Cette fleur que tu as croisée, un jour sur ton chemin. Cette fleur se sentait comme toutes les autres, belle, prête à séduire et à être cueillie dans toute sa beauté.
Cette fleur lui manquait quelque chose cependant... pour pouvoir s'épanouir entièrement.
Cette fleur avait besoin d'une amitié, mais pas n'importe laquelle. Une amitié sans frontière, avec qui elle pourrait partager ses joies, ses peines, ses désirs, ses angoisses parfois... en toute confiance.
Cette fleur un jour a été comblée tu l'as remarquée car tu n'as pas fait que croiser son chemin.
Cette fleur tu l'as regardée, tu l'as cueillie et tu l'as apprivoisée avec tendresse comme une caresse du soleil le matin.
Cette fleur est devenue ton amie que tu portes sur ton coeur chaleureusement.
Cette fleur aujourd'hui va s'éparpiller aux quatres vents pour que quelqu'un puisse avoir la chance de récolter une belle amité comme cette fleur qui s'est si bien épanouie près de ton coeur.
Amitié, quel mot merveilleux! Cela veut dire l'amour, la tendresse.
Rien ne vaut les douces caresses, D'un ami qui vous aime!
Par contre, prenez garde, Elle est comme une fleur qui a besoin d'être cultivée, Qui a aussi besoin des doux rayons du soleil pour promouvoir Les merveilleuses récoltes à venir.
Prenez soin d'elle chaleureusement et aimez-la de tout votre coeur...
Il te connaît et tu connais toutes ses incertitudes. Il comprend tes pensées les plus secrètes et tu l'écoutes quand il te raconte sa peine. Il partage avec toi son repas et tu es toujours là quand il te réclame dans l'embarras Il te protège quand on t'accuse et tu le soutiens quand il se bat Il rit quand tu es heureuse et ton coeur saigne quand il est malheureux. Entre toi et lui, l'amitié un jour s'est glissée et vous a soudé lui et toi, pour la vie
On entend son souffle Son corps qui s’essouffle À force de courir À force de fuir Tenant encore bien haut Son fidèle drapeau N’ayant pu conquérir l’ennemi Il essaye de sauver sa vie Mais n’ayant nul part où aller Il se laisse quitter Ce monde qu’il n’a su apprécier
Cet homme épuisé Ce combattant blessé Il aurait voulu crier Mais plus rien ne semblait fonctionner Il ne voulait plus se battre Il souhaitait se faire abattre Il avait trop mal Il avait trop souffert Le sang coulait sur sa chair
La trop grande douleur Lentement l’emporte sur la peur Il ferma une dernière fois les yeux Sur ce monde qui n’était pas si merveilleux Il respira une dernière fois l’air Qui flottait en ce temps de guerre On était loin de la paix Loin de ce qu’on rêvait
Que restera-t-il De cet homme un peu en exil Qui combattis durant cette guerre Qui trouva une fin plutôt amère Peut-être quelques paroles Mais elles prendront aussi leur envol…
J'ai déposée les armes Libérée de ma fierté Je suis redevenue une femme Prête de nouveau à aimer
Je t'en prie, mon amour, reste là Je me sens si perdue sans toi Donne moi une raison de vivre D'oublier parfois l'envie de me détruire
Si tu penses que l'amour ne reste pas Prends garde à toi Je viendrais te libérer de ton mal Pour toujours te donner ma flamme
Tu sais, J'ai trop souvent vendue mon âme A des personnes qui désormais me blâme Je ne veux plus me sentir coupable Mais je ne veux pas que l'on m'accable
Mais si tu me donnes ce nouveau bonheur Veilles à ce qu'il soit éternel J'ai trop souffert de mes erreurs Qui cependant m'ont rendues plus belle
Mais je te laisse le temps De comprendre tes sentiments De t'enivrer de cette douce volupté De cette incroyable complicité
Je ne l'ai jamais vu lui non plus Cependant une étrange complicité nous unit Je n'aurais jamais cru Qu'une relation sur le net prenne autant de place dans ma vie
En effet en lui j'ai découvert un homme tout plein de tendresse Avec beaucoup de choses qui me font craquer Je me vois avec délicatesse Tomber dans l'abîme de sentiments presque oubliés
C'est pas le genre d'homme que je me serais cru capable d'aimer J'emploie certes le grand mot "aimer" un mot tabou Pour certains pas pour moi. C'est tellement fou De se sentir coupable de ressentir quelque chose, d'aimer...
