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Des personnes connus dans votre Bled.
ok
26 février 2009 10:45
Bonjour.

Aujourd'hui je voudrai parler des personnalités bien connus chez vous, qui ont eu une grande importance dans l'histoire du pays, mais qui sont méconnus de tous. Savez vous par exemple, qu'un président de la République est originaire d'une petite ville gardoise, qui s'appel Aigues-Vives, de même qu'un sous secrétaire d'Etat (c'est lui qui aurait du être président, mais il est mort avant qu'il est pu) du nom d'Emile Jamais.

Et vous?
N
3 mars 2009 01:07
Connais-tu Abbou El Aydi? (3abbou El 3Aydi)

On le cite toujours dans nos discussions à Taounate, mais persone ne sait rien de sa biographie.

On pense qu'il est un richard de Branès à Taza....c'est tout.

Avez vous une biographie de cette personne?

De plus on cite Sidi Kaddour El Alami, Sidi Bouzekri, Lalla Maymouna, ...qui les connait?.....
ok
3 mars 2009 17:48
Je ne le connais pas. Mais si j'ai ouvert cette discussion c'est pour qu'on en parle.
Raconte moi sa vie en deux mots S.V.P.
C
3 mars 2009 23:32
"Connaissez vous le Cheikh Handhala al-Maghribi?!

Il est en fait très peu connu mais je vais vous raconter son histoire et je vais vous la restituer telle qu'elle m'est parvenue. Que soit avili celui qui y ajoute quoi que ce soit et qu'il en soit de même pour celui qui déformerait ce récit.


Son nom et sa généalogie :


Il est le Cheikh, l'érudit, le docte l'homme de son temps, le généreux, le conseiller avisé, le Cheikh Handhala Ibn 'Abdi Allah al-Mariir al-Maghribi, qu'Allah lui fasse abondance de Miséricorde, l'élève en degrés et fasse de l'évocation de son nom une arête dans la gorge de ses ennemis . Il appartenait à la noble tribu berbère des Banuu Mariir dont les ancêtres avaient repoussé les multiples invasions chrétiennes et s'étaient établis sur les côtes du Rif Oriental, gardant les frontières en sentinelles, repoussant les assauts des infidèles et protégeant le pays de la convoitise des loups et de l'appétit des vautours.

Sa jeunesse et son parcours :


Après avoir étudié pendant près de 7 ans l'arithmétique, la grammaire, la géographie, les sciences religieuses et le maniement de l'épée auprès des érudits de sa tribu, le jeune Handhala s'en alla en quête du savoir. Il parcourut le Rif oriental à la recherche des hommes de savoir et des dévots, écumant villages et vallées recherchant bribes de sciences et traditions, tout en vivant de menu travaux qu'il accomplissait pour le compte de ses maîtres et pour les habitants des villages alentours.

A l'âge de 16 ans, il avait déjà passé la moitié de sa vie à rechercher la science dans les contrées les plus reculées et de l'aveu même de ses maîtres, il avait acquis un vaste savoir dans des domaines divers et variés. Parallèlement et entre deux assises, il se consacrait à ses deux passions, l'équitation et le tir à l'arc, passions pour lesquelles il avait développé une maîtrise proverbiale. Son nom est d'ailleurs toujours cité dans les écoles ou son pratiquées ces disciplines et l'une de ces écoles, construite au treizième siècle dans la ville de Kashgar au Xinjiang chinois, porte toujours son nom.

A l'âge de 19 ans, il s'établit dans un petit village du Rif ou il commença a enseigner, après avoir obtenu une autorisation de son maître. Biensûr, l'admiration qu'il suscitait s'accompagnait d'une certaine méfiance et nombreux furent les envieux qui ourdirent complots et intrigues contre le jeune Handhala. Quelques jeunes parmi ceux qu'Allah avait privé du bienfait d'un coeur sain tentèrent même d'incendier son école mais Dieu voulut que les manigances des injustes se retournèrent contre eux et les coupables furent saisis par les habitants du village et punis d'un juste châtiment public. Et ainsi Allah annihile t-il la ruse des corrupteurs!

