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une petite palestinienne devant le juif...
12 octobre 2004 05:28
...qui revenait de l'ecole c'est retouvée face a face avec un juif.

elle a eu peur.

elle a jeté son sac d'ecole.

le juif s'est approché d'elle.

il a vidé son arme sur elle.

le petit ange est allé retrouver un autre ange :le petit mohamed.

c'est une autre honte pour l'humanité.

les anges ne meurent jamais et ils reviennent toujours pour nous rappeler nos fautes.


:o
b
12 octobre 2004 09:45
salam amir,

d'ou tu tiens cette info?

c'est écoeurant !!!

VENGENCE, VENGENCE, VENGENCE!!!!
l
12 octobre 2004 09:53
qu'est ce ki t'arrive Babanou, t'as la tronceneuse qui te démange grinning smiley (en référence à une pub d'un grand soda couleur jaune, mais qui ce dit orange)

ce n'est pas une solution!
b
12 octobre 2004 10:00
yo lala - zina,

salam

je trouve ça tellement écoeurant, qu'on puisse se permettre de telles atrocités sans être inquiété, que personne ne réagisse, alors je pousse mon coup de guele

car pr uncas médiatisé , il y en a une centaines qui restent dans l'oubli, et des enfants meurent chaque jour sns que ça choque!!!!

d'ailleurs la loi du taloin est permise !!!( sourate al baqara si je ne me trompe pas sinon prière de me corriger).

surtout contre de pareils chiens (pr ne pas dire autre chose), qui s'en prennent à des enfants!
s
12 octobre 2004 10:08
Salam babanou .

Ce que dit amir est vrai , et le pire j'avais lue qu'elle a reçue 20 balles ,


siryne
b
12 octobre 2004 10:18
donc je maintiens à fortiori ce que je disais:

VEGENCE

merci pr l'info syrine, d'ailleurs je trouve ton pseudo très joli
12 octobre 2004 10:36
babanou que peut faire une petite goutte d'eau,
contre un océan d'injustice,rien!
tôt ou tard la petite goutte d’eau se feras engloutir par l’océan,et personne ne parleras plus d’elle.
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
b
12 octobre 2004 12:23
salam aicha,

sauf que les derniers aujourd'hui seront les premiers demain le grand jour des comptes ou tt le monde sera intérrogé sur ses actes:
et les soldats de la honte et de l'injustice crameront dans une souffrance sans fin!!!

allahi nsarna aala lqoum al dhalimin
h
12 octobre 2004 14:03
Salam,


Elle s'appelait Iman , Llah y rahma.

mardi 05 octobre 2004, 11h36 - AFP ]
Une écolière palestinienne a été tuée mardi par des soldats israéliens qui l'ont criblée de balles alors qu'elle se rendait à l'école à Rafah dans le sud de la bande de Gaza, ont indiqué des sources médicales et des témoins palestiniens.

Iman Al-Hams (bien: Al-Hams), 13 ans, a été atteinte de "vingt balles dans diverses parties du corps, notamment à la tête et à la poitrine", a déclaré à l'AFP Ali Moussa, directeur de l'hôpital de Rafah où la fillette a été transférée.

"Elle est arrivée morte à l'hôpital en tenue d'école", a-t-il ajouté. La localité de Rafah est située à la frontière avec l'Egypte.

Selon Omar Khalifa, 29 ans, qui tient un garage près de l'endroit où le drame a eu lieu, la fillette marchait vers l'école avec deux camarades lorsque les soldats ont ouvert le feu depuis une tour d'observation.

"La fille a alors pris la fuite. Les soldats ont ouvert un feu intensif sur son cartable qu'elle a jeté par terre", a raconté M. Khalifa à l'AFP.

"Par la suite, trois soldats sont sortis d'un char stationné au pied de la tour et ont ouvert le feu sur la fillette. Ils ont entouré le corps et n'ont autorisé les ambulanciers palestiniens à l'évacuer qu'une demi-heure plus tard", a-t-il ajouté.

