Médecins généralistes : • ABBOU CHARIF Av. Med Zerktouni tel : 91 38 98 • AGOUMI KHALIL Rue Kaïd Ahmed Riffi tel : 91 35 35 • ALI FDAL A. Hôpital Provincial tel : 91 36 23 • AMEZIANE L. Av. Omar Ibn Khattab tel : 91 52 21 • BADRI A. Av. Omar ibn Abdelaziz tel : 91 53 20 • BANNATI A. Hôpital Provincial tel : 91 32 00 • BEN ABDEJLIL R. Av hassan Il tel : 91 27 55 • BEN AICHOUCH R. Av Okba ibn Nafie tel : 91 15 55 • BEN MOUSSA L. Rue Mouatamid ibn Abbad tel : 50 04 40 • BEROUAL A. Av. Omar ibn Abdelaziz tel : 91 45 45 • BEYAD Z. Centre diagnostic tel : 91 32 00 • BOUGHATAYA A. Hôpital Provincial tel : 91 32 00 • CHEKABA A. Hôpital Provincial tel : 91 32 00 • EL HARRAK H. 20 Place des Martyrs tel : 91 53 22 • EL KHADDAR F. Hôpital Provincial tel : 9132 00 • EL MANOUARI M. 24 Rue Caïd Ahmed Riffi tel : 91 06 00 • HACHHOUCH H. Rue Oued Makhazine tel : 9133 13 • HAMDI T. 15 Av. Ifriquia tel : 91 11 63 • KASRI K. Ksrt.Laouamra tel : 90 08 10 • LACHKAR A. Hôpital Provincial tel : 91 32 00 • tel : LOUTFI A. Province Medicale tel : 91 40 27 • MEKOUAR S. Ksrt. Rissana tel : 90 05 04 • MEZZOUR D. Av. Hassan Il tel : 91 22 00 • OUBRIK H. Le SIAPP tel : 91 40 29 • RAIHANI H. Rue Mouatamid ibn Abbad tel : 91 06 34 • SAFIR A. Hôpital Provincial tel : 91 32 00 • SAMADI S. 22 Av. Omar ibn Abdelaziz tel : 91 05 60 • SEBBARI HASSANI A. Centre diagnostic tel : 91 32 00 • SINANE NOUREDDIN Place Indépendance tel : 91 10 11 • SOUHAIL M. Hôpital Provincial tel : 91 32 00 • SOUAIL M. 111 Lot. Khadra tel : 91 08 57 • TAHRI M 11 Rue Mly. Driss tel : 91 30 71 • WIZMAN J. Rue M'sallah 91 26 44
Larache au temps des Espagnols : les noms de rue et leur signification historique.
Le général Miguel Primo de Rivera, dont le nom fut donné à l’une des rues de Larache au temps des Espagnols, naquit en 1870, à Jerez de la Frontera en Andalousie, et s’éteignit à Paris en 1930. En 1923, il pris le pouvoir en Espagne par un coup d’Etat et instaura la dictature qui dura sept ans.
Le château de la Cignogne est une forteresse, appelée également "al Fath" édifiée au XVIe siècle, non pas par les Espagnols comme le prétendait certains à tord, mais par les prisonniers portugais de la bataille des Trois Rois, sur orde de Moulay Ahmad al Mansour Ed Dahabi. On peut y aller en prenant la rue Moulay el Mehdi qui commence, dans la vielle ville, à Bab el Kasba, et débouche sur une place qui offre une vue panoramique sur la vallée du Loukkos.
Larache, ses natifs Luis Martín Santos (1924-1964) : essayiste et homme de lettres espagnol. Il naquit à Larache et morut à l’âge de quarante ans dans un accident de voiture. Son œuvre compte un roman, Tiempo de silencio, qui fut fort apprécié par la critique et le public, et des essais, tels : Dilthey, Jaspers y la comprensión del enfermo mental, Transferencia en el psicoanálisis existencial (le transfert dans la psychanalyse existentielle).
Larache, ses rues Avenida de las Palmeras, del Generalísimo ou de Mohamed V, tels sont les différents noms de la grand-rue par laquelle on entre dans la ville de Larache.
Larache, place de la Libération On raconte que c’est un certain Larucea qui aurait été à l’origine de la belle place de la libération à Larache. Il l’aurait aménagée à la fin des années vingt. Pour la réalisation de cette œuvre, une ancienne muraille aurait été démolie ; une porte, préservée : celle qui donne accès à la médina. A l’endroit de ce qui aurait été détruit, on aurait élevé un édifice avec des terrasses et des arcades. A props de ces derniers, c’est, dit-on, un natif de Larache, Yacov Bendayan, qui les « a fabriqués » grâce à l’argent qu’il a gagné à la loterie (Voir Dafina.net).
Larache, le christianisme,les Franciscains Des religieux de l’ordre de Saint François d’Assise se rendirent à Larache dès 1768. Ils y fondirent un hospice en 1795. Ils y établirent définitivement la mission catholique espagnole en 1888 et y construisirent en 1901 l’église de San Jose dans le quartier juif.