Un an plus tard, le jeune Handhala se maria avec la fille du Cheikh du village, Amatu Arrahman bintu 'Abd al Karim Ghadanfar al-Qawakinja. C'était une jeune fille douce et intelligente, dont la peau était d'une blancheur éclatante, avec de grands yeux noirs en forme d'amendes. Handhala fut séduit par sa voix douce et son éloquence lorsqu'il l'entendit pour la première fois, alors que son père l'avait invité à partager un repas une nuit de Ramadan. Il demanda sa main quelques mois plus tard et lui offrit en guise de dot un cimeterre du Yémen incrusté de pierres précieuses dont le manche était en écorce de jujubier sauvage de Zanzibar. D'autres sources rapportent que la mariée reçut aussi une couronne en argent sertie d'améthystes et de cordiérites dites "aux éclairs de sang" à cause de ce qu'elles comportaient d'inclusions d'hématites. Et Dieu est plus Savant!

Le mariage fut célébré le 25 du mois de Muharram 976 H en présence des notables de la région et des dignitaires mais aussi de centaines d'habitants du village et d'autant de badauds venus se délecter de pigeons farcis aux amendes, de pétales de roses confites à la confiture de coings, de soles au safran du Kashmir, le tout arrosé de néctar de goyave au gingembre et au miel des montagnes du Hadramout Yéménite. La cérémonie continua jusque tard dans la nuit et ne fut interrompue que par la voix mélodieuse du Muezzin appelant à la prière du matin.



La suite de cette biographie passionnante, bientôt...



Modifié 14 fois. Dernière modification le 06/03/09 09:56 par Coloquinte.
N
5 mars 2009 01:36
Citation
ok a écrit:
Je ne le connais pas. Mais si j'ai ouvert cette discussion c'est pour qu'on en parle.
Raconte moi sa vie en deux mots S.V.P.

Moi aussi je ne le sais pas. tout ce qu'on sait que Abbou El Aydi est de Branès et il était riche....Il nous faut un Barnoussi pour cet énigme!!!!
ok
5 mars 2009 16:29
Citation
Coloquinte a écrit:
"Connaissez vous le Cheikh Handhala al-Maghribi?!

Il est en fait très peu connu mais je vais vous raconter son histoire et je vais vous la restituer telle qu'elle m'est parvenue. Que soit avili celui qui y ajoute quoi que ce soit et qu'il en soit de même pour celui qui déformerait ce récit.


Son nom et sa généalogie :


Il est le Cheikh, l'érudit, le docte l'homme de son temps, le généreux, la conseiller avisé, le Cheikh Handhala Ibn 'Abdi Allah al-Mariir al-Maghribi, qu'Allah lui fasse abondance de Miséricorde, l'élève en degrés et fasse de l'évocation de son nom une arête dans la gorge de ses ennemis . Il appartenait à la noble tribu berbère des Banuu Mariir dont les ancêtres avaient repoussé les multiples invasions chrétiennes et s'étaient établis sur les côtes du Rif Oriental, gardant les frontières en sentinelles, repoussant les assauts des infidèles et protégeant le pays de la convoitise des loups et de l'appétit des vautours.

Sa jeunesse et son parcours :


Après avoir étudié pendant près de 7 ans l'arithmétique, la grammaire, la géographie, les sciences religieuses et le maniement de l'épée auprès des érudits de sa tribu, le jeune Handhala s'en alla en quête du savoir. Il parcourut le Rif oriental à la recherche des hommes de savoir et des dévots, écumant villages et vallées recherchant bribes de sciences et traditions, tout en vivant de menu travaux qu'il accomplissait pour le compte de ses maîtres et pour les habitants des villages alentours.

