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poésie en tout genre
r
29 juin 2005 13:52
Cette fleur...

Cette fleur que tu as croisée, un jour sur ton chemin.
Cette fleur se sentait comme toutes les autres, belle, prête à séduire
et à être cueillie dans toute sa beauté.

Cette fleur lui manquait quelque chose cependant...
pour pouvoir s'épanouir entièrement.

Cette fleur avait besoin d'une amitié, mais pas n'importe laquelle.
Une amitié sans frontière, avec qui elle pourrait partager ses joies, ses peines, ses désirs, ses angoisses parfois... en toute confiance.

Cette fleur un jour a été comblée
tu l'as remarquée car tu n'as pas fait que croiser son chemin.

Cette fleur tu l'as regardée, tu l'as cueillie et tu l'as apprivoisée
avec tendresse comme une caresse du soleil le matin.

Cette fleur est devenue ton amie
que tu portes sur ton coeur chaleureusement.

Cette fleur aujourd'hui va s'éparpiller aux quatres vents
pour que quelqu'un puisse avoir la chance de récolter une belle amité
comme cette fleur qui s'est si bien épanouie près de ton coeur.

Aujourd'hui, cette fleur te dit tendrement merci.

Marie-Joëlle

winking smiley
m
29 juin 2005 13:53
olal maintenat ya 2 post un de rifia et un de nabilla comme ca pas de jaloux!
r
29 juin 2005 14:01
Amitié

Amitié, quel mot merveilleux!
Cela veut dire l'amour, la tendresse.

Rien ne vaut les douces caresses,
D'un ami qui vous aime!

Par contre, prenez garde,
Elle est comme une fleur qui a besoin d'être cultivée,
Qui a aussi besoin des doux rayons du soleil pour promouvoir
Les merveilleuses récoltes à venir.

Prenez soin d'elle chaleureusement et aimez-la de tout votre coeur...

Christine

winking smiley
r
29 juin 2005 14:04
L'ami

Il te connaît
et tu connais toutes ses incertitudes.
Il comprend tes pensées les plus secrètes
et tu l'écoutes quand il te raconte sa peine.
Il partage avec toi son repas
et tu es toujours là quand il te réclame dans l'embarras
Il te protège quand on t'accuse
et tu le soutiens quand il se bat
Il rit quand tu es heureuse
et ton coeur saigne quand il est malheureux.
Entre toi et lui, l'amitié un jour s'est glissée
et vous a soudé lui et toi, pour la vie

Sarah Biguet
r
29 juin 2005 20:25
Fin d'un guerrier



On entend son souffle
Son corps qui s’essouffle
À force de courir
À force de fuir
Tenant encore bien haut
Son fidèle drapeau
N’ayant pu conquérir l’ennemi
Il essaye de sauver sa vie
Mais n’ayant nul part où aller
Il se laisse quitter
Ce monde qu’il n’a su apprécier

Cet homme épuisé
Ce combattant blessé
Il aurait voulu crier
Mais plus rien ne semblait fonctionner
Il ne voulait plus se battre
Il souhaitait se faire abattre
Il avait trop mal
Il avait trop souffert
Le sang coulait sur sa chair

La trop grande douleur
Lentement l’emporte sur la peur
Il ferma une dernière fois les yeux
Sur ce monde qui n’était pas si merveilleux
Il respira une dernière fois l’air
Qui flottait en ce temps de guerre
On était loin de la paix
Loin de ce qu’on rêvait

Que restera-t-il
De cet homme un peu en exil
Qui combattis durant cette guerre
Qui trouva une fin plutôt amère
Peut-être quelques paroles
Mais elles prendront aussi leur envol…

zewt
r
29 juin 2005 20:30
Donner s'est donner...


