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Poème : Imaginaire
L
29 juin 2020 15:11


Dans mon monde imaginaire
Je peux te prendre par la main
Et t’emmener avec moi
Dans ma belle forêt
Où les branches entortillées
Magnifient la lumière…
Je t’offrirais l'ode des oiseaux
À la douceur du printemps
Et le chant des ruisseaux
Qui emplissent le décors,
Et l’odeur âcre de l’humus
Emporte les lassitudes…

Peut-être marcherions nous
Sur l’ancienne voie ferrée
Où dorment paisiblement
De vieilles carcasses d’acier…
Avec un peu de chance,
Nous pourrions voir passer
La belle locomotive,
La bleue, ma préférée,
Vrombissante et sifflante,
Expulsant sur son passage
Ses nuages vaporeux…

Je t'emmènerais là haut sur la colline,
D’où on peut admirer
Le village de vieilles pierres
Blottit tendrement
Dans ma douce vallée
Toute de forêts brodée,
Et si ce n'est pas assez haut,
Nous prendrions notre envol,
Pour voir plus loin encore,
Pour voir encore plus beau,
Survolerions les prairies,
Les champs de blés ou de colza,
Des chaînes montagneuses,
Des océans, des forêts profondes,
Des déserts de glace ou de feu…

Dans mon monde imaginaire
Les rayons du soleil
Ne sont jamais aussi magiques
Que lorsqu’ils percent
À travers l’épaisseur
D’une chape nuageuse…

Dans mon monde imaginaire
Je peux écrire des poèmes
Qui enveloppent de douceur,
Guérissent l’âme
Et soignent le cœur…



b
29 juin 2020 15:14
In loveIn loveIn love , moi aussi chaton, c'est ça dans mon monde imaginaire
L
29 juin 2020 15:16
In love
Citation
briza22 a écrit:
In loveIn loveIn love , moi aussi chaton, c'est ça dans mon monde imaginaire
e
29 juin 2020 19:00
Très jolie !
Citation
La Louve** a écrit:


Dans mon monde imaginaire
Je peux te prendre par la main
Et t’emmener avec moi
Dans ma belle forêt
Où les branches entortillées
Magnifient la lumière…
Je t’offrirais l'ode des oiseaux
À la douceur du printemps
Et le chant des ruisseaux
Qui emplissent le décors,
Et l’odeur âcre de l’humus
Emporte les lassitudes…

Peut-être marcherions nous
Sur l’ancienne voie ferrée
Où dorment paisiblement
De vieilles carcasses d’acier…
Avec un peu de chance,
Nous pourrions voir passer
La belle locomotive,
La bleue, ma préférée,
Vrombissante et sifflante,
Expulsant sur son passage
Ses nuages vaporeux…

Je t'emmènerais là haut sur la colline,
D’où on peut admirer
Le village de vieilles pierres
Blottit tendrement
Dans ma douce vallée
Toute de forêts brodée,
Et si ce n'est pas assez haut,
Nous prendrions notre envol,
Pour voir plus loin encore,
Pour voir encore plus beau,
Survolerions les prairies,
Les champs de blés ou de colza,
Des chaînes montagneuses,
Des océans, des forêts profondes,
Des déserts de glace ou de feu…

Dans mon monde imaginaire
Les rayons du soleil
Ne sont jamais aussi magiques
Que lorsqu’ils percent
À travers l’épaisseur
D’une chape nuageuse…

Dans mon monde imaginaire
Je peux écrire des poèmes
Qui enveloppent de douceur,
Guérissent l’âme
Et soignent le cœur…



L
29 juin 2020 19:03
Merci ?
Citation
edlat a écrit:
Très jolie !
 
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