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C’est très dur que faire ?
Il disent qu’ils préfère les enfants des autres



Modifié 1 fois. Dernière modification le 10/08/22 17:10 par parallèle.

Salam,

Rien. Ça t'arrive aussi de dire des phrases blessantes.

Laisse couler et sois trèèès cool avec eux.

Salam.

Citation
parallèle a écrit:
C’est très dur que faire ?
Il disent qu’ils préfère les enfants des autres

C est dans un etat de colere que c est sorti ?
Ou bien c est frequent et ils te disent ce genre de phrases a tout moment ?

Dis nous en plus

Dans quel contexte ?

C’est sûr que c’est très dur puisque ça n’a jamais existé des parents qui n’aiment pas leur enfant (bon après tout est devenu possible malheureusement dans ce monde).

C’est ton ressenti mais pourquoi tu en es venu à penser ça ?!

ils t'ont dit quoi exactement, peut être que c'est un mal entendu??

Citation
parallèle a écrit:
C’est très dur que faire ?
Il disent qu’ils préfère les enfants des autres

"Qu'ils préfèrent les enfants des autres"

Citation
zoohraa a écrit:
ils t'ont dit quoi exactement, peut être que c'est un mal entendu??

"Y a des gens qui ont des enfants parce qu'ils n'ont pas les moyens de s'offrir un chien." Coluche

ils ne s'aiment pas, eux même peut être

Citation
Ab Fab a écrit:
"Qu'ils préfèrent les enfants des autres"

ça n’a jamais existé des parents qui n’aiment pas leur enfant

Sur quelle planète tu vis ?

Il faudrait que tu fasses un tour chez les services sociaux spécialistes de la petite enfance, chez les juges pour enfants, dans les services psychiatriques et pédiatriques, les hôpitaux et autres morgues...

avec les horreurs insoutenables qu'on y apprend et voit... De l'enfant battu, à l'enfant abusé, l'enfant brûlé volontairement, l'enfant prostitué, l'enfant humilié, affamé, enfermé parfois durant des années... par ses propres parents ou un parent...

Citation
sampica a écrit:
C’est sûr que c’est très dur puisque ça n’a jamais existé des parents qui n’aiment pas leur enfant (bon après tout est devenu possible malheureusement dans ce monde).

C’est ton ressenti mais pourquoi tu en es venu à penser ça ?!

Un exemple de parents aimants parmi tant d'autres dans l'actualité récente...

Petite martyre de l'A10" : 35 ans après, le parquet demande le renvoi des parents devant les assises

Trente-cinq ans après la découverte du cadavre de "la petite martyre de l'A10", retrouvée le long de l'autoroute à l'été 1987, le parquet de Blois requiert le renvoi des parents de cette enfant devant une cour d'assises.

C’était une petite fille de quatre ans, prénommée Inass. Longtemps, on l’a appelée "la petite martyre de l’A10", son corps, découvert en août 1987, ne pouvant être identifié. Les enquêteurs ont fini par retrouver ses parents, grâce à l’ADN. Le parquet de Blois requiert leur renvoi devant une cour d’assises, a-t-on appris ce vendredi.

Fractures, morsures, brûlures et hématomes

Une quinzaine de morsures avaient été découvertes sur son petit corps "exsangue". Inass, quatre ans, s'était entièrement vidée de son sang. Le médecin légiste, habitué des autopsies, avait été particulièrement frappé par ce petit cadavre de fillette, meurtri jusqu'à l'agonie. Un corps multi-fracturé. Un corps marqué par des brûlures au fer à repasser. Un corps couvert d'hématomes. Un corps mutilé, mordu jusqu'à lui arracher des bouts de peau. Les enquêteurs ont identifié une mâchoire féminine ayant provoqué des cruelles blessures.

