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Le Point.fr " Sahara: Le Maroc garde la main"
a
15 mai 2013 14:07
[www.lepoint.fr]

Depuis 1976, le Sahara occidental est en proie à un conflit opposant les indépendantistes sahraouis du Front Polisario au Maroc, qui revendique sa souveraineté sur l'ensemble du territoire. L'Algérie, qui soutient et arme le Front Polisario, cherche de longue date une ouverture sur l'océan Atlantique. Pendant que tous les regards étaient braqués sur le Mali ou sur les répliques que connaissent la Tunisie, la Libye ou l'Égypte après leurs "printemps" s'est joué en coulisses un discret bras de fer sur le statut juridique de ce territoire de plus de 260 000 kilomètres carrés.

La représentante américaine au Groupe des amis du Sahara avait proposé aux autres membres (Grande-Bretagne, Espagne, Russie et France) une résolution qui tendait à inclure des questions liées aux droits de l'homme dans le mandat de la Minurso, la Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental. Rabat, qui n'avait pas été mis au courant, a immédiatement dénoncé cette volte-face qui visait directement le royaume chérifien. Fait rare au Maroc, le roi Mohamed VI s'est personnellement saisi du dossier et a manifesté son mécontentement en annulant le mois dernier des manoeuvres militaires conjointes entre son pays et les États-Unis. Il a obtenu l'appui de toutes les tendances politiques du royaume, y compris celles qui réclament plus de pouvoirs diplomatiques pour les partis sortis vainqueurs des élections.
Efforts "sérieux et crédibles" pour trouver un règlement

Les autres membres du Groupe des amis du Sahara n'ont finalement pas tardé à prendre leur distance avec l'initiative américaine. S'appuyant sur une déclaration de Tiéman Coulibaly, ministre des Affaires étrangères du Mali, qui affirmait début février que des combattants issus des rangs du Polisario avaient été repérés au Nord-Mali, les puissances occidentales ne voulaient pas déstabiliser un peu plus encore une région fragile et dans laquelle le Maroc fait figure d'îlot de stabilité. Même si, depuis l'entrée en vigueur du cessez-le-feu de 1991, le statut final du Sahara occidental reste à déterminer, les "grandes puissances" puis le Conseil de sécurité de l'ONU, dans une résolution votée à l'unanimité le 25 avril 2013, ont réaffirmé la prééminence de l'initiative d'autonomie présentée par le Maroc. Le texte onusien réaffirme que le statu quo actuel est inacceptable et qu'il faut trouver une solution au différend qui oppose le royaume chérifien à l'Algérie. Mohamed VI peut même se prévaloir des efforts "sérieux et crédibles" consentis par son pays pour trouver un règlement à la question du Sahara occidental.

Non moins importants furent les propos tenus par François Hollande lors de sa visite à Tanger et Rabat début avril dernier. Le chef de l'État a réaffirmé sa position "ferme et sans équivoque" en faveur du plan marocain d'autonomie au Sahara. Il a également ajouté : "Le Maroc accomplit chaque jour des pas décisifs vers la démocratie, conduit de façon cohérente son développement, assure son unité fondée sur la reconnaissance des diversités." Mieux, il a remis à l'honneur le plan présenté en 2007 par le Maroc qui préconise une large autonomie dans le cadre de la souveraineté du royaume alaouite. "Je le redis ici, c'est une base et sérieuse et crédible en vue d'une solution négociée." Ce projet, désormais soutenu par la France, l'Espagne ainsi que la majeure partie des pays de la Ligue arabe, semble être le seul.

Un pas a donc été franchi dans le règlement de ce conflit oublié qui, à intervalles réguliers, menace de se réveiller. La balle est désormais dans le camp des Sahraouis et de leur allié algérien. Pourront-ils longtemps continuer de faire la sourde oreille aux diplomates qui prônent le réalisme, refusent d'exercer la moindre pression sur Rabat et rappellent les propos tenus par Peter van Walsum, l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU dans la région, qui avait affirmé qu'un "Sahara occidental indépendant n'était pas une proposition réaliste" ?
A
15 mai 2013 14:55
Citation
axis7 a écrit:
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Depuis 1976, le Sahara occidental est en proie à un conflit opposant les indépendantistes sahraouis du Front Polisario au Maroc, qui revendique sa souveraineté sur l'ensemble du territoire. L'Algérie, qui soutient et arme le Front Polisario, cherche de longue date une ouverture sur l'océan Atlantique. Pendant que tous les regards étaient braqués sur le Mali ou sur les répliques que connaissent la Tunisie, la Libye ou l'Égypte après leurs "printemps" s'est joué en coulisses un discret bras de fer sur le statut juridique de ce territoire de plus de 260 000 kilomètres carrés.

La représentante américaine au Groupe des amis du Sahara avait proposé aux autres membres (Grande-Bretagne, Espagne, Russie et France) une résolution qui tendait à inclure des questions liées aux droits de l'homme dans le mandat de la Minurso, la Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental. Rabat, qui n'avait pas été mis au courant, a immédiatement dénoncé cette volte-face qui visait directement le royaume chérifien. Fait rare au Maroc, le roi Mohamed VI s'est personnellement saisi du dossier et a manifesté son mécontentement en annulant le mois dernier des manoeuvres militaires conjointes entre son pays et les États-Unis. Il a obtenu l'appui de toutes les tendances politiques du royaume, y compris celles qui réclament plus de pouvoirs diplomatiques pour les partis sortis vainqueurs des élections.
Efforts "sérieux et crédibles" pour trouver un règlement

Les autres membres du Groupe des amis du Sahara n'ont finalement pas tardé à prendre leur distance avec l'initiative américaine. S'appuyant sur une déclaration de Tiéman Coulibaly, ministre des Affaires étrangères du Mali, qui affirmait début février que des combattants issus des rangs du Polisario avaient été repérés au Nord-Mali, les puissances occidentales ne voulaient pas déstabiliser un peu plus encore une région fragile et dans laquelle le Maroc fait figure d'îlot de stabilité. Même si, depuis l'entrée en vigueur du cessez-le-feu de 1991, le statut final du Sahara occidental reste à déterminer, les "grandes puissances" puis le Conseil de sécurité de l'ONU, dans une résolution votée à l'unanimité le 25 avril 2013, ont réaffirmé la prééminence de l'initiative d'autonomie présentée par le Maroc. Le texte onusien réaffirme que le statu quo actuel est inacceptable et qu'il faut trouver une solution au différend qui oppose le royaume chérifien à l'Algérie. Mohamed VI peut même se prévaloir des efforts "sérieux et crédibles" consentis par son pays pour trouver un règlement à la question du Sahara occidental.

Non moins importants furent les propos tenus par François Hollande lors de sa visite à Tanger et Rabat début avril dernier. Le chef de l'État a réaffirmé sa position "ferme et sans équivoque" en faveur du plan marocain d'autonomie au Sahara. Il a également ajouté : "Le Maroc accomplit chaque jour des pas décisifs vers la démocratie, conduit de façon cohérente son développement, assure son unité fondée sur la reconnaissance des diversités." Mieux, il a remis à l'honneur le plan présenté en 2007 par le Maroc qui préconise une large autonomie dans le cadre de la souveraineté du royaume alaouite. "Je le redis ici, c'est une base et sérieuse et crédible en vue d'une solution négociée." Ce projet, désormais soutenu par la France, l'Espagne ainsi que la majeure partie des pays de la Ligue arabe, semble être le seul.

