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Planter des rosiers
Z
27 septembre 2007 19:37
Bjr. Svp, pouvez-vous m'aidez : voilà, je veux planter des rosiers à partir de quelques branches pourvues de bourgeons.
Quelles est la meilleure période pour le faire (quel mois) ?
Quels soins particuliers dois-je leur prodiguer ?

Merci d'avance et saha ramdhankoum.


ZTE Angel
27 septembre 2007 20:39
Salam khouiaen commence d'abors par les bouturer!voila deux liens qui pourrons t’aider inchallah.
en plus tu est a Annabathumbs up
il ne doit pas faire froid ,comme ici,les fleurs ont une odeur incomparable au bled In love vous en avez de la chance

[www.gerbeaud.com]

[forum.1jardin2plantes.info]
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
Z
27 septembre 2007 21:35
Merci Aicha, saha ftorek aussi !!!
p
27 septembre 2007 21:47
salam

suuuupers sites merci aicha thumbs up

je trouve que ls rosiers sont mieux que la vigne, je crois que je vais abandonner mon idée de vigne à raisin pour un joli rosier In love

sinon, ZTE, sur ce site, ils disent qu'on peut planter des rosiers de l'automne à l'hiver:

[www.leblogjardin.com]

c'est dans l'article "Plantation des rosiers à racines nues", vers le début
!!*!! le seul chat autorisé sur ce forum
Z
27 septembre 2007 21:53
Merci "tamchicht", je vais aussi voir ce lien. Chouette ce forum...
Z
27 septembre 2007 23:10
Voici ce que "Aicha" m'a apporté comme aide. Merci.




Le bouturage des rosiers


La multiplication d'un rosier peut être réalisée de différentes façons : par marcottage, par semis, par prélèvement de drageons... L'avantage du bouturage, qui se pratique de la fin du mois d'août au mois d'octobre, c'est qu'il est facile à réussir.

Comment procéder

Il s'agit d'abord de sélectionner un rameau parmi les pousses de l' année qui ont fleuri. Veillez à choisir une tige saine, sans signe de maladie et bien droite de préférence.

Vous n'en garderez que la partie moyenne (soit 15 à 20cm), en coupant en biais la partie haute au-dessus d'une feuille.

Eliminez délicatement toutes les feuilles, à l'exception des 2 plus hautes, et en n'abîmant pas les bourgeons portés par la tige. De même, enlèvez les épines à la base. Ces petites "blessures" favoriseront le processus d'enracinement.


Trempez la base de la bouture dans l'eau, puis dans de l'hormone de bouturage, dont vous ferez tomber l'excédent en tapotant avec un doigt.

Plantez ensuite dans un pot rempli d'un terreau léger, ou un mélange à parts égales de sable et de tourbe. Il est tout à fait possible d'installer plusieurs boutures (pas trop serrées) dans un même contenant.

Maintenez l'humidité mais sans excés. En quelques semaines, des racines doivent se former à la base de la tige. Il est alors préférable de transplanter chaque bouture dans un pot individuel, où elle peut passer l'hiver, à moins que vous ne préfériez après une nouvelle attente de quelques semaines mettre en terre ce nouveau plant.





La plantation des rosiers

Epoque de plantation
Les mois de novembre et décembre constituent la meilleure période pour planter les rosiers, qu'ils soient en conteneurs ou à racines nues.

Bien sûr, il convient d'éviter les jours de gel ou de pluies trop fortes.

Veiller à ne pas laisser les racines nues à l'air, en attendant le jour de la plantation.

Sol
Le rosier est un véritable "tous terrains". Il s'accomode de tous types de sol, à l'exception des "extrêmes": argile pure ou sable intégral!

Avant la plantation, bêcher le sol sur environ 60 cm de profondeur.

Si le terrain est très lourd (compact, beaucoup d'argile), faire un apport de sable, de gravier ou de cendres, afin de l'allèger quelque peu.

A l'inverse, si le sol est très sablonneux, il faut apporter des éléments qui "alourdissent", c'est à dire qui améliorent la rétention d'eau: argile, terreau, tourbe...