Une source militaire israélienne a pour sa part affirmé que des soldats postés à la frontière avaient ouvert le feu sur une fille après qu'elle eut pénétré dans une zone interdite où elle a posé "ce qui a semblé être un engin explosif", non loin du poste militaire avant de tenter de prendre la fuite.

Un peu plus tard, la même source israélienne a affirmé qu'au moment où la fille prenait la fuite, des Palestiniens ont ouvert le feu depuis le quartier de Tal Al-Sultan à Rafah sur le poste militaire israélien et que les soldats ont riposté en direction de la source des tirs.

"La fille a été touchée et elle a été évacuée par les Palestiniens", a-t-elle affirmé.

Cette mort porte à 4.438 le nombre de personnes tuées depuis de début de l'Intifada en septembre 2000, dont 3.413 Palestiniens et 954 Israéliens.

Pas moins de 77 Palestiniens ont été tués par l'armée israélienne dans la bande Gaza depuis le lancement le 28 septembre dans le nord du territoire d'une vaste opération destinée officiellement à mettre fin aux tirs de roquettes sur le territoire israélien.
© 2004 AFP

s
12 octobre 2004 14:39


Proche-Orient
Témoignage. Pourquoi tuent-ils nos enfants ?
Jamal Al Khozi se trouve dans le camp de Jabalyia, encerclé par les chars israéliens. Nous l’avons joint par téléphone. Voici son témoignage :

« Depuis sept jours que l’invasion israélienne a commencé, il est clair que la population est visée. Dans le camp où je me trouve, il y a déjà 97 morts et plus de 240 blessés. 40 % des tués ont moins de quinze ans. Certains endroits du camp (où vivent plusieurs centaines de milliers de personnes) sont totalement inaccessibles. Les gens n’ont plus accès à rien : ils n’ont pas de médicaments, l’eau se raréfie, le lait pour les enfants manque et ils ne peuvent plus rejoindre les hôpitaux. »

Jamal, qui est également volontaire au sein du Palestinian Medical Releaf (les secours palestiniens), dénonce l’attitude des soldats israéliens qui empêchent les secours d’arriver jusqu’aux blessés. « Il y a une heure, un char a tiré et a tué quatre personnes mais les ambulances n’ont pas pu accéder. Nous faisons des tentatives pour amener ce qu’il faut, mais c’est très dangereux. Les chars et les hélicoptères tirent sur tout ce qui bouge. Les soldats occupent trois écoles et donc plus de trois mille enfants ne peuvent avoir cours depuis une semaine. Quarante maisons ont été détruites uniquement pour ouvrir la route aux tanks, les gens n’ont même pas eu le droit d’emmener quoi que ce soit avec eux. Dans d’autres zones ils ont détruit vingt maisons. »

« Les gens se sentent seuls et se demandent pourquoi cela arrive, pourquoi leurs enfants se font tuer. Ils sont très en colère. Mais dans le camp, malgré l’encerclement, la solidarité s’organise. On partage tout, l’eau, le lait, les médicaments, la nourriture. Y compris les abris pour dormir. »

Propos recueillis par P. B.




Article paru dans l'édition du 8 octobre 2004.


siryne
12 octobre 2004 22:20
palestinienne devant le juif...
Auteur: lala_zyna (IP enregistrée)
Date: le 12 octobre 2004 à 09h53


qu'est ce ki t'arrive Babanou, t'as la tronceneuse qui te démange (en référence à une pub d'un grand soda couleur jaune, mais qui ce dit orange)

ce n'est pas une solution!
----------------------------

et c'est quoi la solution stp?
:o
12 octobre 2004 22:26
pourquoi on en parle pas partout dans les medias?

je vous rappele que le massacre contunue et ce qui me rend malade c'est nos soit disant humanistes de ce forum qui ne disent rien devant une telle béstialité et qui se pressent a leurs claviers dés qu'il s'agit de taper sur le musulman.

je suis tres en colère.
:o
b
14 octobre 2004 08:36
yo amir ,

salam

je suis très en colmère aussi!!!
s
14 octobre 2004 16:07

Chronique d'une torture





Par Bolek.