Un pas a donc été franchi dans le règlement de ce conflit oublié qui, à intervalles réguliers, menace de se réveiller. La balle est désormais dans le camp des Sahraouis et de leur allié algérien. Pourront-ils longtemps continuer de faire la sourde oreille aux diplomates qui prônent le réalisme, refusent d'exercer la moindre pression sur Rabat et rappellent les propos tenus par Peter van Walsum, l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU dans la région, qui avait affirmé qu'un "Sahara occidental indépendant n'était pas une proposition réaliste" ?

Le conflit du Sahara occidental ne concerne que le Maroc puissance occupante et les Saharaouis qui veulent devenir libres !!! Les Algériens ne sont pas impliqués dans ce conflit et ont toujours eu une attitude objective et neutre !!! Le président Algérien Abdelaziz BOUTEFLIKA l'a répété à plusieurs reprises !!! Nous autres Algériens, ne savons même pas de quoi il s'agît au juste ??? C'est à votre roi de trouver une solution à ce problème qui dure depuis longtemps. Point final.
a
15 mai 2013 23:05
Salam,

Maroc puissance occupante et les Saharaouis qui veulent devenir libre

Ces Banu Hassan pouvaient rester là d'où ils venaient* ! Le Rif, lui, a la sincérité de pouvoir se détacher du reste... De vrais autochtones.

Occupant ? Pas plus que les autres... En quoi un sioniste serait différent d'un Arabe musulman qui comme les autres est également animé d'instincts de bête de proie, d'instincts de domination sur plus faible et plus paisible ?


*il y a déjà de quoi bondir lorsqu'on voit une statue de la liberté chez les Ricains... Occupants ou conquérants, c'est selon, d'un espace qui appartenait aux Peaux Rouges ! Ils ont connu l'oppression, une domination injuste ces pauvres occupants ! Un monde faux. Qui génère son propre nihilisme.



Modifié 3 fois. Dernière modification le 15/05/13 23:35 par abde12.
E
16 mai 2013 02:49
Citation
axis7 a écrit:
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Depuis 1976, le Sahara occidental est en proie à un conflit opposant les indépendantistes sahraouis du Front Polisario au Maroc, qui revendique sa souveraineté sur l'ensemble du territoire. L'Algérie, qui soutient et arme le Front Polisario, cherche de longue date une ouverture sur l'océan Atlantique. Pendant que tous les regards étaient braqués sur le Mali ou sur les répliques que connaissent la Tunisie, la Libye ou l'Égypte après leurs "printemps" s'est joué en coulisses un discret bras de fer sur le statut juridique de ce territoire de plus de 260 000 kilomètres carrés.

La représentante américaine au Groupe des amis du Sahara avait proposé aux autres membres (Grande-Bretagne, Espagne, Russie et France) une résolution qui tendait à inclure des questions liées aux droits de l'homme dans le mandat de la Minurso, la Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental. Rabat, qui n'avait pas été mis au courant, a immédiatement dénoncé cette volte-face qui visait directement le royaume chérifien. Fait rare au Maroc, le roi Mohamed VI s'est personnellement saisi du dossier et a manifesté son mécontentement en annulant le mois dernier des manoeuvres militaires conjointes entre son pays et les États-Unis. Il a obtenu l'appui de toutes les tendances politiques du royaume, y compris celles qui réclament plus de pouvoirs diplomatiques pour les partis sortis vainqueurs des élections.
Efforts "sérieux et crédibles" pour trouver un règlement

Les autres membres du Groupe des amis du Sahara n'ont finalement pas tardé à prendre leur distance avec l'initiative américaine. S'appuyant sur une déclaration de Tiéman Coulibaly, ministre des Affaires étrangères du Mali, qui affirmait début février que des combattants issus des rangs du Polisario avaient été repérés au Nord-Mali, les puissances occidentales ne voulaient pas déstabiliser un peu plus encore une région fragile et dans laquelle le Maroc fait figure d'îlot de stabilité. Même si, depuis l'entrée en vigueur du cessez-le-feu de 1991, le statut final du Sahara occidental reste à déterminer, les "grandes puissances" puis le Conseil de sécurité de l'ONU, dans une résolution votée à l'unanimité le 25 avril 2013, ont réaffirmé la prééminence de l'initiative d'autonomie présentée par le Maroc. Le texte onusien réaffirme que le statu quo actuel est inacceptable et qu'il faut trouver une solution au différend qui oppose le royaume chérifien à l'Algérie. Mohamed VI peut même se prévaloir des efforts "sérieux et crédibles" consentis par son pays pour trouver un règlement à la question du Sahara occidental.

Non moins importants furent les propos tenus par François Hollande lors de sa visite à Tanger et Rabat début avril dernier. Le chef de l'État a réaffirmé sa position "ferme et sans équivoque" en faveur du plan marocain d'autonomie au Sahara. Il a également ajouté : "Le Maroc accomplit chaque jour des pas décisifs vers la démocratie, conduit de façon cohérente son développement, assure son unité fondée sur la reconnaissance des diversités." Mieux, il a remis à l'honneur le plan présenté en 2007 par le Maroc qui préconise une large autonomie dans le cadre de la souveraineté du royaume alaouite. "Je le redis ici, c'est une base et sérieuse et crédible en vue d'une solution négociée." Ce projet, désormais soutenu par la France, l'Espagne ainsi que la majeure partie des pays de la Ligue arabe, semble être le seul.

Un pas a donc été franchi dans le règlement de ce conflit oublié qui, à intervalles réguliers, menace de se réveiller. La balle est désormais dans le camp des Sahraouis et de leur allié algérien. Pourront-ils longtemps continuer de faire la sourde oreille aux diplomates qui prônent le réalisme, refusent d'exercer la moindre pression sur Rabat et rappellent les propos tenus par Peter van Walsum, l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU dans la région, qui avait affirmé qu'un "Sahara occidental indépendant n'était pas une proposition réaliste" ?

Juste pour info: le front Polisario est né bien avant l'indépendance de l'Algérie.
Si Mohamed V n'avait pas trahi sa parole de n'accepter l'indépendance du Maroc qu'une fois que tout le Maghreb sera libre y'compris l'Algérie et le Sahara occidental (Mauritanie incluse), le Maroc aurait récupérer le SO, la Mauritanie et aussi Tindouf et le front populaire de libération de Saguia et el hamra et du rio del oro (front Polisario) n'aurait jamais vu le jour.
Mohamed V a voulu faire cavalier seul, il a tout gagné.
t
16 mai 2013 11:09
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EdwardSaid a écrit:
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axis7 a écrit:
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Depuis 1976, le Sahara occidental est en proie à un conflit opposant les indépendantistes sahraouis du Front Polisario au Maroc, qui revendique sa souveraineté sur l'ensemble du territoire. L'Algérie, qui soutient et arme le Front Polisario, cherche de longue date une ouverture sur l'océan Atlantique. Pendant que tous les regards étaient braqués sur le Mali ou sur les répliques que connaissent la Tunisie, la Libye ou l'Égypte après leurs "printemps" s'est joué en coulisses un discret bras de fer sur le statut juridique de ce territoire de plus de 260 000 kilomètres carrés.