Préparation
Comme de nombreux arbustes, le rosier doit être préparé avant sa plantation.

Il convient d'habiller les racines, c'est à dire que l'on aura soin de les rabattre à 20-25 cm de longueur, et d'en supprimer les parties abimées.

Ensuite, il est conseillé de pratiquer un pralinage. Cette opération consiste à tremper les racines du rosier dans un mélange boueux d'argile et de tourbe. Son but est d'éviter que les racines ne soient, après plantation, en contact avec l'air.

Enfin, si ce n'est déjà le cas, les branches de l'arbuste doivent être rabattues fortement, à environ 15 cm du point de greffe (ou collet), en ne conservant que les 3 ou 4 plus fortes. Ceci facilitera grandement la reprise.

Plantation
Le trou préalablement creusé représente un volume équivalent à celui des racines.

Déposer au fond un mélange constitué d'un peu de tourbe, de la terre sortie du trou et d'un peu de poudre d'os (engrais organique).

Placer le rosier de façon à ce que le collet sorte juste du sol. Reboucher avec de la terre, en prenant soin de ne pas laisser de "poches" d'air.

Pour finir, arroser copieusement, ce qui achèvera le compactage de la terre autour des racines.

Dernière précaution, une fois la terre bien tassée, former une petite butte autour du collet: ceci protègera le jeune sujet des froids les plus vifs, auxquel il est particulièrement sensible.

Suite des évènements...
Rien à faire jusqu'en mars, où interviendra la première taille. Mais c'est une autre histoire...



Bichonnez vos rosiers !

Les mois de mai-juin marquent le début de la grande saison des rosiers. Une surveillance régulière et quelques soins de base suffisent à garantir une belle floraison. Petit inventaire des conseils à suivre...



Arrosage

Les rosiers possèdent un système radiculaire profond. Du coup, un rosier adulte en place depuis 3 ou 4 ans se débrouille tout seul pour puiser dans le sol l'eau dont il a besoin.
En revanche, veillez à arroser régulièrement les sujets récemment plantés, dont le système racinaire est insuffisamment développé. Faites-le au goulot, au pied, pour éviter de mouiller le feuillage, ce qui favoriserait les maladies.
Il est bien sûr possible de pailler le sol, ce qui retient davantage l'humidité.




ZTE Angel
Z
27 septembre 2007 23:14


Taille des rosiers



Introduction à la taille des rosiers
Un des grands entretiens des rosiers est leur taille! Elle consiste à rabattre les pousses de l'année passée, pour favoriser de nouveaux départs avec en ligne de mire une très belle belle floraison estivale! Pour tout rosier, on coupera les rameaux qui s'enchevêtrent ou qui gênent les autres et on coupera si possible les rameaux partant du centre du rosier.
On peut dire qu'il existe 2 types de taille : celle des rosiers buisson et celle des autres rosiers (arbustifs, grimpants, pleureurs).

Vos sécateurs auront été préalablement désinfectés pour éviter tout risque de propagation de parasites.


Quand tailler
Contrairement à tout ce qu'on a toujours entendu, les rosiers ne se taillent point en mars, mais en plein hiver. Pourquoi?
Quand on taille un rosier en mars/avril, on supprime des branches ayant déjà developpé des bourgeons et l'on contraint le rosier à faire un nouvel effort pour faire pousser les yeux dormants du bas des branches. Si l'on taille en hiver, le rosier ne repartira en végétation qu'en mars et ne souffrira pas du tout, bien au contraire! Et il ne s'épuisera pas à faire deux fois le même travail!
Toutefois, tout au long de l'été, il ne faut pas hésiter à supprimer régulièrement les fleurs fanées.
A l'automne, il est préférable de couper toutes les branches défleuries, afin que les fleurs fanées et les fruits (les fameux cynorrhodons) n'épuisent pas la plante.