Ce témoignage effarant de Mohammed Fawzi Sa'dy Rajabi, 15 ans, citoyen d'Hébron, a été délivré sous serment auprès du "Defence for Children International" Palestine Section. Cette organisation non gouvernementale, indépendante, travaille depuis 1992 à assurer la protection des droits des enfants Palestiniens. Il atteste de la violence dont l'armée israélienne fait preuve à l'encontre des civils palestiniens de tout âge.

"Hebron, région de Kissara. " Le mercredi 11 juillet 2001, à 14 heures, je quittais la maison pour aller au champ de mon père qui est situé près de la colonie de Kiryat Arba'. Pendant que je cueillais les pêches, une jeep militaire m'arrêta. Un homme portant des vêtements civils et portant un pistolet sortit de la jeep. Il pointa son pistolet sur ma tête et m'ordonna de marcher devant lui vers la jeep. Il me demanda de lever les mains et de les mettres sur un mur. Il commença à me fouiller. Il me frappa au cou avec ses mains. Il commença à me donner des coups de pied, hurlant et me disant des choses comme " tu es un fils de pute " .

Après quelques minutes, un groupe de soldats arriva. C'était le police des frontières. Trois d'entre eux me jettèrent à terre et me frappèrent avec leurs fusils. Ils me frappèrent à l'abdomen et aux mains. Puis, l'un des soldats me demanda de me lever, ce que je fis. A ce moment, ma mère et mon frère arrivèrent. Ils ont commencé à parler aux soldats, et à ce moment, un des soldats me mit dans la jeep. Quatre des soldats allèrent avec moi dans la jeep. La jeep commença à démarrer et les soldats se mirent à me frapper sur la tête avec leurs mains et leurs pieds. L'un des soldats me frappa à plusieurs reprises avec son poing et c'était très douloureux. En chemin, les coups alternaient avec les menaces de mort, et ils m'injuriaient disant : " tu es le fils d'une pute, tu es un enfant illégitime ".

Après cinq minutes, la jeep atteignit Ja'abara, une base militaire pour la police et les soldats. Ils me sortirent de la jeep, m'obligèrent à mettre les mains derrière la tête et de m'asseoir sous un toit métallique peu élevé. Ensuite, l'un des soldats me poussa et essaya de m'obliger à mettre les mains derrière le dos. Il me demanda de me lever et de le saluer. Il me demanda de rester dans cette position (le saluant) durant 30 minutes. Après, il me demanda de m'asseoir puis de me lever, vingt fois. Lorsque je lui dis que je me sentais fatigué, il me donna un coup de pied sur le bas de la jambe. Puis il me laissa m'asseoir. Après, je lui demandais s'il pouvait me donner quelque chose à boire. Dix minutes après, il m'emmena aux toilettes et me dit : " tu peux boire de l'évier " Je refusai, car je pensais que l'eau était sale. Ensuite, vers 15h30, l'un des soldats me prit et me mit dans une pièce avec un bureau et des placards. L'enquêteur, un grand chauve, était assis derrière le bureau. Un autre lui remit des papiers. Il me demanda de m'asseoir sur une chaise, ce que je fis. Il commença à me demander : " As-tu lancé des pierres ? As-tu brûlé Kiryat Arba'a avec un autre garçon, n'est-ce pas ? " Il me dit aussi que mon frère 'Alaa avait reconnu ceci. 'Alaa est mon frère âgé de 18 ans.
Grenade en plastique autour du cou