Mademoiselle Honeyda, Je ne pense pas qu’il ait existé un hôpital psychiatrique à Larache sous le protectorat espagnol. Il me semble que vous faites allusion à l’ancienne forteresse appelée Kebibat (« les petites coupoles »), dont les locaux furent affectés au temps des Espagnols à l’hôpital civil. Après le déménagement de celui-ci, les Petites coupoles, abandonnées, s’en vont en ruine. Elles sont peut-être hantées ! Avec mes salutations, Sophos
Si vous croyez fermement que le lieu dont vous parlez est hanté parce que seuls "des fous" y ont élu domicile, il me sera difficile de vous persuder du contraire. Je peux en revanche vous conseiller d'éviter de le visiter si vous allez à Larache en vacances et d'attendre sa restauration par les autorités locales. Car ce beau monument historique est actuellement en piteux état et risque à tout moment de s’effondrer complétement (même sur les esprits et les fantômes qui sont censés le fréquenter !)
Bien sûr, ce conseil n’est à suivre que si nous palions du même édifice. Or on vous a dit qu’il s’agit d’un hôpital psychiatrique. Ce qui me surprend, je vous l’avoue. Car, à ma connaissance, au temps du protectorat espagnol, d’hôpitaux, il n’y en a eu que trois à Larache : un hôpital militaire, un hôpital civil et un hôpital de convalescence. Les personnes atteintes de démence, on les envoyait à l’hôpital psychitrique de Tétouan.
Larache aurait-elle possédé un établissement public destiné au traitement des désordres mentaux ? Qu’on m’éclaire sur point !
honnetement je pense que je ne suis pas plus renseigner que toi, tu as surment raison mais une chose est sure je ne l'approcherai jamais, il me fait peur de loin !!!!!!!!
une nuit je passai a coter meme tres a coter et franchement j'ai passer la nuit a cauchemarder, j'ai rever qu'on m'enterrait ! ALLAH Y HFED !!! toute la nuit je voyais des truc bizar g meme vu ma cousine avec le visage blanc et g hurler "aaaaaaahhhhhhhh qu'est ce qu'il tariv pourkoi t blanche?" elle a rien compris, elle a alumer la lumiere et ma dis "Sa va naina ?" g pleurer et je me suis rendormis enfin non, g pa dormis je recitais le corant toute la nuit parce que je me disait ayer je vis mes dernier instant.
C UN TRUC DE PSYKOPATE CE QUI METAIT ARIVER CETE NUIT
Dieu soit loué ! Vous êtes sortie saine et sauve de votre cauchemar. C’est dommage que vous n’ayez pas cherché à en comprendre le sens ! Vous auriez sans doute découvert que votre rêve pénible n’a rien à voir avec l’édifice en ruine. Celui-ci a seulement servi de prétexte pour votre inconscient qui vous a fait vivre l’état psychique angoissant et bien singulier que vous m’aviez décrit. Il n’est pas à l’origine de votre expérience onirique, dont la raison d’être est à déceler, non dans son contenu manifeste, mais dans votre vie intime. Car le langage imagé des rêves a toujours un sens profond. Voulez-vous un exemple ? Voici celui d’une jeune femme, dont le mari pauvre est gravement malade. Elle rêve qu’elle achète un chapeau noir, très élégant et très cher. Le psychanalyste en s’entretenant avec elle, apprend, d’une part, que, son mari manquant d’argent, elle a renoncé à acheter un chapeau qu’elle a désiré, et, d’autre part, qu’avant son mariage elle fut très amoureuse d’un homme très riche. Il comprit que, grâce à son rêve, la jeune femme a réalisé trois désirs refoulés : 1) la mort de son mari (chapeau de deuil), 2) son remariage avec l’homme aimé et 3) son enrichissement pécuniaire (prix élevé du chapeau).
Avant la construction du marché couvert de Larache, au-dehors des murailles qui entouraient la vielle ville, en face de l’actuel Bab el Khémis (porte donnant accès au Petit Souk), à l’endroit où serait aménagée bien des années plus tard la Place d’Espagne (actuellement Place de la Libération), se tenait le Zoco de Fuera tous les dimanche, les mercredi et les vendredi. Des paysans venaient des villages avoisinants vendre leurs produis agricols. Le développement de ce marché a donné naissance à des baraques rudimentaires, qui, bien aient été en mauvais état, permettaient aux marchands de ravitailler une population européenne devenu nombreuse à Larache.
Larache : une vielle photo de la rue du Generalísimo Franco (au premier plan (la rue s’appelle actuellement Mohamed V) débouchant sur la Plaza España (actuellement Place de la Libération): [mx.msnusers.com]
Place d’Espagne. Derrière le rond-point, se déroule la rue Generalísimo Franco. A droite de celle-ci, se détache dans le ciel, au dessus des bâtiments, le petit clocher de l’église Sainte Marie. A gauche, on distingue la tour du Conservatoire de Larache ; elle surplombe les toits de ses alentours. [mx.msnusers.com]
Des photos récentes de Larache (2003) • Place de la Libération Un partie de la place et, à droite, Bab Al-Khamis de couleur rouge. [en.voyagevirtuel.info] [en.voyagevirtuel.info]
Les arcades de la Place d'Espagne (actuellement Place de la Libération) en 1948. Au premier plan, un djébli portant une djellaba à large capuchon, un turban et des babouches; il se dirigeait vers les agences de transports La Valenciana et Escanuela. Source : [www.geocities.com]