J'ai déposée les armes
Libérée de ma fierté
Je suis redevenue une femme
Prête de nouveau à aimer

Je t'en prie, mon amour, reste là
Je me sens si perdue sans toi
Donne moi une raison de vivre
D'oublier parfois l'envie de me détruire

Si tu penses que l'amour ne reste pas
Prends garde à toi
Je viendrais te libérer de ton mal
Pour toujours te donner ma flamme

Tu sais,
J'ai trop souvent vendue mon âme
A des personnes qui désormais me blâme
Je ne veux plus me sentir coupable
Mais je ne veux pas que l'on m'accable

Mais si tu me donnes ce nouveau bonheur
Veilles à ce qu'il soit éternel
J'ai trop souffert de mes erreurs
Qui cependant m'ont rendues plus belle

Mais je te laisse le temps
De comprendre tes sentiments
De t'enivrer de cette douce volupté
De cette incroyable complicité

Donner s'est donner,
Reprendre s'est voler...

audrey_
r
30 juin 2005 09:46
Pour le Pere d'un Ange

Je ne l'ai jamais vu lui non plus
Cependant une étrange complicité nous unit
Je n'aurais jamais cru
Qu'une relation sur le net prenne autant de place dans ma vie

En effet en lui j'ai découvert un homme tout plein de tendresse
Avec beaucoup de choses qui me font craquer
Je me vois avec délicatesse
Tomber dans l'abîme de sentiments presque oubliés

C'est pas le genre d'homme que je me serais cru capable d'aimer
J'emploie certes le grand mot "aimer" un mot tabou
Pour certains pas pour moi. C'est tellement fou
De se sentir coupable de ressentir quelque chose, d'aimer...

Moi j'aime cet homme pour sa douceur que je ne connais pas
Pour sa petite fille qu'il rêve d'avoir à ses cotés,
Pour sa maturité,
Et surtout parceque je suis persuadée d'être bien dans ses bras

Ou alors tout simplement parce qu'il est lui même...
Il est le papa d'un petit ange magnifique
Moi j'aimerais garder en mémoire des moments magiques
Qui ce seraient passés avec lui, dans cette plaine

Qu'est l'amour. Mon poème pour faire comprendre à ce papa
Qu'il tient déjà une place dans mon coeur même si je ne l'ai jamais rencontré
Et que j'aimerais partager un bout de ma vie avec lui pourquoi pas
Il faut seulement se laisser aller sans lutter.

Dis moi belle hirondelle qui passe près de moi,
Dis moi si je suis juste une proie
Ou si je suis aimée
Aimée en retour de ce que j'ai à lui montrer...

inconnue_...
r
1 juillet 2005 16:18
Une pensée

Bonjour à toi bel inconnu
Tu as su ouvrir l'amour en moi
Tu as su être aimer
Tu seras à tout jamais dans mon coeur
Je t'ai aimé et donné cet clé pour l'éternité
Sans toi ma vie n'a plus d'importance
Car je t'aime et je t'aimerai pour toujours

linda
1 juillet 2005 20:33
En route !

De longs chemins se séparent.
Nouvelles vies, nouvelles histoires.
Cela devait arriver tôt ou tard.
J'en suis conscient, j'en suis sûr.
C'est l'appel du destin, de l'aventure,
Pour la nouvelle lecture des écritures,
La nouvelle page d'un autre chapitre.
Le style est bien posé, blanc sur noir.
Dernier sourire, dernier regard,
Teintés de chance et d'espoir.
C'est le printemps, c'est l'amour,
L'été des promenades, des parcours
Nomades pour tous les sédentaires
À la recherche de l'âme soeur.
On fête le monde, célèbre la Terre,
De beaux bals, belles mères en mer.
Ce n'est ni un "adieu" ni un "au-revoir".
C'est juste un "salut, à plus tard !"
Chacun reprendra sa route un soir,
Avant de se recroiser, un beau jour,
Au même endroit ou bien ailleurs,
Sur les chemins du coeur, du hasard.

Môh Tsu
Le 11/02/2005
1 juillet 2005 20:34
Les géants

C'est le temps des géants, des puissants.
Quand de leurs pas, ils marquent les siècles,
Les âmes portées par les cents rugissants.
C'est galères sur les océans et belles îles.

Ils écrivent l'histoire en blanc au ciel.
C'est poussière d'étoiles pour empreintes.
Ils rêvent et portent ces rêves au... réel.
Les yeux éblouis sont dans leur enceinte.

