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origine Arabe ?
D
12 juin 2010 11:34
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casatoulouse a écrit:
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janoub_style a écrit:
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Djemila75 a écrit:
C'est nous qui payons pour aider ? Oh

Perso je suis issue de la dynastie des Idrissides mais comme ils se sont mêlés aux berbères très tôt, je me demande ce qu'il en reste génétiquement.

Depuis quand les idrissides de Fés disent Djamila au lieu de Jamila ?

elle est pas lucide ta question frèro. ah ben, je trouve!

Lol t'as raison Casa, il ne devait pas être très lucide pour poser une telle question. Oups

Alors Janoub (et pas Djanoub, j'ai bien compris que la distinction était importante pour toi), sache d'abord que Fès n'était que la capitale des Idrissides et que leur territoire s'étendait jusqu'en Algérie (c'est un peu comme si tu considérais que tous les Marocains étaient de Rabat). De plus, les Idrissides ne sont pas une dynastie marocaine mais maghrébine, on les retrouve non seulement en Algérie mais en Andalousie aussi (tu n'en as donc pas le monopole grinning smiley).
Sache pour finir que leurs descendants se sont depuis éparpillés partout dans le monde, ce qui fait que j'aurais pu m'appeler Gamila aujourd'hui ou même Jacqueline que ça n'aurait rien changé à mon origine. Tu comprends ?
N
12 juin 2010 15:04
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Djemila75 a écrit:
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casatoulouse a écrit:
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janoub_style a écrit:
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Djemila75 a écrit:
C'est nous qui payons pour aider ? Oh

Perso je suis issue de la dynastie des Idrissides mais comme ils se sont mêlés aux berbères très tôt, je me demande ce qu'il en reste génétiquement.

Depuis quand les idrissides de Fés disent Djamila au lieu de Jamila ?

elle est pas lucide ta question frèro. ah ben, je trouve!

Lol t'as raison Casa, il ne devait pas être très lucide pour poser une telle question. Oups

Alors Janoub (et pas Djanoub, j'ai bien compris que la distinction était importante pour toi), sache d'abord que Fès n'était que la capitale des Idrissides et que leur territoire s'étendait jusqu'en Algérie (c'est un peu comme si tu considérais que tous les Marocains étaient de Rabat). De plus, les Idrissides ne sont pas une dynastie marocaine mais maghrébine, on les retrouve non seulement en Algérie mais en Andalousie aussi (tu n'en as donc pas le monopole grinning smiley).
Sache pour finir que leurs descendants se sont depuis éparpillés partout dans le monde, ce qui fait que j'aurais pu m'appeler Gamila aujourd'hui ou même Jacqueline que ça n'aurait rien changé à mon origine. Tu comprends ?

en effet, eparpilles comme ca, ca fait une grosse gamila [marmite] !! j'dicoune !!!

sinon, il y a en fait les egyptiens qui disent Gamila.
D
12 juin 2010 17:59
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casatoulouse a écrit:
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Djemila75 a écrit:
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casatoulouse a écrit:
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janoub_style a écrit:
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Djemila75 a écrit:
C'est nous qui payons pour aider ? Oh

Perso je suis issue de la dynastie des Idrissides mais comme ils se sont mêlés aux berbères très tôt, je me demande ce qu'il en reste génétiquement.

Depuis quand les idrissides de Fés disent Djamila au lieu de Jamila ?

elle est pas lucide ta question frèro. ah ben, je trouve!

Lol t'as raison Casa, il ne devait pas être très lucide pour poser une telle question. Oups

Alors Janoub (et pas Djanoub, j'ai bien compris que la distinction était importante pour toi), sache d'abord que Fès n'était que la capitale des Idrissides et que leur territoire s'étendait jusqu'en Algérie (c'est un peu comme si tu considérais que tous les Marocains étaient de Rabat). De plus, les Idrissides ne sont pas une dynastie marocaine mais maghrébine, on les retrouve non seulement en Algérie mais en Andalousie aussi (tu n'en as donc pas le monopole grinning smiley).
Sache pour finir que leurs descendants se sont depuis éparpillés partout dans le monde, ce qui fait que j'aurais pu m'appeler Gamila aujourd'hui ou même Jacqueline que ça n'aurait rien changé à mon origine. Tu comprends ?

en effet, eparpilles comme ca, ca fait une grosse gamila [marmite] !! j'dicoune !!!

sinon, il y a en fait les egyptiens qui disent Gamila.

