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la peine de mort pour ou contre
s
16 mai 2006 09:33
Officiellement, il n’y a eu que deux exécutions depuis 1981. Pourtant, cette peine est présente en force dans le code pénal. Etes-vous pour ou contre la peine de mort? Que l’on se rassure, la question n’est plus aussi taboue qu’elle ne l’était il y a quelques années.
Même si la dernière loi antiterrorisme(1) renforce la présence de cette peine dans notre législation, le débat gagne de plus en plus le Maroc. Pour preuve, la peine capitale a été l’un des sujets-phares traités par le Conseil des ministres de la Justice des pays arabes, qui a eu lieu en avril dernier à Marrakech. L’intervention d’El Habib Bihi, professeur de droit à l’Université Mohammed V à Rabat, a d’ailleurs suscité beaucoup de réactions parmi les participants à la rencontre. Normal: si l’on exclut Bahreïn, les législations de tous les autres pays arabes prévoient cette peine. La raison invoquée pour expliquer la persistance de cette peine, reste bien entendu la référence à la chariâ. Outre le terrorisme, le code pénal marocain prévoit la peine capitale pour certains crimes de droit commun. Il s’agit par exemple du meurtre avec préméditation, le parricide, l’infanticide ou encore l’homicide accompagné d’actes de barbarie.

Condamnés sans exécution: Le calvaire du couloir de la mort. «pire que la peine elle-même»
La «grande» présence de la peine de mort dans le code pénal peut faire peur, «mais heureusement qu’elle n’est pas souvent prononcée», tempère Bouzoubâa. Le ministre de la Jusitce estime qu’il existe trois courants. Le premier est constitué des partisans du maintien de cette peine, le deuxième militant énergiquement pour sa suppression. «Entre les deux, il y a ceux qui revendiquent un maintien de la peine capitale, tout en la réduisant à un minimum d’infractions», souligne-t-il (voir aussi encadré). Actuellement, un peu moins d’une centaine de détenus (ceux de la Salafia Jihadia inclus) sont condamnés à mort et attendent, dans le couloir de la mort, le jour de l’exécution. Une attente qualifiée de «pire que la peine elle-même» par les praticiens de droit. Bouzoubâa souligne également «l’inhumanité d’une condamnation à la peine capitale sans exécution». Officiellement, il n’y a eu que deux exécutions pendant les 25 dernières années. La première concerne les individus impliqués dans les émeutes de juin 1981. Plus médiatisée, la seconde exécution concernait le tristement célèbre commissaire Tabit en 1993.
Deux exécutions en 20 ans. Pourquoi continuer à condamner à mort si l’on n’exécute pas? La question ne cesse d’alimenter les débats. Et aucune partie n’arrive à l’emporter sur l’autre. Il faut dire que les partisans comme les détracteurs disposent d’arguments de taille.
Les premiers avancent que les grands criminels ne craignent en dernier recours que la peine capitale. «Si elle est abolie, comment ferait-on pour punir les récidivistes en prison?» En clair, comment punir un condamné à perpétuité qui tue une seconde, voire une troisième fois en prison? «La prison, il y est déjà!» rétorque ironiquement un fervent défenseur de cette peine.
Les détracteurs préfèrent, quant à eux, s’attacher aux valeurs universelles des droits de l’homme pour pointer du doigt «le barbarisme d’une justice de vendetta». Ces abolitionnistes estiment que cette peine ne répare pas le préjudice et se contente de «venger» la victime, ce qui réduit dangereusement le rôle de la justice.
Me Rachid Diouri, avocat au barreau de Casablanca, estime que la peine capitale devrait être «réservée pour les crimes particulièrement odieux et surtout inexplicables tels que les actes de terrorisme, les crimes sur les enfants et les crimes à connotation religieuse». Et d’ajouter: «la peine de mort est présentée comme une sanction acceptée par toutes les religions en application de la loi du talion. La décision de l’abolir ou pas reste avant tout politique».
Elle l’est d’autant plus que l’abolition de la peine de mort «libérerait définitivement notre droit positif du système punitif musulman», explique pour sa part le professeur Bihi. Selon lui, le droit positif et surtout le code pénal s’est beaucoup affranchi de la chariâ. Pour illustrer ses propos, Bihi cite des exemples de peines disparues de la législation actuelle telle que la lapidation pour adultère, la flagellation pour absorption d’alcool, l’amputation de la main en cas de vol… Des peines qui semblent sortir directement du Moyen-Age...Et la peine de mort alors?