C'est l'âme qui est prise, éprise du doux,
De ces voyages qui forgent les caractères,
Les statues qui saluent le peuple et Dieu.
Receuil au Panthéon, sur la chaise du Père.

C'est les temps des géants, des puissants.
Quand de leurs écrits, faits de lumières,
Des étoiles, ils illuminent l'âme des enfants,
L'esprit des hommes, bien après leur mort.

Môh Tsu
Le 17/02/2005
1 juillet 2005 20:40
Le poète

On me dit que j'allume bien des flammes
Qui consument de belles âmes avec mes rimes.
Je suis poétique du bout de ma jolie plume,
Caressant et chatouillant, de ses hymnes,
Ses odes à la vie, à la poésie : l'amour,
Des esprits et des corps, sans troubadour.
Je leur compte merveilleux contes poétiques,
Feintes oniriques, étincellantes, magiques.
C'est la poésie à fleur de peau qui touche,
Fait frémir de plaisir de la lire, la bouche
Assoiffée de sons et arôme des belles rimes.
L'oreille et les yeux sont zones érogènes,
Qui offrent plaisirs et bol d'air, aux Cieux.
On dit que les anges deviennent bienheureux
De savoir les personnes sur qui ils veillent
Retrouver le sourire, et revoir le soleil,
Avec ce feu, l'étincelle, dans leurs regards.
Une petite pensée parfois qui sans le savoir
Redonne vie, courage et espoir à ces gens là.
La plume est seule, reposée entre mes doigts.
Je pense à ces âmes. Je pense à ma solitude.
Alors, des lignes courtes de cette quiétude
Immanent de la pointe de la plume emflammée,
Et de mon esprit vagabond, ayant enfin trouvé
Avec qui parler, partage des choses tues,
D'un coeur espérant un jour d'être reconnu.

Môh Tsu
Le 27/02/2005
1 juillet 2005 20:45
Erasmus

Voici que l'Homme s'avance sur l'estrade.
Et parle des "animaux" qu'on extrade.
C'est à cause du bruit et des odeurs
Qu'on les embarquent dans les charters.
Ceux de la shoah n'on pas eu le choix,
Expédition directe "en enfer", je crois.
Ce texte est satire, les mots sataniques.
Il n'y a qu'un Dieu, une couleur unique :
Celle du coeur qui balaie d'un ou deux mots
Tous les maux du racisme, nouveau fléau
Qui engraine la race humaine, tout autour
Du globle qui saigne sans le don d'amour.
L'histoire est un détail pour certains.
L'intelligence donc aussi. C'est certain.
Je vote blanc, dans ma camisole noire.
Ma couleur est menottes et belles injures.
Laissez-moi vous compter un peu le passé :
Ouvrez les yeux et les livres non truqués,
Et vous verrez que l'homme est un animal,
Dès qu'on met de côté les valeurs morales.
Faut l'excuser, il ne sait pas qui il est.
Alors il a besoin de différences inventées
Pour l'aider à touver son chemin perdu,
Quand lui-même, "bête", s'est déjà perdu.

Môh Tsu
Le 20/03/2005
1 juillet 2005 20:51
Enfant de la Lune

Te voilà parti, mais la Lune garde
Ton sourire, les soirées profondes.
Il éclaire le monde, bien des coeurs.
Ceux qui te regrettent comme le jour.

Sourire d'ange, en ton nom, j'ai gravis
Des marches de douleur, et ciselé
Des joies, vendu des rêves, pour toi,
Pour te toucher, une dernière fois.

Mon coeur est inconsolable. Je larmoye,
Seule dans ma peine, si loin parfois.
L'esprit dans la Lune, nos souvenirs,
Entre mes bras qui aimaient te tenir.

Ils n'avaient pas, malheureusement,
La force du Divin, du Tout Puissant,
Pour te garder, te retenir près de moi,
Qui chantais louanges et vies pour toi.

Mon enfant. Cher... trésor d'une mère,
En moi, tu étais, bien avant de naître,
En moi tu es resté, bien après ta mort.
Tu est en/à moi, et ça pour toujours.

