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La politique étrangère Américaine.
a
13 août 2005 22:49
La politique étrangère américaine surprend mais elle s'explique, car tout président des USA est face à des contraintes et son rôle est de défendre avant tout les intérêts américains:
la défense du territoire
l'anti communisme
Dans l'esprit de la majorité des Américains, et probablement aussi de l'ensemble des citoyens occidentaux, on associait le communisme aux régimes de dictatures, tels que l'URSS et la Chine où l'égalité de tous signifiait surtout une égalité dans la pauvreté. Une avancée des communistes pouvait alors représenter une menace pour la liberté et le niveau de vie plus élevé des démocraties occidentales. Par conséquent, la politique extérieure du gouvernement américain basée officiellement sur l'endiguement du communisme recevait l'approbation de sa population.

la sûreté des approvisionnements
Dès 1940, dans un document classé secret au Département d'Etat, le Haut fonctionnaire Georges Kennan expliquait : Avec seulement 6,3 % de la population mondiale, nous représentons près de 50 % de la richesse mondiale. Notre tâche principale, dans les années à venir, est de mettre en place un système de relations internationales qui nous permette de maintenir ce déséquilibre.
Ce projet appelé "grand domaine" amorce l'application d'une politique étrangère qui recouvre toutes les régions destinées à subvenir aux besoins de l'économie américaine dont le pétrôle qui sans que cela soit avancé dans les raisons aménera les États-Unis à intervenir par deux fois contre l'Irak de saddam Husseïn