Ensuite, l'enquêteur demanda à un de ses employés de me sortir de la pièce. Je lui dis que je n'avais rien brûlé. Il me demanda de rester dehors, dans un couloir, en tenant mon pied gauche levé et de rester sur mon pied droit dix minutes durant. Ensuite il me prit dehors, dans la cour, où il commença à me battre, sur le visage. Deux autres hommes l'ont aidé à me battre. L'un des soldats a suspendu une grenade en plastique autour de mon cou et a mis quelque chose en métal devant son pistolet, le dirigeant sur ma poitrine. Entretemps, une jeep militaire arriva. Les soldats qui étaient avec moi y sont entrés et les quatre hommes qui étaient dans la jeep en sont sortis et se sont mis à côté de moi. Ils ont commencé à me battre. Ils ont fait un cercle autour de moi, m'ont frappé avec leurs mains en riant, et cela a duré 15 minutes. Puis ils m'ont emmené dans la jeep et m'ont demandé de me mettre sur le sol de la jeep. L'un d'eux m'a frappé avec ses mains. Trente minutes après, ils m'ont sorti de la jeep et m'ont mis dans la cour du centre Al-Majnouna. Ils m'ont mis dans une pièce et après cinq minutes, ils m'ont emmené à un médecin pour me faire examiner. Il m'a traité de manière raisonnable. Mais une autre personne qui se trouvait là, avec des vêtements civils, me donna un coup sur le cou et un autre dans le dos. Ensuite, ils m'ont poussé dans une jeep et m'ont ramené à la base militaire de Ja'abara. Lorsque nous sommes arrivés à Ja'abara, l'un des soldats m'a demandé de lever ma tête vers le ciel et de compter les étoiles. Il faisait nuit. Cinq minutes après il m'a autorisé à baisser ma tête.

Tout à coup, une voiture s'est arrêté devant moi et un colon en est sorti. Il a commencé à me battre et à me donner des coups de pied sur les jambes. Puis l'un des soldats m'a pris et m'a mis dans une pièce où il m'a pris mes affaires. Il a pris ma ceinture, ma montre et les lacets des chaussures. Il m'a bien traité. Puis il m'a mis dans une pièce et j'ai dormi jusqu'au matin. La chambre avait 6 lits. Il y avait deux couvertures et des toilettes. Peu après, Samer et Jadalla Dana sont venus. Ils ont dormi dans la même chambre que moi. Le matin, ils nous ont amené un petit-déjeuner fait de riz, d'haricots et d'?ufs pour nous trois. Nous avons mangé. Le 12 juillet, le jeudi, ils nous ont apporté, à moi et Jadalla, des vêtements. Selon la police, les vêtements venaient de la famille. Une demi-heure plus tard, trois soldats sont venus. Ils nous ont emmené dans une pièce où étaient gardées nos affaires personnelles. Je me souviens qu'avant le petit-déjeuner, ils nous avaient emmené dans une pièce et nous ont demandé de signer un papier avec nos noms écrits dessus. Nous avons apposé nos empreintes digitales. Ils nous ont photographié et nous ont ramené dans la pièce.
Emmenés dans une colonie

Après le petit-déjeuner, ils nous ont attaché avec du plastique, nos mains attachées derrière nos dos. Ils nous ont recouvert les yeux et nous ont mis dans une jeep militaire. Longtemps après, ils m'ont sorti, moi et mes amis, de la jeep et nous ont emmenés à un endroit où il était marqué DCO, que j'ai remarqué lorsqu'ils ont enlevé nos bandes des yeux. Ils nous ont fait asseoir dans une pièce et nous ont bandé de nouveau les yeux. Nous avons passé un long moment à cet endroit. Ensuite, ils nous ont emmenés à un autre endroit et nous ont ramenés à la jeep. Les soldats sont entrés dans la jeep et nous ont conduit pendant 15 minutes. La jeep s'est arrêtée et ils nous ont emmenés dans une colonie. Puis ils nous ont enlevé nos bandeaux des yeux. Peu après, des gens habillés en civils sont venus et nous ont battus avec leurs poings.

