Citation
Natacha Celeste bs 2 a écrit:
Aaaa la non la mer aui m'a inspiré c'est pas la Méditerranée ni la Pacifique. Mais l'Atlantique
Portugal oblige lol
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Natacha Celeste bs 2 a écrit:
Il devait être deux heures du matin,
Et, nous marchions dans les rues éclairés par la plaine lune.
Nous n’avons que le silence et la pudeur de notre amour pour mélodie ce soir-là.
Les ruelles nous menèrent au vieux port comme toujours,
Ce lieu abritait les amants d'un soir ou d'une vie,
Ceux qui n’avaient pas le droit de s'aimer
Ma tête posée sur ton épaule, tes bras enlacent ma taille, etnous dansâmes sur le rythme des vagues qui venaient se briser sur les roches.
Nous avions, je crois à chaque fois cette même sensation d'être hors du temps, la nuit était notre seule complice dans notre amour.
Bientôt le soleil allait se lever dans le ciel,
Mais nous savions qu'une autre nuit s'offriait à nous .
La nuit allait donc s'achever et,
Déjà, les bateaux pour la pêche partaient vers la grande Bleu,
Ces hommes laissant à terre leurs femmes, leurs mères ou bien que sais-je encore
Je les regardais avec l’envie de les suivre avec toi peu être
Qu'est ce qui pouvait nous retenir à terre,
puisque nous ne somme libre.
La nuit allait s'achever et nous retournâmes sur nos pas, mon cœur se serrait et j’essayais de retrouver une indifférence pour toi. Impossible et je n’ai pas le choix.
Grasse . Octobre 2004
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Natacha Celeste bs 2 a écrit:
Il devait être deux heures du matin,
Et, nous marchions dans les rues éclairés par la plaine lune.
Nous n’avons que le silence et la pudeur de notre amour pour mélodie ce soir-là.
Les ruelles nous menèrent au vieux port comme toujours,
Ce lieu abritait les amants d'un soir ou d'une vie,
Ceux qui n’avaient pas le droit de s'aimer
Ma tête posée sur ton épaule, tes bras enlacent ma taille, etnous dansâmes sur le rythme des vagues qui venaient se briser sur les roches.
Nous avions, je crois à chaque fois cette même sensation d'être hors du temps, la nuit était notre seule complice dans notre amour.
Bientôt le soleil allait se lever dans le ciel,
Mais nous savions qu'une autre nuit s'offriait à nous .
La nuit allait donc s'achever et,
Déjà, les bateaux pour la pêche partaient vers la grande Bleu,
Ces hommes laissant à terre leurs femmes, leurs mères ou bien que sais-je encore
Je les regardais avec l’envie de les suivre avec toi peu être
Qu'est ce qui pouvait nous retenir à terre,
puisque nous ne somme libre.
La nuit allait s'achever et nous retournâmes sur nos pas, mon cœur se serrait et j’essayais de retrouver une indifférence pour toi. Impossible et je n’ai pas le choix.
Grasse . Octobre 2004
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