Citation
عبدالوهاب 1 a écrit:
Ils peuvent profiter de ma gentillesse
Ils peuvent profiter de ma générosité
Ils peuvent profiter de ma bienveillance
Ils pensent profiter de moi.
Tout ce que j’ai fait, tout ce que je fais : c’est pour Dieu, pas pour eux.
Si ils n’ont pas la dignité d’arrêter. ni les remords d’avoir abusé : ils auront mes prières. Car je ne suis pas et je me refuse d’être un soupçon de ce type de personnes.
Si je ne vois pas : Dieu te voit.
Je préfère être rongée par la déception que par les remords...
La déception m’appartient et je saurai à force de résilience la convertir en force, mieux : en paix intérieure.
Les regrets, eux, sont enfermés tant que le pardon de la personne lésée ne les a pas libéré...
Avoir mal, être déçu, trahi, abandonné n’est pas chose aisée à gérer émotionnellement et d’autant si cela vient d’une personne que l’on considérait
Mais « faire mal », décevoir, trahir, abandonner n’est en rien comparable.
Réside en soi une torture et un blâme intérieurs plongeant l’Être d’une condamnation à perpétuité que seul l’espoir d’un repentir sincère puisse délivrer.
Mais cela n’est réservé qu’à ceux qui acceptent de se remettre en question, ceux qui ne sont plus à l’aise avec leur agissement.
Quand aux autres ils continueront de vivre aveuglément sans même prendre conscience de leur faute ( pourtant réparable, car la porte de la miséricorde reste ouverte jusqu’au dernier souffle )
Ils continueront à errer de cœurs en cœurs sans se soucier des dégâts commis...
Préserver les cœurs c’est préserver son cœur..
“Brise tout ce qui peut être brisé.
Mais ne brise jamais le cœur de quelqu'un. C'est là où se trouve Dieu.“
Jalâlou d-Dīn ar-Rûmi
Que la paix l’emporte
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Citruss a écrit:
En attendant, Rumi suivait Dieu et personne d'autre.
Je crois au contraire qu'il avait tout compris de la foi.