La mère d'Inass est la première accusée de meurtre. Meurtre aggravé sur sa fille. "Homicide volontaire aggravé sur mineur de quinze ans", écrit le procureur de la République de Blois, dans un réquisitoire définitif qu'il vient de rendre. Le parquet requiert le renvoi de cette mère devant une cour d'assises. Il considère donc qu'elle a eu la volonté de tuer son enfant, en la torturant de manière répétée. Le père, lui, est poursuivi pour "complicité de meurtre aggravé". Le procureur requiert pour lui le renvoi devant la même cour d'assises, avec la même peine encourue : réclusion criminelle à perpétuité. Au bout de quatre ans d'enquête, le parquet estime que le père d'Inass ne pouvait pas ne pas savoir le calvaire enduré par sa fillette, Inass.

La lente agonie d'une petite fille de 4 ans

Inass était la 3e enfant d'une fratrie de sept. Ses parents, Ahmed et Halima Touloub, habitaient à Puteaux, en région parisienne. Le père travaillait dans une boucherie. La mère, qui avait été institutrice au Maroc, a un peu aidé le mari dans le commerce d'alimentation, puis elle est restée au foyer à s'occuper de ses autres enfants. Inass, elle, était le bébé laissé au Maroc. Le bébé confié à la grand-mère, durant ses premiers mois. C'est vers l'âge de 18 mois, que ses parents l'auraient ramenée en France. Est-elle devenue dès ce moment précis la souffre-douleur de sa mère ? Les enquêteurs n'ont pas réussi à dater le début de la maltraitance. On ne sait donc si elle a duré des années, des mois, ou des semaines, jusqu'à ce 11 août 1987, funeste jour d'été où les parents d'Inass ont abandonné le corps de la fillette au bord de l'autoroute A10. Le petit cadavre meurtri était enroulé dans une couverture. Inass était habillée d'un pyjama et d'une robe de chambre. Elle avait voyagé depuis Puteaux aux côtés de ses frères et sœurs. Peut-être déjà morte, peut-être agonisante. Les enquêteurs ne le savent pas. Les frères et sœurs de la fillette ont enfoui leurs souvenirs. L'aînée avait neuf ans, la cadette six ans, les petits frères avaient 3 ans, 1 an, et le dernier-né avait vu le jour en juillet 1987.

Les deux sœurs aînées se rappellent que le 10 août, leur mère aurait poussé Inass dans l'escalier. Ce soir-là, le père aurait retrouvé la fillette allongée dans le salon en rentrant du travail. C'est alors que les parents ont pris la route, dans la nuit, à bord d'une Citroën BX. En chemin, la voiture s'est arrêtée sur la bande d'arrêt d'urgence. Des témoins ont vu un homme porter quelque chose dans les bras, une femme enjamber la glissière de sécurité. Ils ont déposé le cadavre d'une de leurs enfants sur le bas-côté et ont repris le volant. La voiture a roulé jusqu'au Maroc pour les vacances, et personne n'a jamais rien dit.

[www.radiofrance.fr]

Citation
sampica a écrit:
C’est sûr que c’est très dur puisque ça n’a jamais existé des parents qui n’aiment pas leur enfant (bon après tout est devenu possible malheureusement dans ce monde).

C’est ton ressenti mais pourquoi tu en es venu à penser ça ?!

Tu n’as retenu que la première phrase mais pas la deuxième ou je disais que justement tout était devenu possible aujourd’hui malheureusement..

J’ai eu un trop plein d’optimisme j’avoue

Je ne voulais pas trop assombrir le tableau pour la posteuse (ne connaissant pas son histoire).

Mais là avec tout ce que tu as dit ça va bien lui remonter le moral

Citation
zoohraa a écrit:
ils ne s'aiment pas, eux même peut être

Aah ces histoires elles font peur ? moi je suis très bien traité chez mes parents et ce soir ça va bien avec ma mère jsp plus pk j’ai fait ce sujet.
En fait mes parents ont de trop grosses attentes par rapport à moi et ma sœur c’est pas réaliste zohra tu as un peu raison je pense ils s’aiment pas eux même quand ils voient leurs enfants avec les mêmes défauts ils paniquent malheureusement j’ai arrêté de les écouter pour beaucoup de choses c’était des demandes très exigeantes et je finissais par vriller complètement
D’ailleurs mtn que j’ai vriller ils ont un peu perdu espoir avec moi et j’ai beaucoup de liberté Hamdoul’Allah je fais mm le lycee professionnel ils s’en fichent