A l'âge de 16 ans, il avait déjà passé la moitié de sa vie à rechercher la science dans les contrées les plus reculées et de l'aveu même de ses maîtres, il avait acquis un vaste savoir dans des domaines divers et variés. Parallèlement et entre deux assises, il se consacrait à ses deux passions, l'équitation et le tir à l'arc, passions pour lesquelles il avait développé une maîtrise proverbiale. Son nom est d'ailleurs toujours cité dans les écoles ou son pratiquées ces disciplines et l'une de ces écoles, construite au treizième siècle dans la ville de Kashgar au Xinjiang chinois, porte toujours son nom.

A l'âge de 19 ans, il s'établit dans un petit village du Rif ou il commença a enseigner, après avoir obtenu une autorisation de son maître. Biensûr, l'admiration qu'il suscitait s'accompagnait d'une certaine méfiance et nombreux furent les envieux qui ourdirent complots et intrigues contre le jeune Handhala. Quelques jeunes parmi ceux qu'Allah avait privé du bienfait d'un coeur sain tentèrent même d'incendier son école mais Dieu voulut que les manigances des injustes se retournèrent contre eux et les coupables furent saisis par les habitants du village et punis d'un juste châtiment public. Et ainsi Allah annihile t-il la ruse des corrupteurs!

Un an plus tard, le jeune Handhala se maria avec la fille du Cheikh du village, Amatu Arrahman bintu 'Abd al Karim Ghadanfar al-Qawakinja. C'était une jeune fille douce et intelligente, dont la peau était d'une blancheur éclatante, avec de grands yeux noirs en forme d'amendes. Handhala fut séduit par sa voix douce et son éloquence lorsqu'il l'entendit pour la première fois, alors que son père l'avait invité à partager un repas une nuit de Ramadan. Il demanda sa main quelques mois plus tard et lui offrit en guise de dot un cimeterre du Yémen incrusté de pierres précieuses dont le manche était en écorce de jujubier sauvage de Zanzibar. D'autres sources rapportent que la mariée reçut aussi une couronne en argent sertie d'améthystes et de cordiérites dites "aux éclairs de sang" à cause de ce qu'elles comportaient d'inclusions d'hématites. Et Dieu est plus Savant!

Le mariage fut célébré le 25 du mois de Muharram 976 H en présence des notables de la région et des dignitaires mais aussi de centaines d'habitants du village et d'autant de badauds venus se délecter de pigeons farcis aux amendes, de pétales de roses confites à la confiture de coings, de soles au safran du Kashmir, le tout arrosé de néctar de goyave au gingembre et au miel des montagnes du Hadramout Yéménite. La cérémonie continua jusque tard dans la nuit et ne fut interrompue que par la voix mélodieuse du Muezzin appelant à la prière du matin.



La suite de cette biographie passionnante, bientôt...

Merci. Juste une question.

comment il a fait pour obtenir une telle dote alors qu'il avait du mal à enseigner (à 19 ans!)
C
5 mars 2009 23:00
Le cimeterre du Yémen lui a été légué par son défunt père, un commerçant caravanier qui parcourait l'Afrique et l'Orient pour acheter et vendre des étoffes, de la soie, des épices et de l'encens. Selon certaines sources, ce cimeterre aurait été offert au père de Handhala par le Mahârâja de Junâgadh (Nord de l'Inde) pour le remercier de son dévouement et en récompense de ses efforts. Le Mahârâja était en effet amateur d'une varité d'encens très rare que l'on ne trouvait que dans la région de Salalah, dans le sud du Sultana d'Oman. Le père de Handhala était le seul commerçant qui pouvait livrer à Junâgadh la précieuse résine.


Concernant la couronne en argent, Handhala l'avait obtenue de la part d'un de ses Cheikh, qui la lui remit avant de mourrir, en récompense de services rendus. Le Cheikh était en effet très vieux et n'avait jamais pu avoir d'enfants malgré le fait qu'il ait été marié 3 fois. Handhala s'était mis à son service quelques années, l'aidait dan ses tâches quotidiennes et lui faisait la lecture.