La représentante américaine au Groupe des amis du Sahara avait proposé aux autres membres (Grande-Bretagne, Espagne, Russie et France) une résolution qui tendait à inclure des questions liées aux droits de l'homme dans le mandat de la Minurso, la Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental. Rabat, qui n'avait pas été mis au courant, a immédiatement dénoncé cette volte-face qui visait directement le royaume chérifien. Fait rare au Maroc, le roi Mohamed VI s'est personnellement saisi du dossier et a manifesté son mécontentement en annulant le mois dernier des manoeuvres militaires conjointes entre son pays et les États-Unis. Il a obtenu l'appui de toutes les tendances politiques du royaume, y compris celles qui réclament plus de pouvoirs diplomatiques pour les partis sortis vainqueurs des élections.
Efforts "sérieux et crédibles" pour trouver un règlement

Les autres membres du Groupe des amis du Sahara n'ont finalement pas tardé à prendre leur distance avec l'initiative américaine. S'appuyant sur une déclaration de Tiéman Coulibaly, ministre des Affaires étrangères du Mali, qui affirmait début février que des combattants issus des rangs du Polisario avaient été repérés au Nord-Mali, les puissances occidentales ne voulaient pas déstabiliser un peu plus encore une région fragile et dans laquelle le Maroc fait figure d'îlot de stabilité. Même si, depuis l'entrée en vigueur du cessez-le-feu de 1991, le statut final du Sahara occidental reste à déterminer, les "grandes puissances" puis le Conseil de sécurité de l'ONU, dans une résolution votée à l'unanimité le 25 avril 2013, ont réaffirmé la prééminence de l'initiative d'autonomie présentée par le Maroc. Le texte onusien réaffirme que le statu quo actuel est inacceptable et qu'il faut trouver une solution au différend qui oppose le royaume chérifien à l'Algérie. Mohamed VI peut même se prévaloir des efforts "sérieux et crédibles" consentis par son pays pour trouver un règlement à la question du Sahara occidental.

Non moins importants furent les propos tenus par François Hollande lors de sa visite à Tanger et Rabat début avril dernier. Le chef de l'État a réaffirmé sa position "ferme et sans équivoque" en faveur du plan marocain d'autonomie au Sahara. Il a également ajouté : "Le Maroc accomplit chaque jour des pas décisifs vers la démocratie, conduit de façon cohérente son développement, assure son unité fondée sur la reconnaissance des diversités." Mieux, il a remis à l'honneur le plan présenté en 2007 par le Maroc qui préconise une large autonomie dans le cadre de la souveraineté du royaume alaouite. "Je le redis ici, c'est une base et sérieuse et crédible en vue d'une solution négociée." Ce projet, désormais soutenu par la France, l'Espagne ainsi que la majeure partie des pays de la Ligue arabe, semble être le seul.

Un pas a donc été franchi dans le règlement de ce conflit oublié qui, à intervalles réguliers, menace de se réveiller. La balle est désormais dans le camp des Sahraouis et de leur allié algérien. Pourront-ils longtemps continuer de faire la sourde oreille aux diplomates qui prônent le réalisme, refusent d'exercer la moindre pression sur Rabat et rappellent les propos tenus par Peter van Walsum, l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU dans la région, qui avait affirmé qu'un "Sahara occidental indépendant n'était pas une proposition réaliste" ?

Juste pour info: le front Polisario est né bien avant l'indépendance de l'Algérie.
Si Mohamed V n'avait pas trahi sa parole de n'accepter l'indépendance du Maroc qu'une fois que tout le Maghreb sera libre y'compris l'Algérie et le Sahara occidental (Mauritanie incluse), le Maroc aurait récupérer le SO, la Mauritanie et aussi Tindouf et le front populaire de libération de Saguia et el hamra et du rio del oro (front Polisario) n'aurait jamais vu le jour.
Mohamed V a voulu faire cavalier seul, il a tout gagné.


Inutile de nous chanter toujours la même chansonnette , que personne ne veut écouter , la vérité est flagrante .
L' Algérie s ' est mis dans la position de la traîtrise et ça le monde entier le sait ,sauf toi ou bien tu fais tout pour ramener des arguments qui n ' ont rien avec la réalité .
Le Maroc restera debout inchallah malgré la haine du voisin envers le Maroc , pas besoin de l Algérie , L' Algérie a déjà du mal à gérer ses affaires en interne , alors que vient elle faire dans ceux du Maroc qui ne la concerne en aucun cas !
a
16 mai 2013 13:53
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EdwardSaid a écrit:
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axis7 a écrit:
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Depuis 1976, le Sahara occidental est en proie à un conflit opposant les indépendantistes sahraouis du Front Polisario au Maroc, qui revendique sa souveraineté sur l'ensemble du territoire. L'Algérie, qui soutient et arme le Front Polisario, cherche de longue date une ouverture sur l'océan Atlantique. Pendant que tous les regards étaient braqués sur le Mali ou sur les répliques que connaissent la Tunisie, la Libye ou l'Égypte après leurs "printemps" s'est joué en coulisses un discret bras de fer sur le statut juridique de ce territoire de plus de 260 000 kilomètres carrés.

La représentante américaine au Groupe des amis du Sahara avait proposé aux autres membres (Grande-Bretagne, Espagne, Russie et France) une résolution qui tendait à inclure des questions liées aux droits de l'homme dans le mandat de la Minurso, la Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental. Rabat, qui n'avait pas été mis au courant, a immédiatement dénoncé cette volte-face qui visait directement le royaume chérifien. Fait rare au Maroc, le roi Mohamed VI s'est personnellement saisi du dossier et a manifesté son mécontentement en annulant le mois dernier des manoeuvres militaires conjointes entre son pays et les États-Unis. Il a obtenu l'appui de toutes les tendances politiques du royaume, y compris celles qui réclament plus de pouvoirs diplomatiques pour les partis sortis vainqueurs des élections.
Efforts "sérieux et crédibles" pour trouver un règlement

Les autres membres du Groupe des amis du Sahara n'ont finalement pas tardé à prendre leur distance avec l'initiative américaine. S'appuyant sur une déclaration de Tiéman Coulibaly, ministre des Affaires étrangères du Mali, qui affirmait début février que des combattants issus des rangs du Polisario avaient été repérés au Nord-Mali, les puissances occidentales ne voulaient pas déstabiliser un peu plus encore une région fragile et dans laquelle le Maroc fait figure d'îlot de stabilité. Même si, depuis l'entrée en vigueur du cessez-le-feu de 1991, le statut final du Sahara occidental reste à déterminer, les "grandes puissances" puis le Conseil de sécurité de l'ONU, dans une résolution votée à l'unanimité le 25 avril 2013, ont réaffirmé la prééminence de l'initiative d'autonomie présentée par le Maroc. Le texte onusien réaffirme que le statu quo actuel est inacceptable et qu'il faut trouver une solution au différend qui oppose le royaume chérifien à l'Algérie. Mohamed VI peut même se prévaloir des efforts "sérieux et crédibles" consentis par son pays pour trouver un règlement à la question du Sahara occidental.

Non moins importants furent les propos tenus par François Hollande lors de sa visite à Tanger et Rabat début avril dernier. Le chef de l'État a réaffirmé sa position "ferme et sans équivoque" en faveur du plan marocain d'autonomie au Sahara. Il a également ajouté : "Le Maroc accomplit chaque jour des pas décisifs vers la démocratie, conduit de façon cohérente son développement, assure son unité fondée sur la reconnaissance des diversités." Mieux, il a remis à l'honneur le plan présenté en 2007 par le Maroc qui préconise une large autonomie dans le cadre de la souveraineté du royaume alaouite. "Je le redis ici, c'est une base et sérieuse et crédible en vue d'une solution négociée." Ce projet, désormais soutenu par la France, l'Espagne ainsi que la majeure partie des pays de la Ligue arabe, semble être le seul.

Un pas a donc été franchi dans le règlement de ce conflit oublié qui, à intervalles réguliers, menace de se réveiller. La balle est désormais dans le camp des Sahraouis et de leur allié algérien. Pourront-ils longtemps continuer de faire la sourde oreille aux diplomates qui prônent le réalisme, refusent d'exercer la moindre pression sur Rabat et rappellent les propos tenus par Peter van Walsum, l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU dans la région, qui avait affirmé qu'un "Sahara occidental indépendant n'était pas une proposition réaliste" ?