Puis ils nous ont enlevé nos liens et nous ont attachés ensemble avec des liens en métal et des menottes. Ils nous ont mis dans un grand camion, et quelques soldats sont montés avec nous. Ils ont fumé et soufflaient la fumée sur nous. La camion a roulé pendant longtemps et puis s'est arrêté. Ils nous ont alors attachés, individuellement, avec des cordes. Ils m'ont pris par la ceinture et m'ont jeté dans une caravane à côté des deux autres garçons. Ils nous ont battus avec leurs crosses de fusils, des cordes électriques et des bâtons sur tout le corps. L'un des hommes poussa très fort son fusil contre mon arrière sans me demander d'ôter mes habits. Il a fait cela plus d'une fois. Il m'a enlevé les bandeaux des yeux et je l'ai vu. Il portait un masque sur le visage. Son masque était effrayant, avec des faux cheveux. Il portait un marteau. Il a continué à me battre toute la nuit, jusqu'au matin. Plusieurs soldats sont venus et ont commencé à nous injurier.

Le vendredi matin, le 13 juillet, ils ne nous ont pas apporté le petit-déjeuner. Ils nous ont forcé à boire un jus dans une boîte dont le goût était salé et épicé. A 9 heures du matin, ils nous ont pris et emmenés dans une voiture de police. Nous avions les mains liés et les yeux bandés. Avant de nous sortir de la pièce, l'eux d'eux me versa de l'eau froide sur la tête e le corps. J'avais très froid. Après avoir fait une longue distance dans la voiture, ils nous ont mis dans une chambre ouverte, et un soldat dit que c'est Beit El. Ils m'ont pris, avec mes amis, dans une chambre. Puis ils nous ont pris nos affaires personnelles. Ils ont enlevé les bandeaux des yeux. J'ai signé un papier. Ils nous ont emmené dans la chambre ouverte, ils nous ont fait asseoir sur des chaises, nous ont donné à manger, du riz et du schnitzel. Nous n'avions pas mangé parce que nous étions très fatigués. Ils nous ont emmenés tous les trois dans une pièce qui a un lit et deux couvertures. Il n'y avait pas de toilette. Les toilettes étaient à l'extérieur de la chambre, et nous avions l'autorisation d'y aller trois fois par jour, le matin, à midi et le soir. Puis nous avions demandé à aller aux toilettes, mais nous étions obligés d'attendre le moment fixé. J'y suis allé trois fois par jour, ce qui n'est pas assez.

La situation a duré ainsi jusqu'à vendredi, le 20 juillet. Ce jour, trente minutes après avoir mangé, la police est venue et m'ont demandé, à moi et à Jadallah, de venir, nous ont emmenés dans une petite cellule d'isolement, qui mesure 1m sur 1m50. Les murs étaient très rugueux. Il n'y avait pas de toilette, mais un lit et trois couvertures, sans oreillers. Il n'y avait pas de fenêtres, juste une petite ouverture dans la porte qui était fermée. Il y avait une lampe, mais qui s'éteignait de l'extérieur. Deux heures après, Ils ont emmené Jadallah et je suis resté seul dans cette pièce. J'ai eu très peur, surtout lorsqu'il n'y avait pas de lumière. Je me rappelle que durant ces jours, ils me réveillaient intentionnellement de mon sommeil pendant la nuit, ils tapaient à la porte et mettaient une musique très forte.

