Encore un sujet pour la poésie, mais cette fois ci c'est en français. J'espère qu'il y aura plus d'intervenants sur ce poste car je vois que la poésie en arabe et en anglais n'as pas tant de succès.
Encore une fois je commence mais ne vous moquer surtout pas de mon poème…D'ACCORD.
La première ou le premier que je voie rigoler, je l'envoie au tableau, qu'on soit bien clair….Oh mais on se moque pas de mes poèmes... OK!!!!!!
MON LAPIN
J'ai un petit lapin Qui mange du pain Et quand il a faim Il va au jardin Pour manger et jouer Avec ses copains * * * Mais un jour, il s'est en fuit Sans dire au revoir, ni adieu Je l'ai alors attendu, jour et nuit mais hélas il n'est pas revenu Et bien ! j'ai su que c'est sa liberté qu'il suit Et il l'a trouvé, la haut , où il y a ni homme ni bruit
Eh toi la bas, on a dit qu'on se moque pas!!!! Aller hop, au tableau...
A qui le tour maintenant!!!???
Je ne te demande pas qu'elle est ta nation, ta religion et ta culture, mais qu'elle est ta souffrance. PASTEUR.Si quelqu'un vous dit je ne sait pas, dites lui apprend, et si il vous dit je ne peux pas dites lui essaye.
J'ai une ptite souris qui mangeait du riz Quand elle à les crocs Elle va au resto Avec ses pain-co l'hamster et le croco ****** Un jour elle s'en alla Sans dire B'sslama Je l'ai attendu en vain j'ai appris, enfin qu'elle avait pris le train A gare Saint Lazare rejoindre un lascar Pour vivre dans le Var C'est là que j'ai su Qu'elle m'avait bien eu Mais tout n'es pas foutu un jour dans ma rue j'ai rencontré une tortue...........................
Il était une dame Tartine Dans un beau palais de beurr' frais. Les muraill's était de pralines. Le parquet était de croquet, Sa chambr' à coucher Etait d'échaudés, Son lit de biscuits, Les rideaux d'anis.
Elle épousa Monsieur Gimblette, Coiffé d'un beau fromage blanc ; Son chapeau était de galette, Son habit de vol-au-vent ; Culotte en nougat, Gilet d'chocolat, Bas de caramel Et souliers de miel.
Quand ell' s'en allait à la ville, Elle avait un petit bonnet. Les rubans étaient de pastille ; Le fond était de résiné. Sa petit' cariole Etaient d'croquignole ; Ses petits chevaux Etaient d'pâtés chauds.
Leur fille, la belle Charlotte, Avait un nez de massepain, De superbes dents de compote, Des oreilles de craquelin ; Je la vois garnir Sa rob' de plaisirs Avec un rouleau De pât' d'abricots.
Voici que la fée Carabosse, Jalouse et de mauvaise humeur, Renversa d'un coup de sa bosse Le palais sucré du bonheur !!! Pour le rebâtir Donnez à loisir Donnez, bons parents, Du sucre aux enfants.
t'es ou zouitina, siryne va t'arracher l'enchere si tu fait rien
Je ne te demande pas qu'elle est ta nation, ta religion et ta culture, mais qu'elle est ta souffrance. PASTEUR.Si quelqu'un vous dit je ne sait pas, dites lui apprend, et si il vous dit je ne peux pas dites lui essaye.
Mais moi au feu rouge je m'arrête, mais puisque j'ai l'autorisation de l'agent pour le griller...
Poème du Tajine
Couper la viande en morceaux. Attention qu'ils ne soient pas trop gros. Eplucher les oignons. Attention aux émotions.
Mettre l'huile à chauffer dans une marmite bien décorée. Faire revenir les morceaux bien coupés ainsi que les oignons entiers.
Assaisonner avec le sel et le poivre qui nous ensorcèle. Ne pas laisser colorer. Et bien tout agiter.
Mouiller avec un verre d'eau et laisser mijoter à feu doux En surveillant d'un oeil le tout Et regarder comme c'est beau.
Ajouter les bâtons de cannelle, les raisins secs et le miel. Ajouter un peu d'eau si nécessaire. Laisser cuire pour obtenir une viande tendre comme l'air.
Rectifier l'assaisonnement. Pour satisfaire petits et grands.
Voila, j'aime bien ce que Pierre Bachelet a fait avec cette chanson, bien sur Brel reste toujour Brel.