Les Egyptiens !! Pour une Algérienne, c'était p't'êt' pas le bon exemple à prendre alors ! Oups
J'dicoune aussi winking smiley c'est pour montrer que c'est juste une histoire d'accent, certains prononcent la lettre djim comme dans Jacques, d'autres comme dans Jack, rien d'autre. Si j'avais su que je me trahirais rien qu'avec mon pseudo... grinning smiley
N
12 juin 2010 20:55
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Djemila75 a écrit:
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casatoulouse a écrit:
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Djemila75 a écrit:
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casatoulouse a écrit:
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janoub_style a écrit:
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Djemila75 a écrit:
C'est nous qui payons pour aider ? Oh

Perso je suis issue de la dynastie des Idrissides mais comme ils se sont mêlés aux berbères très tôt, je me demande ce qu'il en reste génétiquement.

Depuis quand les idrissides de Fés disent Djamila au lieu de Jamila ?

elle est pas lucide ta question frèro. ah ben, je trouve!

Lol t'as raison Casa, il ne devait pas être très lucide pour poser une telle question. Oups

Alors Janoub (et pas Djanoub, j'ai bien compris que la distinction était importante pour toi), sache d'abord que Fès n'était que la capitale des Idrissides et que leur territoire s'étendait jusqu'en Algérie (c'est un peu comme si tu considérais que tous les Marocains étaient de Rabat). De plus, les Idrissides ne sont pas une dynastie marocaine mais maghrébine, on les retrouve non seulement en Algérie mais en Andalousie aussi (tu n'en as donc pas le monopole grinning smiley).
Sache pour finir que leurs descendants se sont depuis éparpillés partout dans le monde, ce qui fait que j'aurais pu m'appeler Gamila aujourd'hui ou même Jacqueline que ça n'aurait rien changé à mon origine. Tu comprends ?

en effet, eparpilles comme ca, ca fait une grosse gamila [marmite] !! j'dicoune !!!

sinon, il y a en fait les egyptiens qui disent Gamila.

Les Egyptiens !! Pour une Algérienne, c'était p't'êt' pas le bon exemple à prendre alors ! Oups
J'dicoune aussi winking smiley c'est pour montrer que c'est juste une histoire d'accent, certains prononcent la lettre djim comme dans Jacques, d'autres comme dans Jack, rien d'autre. Si j'avais su que je me trahirais rien qu'avec mon pseudo... grinning smiley