C'était une musique que je ne comprenais pas. J'ai aussi entendu la voix d'une femme qui hurlait et d'autres qui hurlaient de douleur. J'ai été quatre fois devant la cour, mais je ne me souviens pas quand. J'ai été dans une cellule d'isolement deux jours. Le lundi 23 juillet, à 13 heures, un policier est venu. Il m'a dit de me préparer pour aller chez moi. Quelques minutes après, il m'a demandé de m'asseoir. Puis il est venu de nouveau et m'a demandé de me préparer pour retourner chez moi. Il m'a emmené dans la pièce où se trouvaient mes affaires personnelles et me les a remises. J'ai vu que l'avocat Samer Suda Al Sarafi était là. Il m'a dit qu'ils ont payé 7000 NIS pour me sortir. Ils m'ont menotté avec Jadallah, ensemble. Ils m'ont emmené vers une porte et un soldat a maintenu le poinçon des menottes pour nous faire trébucher."

Par Bolek.


siryne
14 octobre 2004 21:35
il ya aussi les deux petites fille que les juifs ont tuées pendant qu'elles etaient en classe.

deux petites filles en l'espace de deux jours.

:o
s
14 octobre 2004 21:46
Amir ,

Si tu vois l'image d'un bebe avec la trace d'une balle en plein milieux du ventre , tu comprendra qu'il y'a pas de mot pour qualifier ces criminels sionistes ,

siryne
h
14 octobre 2004 21:57
ah oui syrine, et c'est plus repandu qu'on ne le crois....il y a de ces choses qui se passent là-bas, à rendre fou de rage une personne calme....

l'année dernière, j'etais à londres à hyde park, un parc gigantesque et ou les gens viennent souvent pour manifester.....ils ontmis des ecrans geants et condamnaient sharon et montraient des images horribles

je vous decris: ils montraient un soldat israelien qui avait une matraque et qui tapait sur le bras d'un homme allongé, il tapait tapait jusqu'à ce qu'l lui enlève son bras!!!!! je vous assure que c'est vrai....une scene horrible qui etait montrée en boucle........les anglais sont vachement investi dans ces causes humanistes, je croisais des vieilles femmes de 80 ans avec des pancartes palestine free ( palestine libre), des pancartes avec sharon en hitler......des choses qui m'ont fait chaud au coeur car je ne croyais pas ça possible en europe....il faut dire que par rapport à la france les anglais sont vraiment plus humanistes dans les gestes, les français le sont dans l'ecrit...

14 octobre 2004 22:28
c'est pire de ce qu.ils disent avoir subi de la part des nazis.

comme je l'ai dis;c'est une honte pour l'humanité!!!
:o
h
14 octobre 2004 22:32
ah oui...les nazis, c'est des majorettes à côté...les nazis, ils etaient sur leur terre......
s
14 octobre 2004 22:38


Israël : le grand mensonge



Par Silvia Cattori

Si je n'avais pas vu, de mes yeux, les horreurs que les soldats israéliens font subir jour après jour aux enfants palestiniens, dans les camps de réfugiés surtout, je ne l'aurais jamais cru. Les Palestiniens ne sont pas traités comme des humains. Ils ne sont pas non plus traités comme des animaux.

Dans aucun pays au monde on ne pourrait maltraiter les animaux de cette façon. L'opinion se soulèverait pour crier au scandale.

Tout. Israël peut tout faire. Ne respecter aucune légalité, violer les droits humains de millions de personnes, massacrer des enfants, sans être jamais sanctionné. La cruauté de ses soldats, dressés à haïr les Arabes, est sans limites.

Les Palestiniens peuvent être volés, dépossédés de leurs terres, humiliés, jetés en prison sans raisons, torturés. Et, parce que les tortionnaires sont de religion juive, parce qu'ils disposent au-dehors de soutiens qui peuvent faire taire ceux qui les dénoncent en agitant le spectre de l'antisémitisme, les hommes politiques ont peur de les sanctionner, les journalistes ont peur de dire la vérité, les témoins directs ont peur de témoigner. Tout cela est insensé.

Quand on découvre la situation d'insécurité et de misère dans lequel l'Etat d'Israël - qui les a d'abord spoliés - a laissé les Palestiniens, on est atterré. Un état dominateur qui s'est imposé par l'arrogance, la terreur, le mensonge.