le leadership mondial
Lutter contre les États-voyous
Au sud des USA, dans la fameuse "queue du homard"( l'Amérique centrale et l' Amérique du sud , chasse gardée des U.S.A) ont lieu des interventions constantes sous forme de coups d'Etat, d'influence politique, de débarquements de troupes et d'embargos pour obtenir les régimes les plus appropriés à leurs intérêts.
Parmi les objectifs poursuivis par les américains:
tenir les Européens en dehors de leur zone d'influence (doctrine du président Monroe :"l'Amérique aux américains"winking smiley et intervenir au gré de leurs intérêts: Cuba, Nicaragua, île de la Grenade, Panama, République dominicaine, Haïti....
(Aux temps de la guerre froide, contenir la présence soviétique dans la région d'où la tentative de renversement de Castro à Cuba, l'intervention américaine en République dominicaine, au Chili via la CIA, l'aide aux "Contras" en Amérique centrale(Nicaragua, Salvador)
favoriser les intérêts économiques des USA d'où l'intervention au Panama en 1989, les Caraïbes et le golfe du Mexique étant une sorte de "lac américain" qui justifie, encore aujourd'hui, aux yeux des Américains, l'embargo commercial sur Cuba
Lutter contre les États-voyous
Depuis la deuxième Guerre mondiale, toute la politique américaine s'etait construite autour et contre l'URSS (lutter contre son idéologie, son prosélytisme, son arsenal militaire).
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C'est cette intervenir par deux fois sur le vieux continent en 1917 et en politique anti soviétique qui alliance militaire détermine la politique américaine en Europe à partir de 1945 particulièrement à partir de 1947>-> § Nés de l'atlantique à partir de l'Europe, les Américains et des valeurs qui dès la fin de la guerre, ils financeront la reconstruction de l'Europe feront 1942 Pour contrer le communisme partageaient avec celle ci et particulièrement avec l'Europe occidentale, Plan Marshall en 1947 et façonneront avec elle une anti soviètique en 1949: l'OTAN Cette stratégie anti soviétique répondait beaucoup plus entrepris en Méditerranée orientale au Proche Orient dans les aux intérêts américains qu'à ceux des Européens: c'est ainsi qu'ils n'interviendront pas en 1956 pour Budapest ni pour Prague en 1968 et qu'ils finiront, devant l'incapacité européenne à régler le problème yougoslave, par imposer la "Pax americana"pour conforter le processus déjà années 90 -> §
Dès 1991, lorsque pour eux de partager le l'URSS implose, les la charge du budget relations avec les Européens de l'Ouest si les USA veulent bien partager , il n'est deviennent plus difficiles; en effet pas question commandement de l'OTAN
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La menace communiste ayant disparu, le souci américain concernant l'ex URSS est de ne pas l'humilier et d'accelerer le désarmement nucléaire dans la région. Mais les américains ne peuvent être partout et s'ils laissent les Russes faire la police dans leur zone immédiate ils pèseront de tout leur poids pour résoudre au Moyen-Orient à leur façon la crise du Golfe en 1991 après l'annexion du Koweît par l'Irak ( voir infra), au Proche-Orient dans le réglement du contentieux israélo-palestinien et en Europe en 1995 pour obtenir la paix dans l'ex Yougoslavie
Au proche Orient, on américains concernant avec Israël. Dans ce cas aussi, il y a défense de des prix) , d'où constate une valeurs communes mais lobby juif américain et surtout les intérêts le pétrole (approvisionnement mondiales de pétrole et stabilité alliance stable et assure le leadership arabe dans l'intervention des USA, sous couvert d'une coalition sous l'égide de l'ONU,en 1991, également l'influence du pour empêcher qu'un État (Irak) ne contrôle 19% des réserves la région >-> guerre du Golfe
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En Asie on retrouve au Vietnam produira une l'anti communisme "institutionnel" des USA avec le président Truman en 1947. Mais la leur engagement en Corée, sous couvert de l'ONU, de 1950 à 1953 puis au Vietnam de 1964 à nom de la doctrine du "Containment" l'"endiguement"winking smiley définie par défaite militaire mettra fin crise 1973 de Kennedy à Nixon au idéologique qui aux interventions directes et en force des USA jusqu'à la Guerre du Golfe.
A partir de 1971, l'attitude américaine vis à vis du régime communiste de Pékin se modifie radicalement . Il s'agit pour les USA de sortir honorablement du bourbier vietnamien, en profitant d'organiser le contrepoids au sud de l'URSS investisseur aux USA et leur premier partenaire une réalité compte tenu des changements intervenus avec la direction du pays par entre les deux regimes communistes, de pénétrer le du pays le plus puissance régionale. Cette donnée pressentie depuis une vingtaine d'années est devenue les USA Deng Xiao Ping et, ce, au moment où l'URSS disparaissait
L'Amerique doit repenser alliance avec Tokyo marché chinois et de "contrôler"l'évolution politico-économique protestations de l'ONU cette possession ou avec Pékin. Le Japon n'est déjà plus qu' un simple porte-avions américain face au communisme d'Asie et s'il est toujours le premier commercial, l'Amerique entend bien élargir et développer encore plus ses intérêts. C'est ainsi que lorsqu'en 1975 la fin du régime dictatorial portuguais conduit à la proclamation de l'indépendance du Timor oriental et que l'Indonésie sa stratégie en Asie: elle a le choix entre une annexa malgré les portuguaise, des divergences de vue augmentèrent leurs livraisons peuplé du monde et au moins future grande d'armes au pouvoir indonésien qui se livrait à un véritable génocide dans cette partie de l'île.
Entre l'Europe de l'Ouest, elle même organisée en une structure économique (l'Union Européenne) et les pays asiatiques de l'ANSEA ou A.S.E.A.N (Association des nations du sud-est asiatique) il devenait nécessaire pour l'Amerique d'agrandir son marché intérieur. C'est la raison de la création en 1993 de l'ALENA (union de libre échange nord américaine regroupant les USA, le Canada et le Mexique) qui represente 370 millions de consommateurs et qui constitue la première étape vers un bloc commercial inter-américain
Au centre du monde , entre les deux autres grandes zones économiques ( l'Asie et L'Europe), l'Amerique mène une croisade inlassable pour la démocratie du marché et sa politique extérieure est maintenant plus que jamais fondée sur le terrain commercial où elle livre des assauts très agressifs ( par expl les difficiles accords du GATT)
Si le président Clinton n'a pas eu l'aura d'un Nixon ou d'un Kennedy, il était tout à fait dans son rôle d'organisateur du leadership des USA sur le monde. En 1994, dès son premier mandat il déclarait que la priorité numéro 1 de la politique étrangère des Etats-Unis serait la défense des intérêts économiques du pays. Cette précision n’est pas anodine ou factuelle. Elle démontre qu’il existe une tendance lourde au sein des élites américaines sur la volonté d’imposer tous les ingrédients de la Pax Americana à la communauté internationale.
Certes, il existe dans le monde politique d’outre Atlantique une polémique constante sur le moyen d’atteindre cet objectif mais l’analyse historique démontre que ces divergences internes sont inhérentes au processus conflictuel d’essor des empires. L’alternative entre la conquête commerciale et la conquête territoriale a constamment pesé sur la destinée des empires de toute nature. Ce fut le cas pour le Japon entre les deux guerres comme pour l’Allemagne de Bismarck à Hitler. C’est le cas pour les USA depuis la disparition du Bloc de l’Est. Durant les années 90, le débat au sein des élites de Washington a progressivement fait réapparaître cette alternative stratégique : soit s’imposer à ses vassaux et à ses alliés par l’influence politico-commerciale, soit s’imposer au monde par la force politico-militaire.
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Les évènements du 11 septembre 2001 et le déclenchement de la guerre contre le terrorisme a légitimé, selon G W Bush une doctrine politique-militaire d’ingérence tous azimuts. Il suffit de se pencher sur à la trace le redéploiement des forces de l’empire américain sur les géoéconomiques.
Les Etats-Unis aux attentats contre les ambassades américaines à sont, il est vrai, coutumiers de longue demander à l'ONU nouveaux axes de contrôle des sphères empire date de l'utilisation unilatérale de la force : intervention à la Grenade (1983), au Nicaragua contre l'Irak en 1998, bombardements et au Soudan en riposte Nairobi et Dar es-Salaam (1998), guerre d'Afghanistan (Bien sûr, le principe de légitime défense - article 51 de la Charte de l'ONU - couvrait " légalement " cette dernière intervention, mais de pouvoir régional, des sources d’énergie et des verrous l'autorisation de bombarder) intervention en Irak en 2003 pour abattre le régime de dictature de des cartes de géographie pour suivre Saddam Husseïn.
