le premier poème que l homme de ma vie m a écrit :
Viens petite sirène que je t’explique le mot amour Celui que j’ai offert à tes frères et celui que l’on t’interdit de faire Viens vite dans mes bras sentir mon cœur battre Quand celui qui dit t’aimer , un jour t’a fait pleurer Viens que je boive tes larmes comme bébé je l’ai souvent fait Viens que je t’explique le sens du mot liberté Viens assieds toi tout contre moi, et écoutes nos différences Te souviens tu de ton enfance quand tes frères sont arrivés ? Te souviens tu de cet amour qu’ils t’ont de suite montré ? Quand l’un deux priait Allah des questions tu t’en es posées Viens petite sirène que je t’explique toutes nos croyances De ce dieu que je ne t’ai jamais imposé Viens mon grand bébé car aujourd’hui tu deviens reine Viens tout contre moi que je te couvre de baisers
*camélya
(s il voit que je poste c est poème gha i ktoulni ...)
Je vous rejette tous Et je mets fin au dialogue Je n'ai plus rien à dire J'ai fait un autodafé De mes dictionnaires et de mes effets, J'ai fui la poésie antique Et la rime en "r" du long poème de Farazdak, J'ai émigré de ma voix J'ai émigré des cités du sel amer Et des poèmes de poterie peinte.
J'ai apporté mes arbres à votre désert De désespoir les arbres se sont suicidés ; J'ai apporté ma pluie à votre sécheresse La pluie s'est retenue de tomber ; J'ai planté mes poèmes dans vos matrices Ils se sont étouffés. O matrice, porteuse de poussière et d'épines
J'ai essayé de vous arracher De la colle de l'histoire, Du calendrier des fatalités, De la poésie pleurarde des clichés, Du culte des pierres ; J'ai tenté de libérer Troie assiégée, Alors le siège m'a assiégé. Je vous rejette, oui, je vous rejette Vous qui avez créé votre Dieu A partir de la bave, Vous qui avez élevé une coupole A chaque santon, Un lieu de pèlerinage A chaque faux prophète. J'ai tenté de vous sauver De la clepsydre qui vous engloutit A chaque instant du jour et de la nuit, Des amulettes que vous portez sur vous, Des psalmodies récitées sur vos tombes, Des derwiches tourneurs, De la diseuse de bonne aventure, Et de la danse du Zaar. J'ai tenté de planter un clou dans votre chair, Mais, j'ai désespéré De votre chair et de mes serres, J'ai désespéré de l'épaisseur du mur, J'ai désespéré de mon désespoir.
the doctor is not always the shafi the weather is not so safi the bread is not kafi but your love makes my heart dafi and makes me run hafi oh baby baraka...safi she was near me and the light was tafi i took her hand , my heart was then very dafi she said : you have your cup don't drink from ghorrafi! her voice was strange, like commandant kaddafi i said: baby, are you not moulat le3wafi? i touched her face, i found a beard of imam hanafi ya rahmane ya rahim ya rabbi ya shafi