les marocains du nord, chamaliyiin, disent aussi "dj" au lieu du "j".
13 juin 2010 19:38
Je parie que ces tests genetiques auront une importance toute particuliere dans des pays comme les Emirats Arabs Unies. Savez vous que si vous etes un pure Emirati ou un "local", comme ils aiment s'appeler, vous beneficiez de tout un arsenal de droits y compris un salair, meme si vous ne faites rien dans la vie? Et savez vous que les enfants des etrangers nais labas n'ont pas droit a la nationalite Imirati, meme si leur naissance a lieu au pays, peu 'importe combien de temps vous avez passes labas?!!
s
23 juin 2010 21:41
origine arabe? lol ,moi kurde moi entre euphrate et tigre depuis d milénair deux fleuv de moyen orien moiii etreee passé dans le tempp
etnikmen propre dans toute les dynastie ké connu la terre on apel sa la mesopotamie en france mai bon en kurde c pa pareille éh moi defois wallah je men pa je me dii pkoii vous dite riihlassss on di sa dpui d milénaire moi interessent par chose réél de la vieee moi regar toute histoire de tout lmonde mais pa comprendre saa ya pa apres moi regard autre sourcee etrangéé ki daaaate par d homme dit des gen de son epok tres inteligent tres croyant tres amoureu de la vie ké dieu mai apréé euuu kan i fonn empir islamic ethnikmen diver a BAGHDAD ex BABYLONE ViiLLe ancestral ki é le berceau de l humanisté dit par la france (mesopotamie) maii bn moi parl paa de aven l islam paske passé tan de chozzz tan de siecle tan de ambiance mai tjr conu fin bein l an 0
on dit c l iislam ok. islam jamai san le prophéte ok? ki vien de la descendence de ibrahim (abraham lincoln lol) baa luii gran amoureuu de allah bah 3 religion vien de descendence a lui
kan avc sa femme apres de multiple teste il le fai testé de laché sa femme et sn bébé
baa luii s eloigne s aproch paaaaaa
i di moi jaime dieuu je fai keski i mdi c luii lmeilleur c lui ki maccepte koi ke je soi dan kel eta ke je soi en position tforce ou pa
baaa apréé i fai douaaa paske o loinn
i voi la futur mek
un lac entre d montagne ardeusee yen a iul son de caillou noir tu march pied nue sa te transperce
bahh il é vu ISMAIL avc sa femme a cotéé du lac é (trapel des ange ki lui avai promi des enfan mem si il été agé "c ecrit dans le coran"winking smileybah apres des gen vien paske ya l eau
aven kan t dan desert le ven le sable ki frape tou ltemp o visage kan tvien a cotéé d un point d eau avc kelke arbre c lsilence d un cou et c un otre monde un bien du mal ke si ya pa ldesert i pérdré toute sa valeur kon lui donne la la paske nous homme pa force pa fai kesky i veuu mai kesky i peuu moi vouloir persne mem drogué mem ki spik o toilete de pari a l heroine moii i di toii respecte moii paske toii dieu te créé
bref jcontinue
alorr o sud de l irak region desertik bah yavai des nomade ki sdeplacai de ville en ville et ki srepozé dan d village ki fleurissai grace a l eauu bah la femme a ibrahim avc son fils ismail lé resté tout seul dans un point d eau allah dit ibrahim reste o loinn mai taproch paa alor lui de loinnnn tjr regardéé é penséé amoureuuu de sa femme de son fils tenir a euu ééé comprendre ke amour d allah alala sa doi etre feroce si lui resentir un truc bien comsa deja avc femme et enfan
alor dan son interieur a chak foi i dii allah moiii te donne saa
mem aven i chérché allah i couré deriere le soleil le lune lol lé fou lui
bah ibrahim trooo amoureu d allah tou ltemp non stop aim allah et vois partout choz de allah
bah sa femme et son fils resté o lac d gen vienn et s instal avc euu i dvienne voisin avc d gen tro bien ki aim tro ismail ki donne une fille a lui et la mek se crea petit a petit et etai devenuuu idolatre de poutre alor ke ibrahim lavai dii d generation aven papa maman le sgen paa poutre meme avai fai superfuge avai kassé tou les poutre sof la plu grande et le sgen di c ki ka cassé tou le spoutre i di c moi i vien dvan tou lmonde i cass la poutre mem i dizz moi jeté toi o feuu mecreann BAHLUI CRAME PAAAA chok tou lmonde
allah lé ordoné o feu le crame paaa éé une béte bizar est venuu soufléé pour ki cram une tete de lezar bizar....
bah ibrahim vien de URFA ville kurde d ojourd huii et depui d milié d anné presk en syrie mai en "turki" genr "premier pay laic" bah
i faisai douaa aven
ke la mek vienne keeee allah stp donne leur un livre guide les et tout et a savoir ke la bible la vré lol bah él é vré C ALLAH ké voulu LA BIBLE pa kesken en on fai lol bah sa parle ke de MYTHE de moyent oriuent il en est impréniéé tres fortement c d histoir ki se son passé en syrie en iran en turki o yemen en egypte o liban? lol moi bref di juste ke la mek d ou el vien ok et ibrahim d ou i vien?i parléé kel langue kan la ramné sa femme la ba?