Le dossier quotidiens des zones d'exclusion aérienne de ce pays depuis lors ; bombardements en (1979-1989), au sa solution, l’entité terroriste que c leaders palestiniens, acceptant un compromis aux termes Panama (1989), en Somalie (1992) ; opération " Renard du désert " Afghanistan irakien est une lecture à livre ouvert des cheminements stratégiques et tactiques d’un Washington a refusé de à la recherche de sa pérennité de puissance. Selon les stratèges qui entourent GW Bush, après que les USA seront intervenus militairement en Afghanistan et en Irak et que leurs régimes seront renversés , les constitue selon eux l’Autorité palestinienne ayant perdu tous ses soutiens extérieurs, le terrorisme ne serait plus qu’un problème résiduel et une nouvelle génération de autres États-voyous de la région se tiendraient tranquilles. Enfin, un "Irak démocratique" sous tutelle américaine ne manquerait pas d’établir des relations diplomatiques avec Israël, permettant à Washington d’exercer d’efficaces pressions sur ses voisins pour qu’ils en fassent autant (>>§. Le problème palestinien trouverait alors de lui-même israéliens, prendrait la relève d’Arafat et des siens.
Des rapports de plus en plus différenciés entre l'UE et les USA
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Lancée par Donald Rumsfeld, Secrétaire d'Etat Américain, en janvier 2003 l'expression " Nouvelle Europe " s'est voulue désobligeante envers la France et l'Allemagne, qui sont alors les leaders de la " Vieille Europe ", contre la guerre en Irak, pendant que les pays d'Europe centrale et orientale (les PECO), en instance d'entrer dans l'Union Européenne, ainsi que des Etats a intéressé, une opposition, économique et une opposition démographique. L'opposition quant aux Etats-Unis est centrale, elle dynamise les relations entre ces différents pays européens, si bien que les oppositions économiques et démographiques déjà membres comme l'Espagne et l'Italie, menés par le Royaume-Uni, soutenaient Washington. de ces " à propos de l'Irak ont pu faire croire pendant les deux ans suivants l'invasion de l'Irak non seulement un rôle décisif et permis d'affirmer au niveau international leurs construire souhaite une Europe-puissance, concept que, longtemps, seule a France sont devenues de réelles problèmes : une intégration économique dans un cadre uniquement européen aurait pour le vieux continent ; enfin, savoir si l'on souhaite un monde multipolaire ou bien l'unilatéralisme américain.
Les divisions européennes été, certes, longue deux Europe " a donc été mise au grand jour, de manière claire, par les Etats-Unis. Cependant, même si la guerre en Irak et les débats qu ‘elle a suscités divergences, une Europe partenaire des Etats-Unis ou une Europe américaine; savoir si l'on de ces deux Europe repose sur a vision que chacun a de l'Europe de demain, l'Europe à ont joué bénéfique et difficile, mais à terme aurait été efficace ; la médiation des Américains a pour conséquence que les " entrants " dans l'Union Européenne réfléchissent, en terme d'économie, par rapport à l'Europe, mais aussi, et souvent avant toute chose, par rapport aux Etats-Unis. La division essentielle des oppositions existaient avant la crise irakienne entre la " Vieille et la Nouvelle Europe ". Ainsi, on relève trois types d'opposition : une opposition quant à la position face aux Etats-Unis, . Le débat de la " Vieille Europe " v.s la " Nouvelle Europe " est celui de savoir si l'on souhaite ou une Europe sous hégémonie américaine, ce que beaucoup envisage comme L'opposition Sur trois dossiers de politique étrangère, les Vingt-Cinq sont ( début 2005) à la fois de plus en plus unis et en opposition que l'Europe n'avait pas de politique étrangère mais aussi qu'elle était incapable de sortir d'une certaine tutelle de Washington. Les Etats-Unis, en déclarant la guerre aux Irakiens, sommèrent les Européens de choisir, d'être avec ou contre eux. Le spectacle des déchirements de l'Union qui s'en est suiviucune option, y compris militaire, à a largement accrédité cette thèse de la dépendance. Pourtant la réalité est un peu plus contrastée.
avec les thèses américaines.
Le premier dossier recherché par les leur côté, les Vingt-Cinq poursuivent depuis de longs mois une politique concerne l'Iran. Le président Bush a désigné ce pays comme le principal Etat dans le monde au multilatéralisme politique. Les Américains voient dans cette perspective une atteinte à leur propre sécurité puisque les Etats-Unis se sont portés garants à soutenir le terrorisme et comme celui qui fait le plus obstacle à avec (2005), lui, d'être carrément conflictuel. Les sa politique de démocratisation du "Grand Moyen-Orient". Et il n'exclut a l'encontre de ce "poste avancé de la tyrannie" selon les mots de la Américains l'objectif du dialogue La stigmatisation par l'administration américaine sur le projet de levée et les Européens paraît être le même, le désarmement nucléaire, les moyens divergent à destination de la Chine, imposé à la suite de la répression sanglante du mouvement Européens s'acheminent vers la levée de l'embargo sur les armes commerciale et de Taïwan et entretiennent quelques 100 000 soldats dans la zone Asie-Pacifique. sur les ventes d'armes à la Chine est moins liée à la situation des droits de l'Homme dont les USA s'accomodent à l'occasion qu'à l'évolution des relations pour la démocratie d'un partenariat avec la Chine, partenariat vital pour l'avenir des industries européennes de pointe. Les enjeux de ce partenariat d'avenir concernent moins le secteur de Tienanmen. Non que les droits de l'homme soient dorénavant respectés en Chine selon les standards européens, mais le temps est à l'ouverture totalement.
Un autre dossier menace secrétaire d'Etat. De Téhéran afin d'obtenir l'abandon de l'enrichissement les exportations européennes d'armes étant, désormais soumises à un code de conduite des plus stricts. Essentiellement soutenue par la France et l'Allemagne, cette décision armements qu'en fonction d'intérêts économiques , de l'armement que ceux de l'industrie a principalement une portée politique dont l'objectif essentiel vise la consolidation d'uranium. L'accord beaucoup plus larges que les USA fulminent. En effet, la levée de cet embargo ne signifie pas l'afflux massif d'armes européennes à destination de la Chine actuellement négocié ( 2004-2005) sur l'énergie porte également sur une coopération en matière de commerce, d'environnement ou d'immigration. Si de presse conjuguant l'idéologie globale sur le mode de "ce qui est bon pour les Etats-Unis l'est aussi pour l'ensemble du monde". Envers et contre cette glaciation de la planète, il n'est campagnes intérêts, qu'ils le disent et qu'ils le revendiquent...
Enfin la levée, effective depuis début 2005, des sanctions diplomatiques européennes à l'encontre de Cuba est elle aussi donc pas illégitime que des pays européens puissent aussi défendre leurs de l'embargo européen sino-taïwanaises et aux intérêts américains dans la région. Finalement c'est moins pour obtenir une libéralisation du régime cubain. en raison d'une course locale aux aéronautique, des transports et de l'énergie électrique. En permanence, justifié par la guerre planétaire contre le terrorisme et la croisade pour la liberté, le prosélytisme commercial américain s'accompagne toujours de vivement critiquée par Washington qui estime impossible un dialogue productif avec Fidel Castro; dialogue pourtant au coeur du pari engagé par les Vingt-Cinq
L'Asie orientale et sa sécurité.
signé :acharif moulay abdellah bouskraoui tel :+21268109597
t
13 août 2005 22:54
C'est un gars qui vient de faire cadeau d'un téléphone portable a sa femme, une ravissante blonde.
Il lui explique toutes les fonctions en long et en large :
transfert d'appel, consultation des messages, enregistrement du message de la boite vocale, etc.
Le lendemain, alors qu'il est au travail, il l'appelle pour lui demander si elle est toujours contente de son cadeau: "Bonjour chérie ! Alors, ton téléphone te plaît toujours autant?"
"Oh oui, c'est formidable chéri. Il est tellement mignon... et en plus je te reçois parfaitement. Mais il y a une chose que je ne comprends pas bien: comment as-tu deviné que j'étais chez l'esthéticienne ?"

