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le plus vieux harrag du monde...
x
21 août 2009 13:43
Un Harrag Algerien de plus de 70 ans a ete arreter avec d,autres harragas au large de la cote Algerienne et quand on a lui demande le pourquoi il veut quitter son pays avec cette methode il a repondu que chez lui il n,y a plus rien a fouttre et qu,il prefere contunier a vivre chez les occidentaux que de mourir dans son pays.
l,age de ce Harrag va lui permettre d,entrer dans le livre de Guiness.

SOURCE-Medi1sat-
p
21 août 2009 13:59
salam

70 ans eye popping smiley peut être qu'il avait une bonne raison de le faire Allah o aalam
w
21 août 2009 14:38
le comble de l'histoire c'est que jusqu' en 1962, ce monsieur qui devait avoir dans les 23 ans ,était

encore considéré comme français et devait avoir ses papiers d'identité français...
21 août 2009 15:33
salam,

il n'y a pas d'âge pour se libérer...
L
21 août 2009 17:24
la santé le pépé ! mais je me demande quand même le fond de sa pensée, ses motivations
je reste sur ma faim

je cherche un peu et trouve El watan qui semble expliquer
Citation
a écrit:
Quant au septuagénaire, il a déclaré qu’à défaut de visa, la harga était pour lui le seul moyen de rejoindre ses enfants tous établis en France.

je ne sais pas, mais il y a tant d'histoires malheureuses de gens dépensant plusieurs années d'économie et tentant la mort pour cela que quand même cela peut émouvoir grandement, même les plus insensibles

on lis des truc, même des gens qui disent qu'il aurait mieu fait de faire le hadj, le respect, c'est cela qui manque, c'est sur, le respect !
E
21 août 2009 17:56
Annaba: Un homme de 70 ans parmi 22 harraga interceptés
par K. Assia

Vingt-deux candidats à l'émigration clandestine, dont un homme âgé de 70 ans, ont été interceptés, hier matin, à 2 miles marins au nord-est de Ras-El-Hamra, par les gardes-côtes de la wilaya de Annaba, a indiqué hier M. Zaïdi Abdelaziz, chef de la station maritime principale des gardes-côtes de Annaba.

En effet, il était deux heures du matin, lorsque les unités marines 360 et 344 du groupement territorial des gardes-côtes de Annaba, qui étaient en patrouille de surveillance, ont repéré un groupe de clandestins à bord d'une embarcation artisanale. Cependant, grande a été la surprise des services d'intervention lorsqu'ils ont découvert à bord de l'embarcation un vieux de 70 ans. Une première dans les annales de l'émigration clandestine, a affirmé le responsable des gardes-côtes. Interrogé sur sa présence parmi ce groupe de harraga, le mis en cause a reconnu qu'il avait l'intention de rejoindre ses fils installés en France, en transitant par l'Italie.

Par ailleurs, l'enquête préliminaire menée dans le cadre de cette affaire a révélé que le groupe de clandestins avait pris le large la veille aux environs de 23 heures à partir de la plage de Joannot, sur la côte annabie. Les candidats à l'émigration clandestine étaient âgés de 20 à 70 ans et douze d'entre eux venaient de Annaba, trois d'Alger et sept de Constantine. Pour M. Zaïdi, ces harraga avaient l'intention de rejoindre les côtes italiennes et avaient tout planifié à l'avance pour mener à terme cette aventure. Quelques jours avant leur départ, ils avaient versé chacun entre 12.000 et 80.000 dinars pour l'acquisition d'une embarcation, un GPS et du carburant afin de tenter cette aventure au péril de leur vie. Les gardes-côtes ont saisi l'embarcation, ainsi qu'un moteur Suzuki de 40 CW. Ainsi, et en attendant d'autres détails sur cette affaire, il y a lieu de souligner que les clandestins seront présentés au parquet de Annaba pour émigration clandestine.

Rappelons que depuis le début de janvier à ce jour, plusieurs tentatives d'émigration clandestine ont été avortées et 400 harraga ont été interceptés au large de Annaba.