Bouzoubâa pro-abolition
Selon Mohamed Bouzoubâa, ministre de la Justice, «la voie empruntée par le Maroc, qui consiste à garder la peine de mort dans la législation pénale sans procéder à l’exécution, ne constitue pas la meilleure solution».
Pour lui, la non-exécution du condamné à mort «le met dans une situation qui révèle un certain sadisme étranger à la Justice».
Lors de la conférence de Meknès tenue en décembre 2005, rappelle-t-il, «nous avons décidé que cette peine serait limitée à quelques infractions. De plus, elle ne sera prononcée qu’à l’unanimité du collège judiciaire qui traite le dossier. Tout est donc mis en œuvre pour en limiter l’usage, en attendant son abolition».

Exécution: Mode d’emploi
Régie par le Dahir du 2 juin 1959 relatif à l’exécution des condamnations à la peine de mort, l’exécution s’effectue par fusillade sur ordre du ministre de la Justice à la diligence du chef du parquet général. Toute condamnation définitive à cette peine ne peut être mise à exécution que lorsque le recours en grâce, qui est de droit, a été rejeté.
Selon l’article 3 dudit Dahir, il est procédé à l’exécution par l’autorité militaire requise à cet effet par le procureur du Roi, en présence entre autres du président de la juridiction qui a prononcé la condamnation, du juge d’instruction et du greffier du tribunal du lieu d’exécution, les défenseurs du condamné et le médecin de la prison.
L’exécution a lieu à l’intérieur de l’établissement pénitentiaire où le condamné est détenu ou dans tout autre lieu désigné par le ministre de la Justice. Elle n’est pas publique, à moins que le ministre de la Justice n’en décide autrement.
Après exécution, le corps du condamné est remis à sa famille, si elle le réclame, à charge pour elle de le faire inhumer sans publicité.

Naoufal Belghazi
Source : L'Economiste

(1)Les premiers condamnés à mort selon cette loi sont les 10 salafistes appartenant au groupe dit «de Youssef Fikri».
l
16 mai 2006 10:13
pour si quelqu'un tue sciement il faut le condamner à mort
d
16 mai 2006 13:33
Contre sans hésitation
v
16 mai 2006 15:59
pour sans hesitation.
il faut bien rendre justice aux victimes .
k
16 mai 2006 16:30
Salam,

Je suis contre la peine de mort sauf pour les pedophile qui tuent des enfants.

Pour ce gens la, c'est pas la mort rapide qui leur faut mais une mort tres tres tres lentes dans une place public et transmis en directs à la tèle pour montrer l'exemple aux autres pedophiles

kamal defendeur de droit de l'enfant
V
16 mai 2006 16:50
je suis pour que la peine de mort soit prononcée , mais je préfére qu'elle soit commuée en peine à pérpétuité , histoire laisser le temps à la personne de regretter son acte avant meme de rejoindre son créateur.