[b][u]Sidi Moulay Charif Al Teleboutik BATATA, Tél: (999).12.34.56.78.90[/u][/b][i]** TOUTE RESSEMBLANCE AVEC DES PERSONNES EXISTANTES OU AYANT EXISTE NE SERAIT QUE PURE COÏNCIDENCE.** [/i]
r
15 août 2005 10:20
"signé :acharif moulay abdellah bouskraoui tel :+21268109597 "
Euhhh, il faudrait plutôt signer : "le plagiaire"
C'est pas beau de faire un copier coller sans mentionner la source et en plus en "signant" de manière aussi ostentatoire, en donnant son téléphone...
La page plagiée [www.rabac.com]

Et par dessus le marché le plagiaire n'a pas tout lu semble-t-il. Premièrement,il arrête le texte sur un titre "L'Asie orientale et sa sécurité." En effet sur la plage pagiée, le reste du texte, à partir de ce titre, est réservé aux abonnés.
Ensuite, il n'a pas non plus rectifié les nombreuses fautes de français de ce texte pas très fameux.
Exemple de ce français plus qu'approximatif : "Le premier dossier recherché par les leur côté, les Vingt-Cinq poursuivent depuis de longs mois une politique concerne l'Iran. Le président Bush a désigné ce pays comme le principal Etat dans le monde au multilatéralisme politique. Les Américains voient dans cette perspective une atteinte à leur propre sécurité puisque les Etats-Unis se sont portés garants à soutenir le terrorisme et comme celui qui fait le plus obstacle à avec (2005), lui, d'être carrément conflictuel."
Ce qui ne veut strictement rien dire. On croirait voir un texte de traducteur électronique.