Juste pour info: le front Polisario est né bien avant l'indépendance de l'Algérie.
Si Mohamed V n'avait pas trahi sa parole de n'accepter l'indépendance du Maroc qu'une fois que tout le Maghreb sera libre y'compris l'Algérie et le Sahara occidental (Mauritanie incluse), le Maroc aurait récupérer le SO, la Mauritanie et aussi Tindouf et le front populaire de libération de Saguia et el hamra et du rio del oro (front Polisario) n'aurait jamais vu le jour.
Mohamed V a voulu faire cavalier seul, il a tout gagné.


C'est la première fois que j'apprends que Mohamed V avait promis d'être occupé jusqu'en 1962....!!!

Si on avait retardé notre liberté vous n'auriez pas eu le Maroc comme base arrière du FLN ni comme appui diplomatique. Lors du putsh d'Alger, le Roi a saisi le conseil de securité de l'Onu pour denoncer les généraux et le fait colonial.

Vous dites aussi en Algérie que Mohamed V a vendu le FLN lors de la prise de l'avion marocain dans les airs par les français.... Si c'etait le cas pourquoi Boudiaf, un vrai héros integre, a t il choisi de vivre au Maroc des les années 60 et de ne jamais retourner dans l' Algérie du FLN????....

Et pourquoi donc un boulevard à Alger porte le nom de Mohamed V???? Il est vrai cependant que vous honorez... souvent les traîtres mais je ne pense pas que Mohamed V merite votre ingratitude.

Vous ne reculez devant aucune perfidie fût-ce au pris de votre propre abaissement moral.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 16/05/13 13:55 par axis7.
M
16 mai 2013 14:57
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axis7 a écrit:
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EdwardSaid a écrit:
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axis7 a écrit:
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Depuis 1976, le Sahara occidental est en proie à un conflit opposant les indépendantistes sahraouis du Front Polisario au Maroc, qui revendique sa souveraineté sur l'ensemble du territoire. L'Algérie, qui soutient et arme le Front Polisario, cherche de longue date une ouverture sur l'océan Atlantique. Pendant que tous les regards étaient braqués sur le Mali ou sur les répliques que connaissent la Tunisie, la Libye ou l'Égypte après leurs "printemps" s'est joué en coulisses un discret bras de fer sur le statut juridique de ce territoire de plus de 260 000 kilomètres carrés.

La représentante américaine au Groupe des amis du Sahara avait proposé aux autres membres (Grande-Bretagne, Espagne, Russie et France) une résolution qui tendait à inclure des questions liées aux droits de l'homme dans le mandat de la Minurso, la Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental. Rabat, qui n'avait pas été mis au courant, a immédiatement dénoncé cette volte-face qui visait directement le royaume chérifien. Fait rare au Maroc, le roi Mohamed VI s'est personnellement saisi du dossier et a manifesté son mécontentement en annulant le mois dernier des manoeuvres militaires conjointes entre son pays et les États-Unis. Il a obtenu l'appui de toutes les tendances politiques du royaume, y compris celles qui réclament plus de pouvoirs diplomatiques pour les partis sortis vainqueurs des élections.
Efforts "sérieux et crédibles" pour trouver un règlement

Les autres membres du Groupe des amis du Sahara n'ont finalement pas tardé à prendre leur distance avec l'initiative américaine. S'appuyant sur une déclaration de Tiéman Coulibaly, ministre des Affaires étrangères du Mali, qui affirmait début février que des combattants issus des rangs du Polisario avaient été repérés au Nord-Mali, les puissances occidentales ne voulaient pas déstabiliser un peu plus encore une région fragile et dans laquelle le Maroc fait figure d'îlot de stabilité. Même si, depuis l'entrée en vigueur du cessez-le-feu de 1991, le statut final du Sahara occidental reste à déterminer, les "grandes puissances" puis le Conseil de sécurité de l'ONU, dans une résolution votée à l'unanimité le 25 avril 2013, ont réaffirmé la prééminence de l'initiative d'autonomie présentée par le Maroc. Le texte onusien réaffirme que le statu quo actuel est inacceptable et qu'il faut trouver une solution au différend qui oppose le royaume chérifien à l'Algérie. Mohamed VI peut même se prévaloir des efforts "sérieux et crédibles" consentis par son pays pour trouver un règlement à la question du Sahara occidental.

Non moins importants furent les propos tenus par François Hollande lors de sa visite à Tanger et Rabat début avril dernier. Le chef de l'État a réaffirmé sa position "ferme et sans équivoque" en faveur du plan marocain d'autonomie au Sahara. Il a également ajouté : "Le Maroc accomplit chaque jour des pas décisifs vers la démocratie, conduit de façon cohérente son développement, assure son unité fondée sur la reconnaissance des diversités." Mieux, il a remis à l'honneur le plan présenté en 2007 par le Maroc qui préconise une large autonomie dans le cadre de la souveraineté du royaume alaouite. "Je le redis ici, c'est une base et sérieuse et crédible en vue d'une solution négociée." Ce projet, désormais soutenu par la France, l'Espagne ainsi que la majeure partie des pays de la Ligue arabe, semble être le seul.

Un pas a donc été franchi dans le règlement de ce conflit oublié qui, à intervalles réguliers, menace de se réveiller. La balle est désormais dans le camp des Sahraouis et de leur allié algérien. Pourront-ils longtemps continuer de faire la sourde oreille aux diplomates qui prônent le réalisme, refusent d'exercer la moindre pression sur Rabat et rappellent les propos tenus par Peter van Walsum, l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU dans la région, qui avait affirmé qu'un "Sahara occidental indépendant n'était pas une proposition réaliste" ?

Juste pour info: le front Polisario est né bien avant l'indépendance de l'Algérie.
Si Mohamed V n'avait pas trahi sa parole de n'accepter l'indépendance du Maroc qu'une fois que tout le Maghreb sera libre y'compris l'Algérie et le Sahara occidental (Mauritanie incluse), le Maroc aurait récupérer le SO, la Mauritanie et aussi Tindouf et le front populaire de libération de Saguia et el hamra et du rio del oro (front Polisario) n'aurait jamais vu le jour.
Mohamed V a voulu faire cavalier seul, il a tout gagné.


C'est la première fois que j'apprends que Mohamed V avait promis d'être occupé jusqu'en 1962....!!!

Si on avait retardé notre liberté vous n'auriez pas eu le Maroc comme base arrière du FLN ni comme appui diplomatique. Lors du putsh d'Alger, le Roi a saisi le conseil de securité de l'Onu pour denoncer les généraux et le fait colonial.

Vous dites aussi en Algérie que Mohamed V a vendu le FLN lors de la prise de l'avion marocain dans les airs par les français.... Si c'etait le cas pourquoi Boudiaf, un vrai héros integre, a t il choisi de vivre au Maroc des les années 60 et de ne jamais retourner dans l' Algérie du FLN????....

Et pourquoi donc un boulevard à Alger porte le nom de Mohamed V???? Il est vrai cependant que vous honorez... souvent les traîtres mais je ne pense pas que Mohamed V merite votre ingratitude.

Vous ne reculez devant aucune perfidie fût-ce au pris de votre propre abaissement moral.


Je te cite :"Et pourquoi donc un boulevard à Alger porte le nom de Mohamed V????"

Sans rentrer dans la polémique pour le reste, il faut cependant savoir, car l'histoire du maroc ne le relate pas :

Le sultan Mohammed 5, devenu Roi en 1956 est considéré, pour la plupart des algeriens, surtout l'ancienne génération , comme presque un algerien pourquoi?

- D'abord, à 17 ans Mohammed 5 avait comme prescripteur un algérien nommé Mameri jusqu'à son accession au pouvoir.
Cet algérien, comme bien d'autres dans l'histoire du maroc, est totalement occulté alors qu'il est enterré dans le même cimetière royale que son élève Mohammed 5.