quand je dis pérpétuité , je veux parler d'une cellule 2m*2m + un bout de pain et une bouteille d'eau par jour et 5 minutes de soleil par semaine ; jusqu'à la fin sa vie.
a
16 mai 2006 17:01
faut pas rêver un système judiciaire n'est jamais parfait, il est toujours corruptible à fortiori dans les dictatures (comme les pays arabo-musulmans), donc pour toutes ces raisons je suis contre la peine de mort. J'ai lu la dernière fois qu'un fils de ministre marocain avait percuté au volant de sa voiture , en état d'ébriété et sans permis, un petit taxi tuant le chauffeur et le passager, les flics l'ont laissé partir. Après on se rend compte que le jeune est récidiviste et qu'il a perdu son permis pour les mêmes faits un an plutôt.
N
16 mai 2006 18:20
Citation
saout a écrit:
Officiellement, il n’y a eu que deux exécutions depuis 1981. Pourtant, cette peine est présente en force dans le code pénal. Etes-vous pour ou contre la peine de mort? Que l’on se rassure, la question n’est plus aussi taboue qu’elle ne l’était il y a quelques années.
Même si la dernière loi antiterrorisme(1) renforce la présence de cette peine dans notre législation, le débat gagne de plus en plus le Maroc. Pour preuve, la peine capitale a été l’un des sujets-phares traités par le Conseil des ministres de la Justice des pays arabes, qui a eu lieu en avril dernier à Marrakech. L’intervention d’El Habib Bihi, professeur de droit à l’Université Mohammed V à Rabat, a d’ailleurs suscité beaucoup de réactions parmi les participants à la rencontre. Normal: si l’on exclut Bahreïn, les législations de tous les autres pays arabes prévoient cette peine. La raison invoquée pour expliquer la persistance de cette peine, reste bien entendu la référence à la chariâ. Outre le terrorisme, le code pénal marocain prévoit la peine capitale pour certains crimes de droit commun. Il s’agit par exemple du meurtre avec préméditation, le parricide, l’infanticide ou encore l’homicide accompagné d’actes de barbarie.

Condamnés sans exécution: Le calvaire du couloir de la mort. «pire que la peine elle-même»
La «grande» présence de la peine de mort dans le code pénal peut faire peur, «mais heureusement qu’elle n’est pas souvent prononcée», tempère Bouzoubâa. Le ministre de la Jusitce estime qu’il existe trois courants. Le premier est constitué des partisans du maintien de cette peine, le deuxième militant énergiquement pour sa suppression. «Entre les deux, il y a ceux qui revendiquent un maintien de la peine capitale, tout en la réduisant à un minimum d’infractions», souligne-t-il (voir aussi encadré). Actuellement, un peu moins d’une centaine de détenus (ceux de la Salafia Jihadia inclus) sont condamnés à mort et attendent, dans le couloir de la mort, le jour de l’exécution. Une attente qualifiée de «pire que la peine elle-même» par les praticiens de droit. Bouzoubâa souligne également «l’inhumanité d’une condamnation à la peine capitale sans exécution». Officiellement, il n’y a eu que deux exécutions pendant les 25 dernières années. La première concerne les individus impliqués dans les émeutes de juin 1981. Plus médiatisée, la seconde exécution concernait le tristement célèbre commissaire Tabit en 1993.
Deux exécutions en 20 ans. Pourquoi continuer à condamner à mort si l’on n’exécute pas? La question ne cesse d’alimenter les débats. Et aucune partie n’arrive à l’emporter sur l’autre. Il faut dire que les partisans comme les détracteurs disposent d’arguments de taille.
Les premiers avancent que les grands criminels ne craignent en dernier recours que la peine capitale. «Si elle est abolie, comment ferait-on pour punir les récidivistes en prison?» En clair, comment punir un condamné à perpétuité qui tue une seconde, voire une troisième fois en prison? «La prison, il y est déjà!» rétorque ironiquement un fervent défenseur de cette peine.
Les détracteurs préfèrent, quant à eux, s’attacher aux valeurs universelles des droits de l’homme pour pointer du doigt «le barbarisme d’une justice de vendetta». Ces abolitionnistes estiment que cette peine ne répare pas le préjudice et se contente de «venger» la victime, ce qui réduit dangereusement le rôle de la justice.
Me Rachid Diouri, avocat au barreau de Casablanca, estime que la peine capitale devrait être «réservée pour les crimes particulièrement odieux et surtout inexplicables tels que les actes de terrorisme, les crimes sur les enfants et les crimes à connotation religieuse». Et d’ajouter: «la peine de mort est présentée comme une sanction acceptée par toutes les religions en application de la loi du talion. La décision de l’abolir ou pas reste avant tout politique».
Elle l’est d’autant plus que l’abolition de la peine de mort «libérerait définitivement notre droit positif du système punitif musulman», explique pour sa part le professeur Bihi. Selon lui, le droit positif et surtout le code pénal s’est beaucoup affranchi de la chariâ. Pour illustrer ses propos, Bihi cite des exemples de peines disparues de la législation actuelle telle que la lapidation pour adultère, la flagellation pour absorption d’alcool, l’amputation de la main en cas de vol… Des peines qui semblent sortir directement du Moyen-Age...Et la peine de mort alors?