Rosiers buisson
Pour les rosiers buissons, la taille consiste à conserver le plus près possible du point de greffe quelques bourgeons -ou yeux- qui émettront des rameaux porteurs de fleurs. Taillez vos rosiers peu vigoureux au 2°, 3° ou 4° oeil extérieur en partant de la base du rosier. Pour les rosiers très vigoureux, taillez au 4° ou 5° oeil extérieur. Coupez également les branches mortes et les plus vieilles tiges pour rajeunir le rosier. Les rosiers-tige se taillent de la même manière, en conservant cependant des bases de rameaux un peu plus grandes.
N'ayez pas peur de tailler sévèrement (à 10/20 cm au dessus du sol), le rosier n'en sera que plus vigoureux.


Rosiers arbustifs et grimpants
En ce qui concerne les rosiers arbustifs, grimpants et pleureurs, on appliquera (en mars également) une taille dite "en arête de poisson" : on garde les branches axiales vigoureuses et on taille les branches latérales (ou rameaux secondaires) d'un quart de leur longueur. Les tiges conservées seront rabattues d'un quart de leur longueur, au dessus d'un oeil dirigé vers l'extérieur. Plus le rosier est vigoureux, plus on peut garder de branches et de départs sur ces rameaux. En outre, coupez le plus près possible de la base les branches de couleur brune.
Finalement, on garde les tiges vertes et vigoureuses (qui ont donc des futurs bourgeons) et on supprime les tiges âgées qui peuvent être remplacées par de jeunes tiges.

Pour les rosiers grimpants non remontants, faîtes de même, mais taillez en automne.


Rosiers miniatures.
Pour les rosiers miniatures, taillez simplement de quelques centimètres le départ des branches.
On peut même effectuer avec des cicailles, à condition de faire des coupes nettes.


Mais attention, la taille est aussi une question de goût; on taille un rosier pour qu'il soit plus vigoureux et florifère, mais aussi pour qu'il garde une forme harmonieuse.


ZTE Angel
Z
27 septembre 2007 23:24


Histoire de la rose et du rosier



Dans tout l’hémisphère nord, l’histoire de la rose remonte à la nuit des temps. Reine du jardin à juste titre, la rose est un joyau que les jardiniers ont façonné patiemment de génération en génération.

Selon les scientifiques, l’apparition des premiers rosiers remonte à près de 35 millions d'années. Si l’on ne sait pas grand chose sur ces premiers spécimens, de nombreux écrits de l’antiquité démontrent que déjà la reine des fleurs était appréciée des Egyptiens, des Grecs et des Romains. A l’époque, seule une variété blanche était cultivée principalement pour ses vertus médicinales. D'après les témoignages historiques, il y a environ 5000 ans, en Chine des roses étaient également cultivées. Ces fleurs originaires d'Asie Centrale, se sont répandues dans tout l'hémisphère nord sans jamais toutefois franchir l'équateur.

Au XIIe et XIIIe siècles, alors que les croisades embrasaient les coeurs et les passions, les voyageurs armés ramenèrent du Proche Orient de nouvelles variétés de rose dont la mythique rose de Damas qui dès le XIIIe siècle fit la fortune de Provins en région parisienne. Cette rose était plantée originellement sur l'Ile de Samos en l'honneur de la déesse Aphrodite. Plus tard, elle fut honorée à Rome avec la déesse de l'amour, Venus. C’est à cette époque que la culture du rosier en France débuta réellement avec gallica officinalis (Rose des Apotyhicaires). Cette variété ramenée de Terre Sainte sera d’abord cultiver pour ses vertus médicinales avant d’être appréciée pour sa beauté au jardin. C’est à partir de cette variété que l’on fabriquait l’essence de rose au Moyen Age.



En France, les rosiers anciens les plus cultivés étaient alors les Galliques aussi appelées Roses de France (Rose de Provins, Charles de Mills, Tuscany) mais aussi des variétés de roses blanches aussi appelées Alba (Céleste, Jeanne d'Arc, Cuisse de Nymphe), des rosiers de Damas (Félicité Hardy, Quatre Saisons, Rose du Roi), des rosiers Centfeuilles (Rosa Centifolia, Rose des Peintres, Petite de Hollande) et enfin des rosiers Moussus (Moussu commun, Salet). Toutes ces variétés avaient des traits communs : développées en gros buissons, elles présentaient le plus souvent une floraison unique et abondante. Chaque fleur très parfumée se composait de nombreux pétales variant du blanc pur au pourpre sombre. Seule la rose de Damas (Quatre Saisons) était remontante. Elle est à l'origine des premiers rosiers remontants de l'Occident.