?????
les langue parlé en c temp laa
et grace o pyramide on compte ibrahim paske pharaon vs moise et moise descenden de ibrahim
a presk 5000 mil an
5 mil anné é ke kurde existe 9 siecle aven jesus ex perse satanik ..rituel du feuu et tout et tout aven le moyent orient etai diabolik wallah nous ché les kurde on a encor d satanik on a euu les chretien et encor ojourd hui et des juif encor ojourd hui mai 80 pour cen islamic sunnite bah apréé l islam avc prophete apréé prophete laissé coran dan la memoir d gen et dan leur coeur a d milié de sahabi a lui bah cette ideologie a fai lmenagee du fon en comble de tout lmonde tribuu familial par sii familial par laa ct catastrofik tout lmonde se rentré dedan sa se tuéééé pour rien tu croise kekun o desert i te tue comsa i entéré fiille i été fou lii gen bah euuu besoinn de remue menage dee islam grandi evoluee et fai changé les choz dan LE MONDE ENTIER bah yeuuuu plusieur tribuuu ki se succedere
pendan c siecle ok je c vous savé c bien mai la diference ou el est de ma vision des choz????
bah nous empir de baghdad et vou empir d andalousie ct apogé a vous et ct les deu grande croissence islamik le croissan de lune etai bientoo partout bah en espagne lé fai 60 mil oeuvre ouvrage poeme par an
alor ke en egypte en c temp yavai 2 milion d ouvrage
alor ke c une region prehistorik lol jvou ldiiiiii
bah troo concentrééé sur l ethnie MAI ALER VOU FAIR FOUTREEEE C PA PASKE T ARAB T MUSULMAN BIEN O CONTRAIRE BANDE DE FAIBLE TRAITRE D HYPOCRITE pour les autre ki se sente pa visé bah te cible pa
é royaum s eten grace a la colaboration en frerrr
de plusieurr tribuuu
plusieurr ethnie
diferentee entre frere nou disaiii le pay des pakpak c pakistan dizé le pay des ouzbek ouzbekistan dizé le pay d turk turkmenistan disai le tou les stan bah islamise tou lmonde fai pa atention a l ethnie bah keskyy spass apréé 1 miliar et demi de musulman ojourd huii regardé pa tro la télé c un chiffre de ouf c un truc de malade tu c ya 250 milion "arab" (kan yavai ltoi islamic tou lmonde parlé arab mem en turki et touu renseigné vouuu les gen se son arabisééééé"bah les devenu victoir apré victoirr mai defaite o debu les mongol les venuuuu lé detrui tou =l europ direct si i veu bah nou fai guerre fai guerre pour survive apréé ojourd huii mongoliee musulman en chine 200 milion de musulman é entre la chine et baghdad pleinn de musulmannaven pa telefone fo alé parlé o gen pour informé
alor l islam lé partii loinnn bah moii remarké ke tout foo les infoo defoi c un turk de ouf 'carte de piri reis) regardé sa sur google bah yen a i disé d filosofe musulman kurde kee du maroc ct un PORT de bateauu dee kan on envoyéé en amerik du sud les musulman ...é moi ojourd hui en sachen le hier je me sen bien paske jle conai mem si sa fai mal meme si sa fai du bien hier et aujourdhui c obligéé c mem pluss ke obligé C EST ....bah moi apréé renseigne plusss et tout mcass la tete é remarkéé kee c le nationalisme des un des autre ki nou diferenciee alor kon é touss musulman é on devrai touss parlé l arabe litairaire et se bazé sur une société moderne completment voué a allah c ski é tfasson lol ski change c commen on regar les choz...
moiii mon peuple donné plein de sang pour l islam KURDISTAN c l irak la syrie l iran la turki une partie de tou sa é en son milieu deux fleuv les populasss depui d décénie fai la guerre pour l eau aven ke l homme fass d village i été pecheur chasseur ceuilleur kan i decouvre graine eau c la ksa comence et sa a poussé a ojourd hui lol nan jlol bah le smongol lé venu paske survie il a pu rienn c d bonhomme il nou on bai sé un momenn mai nou vengé en les rendan islamik lol naaan aven dan toute cette tyranie l islam ct un message hor du comun KOI le sgen été choké kann i disé t égo
on respecte toute humain pareille
la philosofie de l islam et sa justice et sa moral touché les hommes et les peuples les gens vivaii pour survivre aven il avai pa d opinion politik ou il été pa concentré sur l identité kil ne choisi mem pa mé il mé en aven de skil é skil a le choi é il
GRACE A L EAU fleur banane arbre pomme hooop tu mé ta main tomate hoop patate bah tout
tout
lé vien de l eauuu
controlé l eau alor sa devien controlé ?