Modifié 2 fois. Dernière modification le 05/03/09 23:04 par Coloquinte.
N
5 mars 2009 23:10
Citation
Coloquinte a écrit:
Le cimeterre du Yémen lui a été légué par son défunt père, un commerçant caravanier qui parcourait l'Afrique et l'Orient pour acheter et vendre des étoffes, de la soie, des épices et de l'encens. Selon certaines sources, ce cimeterre aurait été offert au père de Handhala par le Mahârâja de Junâgadh (Nord de l'Inde) pour le remercier de son dévouement et en récompense de ses efforts. Le Mahârâja était en effet amateur d'une varité d'encens très rare que l'on ne trouvait que dans la région de Salalah, dans le sud du Sultana d'Oman. Le père de Handhala était le seul commerçant qui pouvait livrer à Junâgadh la précieuse résine.


Concernant la couronne en argent, Handhala l'avait obtenue de la part d'un de ses Cheikh, qui la lui remit avant de mourrir, en récompense de services rendus. Le Cheikh était en effet très vieux et n'avait jamais pu avoir d'enfants malgré le fait qu'il ait été marié 3 fois. Handhala s'était mis à son service quelques années, l'aidait dan ses tâches quotidiennes et lui faisait la lecture.

Bonjour,

En disant que Handhala appartenait à la tribu Banuu Mariir, tu veux faire allusion à Banu Matiir de sais ou Banu Marine de Guercif? Ou bien c'est une autre tribu qui n'a rien à voir avec les 2 tribus citées?

La tribu des Banuu Mariir est inconnue pour moi.....
C
6 mars 2009 23:49
Une personnalité forgée par les épreuves :

L'année 978 fut une année éprouvante pour Handhala. A la joie d'apprendre qu'il serait bientôt père d'un garçon succéda l'angoisse. Sa femme tomba en effet gravement malade quelques semaines avant son accouchement. Elle put tout de même mettre au monde son enfant mais celui-ci naquit prématurément. Son état de santé se détériora rapidement et des complications respiratoires laissaient envisager le pire. Après avoir tenté en vain de le soigner auprès des meilleurs guérisseurs de la région, Handhala et son épouse durent se rendre à l'évidence : les chances de survie du nourrisson s'amenuisaient de jour en jour. Le 26 Jumada 978, après la prière du vendredi, une foule immense suivit le cortège de l'enfant enveloppé dans un linceul blanc. "Et Allah est souverain en son commandement, mais la plupart des gens ne savent pas".

Durant plusieurs mois, le soleil semblait s'être obscurcis dans la demeure de Handhala et de son épouse. Nul ne parvenait à le consoler, même pas sa femme qui avait affronté la situation avec courage et avait accepté avec résignation le décret de Dieu.

L'année d'après, fut l'année de la consécration et de la récompense pour Handhala. Il fut en effet autorisé à délivrer le sermon du vendredi au nom de l'Emir de l'époque dans la Mosquée 'Abdullah Ibn al-Mubarak, la principale Mosquée de la ville. Ce fut une immense consolation pour lui et sa joie chassa son chagrin comme le vent chasse les nuages pour laisser percer les rayons du soleil. Le prestigieux minbar de la Mosquée était l'un des plus convoités de tout le Maghreb et les prétendants étaient nombreux.

Mais quelques mois après, Handhala fut une nouvelle fois frappé d'affliction. Le malheur se présenta à sa porte le 16 du mois de Muharram, en 979. Un homme se présenta à son domicile - c'était un vendredi - alors que Handhala préparait son sermon. On lui annonça que son meilleur ami, son ancien camarade de classe, son frère d'armes, le jeune 'Ubayd Allah Ibn Abi Layth était tombé a combat lors d'escarmouches avec une escouade de l'armée Espagnole. Ce jour-là, le sol semblait s'être dérobé sous les pieds du jeune Imam. Il éclata en sanglot et insista auprès du messager pour connaître les circonstances de la mort de son bien aimé.