Bouzoubâa pro-abolition
Selon Mohamed Bouzoubâa, ministre de la Justice, «la voie empruntée par le Maroc, qui consiste à garder la peine de mort dans la législation pénale sans procéder à l’exécution, ne constitue pas la meilleure solution».
Pour lui, la non-exécution du condamné à mort «le met dans une situation qui révèle un certain sadisme étranger à la Justice».
Lors de la conférence de Meknès tenue en décembre 2005, rappelle-t-il, «nous avons décidé que cette peine serait limitée à quelques infractions. De plus, elle ne sera prononcée qu’à l’unanimité du collège judiciaire qui traite le dossier. Tout est donc mis en œuvre pour en limiter l’usage, en attendant son abolition».

Exécution: Mode d’emploi
Régie par le Dahir du 2 juin 1959 relatif à l’exécution des condamnations à la peine de mort, l’exécution s’effectue par fusillade sur ordre du ministre de la Justice à la diligence du chef du parquet général. Toute condamnation définitive à cette peine ne peut être mise à exécution que lorsque le recours en grâce, qui est de droit, a été rejeté.
Selon l’article 3 dudit Dahir, il est procédé à l’exécution par l’autorité militaire requise à cet effet par le procureur du Roi, en présence entre autres du président de la juridiction qui a prononcé la condamnation, du juge d’instruction et du greffier du tribunal du lieu d’exécution, les défenseurs du condamné et le médecin de la prison.
L’exécution a lieu à l’intérieur de l’établissement pénitentiaire où le condamné est détenu ou dans tout autre lieu désigné par le ministre de la Justice. Elle n’est pas publique, à moins que le ministre de la Justice n’en décide autrement.
Après exécution, le corps du condamné est remis à sa famille, si elle le réclame, à charge pour elle de le faire inhumer sans publicité.

Naoufal Belghazi
Source : L'Economiste

(1)Les premiers condamnés à mort selon cette loi sont les 10 salafistes appartenant au groupe dit «de Youssef Fikri».
Pour bien punir une personne qui a tué une autre sans ou avec une raison, j'aimerai bien qu'elle finisse toute sa vie dans la prison
D
16 mai 2006 19:13
Salam,


Pour pouvoir etre pour la peine de mort au Maroc, il faut une justice saine, et ça au Maroc c'est pas encore le cas, donc contre meme si certains criminels le meritent. A la rigueur je dirai pour les grand criminel, faudrait les mettre dans une prison haute securité en plein milieu du desert, avec des heures de travail d'interet general.
[hr] [b][center]Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos[/center][/b][b]Boycottez pour la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! [color=#FF0000]Boycottez!!!!!!!!![/color][color=#FFFFFF]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/color] [color=#009900]Boycottez pour les enfants de Gaza!!!!!![/color][/b]
t
17 mai 2006 16:00
ilö faut abolir la peine de mort au maroc
v
19 mai 2006 21:50
mais c pas vrai , vous etes presk tous contre la peine de mort! vous oubliez votre réligion ou koi! etre contre la peine de mort c pratikement dire ke la loi de dieu est injuste(car comme vous le savez la réligion ordonne d'executer les tueurs) . si vraiment on appliquait les lois du coran , vous verrez alors comment la criminalité baissera ( bien sur elle ne disparaitra pas mais elle sera largement réduite) .
en plus l'avis des gents qui sont contre la peine de mort change automatiquement quand un des leurs est victime d'un meurtre , bizarrement ils deviennent pour .