bah les kurde etnikmen résté 100 pour sang pur depui d milénair d guerre et d guerre des temp et de stemp d siecle et d siecle maiiiii la langue kurde est un melange de latin de perse et d arab moi tjr demandé a moii pkoi? é compriuiii paskon controlé tout a une epok mai allah fai bougé l eau ou i veu lol bah nou iriguéé de l eauu loinnnn en irak loinnn en irannn loinnn en turkii loinnnn en syrieeeee é montagne de noééé naiii les deux fleuv nou entre les deu fleuv depui d milénair persne reussi a batre mem les turc ojourd hui mem si avc arme juif nou tapé euu paske frere d avenn avc ki fesai la guerre ex mongol lol bah devenu musulman ok mai laik lol alala le debu de se siecle c la merde
bah les gen avennn kan il creusé en longueurr pourr ramnéé de l eauu
i jeté d d graione
i voi un chvalk un ane
il c ke c d choz de ALLAH pa a kekun dotre a ALLAH tout etre vivant créé par ALLAH allah persne d otre bah léé heureuuu
léé propree sé lav se nourii bien é conten jle souhaite a tou lmonde,bah moi remarké aven kan huimain été en position de survie la vie avai un sens la natur etai laa et il sérvé la natur pour sen servir lol
c comsa fo regardé les chozz dans le fai ke tu c ke ya allah ki a créé tout sa tout tout tout mem t pensé les plu fouuu bah toi donné un nom c tou lool piti apreneur bah moii juste vou di a résté trenkil é ne vous aproprié pa l islam pa bsoin de conquerir la terre ell ets dja a allah et arabe et musulman a par la langue sa veu riennnnn dir
allah di maime si tu prie c pa sur tva o paradii BAH ui toi béte notre finalitééé paradii ou enferrr et notre viee contexte de l histoire de cette aboutissmen precedemen cette finalitéé mdrrrr
bref moii juste dii inchallah un jour on sra touss sous le toit de la justice la vré cel d allah
é ke ceu ki dise musulman c arabe reste trenkil vré arabe c o moyent orient .... o proch orient... et en orient... ééé voila sen fouuuu dla chate des femme c pa l islam sen fouuu d materiel sa vo paa un resentir DON donné par dieu lol on lui doi tout INCHALLAH UN JOUR YAURAA LA CHARIA MODERNE DANS LE MONDE ENTIER ET KEL SOI COMPRISE COM ELL LE DEVRAI mai d foosss idéé circule trooo nen faite pa partie merci tkt moi ecri vite je c mai toi pa comprendre moi moi carémen inscrire dan se site paske la rage d gen ki diz c les arabe les musulman nou on donne notre sang tou ltemp grace a nou le pelrinage a la mek il a été mulipliéé grace a allah via nous plutot EL HAMDULILAH on a defendu la mek et medine en 14 18 les arabe nou on ataké? alor arabe on c pa tro c koi c pa une persne en tou ca et JAIME TOUT CEU KI CROIE A ALLAH ET VIVE ALLAH ET K ALLAH VIVEEEEEEEEEE ET VIVE ALLAH dsl d etre fou un peu SALAM!
a
27 juin 2010 15:56
Citation
sidi slimane je ne t'oublie pas a écrit:
salam
Je voulais encore dire du côté de ma mere depuis au moins 3 generations et j'ai connu mon arriere grand mere maternelle qui a passé son enfance à dar el gedari mais qui a vecu ensuite à souk jem'a houafate entre sidi slimane et mechra' bel ksiri(elle parlait parfaitement le darija arabe)...Si on suppose que tous les marocains sont d'origine amazigh sans tenir compte de leur darija arabe alors AUTANT CROIRE QUE L HOMME DESCEND DU SINGE D'apres Darwin....Heureusement que des projets genetiques sont en cours pour prouver que l'homme peut avoir tort ou raison.wa salam
oui mais si on croit que l'homme ne descend pas du singe, alors autant ne pas discuter de science.
car la science prouve que l'homme descend d'un ancetre commun avec le singe.
donc tu es libre de croire que tu descend d'adam et eve, tu es libre de croire que tu es issu de tribus arabes, mais ne vient pas nous parler de science.
a
27 juin 2010 15:59
Citation
racines a écrit:
Je parie que ces tests genetiques auront une importance toute particuliere dans des pays comme les Emirats Arabs Unies. Savez vous que si vous etes un pure Emirati ou un "local", comme ils aiment s'appeler, vous beneficiez de tout un arsenal de droits y compris un salair, meme si vous ne faites rien dans la vie? Et savez vous que les enfants des etrangers nais labas n'ont pas droit a la nationalite Imirati, meme si leur naissance a lieu au pays, peu 'importe combien de temps vous avez passes labas?!!
pure émirati ca n'existe pas, mais en effet comme tu le dis, ces tests ont un grand succés dans les pays comme les émirats arabes unis pour une raison simple, c'est qu'ils ont les moyens de faire ces tests (quelques centaines de dollars tout de même).
en tout cas, c'est interessant de voir que grace a ces tests, il y a de plus en plus de musulmans qui comprennent l'évolution biologique et qui acceptent que l'homme descende du singe.
e
28 juin 2010 18:38
salam

