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Frèrdogan a écrit:
Tu es sûre que c'est ce que tu veux ?
Un homme doit avoir un brin de masculinité dans sa personnalité no ?
Le mari de la 8ième semble être un agneau selon sa femme.
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PellYm785 a écrit:
Salam
Je remarque que dans la plupart des récits pour les femmes insatisfaites, elles critiquent directement leur mari sur son physique.
En plus elles parlent de leur taille de manière péjorative pourtant à ma connaissance être grand est apprécié normalement.
On peut voir que les défauts du comportement enlaidie aux yeux des femmes leur mari.
Tandis que les maris qui sont agréables, elles ne vont cités que ses qualités au point de ne pas parler de son physique.
De même que dans les récits, je ne vois aucune nuance pourtant une personne n'a pas que des défauts ni que des qualités
Peut-être que les récits d'une certaine manière montre que le comportement peut embeillir une personne ou l'enlaidir aux yeux de sa femme...
Et que ça peut tout ou rien
Bon, aller akhy, tu nous as assez teaser, on exige ta conclusion
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Frèrdogan a écrit:
Salam,
Plein de bonnes remarques, dont certaines sont discutables.
Oui quand une femme n'aime pas, elle va critiquer tout ce qui lui passe par la tête. On a qu'à bien se tenir.
Bon ok, ce qui m'a le plus frappé c'est que la 11ième était entrain de décrire un mari APRÈS avoir été divorcée de lui !!!
Est-ce que l'entourage de votre entourage connait une femme qui fait pareil ?
Tout le monde peut facilement imaginer que lors d'un divorce, il y'a généralement de la colère, de la haine même parfois. Les deux parties ne se supportent plus, et ne souhaitent absolument pas qu'on leur parle de leur ex, il n'y a vraiment pas de place pour les bons souvenirs dans cette période.
Bien que cette femme regrette son ex mari, elle a quand même refait sa vie et pas avec n'importe qui, un homme riche qui la traite plus que convenablement, la respecte, mais malgré la brutalité du divorce avec le 1er, il ne faut pas oublier qu'il l'a quitté pour une autre, elle continue de le complimenter, mais pas que lui, sa mère aussi, ses enfants, et dans le Hadith car c'est un Hadith dans Boukhari et Muslim (sinon je ne l'aurais pas cru), elle complimente même la servante de son ex mari. جَارِيَةُ أبِي زَرْعٍ، فَما جَارِيَةُ أبِي زَرْعٍ؟! لا تَبُثُّ حَدِيثَنَا تَبْثِيثًا، ولَا تُنَقِّثُ مِيرَتَنَا تَنْقِيثًا، ولَا تَمْلَأُ بَيْتَنَا تَعْشِيشًا
Cette femme a certes été tirée d'une misère avant d'être mariée, mais si le matériel était suffisant elle aurait été heureuse avec le second qui lui a offert un cadre de vie honorable. Nan, cette femme a été marqué par le comportement de son premier mari avec elle : Abou Zar3.
J'ai sans doute mal traduit cette partie ou je disais qu'elle parlait sans être jamais contredite : فَعِنْدَهُ أقُولُ فلا أُقَبَّحُ، mais imaginez une personne que vous fréquentez depuis des années sans que cette personne ne vous ait fait aucune remarque désobligeante, et en plusieurs années elle aurait pu trouver quelque chose par ex.
Si en plus, il l'a complimentait jusqu'à ce qu'elle se mette à s'aimer elle-même, ce qui sous entend qu'elle ne s'aimait pas avant, mais qu'à force de lui dire, tu es ceci tu es cela, elle a finit par y croire en se trouvant en elle-même les qualités que son mari lui faisait, cela explique pourquoi le Prophète asws à la fin du Hadith a dit à Aîcha (rLa) : Je suis pour toi ce qu'Abou Zar3 était pour Oumo Zar3, et dans une version il a rajouté : Sauf que je te ne divorcerai pas.
C'est ainsi que le Prophète était avec son épouse, c'est ainsi notre exemple à suivre non pas pour l'atteindre, mais au moins essayer de s'y rapprocher. Soyez bons et il vous sera rendu. Voilà pourquoi j'ai titré " pour nous les hommes ".
Salam.
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Frèrdogan a écrit:
Salam,
Pour celles et ceux qui ne le connaissent pas, ci-dessous un Texte étonnant sur 11 femmes qui se sont rassemblées et se sont jurées de ne dire sur leurs maris que l'exacte vérité de ce qu'ils sont. Ça s'annonce mal ^^
C'est un long récit dans un Arabe un peu compliqué que je vais "tenter" de vous traduire en vous postant le texte original tout en bas pour celles et ceux qui voudront me corriger le cas échéant.
Je voulais le partager avec vous car il y'a un truc parmi les tonnes de descriptions que je vais m'amuser à vous traduire, qui m'a alerté, choqué, et émerveillé en même temps.
Pour celles et ceux qui vont lire, j'aimerais votre propre avis sur ce qui vous a le plus étonné dans ces lignes, je vous dirais ensuite si vous avez pensé à la même chose que moi.
La première a dit : Mon mari est comme la viande de chameau, ultra fin, au sommet d'une montagne (trop grand), ni accessible ni consistant pour être supporté. Bon celle-là en gros elle est très insatisfaite du comportement de son mari car elle le compare à de la viande de chameau que beaucoup de gens n'apprécient pas forcément, qu'il est inaccessible comme le sommet d'une montagne rocailleuz, et que rien en lui ne mériterait d'en supporter les manquements.