Au lieu d'accuser les Palestiniens, Israël devrait reconnaître ses responsabilités dans ce colossal gâchis.

Les dommages que les gouvernements successifs ont infligés aux Palestiniens durant plus d'un demi-siècle de dépossessions et d'hostilités - dommages psychiques, physiques, moraux, financiers - demandent reconnaissance, réparation. Or c'est tout le contraire qui se passe.

Combien de temps faudra-t-il encore aux Palestiniens, pour que les Israéliens, en leur majorité, reconnaissent leurs torts ?

Le fait est qu'il y a, en Israël, une absence totale de compassion à l'égard des Palestiniens, considérés comme inférieurs. L'attitude des soldats que l'on croise aux check points en dit long sur le mépris qui les habite vis-à-vis de tous ceux qui ne sont pas juifs.

Mais de tous les abus, le plus insupportable, celui qui fait le plus mal à voir, est la violence que l'Etat d'Israël inflige aux enfants de Palestine.

L'usage de la force, l'usage des armes de guerre, l'usage de la terreur, les tueries gratuites, tous ces actes abominables que les soldats israéliens pratiquent contre des enfants totalement innocents - qui vivent dans des ghettos infâmes et ne possèdent rien sauf la vie - sont les crimes les plus odieux. Crimes qui restent curieusement ignorés.

Les enfants des camps de Rafah, Jenine, Balata, sont constamment la cible de soldats qui leur font une guerre étrange. Guerre qui nous est montrée au-dehors comme une confrontation entre deux forces égales. Tout porte à croire que, lorsque les soldats israéliens maltraitent les Palestiniens, il ne s'agit pas d'un dérapage. Ils ne font qu'exécuter à la lettre les ordres de leurs supérieurs. Tout ce qu'ils font - les destructions, les massacres, les incursions, l'extension des colonies, les routes et les murs de l' apartheid - a été longuement et minutieusement planifié.

L'idée de l'éradication des Palestiniens est profondément ancrée dans l'esprit de ces tortionnaires, que l'Etat d'Israël envoie sévir en Palestine. Certes, il y a parmi eux des hommes plus durs, plus vicieux que d'autres. Quoi qu'il en soit, il y a une logique rationnelle dans toutes les abominations que ces racistes en uniforme gris vert ou bleu font subir aux Palestiniens.

Les incursions, qui infligent une punition collective aux populations des camps de Rafah, Jenine, Naplouse, ne sont pas des actes réactifs. Ils sont l'aboutissement d'un long processus, fait de calculs, mais aussi de désinformation et de haine, qui a ses ramifications partout, chez nous aussi.

C'est pourquoi il est important de dénoncer toutes les complicités qui aboutissent, infine, à ce que les soldats de Tsahal puissent commettre crimes sur crimes contre des innocents, et être innocentés quoi qu'ils fassent.

Ce à quoi j'ai assisté durant ces terribles semaines de décembre à Balata illustre, s'il en était encore besoin, à quel point Israël ment, à quel point Israël trompe la confiance du monde.

Israël cherche à nous faire croire que les Palestiniens - qui n'aspirent qu'à vivre honnêtement et simplement sur leurs terres (les rares terres qu'Israël leur a laissées) - sont responsables de tous les blocages et de toutes les violences.

Les dirigeants israéliens mentent. Leurs portes paroles, au-dehors, mentent.

La violence et l'insécurité, c'est l'armée de Etat hébreu qui envahit les villes et les villages de Palestine, ce sont les colons juifs armés qui s'installent sur les terres palestiniennes, qui en sont les machiavéliques instigateurs.

L'Etat d'Israël envoie journellement des milliers de soldats, dans le but caché de faire monter la tension et d'attiser les feux. Pour, ensuite, attribuer la violence aux Palestiniens. C'est cela le grand mensonge.

Sources : ISM Suisse



siryne
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