y a une autre raison ils veulent se montrer pure arabe alors que les arabes les vrais de sang nomad ont migré vers l'irak, la Syrie, l'egypte et au maghreb
Ils ne sont pas de grande lignées
a
28 juin 2010 19:23
Citation
elatrach a écrit:
salam

y a une autre raison ils veulent se montrer pure arabe alors que les arabes les vrais de sang nomad ont migré vers l'irak, la Syrie, l'egypte et au maghreb
Ils ne sont pas de grande lignées
ca me fait rire ce genre de considération.
en tout cas, ce qui est sur c'est les émiratis sont plus arabes que n'importe quel arabe marocain.
s
28 juin 2010 19:36
sinan a par le fait ke les religion vienne du moyent orient ché nou les kurde on a d hadith ki diz ke aden et eve etai descendu en asie et ke c de ver l asie ke vien la civilisation
e
25 juillet 2010 16:23
salam à toutes et à tous
voila j'ai parachevé mes recherches sur les bni hssen ou ahsen(apres 1an de recherches), ....residant actuellement dans le sud du gharb d'origine arabe maaquil....bonne lectures pour le plus courageux et courageuses...wa salam
Les exemples ne manquent guère. Les Zaër m voisins immédiats des Zemmour sont d'authentiques arabes Maâqil, d'origine yéménite qui, après diverses pérégrinations à travers l'Afrique du Nord, dans les Hauts Plateaux et sur la bordure septentrionale du Sahara, parvinrent jusqu'au versant sud du Grand Atlas Marocain; ils poursuivirent vraisemblablement leur route vers le Nord à travers le Grand et le Moyen Atlas; Léon L'Africain 118 les signale dans la plaine d'Adekhsan (près de Khenifra) ; le tombeau de leur saint national, Sidi-Mohammed-Ben-Mbarek se trouve près de Moulay-Bouâzza, dernière étape avant leur arrivée dans la région de Eabat. Les Gué- rouane, installés à l'Ouest de Meknès et voisins des Zemmour, appartiennent sans doute à l'une des plus anciennes populations du Sud marocain. « On prétend, écrit le Lt. Lecomte, que les Iguerouane habitaient avant le 10e siècle les régions du Tafilalet et du Reg. Chassés probablement par Abou-Beker l'Almoravide, ils sont déportés plus au Nord (Haut Rheris, Haut Ziz et Haut Guir). On conserve le souvenir de cette époque de servitude par le chemin de l'Amerz Gue- roual (remarquer la transformation du N en L) qui s'élève dans la falaise du Jbel Mijdider et qu'ils furent obligés de construire » U9. Leur départ vers le Nord date de 1650 environ : ils gagnent ensuite la région de Meknès, après avoir occupé le Tigrigra et les environs d'Ifrane. Sous le règne de Moulay-Ismaïl, ils brigandaient encore dans le Haut Ziz sur la route de Sijilmassa 120. Les Aït-Youssi, selon leur propre tradition, auraient vécu dans la région de la Haute Mou- louya et de l'Âyachi, avant d'habiter la région de Sefrou 121. Les Aït Ouallal des Bni-Mtir, sont d'origine Aït-Âtta du Sahara, ainsi que l'attestent les souvenirs de ces populations 122. La tribu des Bni-Mtir vient également du Sahara; elle vécut ensuite de longues années sur les rives de l'Oued Guigou, fonda les villes d'AUil et de Talilt puis, chassée par les Aït-Youssi et les Bni-Mguild, elle s'établit sur les pentes Nord du Moyen Atlas... » m ; selon le Lt. Lecomte, « les Aït- Ndir (nom berbère de cette tribu) ont laissé des leurs à Sidi-Bou-Kil dans le Haut Ziz. Ceux-ci, déguisés sous l'étiquette de chorfa, ont des
117. V. Loubignac, Textes arabes des Zaër, Introduction.
M. LESNE
