La mort fait partie de la vie, la vie fait partie de la mort. Un jour qui passe est un jour qui nous rapproche de la fin, notre fin.
Parfois on oublie que notre finalité n'est autre que notre mort, qu'un jour de passé n'est qu'un jour de perdu, c'est pourquoi chaque instant doit être bénéfique pour nous, pour nos proches, et pour l'au-delà.
La mort nous semble très loin lorsqu'on est jeune, mais elle nous suit inlassablement, nous rappelant sans cesse que nous n'y échapperons pas que l'on soit jeune, vieux, riche, pauvre, homme, femme.
Mais il faut la considérer comme faisant partie intégrante de la vie, puisqu'elle nous ouvre la porte vers l'au-delà, vers notre créateur, elle est donc la bienvenue.
Profitons de la vie, oui, mais avec modération, n'oublions jamais qui nous sommes et pourquoi nous sommes vivants.
Mais nous ne ressentons rien d'autre envers la mort que le sentiment de la peur. Pourquoi ? - Est-ce la peur de quitter nos proches ? - Est-ce la peur de quitter ce monde matérialiste et ainsi devoir laisser tout ce que nous avons acquis ? - Ou est-ce plutôt la peur de se retrouver seuls confrontés avec nous même ? Devoir faire face à sa vie passée, faire enfin face avec son âme ?
Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui reçoit ne doit jamais oublier.
c'est surtt la peur du châtiment... on ne sait pas ce qui ns attends. enfin je parle pour les croyants. On se dit tjs, kd je serais plus vieille je ferais ceci, j'implorerais plus Allah (swt), la je n'ai pas le temps je bosse. Ou kd je serais marié je ferais cela, la c'est pas le moment. Et puis un jour..... l'ange de la mort arrive... vous connaissez la suite
C'est pour ca que je craint la mort, pcq je sais ke c'est TREEEEES dure si par malheur on tombe ds le châtiment. Une infime partie de notre vie peur faire basculer la balance d’un des deux cotés.
K’Allah nous accorde sa Miséricorde et nous guide vers le droit chemin
Koulou nafsin da´ikatoul maout. La mort est un destin qui nous attends tous. Mais personne ne sait qd. Oui on a peur de quitter ce monde, et d´aller rencontrer notre dieu. Et il faut avoir peur de dieu puissant. Dieu nous a mis ds une preuve ds la vie. Et on a peur de se tromper. Car on sait qu´au jour du jugement, seul dieu peut nous pardonner, ou pas. Mais comme musulmants on espere d´avoir assez de Hassanat pour rencontrer dieu.
Personnellement je n'appréhende pas ma mort, mais la mort des etres chers je l'appréhende bcp et à chaque fois que j'y pense j'ai la gorge nouée et j'ai les larmes aux yeux, je leur dis même que je préfère mourir à leur place que ce soit un d'eux.
Mais c'est la vie et el mektoub on doit en faite ce soucier de ce que nous avons préparer pour l'au delà et là qd on y pense c'est aussi autre chose.
Message edité (26-04-04 15:38)
La vie est comme un arc-en-ciel: il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs.
Yazz. Je vis avec la mort et elle m'accompagne toujours durant ma vie...chaque jour que je dors et je n'éxagère pas....je me dis que je ne ferai plus partie de ce monde le lendemain.....je n'ai pas encore rencontré une personne qui soit aussi proche de la mort que moi .....c'est quelque part aussi le lien que j'ai avec dieu ....Bien évidement...quands je pense à la mort...je pense à la grande et puissante volonté de dieu....et donc je pense à dieu tout court.... Je suis terrifiée à l'idée de mourrir sans avoir préparer alakhirta à laquelle je crois bcp....je suis donc martyrisée entre ces deux pôles....et mes pensées ne vont pas toujours dans le même sens que mes actes..... Cette espèce d'incongruence fait en sorte que mon niveau de conscientisation après un acte puni par dieu .....me torture moralement......comme si ma conscience violait mes émotions ..... mes pensées.... Ahhh la vie !
Il était 4 h du matin Lorsque la mort frappa à la porte. Qui est-ce ? S'écria l'homme hébété. Je suis Izraël. Laisse-moi donc entrer! Alors l'homme se mit à trembler, Comme pris d'une fièvre subite. Il cria à sa femme endormie : Ne le laisse pas me prendre la vie !
S'il vous plaît, O Ange de la mort ! Laissez-moi, je ne suis pas encore prêt. Ma famille vit à mes dépens, De grâce, ton acte suspend .
Déjà l'ange de la mort se tenait au seuil de sa porte. Ô mon ami, l'ordre d'Allah ne peut être différé, Prépare-toi, pour la tombe, C'est pour maintenant.
Je te couvrirai d'or, Mais épargne-moi la tombe sombre.
Pourquoi as-tu peur, ô homme, de mourir selon le vœu d'Allah ? Viens, souris-moi et ne t'attriste point, Soit heureux de revenir vers Lui.
Ô ange j'ai honte de moi, je n'avais pas le temps de penser à Allah, Du matin au soir, je faisais ma richesse sans pensée pour ce moment. Aux ordres d'Allah, je n'ai point obéi, Tout comme jamais, cinq fois par jour, je n'ai prié. Les "Ramadhan" venaient, les "Ramadhan" passaient, Mais toujours sans mon repentir. Le Hajj fut déjà Faraz sur moi, Mais de mon argent, je ne voulus point me départir. La charité, j'ignorais, Mais l'usure et l'intérêt, je m'en accaparais. Mes engagements, j'oubliais. L’administration, je craignais, De ma foi, j'avais honte. Le blâme des mécréants m’effrayait. La détresse de mes frères m’ennuyait. Les artifices de ce monde m'attiraient. Les mécréants, j'imitais, Le champagne et le vin, j'appréciais. Les femmes m'attiraient. Malheur sur moi! Ô ange, accorde-moi donc un sursis.