Pas brillant, le plagiaire !!!!

Jacques Adam
Webmaster du site "L'Amérique post 11 septembre. De Bush I à Bush II"
[membres.lycos.fr]

a
15 août 2005 11:26
il n'a jamais dit que c de lui

et puis acharif c la mascotte de yabiladi il faut laisser tranquille
a
15 août 2005 22:42
bonjour :si je fait copie coller c'est apres autorisation du service du propagande ok je suis que tu ne comprendra jamais ces coulisses là
m
16 août 2005 09:22
c est vrai,on ne comprend pas bien ces coulisses car on est pas payé pour faire de la propagande aux neocons comme tu le dis si bien a si moulay machin .
r
16 août 2005 12:30
rifton75 : "il n'a jamais dit que c de lui"
Ben qu'est-ce qu'il te faut... quant on ne mentionne pas la source, on s'approprie le texte

acharif : "apres autorisation du service du propagande ok je suis que tu ne comprendra jamais ces coulisses là"
Euhh, ils sont où sur ce forum les smyleys pour se tordre de rire ?

r
16 août 2005 12:54
Ah, et j'oubliais...
Si vous voulez lire un dossier bien fait sur la politique étrangère américaine, je vous conseille celui-ci daté de septembre 2004
"Les fondements de la politique étrangère américaine"
[www.thucydide.com]

Jacques Adam
Webmaster du site "L'Amérique post 11 septembre. De Bush I à Bush II"
[membres.lycos.fr]

 
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