Lors de son sermon, il ne put s'empêcher de verser quelques larmes à l'évocation du nom de son regretté compagnon et toute l'assistance se mit à pleurer lorsqu'il raconta les circonstances de la mort du jeune 'Ubayd Allah.

Il était à la tête d'un groupe d'une dizaine de combattants lorsqu'ils tombèrent nez à nez avec une brigade d'une cinquantaine de soldats espagnols. S'ensuivirent des affrontements qui durèrent du matin jusqu'en milieu d'après midi sans que les espagnols - pourtant cinq fois plus nombreux - ne parviennent à prendre le dessus sur les jeunes combattants Musulmans qui se battirent comme des lions. Mais malgré leur détermination et les pertes considérables qu'ils affligèrent à l'ennemi, ils ne purent rien contre les espagnols bien plus nombreux et mieux équipés. Ils combattirent jusqu'au dernier souffle et l'Emir 'Ubayd Allah vit ses frères d'armes mourir l'un après l'autre. Il parvint à s'enfuir bien que blessé à la cuisse et chevaucha en direction d'une montagne. Il trouva refuge dans une grotte mais fut rapidement découvert par les espagnols que l'exhortèrent à se rendre. Il refusa de se livrer malgré les promesses faites par les assiégeants de le traiter convenablement et de l'échanger contre des prisonniers espagnols aux mains des Musulmans.

Mais Handhala savait bien que s'il acceptait le marché de l'ennemi, celui-ci prendrait pour habitude de capturer des Musulmans pour en faire une monnaie d'échange. Il prit donc son épée, serra son turban autour de sa tête, but une gorgée d'eau et tel une flèche, fendit sur l'ennemi. Il frappa de son épée devant et derrière lui, à sa gauche et à sa droite, laissant sur son chemin d'innombrables cadavres au milieu des hennissements apeurés des chevaux qui piétinèrent leurs cavaliers. Il parvint à atteindre les lignes arrières des assiégeants, fut blessé par une flèche à l'épaule et par un coup d'épée qui lui sectionna un doigt mais pu quand même, avant de s écrouler, planter son sabre dans la poitrine du chef de l'escouade ennemie, Don Pascuale Perdo de Alonzo, qui s'écroula, terrassé par 'Ubayd Allah.

Les renforts Musulmans arrivèrent et ce qu'il restait de soldats espagnols prit la fuite en direction de la côte. Les cavaliers se lancèrent à leurs trousses et beaucoup furent tués, quelques uns furent capturés. 'Ubayd Allah fut transporté dans une tente pour y être soigné mais.

Le 13 Muharram 979, quelques heures avant l'aube, le jeune Emir 'Ubayd Allah Ibn Abi Layth rendit son dernier souffle. Avant de mourir il demanda à ce que l'on transmette une message à son fidèle compagnon.



Modifié 3 fois. Dernière modification le 07/03/09 00:00 par Coloquinte.
C
16 mars 2009 09:54
Citation
a écrit:
D'autres sources rapportent que la mariée reçut aussi une couronne en argent sertie d'améthystes et de cordiérites dites "aux éclairs de sang" à cause de ce qu'elles comportaient d'inclusions d'hématites. Et Dieu est plus Savant!

[thierry.chauvier.free.fr]

[thierry.chauvier.free.fr]
l
18 mars 2009 20:21
Bonsoir. Je présente une personalité Algérienne de ma région qui a été l'auteur de l'insurection contre les Français au 19 èm siècle. En l'année 1864.Il a soulevé les Flittas grand Arch entre Tiaret et Relizane ainsi que toutes les tribus d'une bonne partie du Tell Algérien.
Injustement méconnu ,il mérite une étude sérieuse de sa vie et de son action.Seul un historien de Relizane en l'occurence Mr Meflah Mohamed à exquisé une ébauche d'étude du sujet.Les universités du pays d'abord puis Arabes et les autres sont invitées a s'y pencher.
Cette personalité s'appele Si Lazreg Belhadj.
 
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