J'ai peur, dit l'ange, que ce moment soit le dernier de ta vie . Ne sais-tu pas, qu'à la mort, goûtera chaque âme ? Tu as vécu dans ce monde et tes parents tu as négligé, Tandis que le mendiant, affamé, tu repoussais. Tes filles chantent et dansent dans les boîtes de nuits. Tes fils se sont perdus avec des femmes sans vertu ni foi. Au lieu de procréer des musulmans, Tu as fait de tes enfants des mécréants. Riches, mais si pauvres ! L'appel du muezzin, tu ignorais, Tout comme le Coran t'est étranger. Tes promesses ne furent jamais tenu, Et ton arme favorite était la calomnie. Tes employés, tu sous-payais, Et le fruit de leur travail, tu récoltais, Jamais partagé avec le pauvre ou l'orphelin. Les malades tu fuyais la compagnie.
Ô ange de la mort, Je sais, j'ai honte Que n'ai-je reçu de ta part, Des signes, quelques avertissements, De cette mort si imminente ! Âme misérable, le Créateur y a pourvu. Point donc ne L'insulte, Il est parfait. Mais à Ses signes tu restais sourd et aveugle.
Tes cheveux blancs t'annonçaient le retour... Ta vue faiblissante t'annonçait le retour... Ta force qui s'étiole t'annonçait le retour.. Ton échine recourbée t'annonçait le retour... Voilà des avertissements suffisants, Pour des gens qui réfléchissent ! Mais ta préoccupation se confinait à ce monde.
Puisque le Coran tu as ignoré, Sache au moins alors, qu'il y était écrit Que ce monde n'est qu'un éclair devant l'éternité. Mais les avertissements du Coran, tu as dédaigné! Cesse de pleurnicher, O humain! Vers ton Créateur sera ton retour, Car ton âme je la prends maintenant. Le répit m'est interdit.
Un cri de l'homme et sur le sol il s'affaissa. Son corps immobile, son visage éteint. Il semblait se reposer, du sommeil éternel. Son corps ne pouvait simplement plus exprimer La douleur alors toujours intense de l'âme qu'on arrache.
La vie, des fois, peut réserver des surprises, mais jamais la mort. Car enfin, chacun sait bien, qu'il est né... pour un jour, mourir !
Je suis la juste cause, ma soeur... la juste cause...
Tu es né hier, ma soeur ... tu es né hier... Tu mourras demain, ma soeur... demain... Tu oublies vite, ma soeur... tu oublies vite... Ici ce n'est que passage, ma soeur... ce n'est que passage... Beaucoup t’ont précédé, ma soeur...beaucoup... Mais ils n'ont pas échappé, ma soeur... pas échappé... Rappelle-toi, ma soeur...rappelle-toi.... D'autres te succéderont, ma soeur...Mais ils n'échapperont pas... Dieu l’a voulu ainsi, ma soeur... Dieu l’a voulu...
Je suis la juste cause, ma soeur...la juste cause...
Regarde autour de toi, ma soeur...regarde... Dieu t'a donné, ma soeur...Dieu t'a donné... La fortune, ma soeur...la fortune... Partage, ma soeur...partage... La pauvreté, ma soeur...la pauvreté La souffrance, ma soeur... la souffrance... La maladie, ma soeur...la maladie Prie, ma soeur.... prie... Dieu t'aidera, ma soeur...Il t'aidera Dieu t'a donné l'intelligence, ma soeur... l'intelligence... Aide les autres, ma soeur...aide les autres... Dieu t'a donné le pouvoir, ma soeur... le pouvoir... N’en abuse pas, ma soeur...n'abuse pas... Dieu t'a donné la réussite, ma soeur... la réussite... Soit reconnaissant, ma soeur...soit reconnaissant...
Partage, ma soeur...partage... Demain il sera trop tard, ma soeur... trop tard... Pense à ceux qui t’ont précédé, ma soeur... pense...
Je suis la juste cause, ma soeur...la juste cause...
La pauvreté, ma soeur...la pauvreté... La souffrance, ma soeur...la souffrance... La faim, ma soeur... la faim La maladie, ma soeur... la maladie... La solitude, ma soeur... la solitude... L'accident, ma soeur... l'accident... Personne ne peut y échapper... Personne... Ah que tu oublies vite, ma soeur... tu oublies vite... La vie te fait tourner la tête, ma soeur...fait tourner la tête... Tu n’es rien, ma soeur... rien... Tu mourras demain, ma soeur...demain...
Je suis la juste cause, ma soeur... la juste cause...
c vrai que c'est angoissant la mort mais comme tu dis elle fait partie de la vie! si tu prends soin de ta vie et si tu remercie DIEU chaque jour car il t'as permi de vivre une journée de plus et surtout si tu saulé (n'est ce pas!) et bien on a aucune raison d'avoir peur la mort n'est qu'un passage et la vie qu'une épreuve. ce qui vient après est autre chose...
pour moi la mort est transitive dun monde limité a celui de lillimité
"Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois."
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