- Il y avait une union sacrée particulièrement entre l'algérie et le maroc du temps des colonies qui reposait sur l'islam avant même de déboucher sur le nationalisme ( quoique sous-entendu déja dans la démarche de l'union islamique).
Mohammed 5 était membre "secret" du mouvement des "Oulamas" présidé par Ben Badis en algérie, et sous la bannière "islamique" des voyages consultatifs chez les uns et les autres étaient permanents.
Il est même dit, que Mohammed 5 s'était rendu en catimini en algérie plusieurs fois. la dernière fut juste avant son exil de 1953.

Voila, entre autre, pourquoi Mohammed 5 a un boulevard en algerie et qu'il est dans le coeur des algériens.

Par contre je ne sais pas si Mameri a été honoré au Maroc pour avoir un boulevard à son nom.
E
16 mai 2013 17:04
Citation
tatouage a écrit:
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EdwardSaid a écrit:
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axis7 a écrit:
[www.lepoint.fr]

Depuis 1976, le Sahara occidental est en proie à un conflit opposant les indépendantistes sahraouis du Front Polisario au Maroc, qui revendique sa souveraineté sur l'ensemble du territoire. L'Algérie, qui soutient et arme le Front Polisario, cherche de longue date une ouverture sur l'océan Atlantique. Pendant que tous les regards étaient braqués sur le Mali ou sur les répliques que connaissent la Tunisie, la Libye ou l'Égypte après leurs "printemps" s'est joué en coulisses un discret bras de fer sur le statut juridique de ce territoire de plus de 260 000 kilomètres carrés.

La représentante américaine au Groupe des amis du Sahara avait proposé aux autres membres (Grande-Bretagne, Espagne, Russie et France) une résolution qui tendait à inclure des questions liées aux droits de l'homme dans le mandat de la Minurso, la Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental. Rabat, qui n'avait pas été mis au courant, a immédiatement dénoncé cette volte-face qui visait directement le royaume chérifien. Fait rare au Maroc, le roi Mohamed VI s'est personnellement saisi du dossier et a manifesté son mécontentement en annulant le mois dernier des manoeuvres militaires conjointes entre son pays et les États-Unis. Il a obtenu l'appui de toutes les tendances politiques du royaume, y compris celles qui réclament plus de pouvoirs diplomatiques pour les partis sortis vainqueurs des élections.
Efforts "sérieux et crédibles" pour trouver un règlement

Les autres membres du Groupe des amis du Sahara n'ont finalement pas tardé à prendre leur distance avec l'initiative américaine. S'appuyant sur une déclaration de Tiéman Coulibaly, ministre des Affaires étrangères du Mali, qui affirmait début février que des combattants issus des rangs du Polisario avaient été repérés au Nord-Mali, les puissances occidentales ne voulaient pas déstabiliser un peu plus encore une région fragile et dans laquelle le Maroc fait figure d'îlot de stabilité. Même si, depuis l'entrée en vigueur du cessez-le-feu de 1991, le statut final du Sahara occidental reste à déterminer, les "grandes puissances" puis le Conseil de sécurité de l'ONU, dans une résolution votée à l'unanimité le 25 avril 2013, ont réaffirmé la prééminence de l'initiative d'autonomie présentée par le Maroc. Le texte onusien réaffirme que le statu quo actuel est inacceptable et qu'il faut trouver une solution au différend qui oppose le royaume chérifien à l'Algérie. Mohamed VI peut même se prévaloir des efforts "sérieux et crédibles" consentis par son pays pour trouver un règlement à la question du Sahara occidental.

Non moins importants furent les propos tenus par François Hollande lors de sa visite à Tanger et Rabat début avril dernier. Le chef de l'État a réaffirmé sa position "ferme et sans équivoque" en faveur du plan marocain d'autonomie au Sahara. Il a également ajouté : "Le Maroc accomplit chaque jour des pas décisifs vers la démocratie, conduit de façon cohérente son développement, assure son unité fondée sur la reconnaissance des diversités." Mieux, il a remis à l'honneur le plan présenté en 2007 par le Maroc qui préconise une large autonomie dans le cadre de la souveraineté du royaume alaouite. "Je le redis ici, c'est une base et sérieuse et crédible en vue d'une solution négociée." Ce projet, désormais soutenu par la France, l'Espagne ainsi que la majeure partie des pays de la Ligue arabe, semble être le seul.

Un pas a donc été franchi dans le règlement de ce conflit oublié qui, à intervalles réguliers, menace de se réveiller. La balle est désormais dans le camp des Sahraouis et de leur allié algérien. Pourront-ils longtemps continuer de faire la sourde oreille aux diplomates qui prônent le réalisme, refusent d'exercer la moindre pression sur Rabat et rappellent les propos tenus par Peter van Walsum, l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU dans la région, qui avait affirmé qu'un "Sahara occidental indépendant n'était pas une proposition réaliste" ?

Juste pour info: le front Polisario est né bien avant l'indépendance de l'Algérie.
Si Mohamed V n'avait pas trahi sa parole de n'accepter l'indépendance du Maroc qu'une fois que tout le Maghreb sera libre y'compris l'Algérie et le Sahara occidental (Mauritanie incluse), le Maroc aurait récupérer le SO, la Mauritanie et aussi Tindouf et le front populaire de libération de Saguia et el hamra et du rio del oro (front Polisario) n'aurait jamais vu le jour.
Mohamed V a voulu faire cavalier seul, il a tout gagné.


Inutile de nous chanter toujours la même chansonnette , que personne ne veut écouter , la vérité est flagrante .
L' Algérie s ' est mis dans la position de la traîtrise et ça le monde entier le sait ,sauf toi ou bien tu fais tout pour ramener des arguments qui n ' ont rien avec la réalité .
Le Maroc restera debout inchallah malgré la haine du voisin envers le Maroc , pas besoin de l Algérie , L' Algérie a déjà du mal à gérer ses affaires en interne , alors que vient elle faire dans ceux du Maroc qui ne la concerne en aucun cas !

Je vais répondre à ton message mensonger en commençant par la fin.
Pour commencer l'Algérie n'est pas partie prenante dans le conflit qui vous oppose au Front Polisario. Tu n'as qu'à relire l'histoire du front Polisario pour t'en convaincre. Au début le FP était même un parti monarchiste.
Si ce n'était la trahison de Mohamed V envers la lutte anticoloniale maghrébine, ce parti n'existerai même plus aujourd'hui et le Maroc aurait aujourd'hui des frontières qui s'étendraient du fleuve Sénégal à Tindouf et à tout l'ouest algérien.
Votre roi nous a trahi, il a négocié l'indépendance du Maroc sans déclarer la guerre à la France pour nous aider, on oubliera jamais cette trahison.
Maintenant vous pourrez toujours courir pour récupérer vos territoires de l'ouest, vous ne les aurez jamais! Et si vous essayez de les reprendre par quelques moyens que ce soit, on enverra à Rabat une armée comprenant des millions d'hommes, des milliers de char et des centaines d'avions, et on ne s'arrêtera que lorsque nous aurons chasser votre roi et instaurer une république dans votre pays.
Il faut lire la vraie histoire, pas celle du makhzen.
C'est le Maroc qui a trahi l'Algérie et non l'inverse.
E
16 mai 2013 17:40
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Melkafr a écrit:
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axis7 a écrit:
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EdwardSaid a écrit:
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axis7 a écrit:
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Depuis 1976, le Sahara occidental est en proie à un conflit opposant les indépendantistes sahraouis du Front Polisario au Maroc, qui revendique sa souveraineté sur l'ensemble du territoire. L'Algérie, qui soutient et arme le Front Polisario, cherche de longue date une ouverture sur l'océan Atlantique. Pendant que tous les regards étaient braqués sur le Mali ou sur les répliques que connaissent la Tunisie, la Libye ou l'Égypte après leurs "printemps" s'est joué en coulisses un discret bras de fer sur le statut juridique de ce territoire de plus de 260 000 kilomètres carrés.