TU NE NOUS QUITTES PAS
Tant qu'il y aura une femme pour inventer la vie Et un homme assez fou pour tenter le pari Tant qu'il y aura un homme pour croire au petit jour La pendule arrêtée au zénith de l'amour
Tant qu'il y aura un homme capable de pleurer Comme pleure une fontaine sans honte et sans regret Cette infinie distance qui sépare à jamais Ceux qui courent l'un vers l'autre sans jamais se trouver
TU SERAS LA ON ENTENDRA TA VOIX OU QUE TU SOIES TU SERAS TOUJOURS LA
TU SERAS LA ON ENTENDRA TA VOIX OU QUE TU SOIES TU NE NOUS QUITTE PAS
Tant qu'il y aura un homme d'une incurable enfance Pour suivre les soleils des bateaux en partance Tant qu'il y aura des ports pour s'inventer la mer Et toutes les bières du nord pour brasser la misère
Tant qu'il y aura l'amour pour s'opposer aux armes Tant qu'il y aura des mains pour y cacher ses larmes Tant qu'il y aura quelqu'un pour faire le dernier pas Tant qu'il y aura un homme pour être celui-là
TU SERAS LA ON ENTENDRA TA VOIX OU QUE TU SOIES TU SERAS TOUJOURS LA
TU SERAS LA ON ENTENDRA TA VOIX OU QUE TU SOIES TU NE NOUS QUITTE PAS
Tant qu'il y aura l'étoile pour regarder plus haut Tant qu'il aura la foule pour comprendre tes mots Tant qu'il y aura le coeur pour être unique emblème Tant qu'il y aura un homme pour oser dire je t'aime
TU SERAS LA ON ENTENDRA TA VOIX OU QUE TU SOIES TU SERAS TOUJOURS LA
TU SERAS LA ON ENTENDRA TA VOIX OU QUE TU SOIES TU NE NOUS QUITTE PAS
En voila un poème que j'aime bien, mais je connais pas son auteur ni le titre du poème. Si quelqu'un a l'information, merci de la transmettre...
Un jour croisant par inadvertance Sur ma route une âme en errance, Perturbée qu'elle était par l'ignorance D'un entourage sans connaissance.
Cette âme belle venue sur terre Sensible mais plein de caractère, De l'amour vrai faisait le contraire Pouvant être égarée sa vie entière.
Son cœur semble dur pour les ignorants Mais un œil avisé très vite le comprend, Cherchant pour trouver la tendresse au-dedans Afin de dompter ce brasier flamboyant.
Que cette belle et impétueuse personne Qui est en pleine force de la vie en somme, Reste prudente aux contacts des hommes Pour préserver ce que l'esprit lui donne.
Qu'elle sache rester simple comme elle est Le don de l'esprit dans ce genre d'hôte se plait, Pour pouvoir accomplir si besoin en est Une mission sur terre si cruellement blessée.
Car le propre de l'homme devrait être ce but Venir ici bas pour aplanir cette terre abrupte, Mais souvent de cette mission en est-il déchu Préférant jouir d'un amour partiellement dépourvu.
Mais toi belle femme, n'oublie pas ceci L'illusion de l'amour souvent en sort-on aigri, Affaiblissant par-là même le pouvoir de l'esprit Spolié qu'il est de ces amours pervertis.
Le pouvoir de l'esprit a ceci de particulier De donner à l'hôte de ce dernier, Une impression dérangeante pour la société Préférant rester dans sa confortable cécité.
Laisse l'ingratitude des hommes pour ce qu'elle est Poursuis ton chemin qui mène à la vérité, Ne succombe pas à l'apparence du bonheur La vie sur terre, tu le sais est un leurre.
Même si ton amour propre est mis à l'épreuve Sache faire de ces déboires peau neuve, Pour arriver à donner encore plus d'amour Sans jamais rien attendre en retour.
Car l'aveuglement des êtres est tel Qu'ils ignorent que l'amour est immortel, Préférant succomber bien souvent à l'attrait D'un leurre qu'est ce semblant d'amour imparfait.
Puisse-tu mon amie un jour arriver à comprendre Que ton cœur est si ardent qu'on ne peut le prendre, Sans être sur terre arriver à un degré de compréhension De cet amour pur et vrai qui se diffuse sans passion.
La tristesse de ton cœur reflète la vie Que les hommes sur terre se délectent avec envie, Sache prendre sur toi ce malheur Pour purifier tant faire se peut leur bonheur.
Si tu arrives par la persévérance A sauver une âme dans l'errance, Tu apporteras à l'humanité une espérance Qui lui fera chercher à nouveau la tempérance.
Comme le dit si justement l'adage De chercher la vérité est le propre du sage, De montrer ce que veut dire Aimer à son entourage Le rendra respectueux de l'imperfection de son image.
Quant au fond d'eux se fera cette interrogation Telle la zizanie mettant en branle la confusion, L'amour à son tour prendra justement possession De ces âmes généreuses souvent en perditions
Il est de Pierre Legouix, je ne le connaissait pas mais j'ai chercher sur internet. le titre c'est: Rencontre en voici un autre de lui que j'aime aussi. salut, almot
'Poème à ma mie...
J'ai envie de te dire je t'aime, J'ai envie que tu sois de même. J'ai envie dans mes bras te serrer, J'ai envie près de toi me reposer.
Je veux retirer la peine de ton coeur, Je veux que tu n'aies plus de rancoeur. Je veux que tu puisses enfin respirer, Je veux que tu puisses sur moi compter.
Que ton coeur guide en toi l'inspiration, Que ton coeur reste libre de toute passion. Que ton coeur soit une source d'amour, Que ton coeur soit toujours sans détour.
Oui, ose réaliser ce que tu espères, Oui, ose casser ces chaînes éphémères. Oui, ose accepter l'amour qui t'est donné, Oui, ose affronter l'expérience de la vérité.
Comment faire pour te dire je t'aime, Comment faire pour que tu me comprennes. Comment faire pour que monte en moi ce désir, Comment faire pour ne pas en faire un délire.
Sache boire à la vraie source de la vie, Sache être consciente de tes envies. Sache aimer de cet amour vrai, Sache aussi rester comme tu es.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 19/02/05 14:37 par almotanabi.