La Boetie]la santé le pépé ! mais je me demande quand même le fond de sa pensée, ses motivations
je reste sur ma faim

je cherche un peu et trouve El watan qui semble expliquer
Citation
a écrit:
Quant au septuagénaire, il a déclaré qu’à défaut de visa, la harga était pour lui le seul moyen de rejoindre ses enfants tous établis en France.

je ne sais pas, mais il y a tant d'histoires malheureuses de gens dépensant plusieurs années d'économie et tentant la mort pour cela que quand même cela peut émouvoir grandement, même les plus insensibles

on lis des truc, même des gens qui disent qu'il aurait mieu fait de faire le hadj, le respect, c'est cela qui manque, c'est sur, le respect !
L
21 août 2009 18:54
oui El Gitano, et il y a des renvoies qui citent les sources de ce texte original dont, en partie de el watan pour la phrase que j'ai cité
b
23 août 2009 19:48
Et si c'était le passeur ?...
Et qu'il a trouvé cette parade de Harrag pour échaper aux sanctions plus graves ?...
Mais c'est possible ! Car il n'y a pas d'âge pour voir ailleurs et mourrir ou mourrir en voulant voir ailleurs.
Pauvre Maghreb qui compte plus de candidats harraga que de gens pleinement heureux.
à quand les dirigeants dans des barques sans fond ?
x
25 août 2009 13:17
Citation
jisuikiyes a écrit:
salam,

il n'y a pas d'âge pour se libérer...



il y a la mort qui nous libere tous...
x
25 août 2009 13:20
Citation
wasmen a écrit:
le comble de l'histoire c'est que jusqu' en 1962, ce monsieur qui devait avoir dans les 23 ans ,était

encore considéré comme français et devait avoir ses papiers d'identité français...


une vision qu,est tout a fait logique.
peut etre que le vieux est un deep
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25 août 2009 13:21
Citation
princess819 a écrit:
salam

70 ans eye popping smiley peut être qu'il avait une bonne raison de le faire Allah o aalam


exemple: se suicider.
x
25 août 2009 13:26
Citation
bou-maqla a écrit:
Et si c'était le passeur ?...
Et qu'il a trouvé cette parade de Harrag pour échaper aux sanctions plus graves ?...
Mais c'est possible ! Car il n'y a pas d'âge pour voir ailleurs et mourrir ou mourrir en voulant voir ailleurs.
Pauvre Maghreb qui compte plus de candidats harraga que de gens pleinement heureux.
à quand les dirigeants dans des barques sans fond ?


peut etre que c,est lui le captain cousteau Algerien.....
je trouve votre imagination extra.
au moins une idee/explication qui semble vrai.
b
3 septembre 2009 16:31
Il est loin d'être le seul à vouloir fuir, son pays.

LEMONDE.FR | 07.04.09
"UNE CINQUANTAINE DE CORPS REPÊCHÉS
En 2008, les garde-côtes algériens ont intercepté plus de 400 personnes et repêchés près d'une cinquantaine de corps. En majorité des hommes entre 20 et 30 ans. Combien sont partis ? Combien ont disparu ? Ces chiffres n'existent pas. Seule certitude, ils sont en augmentation constante depuis 2005, année à laquelle cette émigration clandestine a pris de l'ampleur en Algérie. Entre 100 et 150 mille dinars par personne (soit 1 000 à 1 500 euros), le voyage est tout à fait réalisable pour qui s'organise un peu, vend sa voiture, emprunte à ses amis ou économise plusieurs mois.
"Le harrag est en train de devenir un archétype d'une partie de notre jeunesse, constate Mohammed Kouidri, professeur à la Faculté des sciences sociales d'Oran. Au début, on pensait que c'était la misère qui les poussait à partir mais en réalité c'est surtout le rêve d'un autre mode de vie. Ici, explique le sociologue, les jeunes vivent avec beaucoup d'interdits et la destination – l'Europe et l'Occident en général – est sublimée par les chaines de télé occidentales." Les forêts de paraboles laissent imaginer l'influence des émissions, séries et publicités venues d'ailleurs.
Qu'ils aient un travail, un diplôme, une famille ou même un peu d'argent, les harragas racontent tous ce mal vivre, ce manque de perspectives qui caractérisent leur génération. Souvent, ils ont du mal à trouver les mots pour le dire mais, par bribes, ils évoquent la difficulté à voir leur petite amie, à se marier ou avoir leur propre logement."
E
3 septembre 2009 22:14
Avec toutes ces nouvelles et articles qui paraient sur les journaux de ce pays, ils vont faire fuire meme les morts.