La représentante américaine au Groupe des amis du Sahara avait proposé aux autres membres (Grande-Bretagne, Espagne, Russie et France) une résolution qui tendait à inclure des questions liées aux droits de l'homme dans le mandat de la Minurso, la Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental. Rabat, qui n'avait pas été mis au courant, a immédiatement dénoncé cette volte-face qui visait directement le royaume chérifien. Fait rare au Maroc, le roi Mohamed VI s'est personnellement saisi du dossier et a manifesté son mécontentement en annulant le mois dernier des manoeuvres militaires conjointes entre son pays et les États-Unis. Il a obtenu l'appui de toutes les tendances politiques du royaume, y compris celles qui réclament plus de pouvoirs diplomatiques pour les partis sortis vainqueurs des élections.
Efforts "sérieux et crédibles" pour trouver un règlement

Les autres membres du Groupe des amis du Sahara n'ont finalement pas tardé à prendre leur distance avec l'initiative américaine. S'appuyant sur une déclaration de Tiéman Coulibaly, ministre des Affaires étrangères du Mali, qui affirmait début février que des combattants issus des rangs du Polisario avaient été repérés au Nord-Mali, les puissances occidentales ne voulaient pas déstabiliser un peu plus encore une région fragile et dans laquelle le Maroc fait figure d'îlot de stabilité. Même si, depuis l'entrée en vigueur du cessez-le-feu de 1991, le statut final du Sahara occidental reste à déterminer, les "grandes puissances" puis le Conseil de sécurité de l'ONU, dans une résolution votée à l'unanimité le 25 avril 2013, ont réaffirmé la prééminence de l'initiative d'autonomie présentée par le Maroc. Le texte onusien réaffirme que le statu quo actuel est inacceptable et qu'il faut trouver une solution au différend qui oppose le royaume chérifien à l'Algérie. Mohamed VI peut même se prévaloir des efforts "sérieux et crédibles" consentis par son pays pour trouver un règlement à la question du Sahara occidental.

Non moins importants furent les propos tenus par François Hollande lors de sa visite à Tanger et Rabat début avril dernier. Le chef de l'État a réaffirmé sa position "ferme et sans équivoque" en faveur du plan marocain d'autonomie au Sahara. Il a également ajouté : "Le Maroc accomplit chaque jour des pas décisifs vers la démocratie, conduit de façon cohérente son développement, assure son unité fondée sur la reconnaissance des diversités." Mieux, il a remis à l'honneur le plan présenté en 2007 par le Maroc qui préconise une large autonomie dans le cadre de la souveraineté du royaume alaouite. "Je le redis ici, c'est une base et sérieuse et crédible en vue d'une solution négociée." Ce projet, désormais soutenu par la France, l'Espagne ainsi que la majeure partie des pays de la Ligue arabe, semble être le seul.

Un pas a donc été franchi dans le règlement de ce conflit oublié qui, à intervalles réguliers, menace de se réveiller. La balle est désormais dans le camp des Sahraouis et de leur allié algérien. Pourront-ils longtemps continuer de faire la sourde oreille aux diplomates qui prônent le réalisme, refusent d'exercer la moindre pression sur Rabat et rappellent les propos tenus par Peter van Walsum, l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU dans la région, qui avait affirmé qu'un "Sahara occidental indépendant n'était pas une proposition réaliste" ?

Juste pour info: le front Polisario est né bien avant l'indépendance de l'Algérie.
Si Mohamed V n'avait pas trahi sa parole de n'accepter l'indépendance du Maroc qu'une fois que tout le Maghreb sera libre y'compris l'Algérie et le Sahara occidental (Mauritanie incluse), le Maroc aurait récupérer le SO, la Mauritanie et aussi Tindouf et le front populaire de libération de Saguia et el hamra et du rio del oro (front Polisario) n'aurait jamais vu le jour.
Mohamed V a voulu faire cavalier seul, il a tout gagné.


C'est la première fois que j'apprends que Mohamed V avait promis d'être occupé jusqu'en 1962....!!!

Si on avait retardé notre liberté vous n'auriez pas eu le Maroc comme base arrière du FLN ni comme appui diplomatique. Lors du putsh d'Alger, le Roi a saisi le conseil de securité de l'Onu pour denoncer les généraux et le fait colonial.

Vous dites aussi en Algérie que Mohamed V a vendu le FLN lors de la prise de l'avion marocain dans les airs par les français.... Si c'etait le cas pourquoi Boudiaf, un vrai héros integre, a t il choisi de vivre au Maroc des les années 60 et de ne jamais retourner dans l' Algérie du FLN????....

Et pourquoi donc un boulevard à Alger porte le nom de Mohamed V???? Il est vrai cependant que vous honorez... souvent les traîtres mais je ne pense pas que Mohamed V merite votre ingratitude.

Vous ne reculez devant aucune perfidie fût-ce au pris de votre propre abaissement moral.


Je te cite :"Et pourquoi donc un boulevard à Alger porte le nom de Mohamed V????"

Sans rentrer dans la polémique pour le reste, il faut cependant savoir, car l'histoire du maroc ne le relate pas :

Le sultan Mohammed 5, devenu Roi en 1956 est considéré, pour la plupart des algeriens, surtout l'ancienne génération , comme presque un algerien pourquoi?

- D'abord, à 17 ans Mohammed 5 avait comme prescripteur un algérien nommé Mameri jusqu'à son accession au pouvoir.
Cet algérien, comme bien d'autres dans l'histoire du maroc, est totalement occulté alors qu'il est enterré dans le même cimetière royale que son élève Mohammed 5.

- Il y avait une union sacrée particulièrement entre l'algérie et le maroc du temps des colonies qui reposait sur l'islam avant même de déboucher sur le nationalisme ( quoique sous-entendu déja dans la démarche de l'union islamique).
Mohammed 5 était membre "secret" du mouvement des "Oulamas" présidé par Ben Badis en algérie, et sous la bannière "islamique" des voyages consultatifs chez les uns et les autres étaient permanents.
Il est même dit, que Mohammed 5 s'était rendu en catimini en algérie plusieurs fois. la dernière fut juste avant son exil de 1953.

Voila, entre autre, pourquoi Mohammed 5 a un boulevard en algerie et qu'il est dans le coeur des algériens.

Par contre je ne sais pas si Mameri a été honoré au Maroc pour avoir un boulevard à son nom.

Ils sont complètement lobotomisés par la propagande du makhzen, pour sur qu'ils ne connaissent pas Mameri! Le makhzen s'est attelé à effacer des manuels scolaires marocains tout ce qui a rapport de près ou de loin à l'Algérie. Ils ne connaissant que la fausse histoire du Maroc inculquée par le makhzen, c'est pour ca qu'ils sont contre l'indépendance du Sahara occidental.
E
16 mai 2013 17:45
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axis7 a écrit:
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EdwardSaid a écrit:
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axis7 a écrit:
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Depuis 1976, le Sahara occidental est en proie à un conflit opposant les indépendantistes sahraouis du Front Polisario au Maroc, qui revendique sa souveraineté sur l'ensemble du territoire. L'Algérie, qui soutient et arme le Front Polisario, cherche de longue date une ouverture sur l'océan Atlantique. Pendant que tous les regards étaient braqués sur le Mali ou sur les répliques que connaissent la Tunisie, la Libye ou l'Égypte après leurs "printemps" s'est joué en coulisses un discret bras de fer sur le statut juridique de ce territoire de plus de 260 000 kilomètres carrés.