La seconde a dit : Mon mari je préfère ne pas vous en parler, car je crains que si je commence je ne saurais plus m'arrêter tellement il a de défauts. Quand j'en parle je pense aux veines jugulaires et aux nombrils qui s'enflent (elle vient de citer des défauts physiques et comportementaux).
La troisième a dit : Mon mari est trop grand sans être pour autant utile, si je prononce un mot devant lui je me fais divorcer, et si je ferme les yeux sur ses défauts je n'obtiens aucune attention (Elle se décrit comme étant ni mariée, ni divorcée)
La quatrième a dit : Mon mari est comme une nuit de Tihama (Une Province d'Arabie connue pour des nuits douces et calmes), délicieux et équilibré, ni froid ni chaud, je n'ai ni crainte avec lui ni ennuie.
La cinquième a dit : Mon mari quand il rentre à la maison ne fait que de dormir mais il en sort comme un lion. (Elle veut dire par là qu'il ne calcule pas ce qu'elle a dépensé mais aussi ce qui manquerait à la maison, mais que dehors il est beaucoup plus éveillé)
La sixième a dit : Mon mari mange et boit tout ce qui bouge et ne laisse rien derrière lui pour personne, et quand il dort il s'enroule dans son drap loin de moi sans se préoccuper de mon état. En gros elle est très mécontente, car l'adjonction de l'inattention affective et du grand appétit est l'une des pires radineries chez les Arabes de l'époque.
La septième a dit : Mon mari est d'une mocheté insoutenable, (dans une autre version d'une incapacité sexuelle absolue), un imbécile sans cervelle, il a regroupé à lui seul tous les défauts des autres, il te tape et te blesse à la moindre occasion.
La huitième a dit : Mon mari a le toucher d'un lapin, le parfum d'if commun (Une plante certes toxique mais aromatique) En gros, il généreux, facile à vivre et sent la rose...
La neuvième a dit : Mon mari est un haut pilier (soit de par son statut, soit de par son comportement sur qui on peut compter), grand de taille, et dont les cendres ne s'éteignent pas (généreux avec les invités). Il est respecté et consulté par les gens.
La dixième a dit : Mon mari s'appelle Malek. Et Malek est mieux que ce que je vais vous décrire. Il possède beaucoup de chameaux dont très peu sont en liberté (Cela veut dire qu'il garde son troupeau au plus près pour le mettre à disposition des invités en sacrifiant pour eux une bête pour les nourrir).
La onzième a dit : Mon Mari s'appelle Abou Zar3, il a rempli mes oreilles avec des bijoux, et mon arrière bras avec du gras (cela signifie qu'elle mange très bien puisque l'arrière bras est généralement la dernière partie du corps à stocker le surplus du gras). Il m'aime tellement que j'ai fini par m'aimer moi-même avec tous les compliments qu'il me fait. Il m'a recueillit de ma famille qui ne possédait que quelques ovins (Les Arabes ne considèrent pas les ovins comme une vraie richesse, ils comptaient uniquement les chameaux et les chevaux), pour m'amener dans un monde d’ébrouement (chevaux) et de blatèrement (chameaux). Je parle à mon aise sans qu'il ne me contredise jamais, je dors la moitié du matin (Elle dispose de gens pour s'occuper de la maison et n'a pas besoin de se lever tôt), je bois autant d'eau jusqu'à ne plus en pouvoir (l'eau était assez rare à l'époque).
La mère de mon mari et quelle belle mère, tout est grand chez elle y compris sa maison.
Le fils de mon mari, et quel fils, sa chambre toujours bien rangée, et un rien le rassasiait (c'était une qualité chez les Arabes d'être énergétique sans trop manger ^^)
La fille de mon mari, et quelle fille, obéissante envers son père et sa mère, belle...
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Nazela a écrit:
Salam alaikoum,
Ce récit est intéressant, pas étonnant ni singulier en réalité. Il y a certes des particularités dont tu fais état par rapport au contexte. Merci pour la traduction d'ailleurs.
Sans entrer dans le détail des propos choquant, je ne m'attarde même pas dessus.
Je m'arrête sur la première phase, donc le concept même de se réunir et de parler de son mari et de son foyer. C'est complètement prohibé en Islam. L'épouse est choisie et appréciée notamment pour préserver son foyer, les secrets de son couple.
J'exclus le cadre où une tierce personne doit intervenir pour une médiation à laquelle on pourrait exposer un problème de couple.
Le récit, c'est parler pour parler. Se plaindre pour se plaindre. Et cela représente ce que dit LeRifi-fi : des femmes éternellement insatisfaites. Rien de glorieux.
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Frèrdogan a écrit:
C’est tout à fait juste qu’en Islam les secrets d’un foyer doivent être bien gardés et la médisance est totalement prohibée.
Merci par ailleurs pour la froideur du constat mais tu es pardonnée car ce Hadith rapporte cette initiative féminine dans une période antérieure à l’Islam, j’aurais dû le préciser pour ne pas heurter les éventuelles sensibilités.
Certaines âmes bienveillantes ont écrit un livre de plusieurs centaines de pages sur ce Hadith. D’autres âmes affamées comme la mienne leur sont éternellement reconnaissantes pour les différentes morales interceptées et pour leur glorieuz initiative…
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