Moi j'aime cet homme pour sa douceur que je ne connais pas Pour sa petite fille qu'il rêve d'avoir à ses cotés, Pour sa maturité, Et surtout parceque je suis persuadée d'être bien dans ses bras
Ou alors tout simplement parce qu'il est lui même... Il est le papa d'un petit ange magnifique Moi j'aimerais garder en mémoire des moments magiques Qui ce seraient passés avec lui, dans cette plaine
Qu'est l'amour. Mon poème pour faire comprendre à ce papa Qu'il tient déjà une place dans mon coeur même si je ne l'ai jamais rencontré Et que j'aimerais partager un bout de ma vie avec lui pourquoi pas Il faut seulement se laisser aller sans lutter.
Dis moi belle hirondelle qui passe près de moi, Dis moi si je suis juste une proie Ou si je suis aimée Aimée en retour de ce que j'ai à lui montrer...
Bonjour à toi bel inconnu Tu as su ouvrir l'amour en moi Tu as su être aimer Tu seras à tout jamais dans mon coeur Je t'ai aimé et donné cet clé pour l'éternité Sans toi ma vie n'a plus d'importance Car je t'aime et je t'aimerai pour toujours
De longs chemins se séparent. Nouvelles vies, nouvelles histoires. Cela devait arriver tôt ou tard. J'en suis conscient, j'en suis sûr. C'est l'appel du destin, de l'aventure, Pour la nouvelle lecture des écritures, La nouvelle page d'un autre chapitre. Le style est bien posé, blanc sur noir. Dernier sourire, dernier regard, Teintés de chance et d'espoir. C'est le printemps, c'est l'amour, L'été des promenades, des parcours Nomades pour tous les sédentaires À la recherche de l'âme soeur. On fête le monde, célèbre la Terre, De beaux bals, belles mères en mer. Ce n'est ni un "adieu" ni un "au-revoir". C'est juste un "salut, à plus tard !" Chacun reprendra sa route un soir, Avant de se recroiser, un beau jour, Au même endroit ou bien ailleurs, Sur les chemins du coeur, du hasard.
C'est le temps des géants, des puissants. Quand de leurs pas, ils marquent les siècles, Les âmes portées par les cents rugissants. C'est galères sur les océans et belles îles.
Ils écrivent l'histoire en blanc au ciel. C'est poussière d'étoiles pour empreintes. Ils rêvent et portent ces rêves au... réel. Les yeux éblouis sont dans leur enceinte.
C'est l'âme qui est prise, éprise du doux, De ces voyages qui forgent les caractères, Les statues qui saluent le peuple et Dieu. Receuil au Panthéon, sur la chaise du Père.
C'est les temps des géants, des puissants. Quand de leurs écrits, faits de lumières, Des étoiles, ils illuminent l'âme des enfants, L'esprit des hommes, bien après leur mort.
On me dit que j'allume bien des flammes Qui consument de belles âmes avec mes rimes. Je suis poétique du bout de ma jolie plume, Caressant et chatouillant, de ses hymnes, Ses odes à la vie, à la poésie : l'amour, Des esprits et des corps, sans troubadour. Je leur compte merveilleux contes poétiques, Feintes oniriques, étincellantes, magiques. C'est la poésie à fleur de peau qui touche, Fait frémir de plaisir de la lire, la bouche Assoiffée de sons et arôme des belles rimes. L'oreille et les yeux sont zones érogènes, Qui offrent plaisirs et bol d'air, aux Cieux. On dit que les anges deviennent bienheureux De savoir les personnes sur qui ils veillent Retrouver le sourire, et revoir le soleil, Avec ce feu, l'étincelle, dans leurs regards. Une petite pensée parfois qui sans le savoir Redonne vie, courage et espoir à ces gens là. La plume est seule, reposée entre mes doigts. Je pense à ces âmes. Je pense à ma solitude. Alors, des lignes courtes de cette quiétude Immanent de la pointe de la plume emflammée, Et de mon esprit vagabond, ayant enfin trouvé Avec qui parler, partage des choses tues, D'un coeur espérant un jour d'être reconnu.