La représentante américaine au Groupe des amis du Sahara avait proposé aux autres membres (Grande-Bretagne, Espagne, Russie et France) une résolution qui tendait à inclure des questions liées aux droits de l'homme dans le mandat de la Minurso, la Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental. Rabat, qui n'avait pas été mis au courant, a immédiatement dénoncé cette volte-face qui visait directement le royaume chérifien. Fait rare au Maroc, le roi Mohamed VI s'est personnellement saisi du dossier et a manifesté son mécontentement en annulant le mois dernier des manoeuvres militaires conjointes entre son pays et les États-Unis. Il a obtenu l'appui de toutes les tendances politiques du royaume, y compris celles qui réclament plus de pouvoirs diplomatiques pour les partis sortis vainqueurs des élections.
Efforts "sérieux et crédibles" pour trouver un règlement

Les autres membres du Groupe des amis du Sahara n'ont finalement pas tardé à prendre leur distance avec l'initiative américaine. S'appuyant sur une déclaration de Tiéman Coulibaly, ministre des Affaires étrangères du Mali, qui affirmait début février que des combattants issus des rangs du Polisario avaient été repérés au Nord-Mali, les puissances occidentales ne voulaient pas déstabiliser un peu plus encore une région fragile et dans laquelle le Maroc fait figure d'îlot de stabilité. Même si, depuis l'entrée en vigueur du cessez-le-feu de 1991, le statut final du Sahara occidental reste à déterminer, les "grandes puissances" puis le Conseil de sécurité de l'ONU, dans une résolution votée à l'unanimité le 25 avril 2013, ont réaffirmé la prééminence de l'initiative d'autonomie présentée par le Maroc. Le texte onusien réaffirme que le statu quo actuel est inacceptable et qu'il faut trouver une solution au différend qui oppose le royaume chérifien à l'Algérie. Mohamed VI peut même se prévaloir des efforts "sérieux et crédibles" consentis par son pays pour trouver un règlement à la question du Sahara occidental.

Non moins importants furent les propos tenus par François Hollande lors de sa visite à Tanger et Rabat début avril dernier. Le chef de l'État a réaffirmé sa position "ferme et sans équivoque" en faveur du plan marocain d'autonomie au Sahara. Il a également ajouté : "Le Maroc accomplit chaque jour des pas décisifs vers la démocratie, conduit de façon cohérente son développement, assure son unité fondée sur la reconnaissance des diversités." Mieux, il a remis à l'honneur le plan présenté en 2007 par le Maroc qui préconise une large autonomie dans le cadre de la souveraineté du royaume alaouite. "Je le redis ici, c'est une base et sérieuse et crédible en vue d'une solution négociée." Ce projet, désormais soutenu par la France, l'Espagne ainsi que la majeure partie des pays de la Ligue arabe, semble être le seul.

Un pas a donc été franchi dans le règlement de ce conflit oublié qui, à intervalles réguliers, menace de se réveiller. La balle est désormais dans le camp des Sahraouis et de leur allié algérien. Pourront-ils longtemps continuer de faire la sourde oreille aux diplomates qui prônent le réalisme, refusent d'exercer la moindre pression sur Rabat et rappellent les propos tenus par Peter van Walsum, l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU dans la région, qui avait affirmé qu'un "Sahara occidental indépendant n'était pas une proposition réaliste" ?

Juste pour info: le front Polisario est né bien avant l'indépendance de l'Algérie.
Si Mohamed V n'avait pas trahi sa parole de n'accepter l'indépendance du Maroc qu'une fois que tout le Maghreb sera libre y'compris l'Algérie et le Sahara occidental (Mauritanie incluse), le Maroc aurait récupérer le SO, la Mauritanie et aussi Tindouf et le front populaire de libération de Saguia et el hamra et du rio del oro (front Polisario) n'aurait jamais vu le jour.
Mohamed V a voulu faire cavalier seul, il a tout gagné.


C'est la première fois que j'apprends que Mohamed V avait promis d'être occupé jusqu'en 1962....!!!

Si on avait retardé notre liberté vous n'auriez pas eu le Maroc comme base arrière du FLN ni comme appui diplomatique. Lors du putsh d'Alger, le Roi a saisi le conseil de securité de l'Onu pour denoncer les généraux et le fait colonial.

Vous dites aussi en Algérie que Mohamed V a vendu le FLN lors de la prise de l'avion marocain dans les airs par les français.... Si c'etait le cas pourquoi Boudiaf, un vrai héros integre, a t il choisi de vivre au Maroc des les années 60 et de ne jamais retourner dans l' Algérie du FLN????....

Et pourquoi donc un boulevard à Alger porte le nom de Mohamed V???? Il est vrai cependant que vous honorez... souvent les traîtres mais je ne pense pas que Mohamed V merite votre ingratitude.

Vous ne reculez devant aucune perfidie fût-ce au pris de votre propre abaissement moral.

Et moi je te proposes un autre scénario: si la Tunisie et surtout l'ex pays frère marocain avaient déclarer la guerre à la France, jamais la France n'aurait pu tenir 3 fronts à la fois et nous aurions gagner cette guerre d'Algérie et épargner ainsi la vie de centaines de milliers d'algériens qui se sont fait massacrer et violer par l'armée barbare coloniale française. Mais avec ou sans vous on a eu notre indépendance, votre aide était minime en réalité et d'ailleurs ce n'était même pas de l'aide puisque vous étiez payé, contrairement à la Tunisie qui nous aidait sans rien demander en contrepartie. Le Maroc nous a pas aidé, mais nous avons le sang de 1500000 chouhada pour prouver au monde que le pays des martyrs ne doit rien à personne.
t
16 mai 2013 20:07
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EdwardSaid a écrit:
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tatouage a écrit:
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EdwardSaid a écrit:
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axis7 a écrit:
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Depuis 1976, le Sahara occidental est en proie à un conflit opposant les indépendantistes sahraouis du Front Polisario au Maroc, qui revendique sa souveraineté sur l'ensemble du territoire. L'Algérie, qui soutient et arme le Front Polisario, cherche de longue date une ouverture sur l'océan Atlantique. Pendant que tous les regards étaient braqués sur le Mali ou sur les répliques que connaissent la Tunisie, la Libye ou l'Égypte après leurs "printemps" s'est joué en coulisses un discret bras de fer sur le statut juridique de ce territoire de plus de 260 000 kilomètres carrés.

La représentante américaine au Groupe des amis du Sahara avait proposé aux autres membres (Grande-Bretagne, Espagne, Russie et France) une résolution qui tendait à inclure des questions liées aux droits de l'homme dans le mandat de la Minurso, la Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental. Rabat, qui n'avait pas été mis au courant, a immédiatement dénoncé cette volte-face qui visait directement le royaume chérifien. Fait rare au Maroc, le roi Mohamed VI s'est personnellement saisi du dossier et a manifesté son mécontentement en annulant le mois dernier des manoeuvres militaires conjointes entre son pays et les États-Unis. Il a obtenu l'appui de toutes les tendances politiques du royaume, y compris celles qui réclament plus de pouvoirs diplomatiques pour les partis sortis vainqueurs des élections.
Efforts "sérieux et crédibles" pour trouver un règlement

Les autres membres du Groupe des amis du Sahara n'ont finalement pas tardé à prendre leur distance avec l'initiative américaine. S'appuyant sur une déclaration de Tiéman Coulibaly, ministre des Affaires étrangères du Mali, qui affirmait début février que des combattants issus des rangs du Polisario avaient été repérés au Nord-Mali, les puissances occidentales ne voulaient pas déstabiliser un peu plus encore une région fragile et dans laquelle le Maroc fait figure d'îlot de stabilité. Même si, depuis l'entrée en vigueur du cessez-le-feu de 1991, le statut final du Sahara occidental reste à déterminer, les "grandes puissances" puis le Conseil de sécurité de l'ONU, dans une résolution votée à l'unanimité le 25 avril 2013, ont réaffirmé la prééminence de l'initiative d'autonomie présentée par le Maroc. Le texte onusien réaffirme que le statu quo actuel est inacceptable et qu'il faut trouver une solution au différend qui oppose le royaume chérifien à l'Algérie. Mohamed VI peut même se prévaloir des efforts "sérieux et crédibles" consentis par son pays pour trouver un règlement à la question du Sahara occidental.