AGRESSIONS, VOLS, INSÉCURITÉ
«Familles algéroises, restez chez vous!»
03 Septembre 2009 - Page : 24
Lu 2472 fois

L’insécurité prend des proportions alarmantes. Il ne se passe pas un jour sans que l’on entende parler de vol, d’agression ou même de meurtre.

Le phénomène est loin d’être contrôlé, tant il prend une ampleur croissante. En somme, les agressions, les vols et la toxicomanie sont devenus légion. Aucun endroit, aucun quartier n’est épargné. Avant-hier soir, la rue Ben M’hidi a été lé théâtre d’une agression en bonne et due forme. Un groupe d’une dizaine de personnes s’en est pris à un couple qui tentait de faire ses emplettes avant l’Aïd. Au vu et au su de tous, portables, bijoux, argent tout est pris, rien n’est laissé au hasard. N’essayez surtout pas de riposter car ces «voyous» travaillent en groupe quand ils ne sont pas protégés par un homme du milieu. Parfois, il vaut mieux rester chez soi bien blotti que de sortir faire un tour au risque de se faire balafrer ou d’y laisser sa «peau».
En plein centre d’Alger, les cas d’agressions et de vols se comptent désormais par dizaines. D’autre lieux, situés non loin du centre névralgique de la capitale, sont également sous l’emprise des voleurs à la tire et autres délinquants. Devant ce laxisme, ces bandes de «voyous» ont même trouvé la parade pour commettre leurs forfaits en toute impunité. En effet, au Bd Mohamed-Bouguerra d’El-Biar, certaines bandes simulent une bagarre entre elles. Attirées par les rixes ou gênées par la circulation qui s’ensuit, des familles se font dérober leurs biens. Ces actes sont à répétition. Au sortir du tunnel de oued Ouchayeh, automobilistes ne vous avisez surtout pas de vous arrêter pour changer une roue crevée ou pour tout autre raison. Les rapaces sont aux aguets. En deux temps, trois mouvements vous êtes délestés de vos objets de valeur sous la menace d’une arme blanche.
De sinistres individus ont pris ainsi l’habitude de guetter leurs proies à cet endroit. «Ils attendent patiemment, sur le bas-côté de la route, les automobilistes qui s’arrêtent pour leur sauter dessus, à deux ou à trois, et leur dérober tout ce qui leur tombe sous la main», soutiennent des voix. L’acte accompli, ces énergumènes disparaissent en empruntant des sentiers escarpés pour rejoindre un immense bidonville aux ruelles sinueuses. D’autres lieux de la capitale sont aussi visés par certains «pseudos-dépanneurs» qui n’hésitent pas à verser de l’huile sur la chaussée provoquant ainsi des carambolages avant de proposer, pardon, d’imposer, leurs services. Eh! oui, «la fin justifie les moyens». D’autres endroits ont cette triste réputation de servir de nids à la criminalité. Bordj El Kiffan, Bordj El Bahri, Rouiba, El Harrach, Bachdjerrah ou encore Réghaïa n’échappent pas à ce phénomène.
A titre anecdotique, récemment, une dizaine de jeunes ont pris en «otage» les voyageurs d’un bus sur la route de Réghaïa. Armés de couteaux et autres armes blanches, ces jeunes ont pris leur temps pour délester de leurs biens les pauvres voyageurs ahuris et impuissants. Le parc d’attractions de Ben Aknoun, Boumati, La Montagne...sont autant de lieux boycottés par les Algérois de par l’insécurité qui y règne. Faisant face aujourd’hui à une montée fulgurante de l’insécurité et de la criminalité, les familles algéroises n’ont plus d’autre choix: subir ou se révolter. Une lutte sans merci contre ce phénomène s’impose d’elle-même pour l’endiguer ou du moins l’amoindrir.

Nabil BELBEY
c
3 septembre 2009 22:20
Citation
jisuikiyes a écrit:
salam,

il n'y a pas d'âge pour se libérer...


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