Voici que l'Homme s'avance sur l'estrade. Et parle des "animaux" qu'on extrade. C'est à cause du bruit et des odeurs Qu'on les embarquent dans les charters. Ceux de la shoah n'on pas eu le choix, Expédition directe "en enfer", je crois. Ce texte est satire, les mots sataniques. Il n'y a qu'un Dieu, une couleur unique : Celle du coeur qui balaie d'un ou deux mots Tous les maux du racisme, nouveau fléau Qui engraine la race humaine, tout autour Du globle qui saigne sans le don d'amour. L'histoire est un détail pour certains. L'intelligence donc aussi. C'est certain. Je vote blanc, dans ma camisole noire. Ma couleur est menottes et belles injures. Laissez-moi vous compter un peu le passé : Ouvrez les yeux et les livres non truqués, Et vous verrez que l'homme est un animal, Dès qu'on met de côté les valeurs morales. Faut l'excuser, il ne sait pas qui il est. Alors il a besoin de différences inventées Pour l'aider à touver son chemin perdu, Quand lui-même, "bête", s'est déjà perdu.
Te voilà parti, mais la Lune garde Ton sourire, les soirées profondes. Il éclaire le monde, bien des coeurs. Ceux qui te regrettent comme le jour.
Sourire d'ange, en ton nom, j'ai gravis Des marches de douleur, et ciselé Des joies, vendu des rêves, pour toi, Pour te toucher, une dernière fois.
Mon coeur est inconsolable. Je larmoye, Seule dans ma peine, si loin parfois. L'esprit dans la Lune, nos souvenirs, Entre mes bras qui aimaient te tenir.
Ils n'avaient pas, malheureusement, La force du Divin, du Tout Puissant, Pour te garder, te retenir près de moi, Qui chantais louanges et vies pour toi.
Mon enfant. Cher... trésor d'une mère, En moi, tu étais, bien avant de naître, En moi tu es resté, bien après ta mort. Tu est en/à moi, et ça pour toujours.
La vie, je ne la connais pas Je n'ai pas l'âge pour ça Mais je sais que l'amour Ne peut durer toujours
J'ai dix ans depuis hier Et j'aurais dû en être fière C'aurait été le cas Si on n'm'avait dit ça
A dix ans t'es trop p'tite La vie est une pépite Qu'il te faut vite prendre « Tu comprendras quand tu s'ras grande »
Si les petits sont pressés de grandir Ce n'est pas tant pour souffrir Que parce que s'en est trop D'être regardé de haut
J'ai dix ans, je suis une grande Et qu'ai-je eu en offrande ? Mes parents qui m'annonçaient Qu'ils allaient divorcer
Mon p'tit frère n'a rien compris En tout cas il a beaucoup ris Maintenant on aura deux maisons Et deux fois plus de bonbons
Mes deux parents s'aimaient On est des fruits de la passion Et ils vont se séparer Certains livres ont raison :
Amour toujours, ça n'existe pas Et je suis assez grande pour comprendre ça T'inquiètes pas maman, je t'aimerai toujours T'en fait pas Papa, la vie vaut le détour.
parle moi du paradis, de l’enfer, de la paix, de la guerre ; dis-moi ce qu’est un homme, ce qu’est une femme ; parle moi de cette maladie, de cette guérison de cette folie de cette raison pour que je puisse te suivre, t’offrir le bien auquel tu aspires, pour que je puisse t’aimer dans grandeur de l’âme, pour que je puisse t’être indispensable comme cet oxygène que tu respires.