Non moins importants furent les propos tenus par François Hollande lors de sa visite à Tanger et Rabat début avril dernier. Le chef de l'État a réaffirmé sa position "ferme et sans équivoque" en faveur du plan marocain d'autonomie au Sahara. Il a également ajouté : "Le Maroc accomplit chaque jour des pas décisifs vers la démocratie, conduit de façon cohérente son développement, assure son unité fondée sur la reconnaissance des diversités." Mieux, il a remis à l'honneur le plan présenté en 2007 par le Maroc qui préconise une large autonomie dans le cadre de la souveraineté du royaume alaouite. "Je le redis ici, c'est une base et sérieuse et crédible en vue d'une solution négociée." Ce projet, désormais soutenu par la France, l'Espagne ainsi que la majeure partie des pays de la Ligue arabe, semble être le seul.

Un pas a donc été franchi dans le règlement de ce conflit oublié qui, à intervalles réguliers, menace de se réveiller. La balle est désormais dans le camp des Sahraouis et de leur allié algérien. Pourront-ils longtemps continuer de faire la sourde oreille aux diplomates qui prônent le réalisme, refusent d'exercer la moindre pression sur Rabat et rappellent les propos tenus par Peter van Walsum, l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU dans la région, qui avait affirmé qu'un "Sahara occidental indépendant n'était pas une proposition réaliste" ?

Juste pour info: le front Polisario est né bien avant l'indépendance de l'Algérie.
Si Mohamed V n'avait pas trahi sa parole de n'accepter l'indépendance du Maroc qu'une fois que tout le Maghreb sera libre y'compris l'Algérie et le Sahara occidental (Mauritanie incluse), le Maroc aurait récupérer le SO, la Mauritanie et aussi Tindouf et le front populaire de libération de Saguia et el hamra et du rio del oro (front Polisario) n'aurait jamais vu le jour.
Mohamed V a voulu faire cavalier seul, il a tout gagné.


Inutile de nous chanter toujours la même chansonnette , que personne ne veut écouter , la vérité est flagrante .
L' Algérie s ' est mis dans la position de la traîtrise et ça le monde entier le sait ,sauf toi ou bien tu fais tout pour ramener des arguments qui n ' ont rien avec la réalité .
Le Maroc restera debout inchallah malgré la haine du voisin envers le Maroc , pas besoin de l Algérie , L' Algérie a déjà du mal à gérer ses affaires en interne , alors que vient elle faire dans ceux du Maroc qui ne la concerne en aucun cas !

Je vais répondre à ton message mensonger en commençant par la fin.
Pour commencer l'Algérie n'est pas partie prenante dans le conflit qui vous oppose au Front Polisario. Tu n'as qu'à relire l'histoire du front Polisario pour t'en convaincre. Au début le FP était même un parti monarchiste.
Si ce n'était la trahison de Mohamed V envers la lutte anticoloniale maghrébine, ce parti n'existerai même plus aujourd'hui et le Maroc aurait aujourd'hui des frontières qui s'étendraient du fleuve Sénégal à Tindouf et à tout l'ouest algérien.
Votre roi nous a trahi, il a négocié l'indépendance du Maroc sans déclarer la guerre à la France pour nous aider, on oubliera jamais cette trahison.
Maintenant vous pourrez toujours courir pour récupérer vos territoires de l'ouest, vous ne les aurez jamais! Et si vous essayez de les reprendre par quelques moyens que ce soit, on enverra à Rabat une armée comprenant des millions d'hommes, des milliers de char et des centaines d'avions, et on ne s'arrêtera que lorsque nous aurons chasser votre roi et instaurer une république dans votre pays.
Il faut lire la vraie histoire, pas celle du makhzen.

C'est le Maroc qui a trahi l'Algérie et non l'inverse.


On te laisse brasser du vent , dans ta langue y a pas d 'os, mais juste une langue molle avec de la bave qui tourne autant qu ' elle veut sans aucune utilité .
Faut d ' abord gérer vers la frontière Algéro -Tunis avec ce qui se passe , gérer avec la Lybie sur tout le long de la frontière grinning smiley, et gérer aussi ce qui se passe vers Alger ,tiens il parait que des militaires ont été tué par des terroriste ces jours ci , et enfin si tu a un petit courage alors vient ensuite t ' attaquer au Maroc , parce que nous on dort pendant ce temps là !
a
16 mai 2013 21:21
Quand Edwardsaïd est mis devant ses contradictions il change de sujet.... Il vient nous parler de si mameri et autres conseillers algériens de Mohamed V... figure toi que cela on le sait... De même que le premier recteur de la mosquee de paris avait travaillé pour Mohamed V, ben ghabrit
dès 1895 le Sultan Moulay Abdelaziz avait accordé la nationalité marocaine à tous les réfugiés algériens ayant fuit la conquête française. Donc Ben Ghabrit d'origine algérienne était marocain.
Je ne connais pas la bio de mameri mais ce n'est pas le sujet
...
mais quel rapport avec tes calomnies eT tes politiques fictions et tes hypothèses de comptoirs??

Les maghrebins attendait que vous vous bougiez depuis ...132 ans...
Les berberes Ait Atta et Ait ba Amrane ( pas du Rif) ont violemmant résisté jusqu'en ...1934à la pénétration coloniale .
Les films des mouvements militaires sont sur Youtube.

L'armée française n'a "vaincu" qu'avec l'aviation.... cela faisait 102 ans que vous étiez colonisés? Pourquoi ne pas avoir prêté secours à vos frères berbères en 1934???? Je ne parle même pas du Rif dont la revolte a eu lieu 10 ans avant environ.

Et si les turcs avaient repoussés les français en 1830???
Et si l'Algérie était au Groenland?

Tiens voici 2 questions qui vont t'occuper cette nuit.



Modifié 7 fois. Dernière modification le 23/05/13 07:51 par axis7.
a
22 mai 2013 23:16
Devant la réalité Historique... les zélateurs du pouvoir algérien se taisent.
M
23 mai 2013 01:51
Citation
EdwardSaid a écrit:
[
Juste pour info: le front Polisario est né bien avant l'indépendance de l'Algérie.
Si Mohamed V n'avait pas trahi sa parole de n'accepter l'indépendance du Maroc qu'une fois que tout le Maghreb sera libre y'compris l'Algérie et le Sahara occidental (Mauritanie incluse), le Maroc aurait récupérer le SO, la Mauritanie et aussi Tindouf et le front populaire de libération de Saguia et el hamra et du rio del oro (front Polisario) n'aurait jamais vu le jour.
Mohamed V a voulu faire cavalier seul, il a tout gagné.

Historien de pacotille et laisse Mohamed V bezzaf 3lik
le Maroc était un protectorat. Les marocains quand ils ont commencé à flinguer les occupants. Les algériens étaient au chaud dans le duvet des chers colons, ils se sont manifesté qu'après avoir constaté que toute l'Afrique du nord est libre sinon les français seraient encore à Alger en 2013.



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