Môh Tsu
Le 13/03/2005
r
1 juillet 2005 21:25
magnifik moh tsu winking smiley

bravo bravo bravo ....
1 juillet 2005 21:44
rifia1 a écrit:
-------------------------------------------------------
> magnifik moh tsu
>
> bravo bravo bravo ....

Je suis modeste... c'est rien...
J'écris comme ça... des mains..
Mais ravi que mon écriture
Te plaise dans sa lecture !

Môh Tsu...

r
1 juillet 2005 21:46
quelle talent!! très cher

jamais je ne pourrais faire

de si jolies poèmes

comme je les aimes.....

winking smiley
r
2 juillet 2005 09:29
Inspiration

Du papier, un stylo
Une idée et des mots
Tout cela peut suffire
A écrire

Des lignes qui en disent long
Sur tout ce qu'on aime et déteste
La main fait le reste
Et trace toutes nos histoires au brouillon

La plupart du temps
C'est en regardant
A l'horizon où le soleil décline
Que l'inspiration nous vient comme un signe

Et puis il nous semble
Que tout s'écrit
Comme on sourit
Comme on tremble

L'écriture pour moi
Est ma façon de prouver
Au monde que je peux être moi
Sans aux autres ressembler

Alors l'imagination
Je la garde en moi comme un trésor
Qui peut faire bonne impression
Et me permettre d'écrire encore

Alors, du papier, un stylo
Une idée et des mots
Tout cela me suffit
A essayer d'écrire ma vie.

léa



Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/07/05 09:29 par rifia1.
r
2 juillet 2005 09:31
Tu comprendras quand tu s'ras grande

La vie, je ne la connais pas
Je n'ai pas l'âge pour ça
Mais je sais que l'amour
Ne peut durer toujours

J'ai dix ans depuis hier
Et j'aurais dû en être fière
C'aurait été le cas
Si on n'm'avait dit ça

A dix ans t'es trop p'tite
La vie est une pépite
Qu'il te faut vite prendre
« Tu comprendras quand tu s'ras grande »

Si les petits sont pressés de grandir
Ce n'est pas tant pour souffrir
Que parce que s'en est trop
D'être regardé de haut

J'ai dix ans, je suis une grande
Et qu'ai-je eu en offrande ?
Mes parents qui m'annonçaient
Qu'ils allaient divorcer

Mon p'tit frère n'a rien compris
En tout cas il a beaucoup ris
Maintenant on aura deux maisons
Et deux fois plus de bonbons

Mes deux parents s'aimaient
On est des fruits de la passion
Et ils vont se séparer
Certains livres ont raison :

Amour toujours, ça n'existe pas
Et je suis assez grande pour comprendre ça
T'inquiètes pas maman, je t'aimerai toujours
T'en fait pas Papa, la vie vaut le détour.

marie
r
2 juillet 2005 09:33
J'ai somnoler dans ton absence,
j'ai rever un couloir sombre
sans fin, ni malheur et ni chance,
j'avance, je déambule telle une ombre...

des cadres colorés,
mais jamais aucune portes
des grincements, des feuilles mortes,
j'avance sur ce plancher...

un coup d'oeil hasardeu
au travers de ses abysses,
ce sont des univers blancs laiteux
des murailles sans tint lisses

au dessus de moi
il n'y a pas de toit
au dessu du ciel
il y a toi,

du bruissement de tes ailes
je m'envole parfois
de ton absence sourde
je retombe plus bas

dans ce couloir sombre,
jamais de ligne d'horizon
Je t'ai rever ce soir si fort
comme jamais personne ne t'attend..

inconnue_...
r
2 juillet 2005 09:44
LA PRIERE «

parle moi du paradis, de l’enfer,
de la paix, de la guerre ;
dis-moi ce qu’est un homme,
ce qu’est une femme ;
parle moi de cette maladie,
de cette guérison de cette folie
de cette raison pour que je puisse te suivre,
t’offrir le bien auquel tu aspires,
pour que je puisse t’aimer dans grandeur de l’âme,
pour que je puisse t’être indispensable
comme cet oxygène que tu respires.

hungar
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