En 1700, l’arrivée de rosiers de Chine et de Japon bouleversa la culture de la rose en France. En quelques années, le nombre de variétés va exploser pour le plus grand plaisir des jardiniers européens décidément tombés sous le charme de cette plante au parfum envoûtant.

Bien des années après les croisades et l’introduction en occident des variétés du Proche-Orient, une découverte bouleversa l’horizon des rosiéristes de l’époque. Vers l’an 1700, aux variétés désormais connues que nous avons évoqué dans la première partie de notre histoire des roses, vinrent s’ajouter des variétés exotiques comme les rosiers d’Inde, de Chine ou du Japon. L’arrivée de ces variétés chinoises se fit via le Royaume Uni, les Etat Unis et l’île de la Réunion. Ces spécimens remontants ouvraient la porte à des floraisons de juin à octobre. Les premiers croisements entre les rosiers déjà bien implantés et ces nouveaux venus donnèrent des variétés non remontantes comme les rosiers Bourbon (Mme Pierre Oger, Souvenir de la Malmaison), les rosiers Noisette (Rose Noisette, Desprez à fleurs jaunes), les rosiers Thé (Adam, Gloire de Dijon) mais aussi des hybrides remontants (Baronne Prévost, Reine des Violettes...).



D'autres variétés furent également importées au XVIIIe siècle de Hollande et de Belgique dont la rose Centifolia ou Rose Chou aux cent pétales. Cette dernière variété fût rapidement adoptée par les parfumeurs de Grasse et donna naissance à son tour aux rosiers mousseux aux rosiers à feuilles de laitue. Au début du XVIIIe siècle, les botanistes avaient répertoriées toutes les souches possibles. Quelques hybrides spontanés firent alors leur apparition comme l’Alba, la Centifolia, la Portland, la Bourbon et la fameuse Rose Thé.

Pendant longtemps, les rosiéristes restèrent en but à un problème. Ces rosiers originaires des pays chauds supportaient mal le froid de l'Europe ! Pour remédier à cette fragilité, les rosiéristes de l’époque ont décidé de procéder à des hybridations pour créer des roses plus fortes et plus vigoureuses. Le fruit de ces premières hybridations donnèrent un élan formidable à la création de centaines de nouvelles variétés que l’on regroupe généralement sous le nom de roses anciennes. Cette appellation comprend pas moins de 10 000 variétés et cultivars qui ont toutes la particularité d’avoir été créées avant 1920.






ZTE Angel
Z
27 septembre 2007 23:37

Citation
La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité. a écrit:



Voilà. Bon, une question : vous aimez les roses ?


ZTE Angel
p
29 septembre 2007 13:27
merci beaucoup ZTE , c'est sympa ce que tu nous fais partager

moi j'aime beaucoup les roses, on avait un rosier devant la maison familiale, à la belle époque In love


tu vas planter quelle variété de roses ?

smiling smiley
!!*!! le seul chat autorisé sur ce forum
Z
29 septembre 2007 22:05
Merci de ta réponse "mchicha". Quelle genre de roses je vais planter ? Franchement, je ne sais pas encore. Il faut d'abord que j'aprenne à en planter. Tu sais, je suis novice.
Merci encore "mchicha" et à bientôt.

Citation
La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité. a écrit:



ZTE Angel
b
8 octobre 2007 11:14
salam moi mon père c'est simple il prend un bout de rosier il retire les feuilles et les épines au bas et il plante et il arrose ça prend tabarakallah ça prend pas marléche, ya pas mort d'homme mdr...

ya pas de soucis en générale ça prend facilement pas besoin d'hormone de bouturage je savais même pas que ça existait lol...

bon bouturage, tu as fais ou pas encore zte

ramadan moubarak
 
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