aimer tels que nous sommes ne veut pas dire que nous devons pas nous améliorer dans certaines situations.
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Antigone* a écrit:
Moi j'en suis arrivée à la conclusion que si on a peur du jugement, c'est qu'on se juge déjà durement soi-même, c'est une vraie souffrance et le jugement de l'autre vient appuyer dessus, c'est pour ça qu'on ne le supporte pas.
Et tu vois, quand on se juge, on ne s'accepte pas, on ne se donne pas l'énergie, l'amour, l'affection, l'indulgence pour avancer, dépasser nos faiblesses, nos défauts. C'est pour ça qu'on essaie de se voiler la face, ou de se trouver des excuses, alors qu'il suffirait de ne pas se juger, juste s'accepter...
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Antigone* a écrit:
Bien sûr, on veut toujours évoluer vers une meilleure version de soi, mais on confond souvent accepter et se résigner.
Pour moi, accepter, c'est encourager, donner de l'Amour, de la force pour avancer. Quand on se fustige, ou qu'on ne pointe que les défauts, c'est beaucoup plus difficile et pas forcément constructif au final. On doit toujours le faire pour soi avant tout, pas pour faire plaisir à quelqu'un, même si c'est tentant dans un sens comme dans l'autre.
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Un Z comme zoufri a écrit:
Juge toi avant d'être jugé ou l'examen de conscience est nécessaire.
L'extrême par rapport à ton raisonnement c'est l'auto satisfaction.
Chose incompatible avec le cheminement spirituel, on ne peut se satisfaire de ces efforts ou de son état actuel.
Je pense qu'il y a un équilibre pour ne pas s'imposer au delà de ses capacités.
Mais se juger m'apparaît une nécessité vitale pour évoluer, sinon on en finit par devenir l'objet de sa propre adoration (dans le cas extrême). Se juger signifie ici s'évaluer pour aller dans un sens positif et non pas se juger de manière catégorique et définitive, ça laisse donc toujours place à l'espoir.
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Antigone* a écrit:
Moi j'en suis arrivée à la conclusion que si on a peur du jugement, c'est qu'on se juge déjà durement soi-même, c'est une vraie souffrance et le jugement de l'autre vient appuyer dessus, c'est pour ça qu'on ne le supporte pas.
Et tu vois, quand on se juge, on ne s'accepte pas, on ne se donne pas l'énergie, l'amour, l'affection, l'indulgence pour avancer, dépasser nos faiblesses, nos défauts. C'est pour ça qu'on essaie de se voiler la face, ou de se trouver des excuses, alors qu'il suffirait de ne pas se juger, juste s'accepter...
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~Tanzanite~ a écrit:
C'est se focaliser sur les autres plutôt que soit.
C'est à chacun de s'accepter tel qu'il est non pas tel qu'il aimerait être pour être accepté.
Effectivement ce n'est pas facile.
Certains ont tendance à être durs avec eux-mêmes.
Il faut accepter de changer des choses en soi seulement pour une seule et unique personne : nous-mêmes et pour une chose : s'accorder de la joie de vivre
En aucun cas, il ne faut le faire pour les autres.
En aucun cas, il faut essayer de plaire pour rentrer dans un moule.
Des moules... Il y'en à tant.... Il faut admettre que nous ne puissions rentrer dans tous. Serions nous plus heureux si nous y parvenions ?
Ce n'est pas sûr....car ce changement n'a pas été motivé pour nous mais en vue de plaire aux autres.
Les autres, ceux qui font partie de notre vie quotidienne, ils ont différentes personnalités, de la bienveillante à la malveillante rn passant par l'égoïste et l'attentionnée.
Pour quelLe raison plaire aux autres? Essayer de leur plaire sans comprendre réellement, c'est absorber leurs énergies, c'est les laisser contrôler notre vie.
Il faut absolument à prendre à mettre un filtre entre doit et eux.
Mais pour cela il faut apprendre à se connaître. Plus on se connaît et moins on permet aux autres de contrôler nos vies, de déterminer notre niveau de bonheur et d'agir sur notre épanouissement.
Il est nécessaire de développer sa force intérieure, s'accepter tels que nous sommes, changer seulement pour soi et seulement ce que nous sommes en mesure de changer et toujours pour notre épanouissement personnel. Il faut veiller à être bienveillant et indulgent envers soi-même comme envers les autres, comme nous aimerions que les, autres le soient avec nous.
Il faut s'aimer.... C'est la que réside la clé du problème
que lon appelle acceptation de soi.
Et intégrer que...la perfection n'est pas de ce monde....