ça me dégoute de voir des personnes coupables de meurtre sortir de taule aprés 20-25 ans pour bonne conduite.
a
19 mai 2006 21:53
tu veux faire du Maroc l'afghanistan des Talibans ou la Somalie ?
t
19 mai 2006 22:31
Citation
andi espoir a écrit:
tu veux faire du Maroc l'afghanistan des Talibans ou la Somalie ?

l'islam est universel.
qui tue, doit être tué. quand on parle des droits de l'homme, il ne s'agit pas uniquement des droits des tueurs et assassins, mais aussi des droits des victimes et de leurs familles.
l
19 mai 2006 22:37
Citation
andi espoir a écrit:
tu veux faire du Maroc l'afghanistan des Talibans ou la Somalie ?

tu vois bien qu'il existe, ce courant obscurantiste et autoritaire.
a
19 mai 2006 22:38
et crois-tu que toutes ces victimes et leurs familles souhaitent se venger de la sorte ?
t
20 mai 2006 15:09
quand le coran dit que le blanc , c blanc, je ne cherche pas à savoir pourquoi c pas jaune.quant il y a des sourates qui sont claires comme par exemple celles se rapportant à la condamnation à mort des tueurs ou au partage de la succession des personnes décédèes (al irth)(la femme à la moitié de la part d'un homme), je n'essaye pas de dire qu'on doit changer ça parce que c pas humain ou que ce n'est pas juste ou je ne sais quoi.
la parole de Dieu SWT prime avant toute chose.
v
20 mai 2006 17:22
bien dit temsamane .
l
22 mai 2006 12:43
A mon humble avis, la pire des peines est "l'oisiveté et le chômage..."



Modifié 1 fois. Dernière modification le 22/05/06 12:44 par le citoyen.
z
22 mai 2006 13:14
Citation
vesale a écrit:
mais c pas vrai , vous etes presk tous contre la peine de mort! vous oubliez votre réligion ou koi! etre contre la peine de mort c pratikement dire ke la loi de dieu est injuste(car comme vous le savez la réligion ordonne d'executer les tueurs) . si vraiment on appliquait les lois du coran , vous verrez alors comment la criminalité baissera ( bien sur elle ne disparaitra pas mais elle sera largement réduite) .
en plus l'avis des gents qui sont contre la peine de mort change automatiquement quand un des leurs est victime d'un meurtre , bizarrement ils deviennent pour .

ça me dégoute de voir des personnes coupables de meurtre sortir de taule aprés 20-25 ans pour bonne conduite.


Salam alaïcoum,

Je vais me répeter...mais c'est pas grave.

5.32. C'est pourquoi Nous avons prescrit pour les Enfants d'Israël que quiconque tuerait une personne non coupable d'un meurtre ou d'une corruption sur la terre, c'est comme s'il avait tué tous les hommes. Et quiconque lui fait don de la vie, c'est comme s'il faisait don de la vie à tous les hommes. En effet Nos messagers sont venus à eux avec les preuves. Et puis voilà, qu'en dépit de cela, beaucoup d'entre eux se mettent à commettre des excès sur la terre .




Tu connais un système à l'heure actuelle qui n'a pas tué d'innocents?

La peine de mort tue des innocents à la pelle et le système politico-judiciaire de ce monde est plus que corrompu.
En tant que muslim est ce que tu te préoccupes de connaître les conditions de jugements des gens qui attendent dans le coulir de a mort? Est ce que tu te préoccupes de savoir pourquoi ils en sont arrivés là?

Avant d'être pour ou contre, ton devoir c'est de t'assurer du comment...

Perso je dis non à un système qui peut tuer UN innocent.
z
22 mai 2006 13:16
Salam alaïcoum,

Et Allah SWT Préfère la miséricorde, c'est aussi dans les versets alors je suis ce que Préfère Allah SWT.
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