rapports fréquents bien établis avec les Aït-Ndir d'El-Hajeb » 124. Les Bni-Ahsene, arabes nomades, ont abordé le Maroc extérieur au 12e siècle, comme les Zaër; au 16e siècle, ils poussent en été leurs troupeaux jusqu'à la route du Tafllalet à Fès, entre Missour et Almis du Guigou; au 17e siècle, ils progressent vers le N.O. dans la région d'Annoceur et de Sefrou, pour aboutir enfin dans la forêt de la Mâ- mora et la plaine du Rharb 125. Les Zaïan, selon des manuscrits trouvés à la zaouïa de Sidi-Bou-Kil, nomadisaient autrefois, vers l'an 395 de l'Hégire (1004) dans la plaine d'Ikhf Aman, au S.O. de l'Oued Mzizel, affluent du Ziz : dans la même région, au sud d'Agoudim, existe encore une colline dite Taourirt n'Izayan m. Le dialecte zaïan traduit d'ailleurs la diversité des apports ou des aventures et ,selon V. Loubignac, il « apparaît composé de divers éléments zénètes, rifains, chleuhs et soussiens; sa position géographique explique ce mélange, mais il n'est pas jusqu'au touareg qui ne présente avec lui des analogies frappantes... » 127.
Bni-Ahsene, Zaër, Guerouane, Zaïan, les quatre grandes tribus entourant les Zemmour, ainsi que les Bni-Mtir et les autres populations du Moyen Atlas, vivaient autrefois dans le Maroc présaharien. Les Zemmour ne peuvent manquer d'avoir connu un destin analogue.
2) Causes de ce mouvement
Ce mouvement de populations, important et continu, obéit à une série de causes diverses mais concourantes.
a) Pauvreté et surpeuplement du Sud.
Les causes les plus fréquemment invoquées résultent des conditions de vie offertes par les différents territoires ainsi abandonnés. « Toutes les régions désertiques, écrit H. Terrasse 128, sont périodiquement surpeuplées ; elles sont habitées par des races vigoureuses et prolifiques auxquelles elles n'offrent que des possibilités d'existence limitées : les oasis ont des ressources strictement mesurées, tandis
ques années de suite dans une région pour qu'elle la considère frappée d'un droit d'occupation. La vie pastorale facilite donc la mobilité, la fluidité, la dispersion d'une partie des populations qui se consacrent aussi, par ailleurs, à l'agriculture.
Les événements finissent parfois par séparer les deux éléments de la tribu dont les activités apparaissent pourtant complémentaires. Les pasteurs font preuve de plus de cohésion sociale; leur solidarité se renforce constamment par l'obligation de faire face aux périls divers qui les attendent dans des zones de parcours aux limites souvent imprécises et à la possession fréquemment contestée. Les sédentaires par contre, restent plus attachés au sol, surtout s'il est fertile et si, l'ancienneté de l'occupation aidant, ils y ont construit des habitations. Pour reprendre l'expression de Bernard et Lacroix, certaines fractions dans une tribu, certains douars dans une fraction, certaines familles dans un douar, se sont ainsi attachés fortement au sol. Si un mouvement de population intervient, si une poussée force la tribu à rechercher un autre habitat, l'esprit de clan prédomine chez les premiers qui abandonnent la région et lui sacrifient tout; chez les seconds, l'attachement au terrain finit parfois par l'emporter et, au prix de sacrifices d'allégeance aux nouveaux venus, ils se maintiennent sur le sol qu'ils vivifient depuis des générations.
Les Aït-Mouli installés entre l'Oued Aguersif et l'Oued Ansegmir, vivant aujourd'hui davantage de l'agriculture que de l'élevage, se sont séparés de leurs frères nomades au début du 19e siècle 137 : « à cette époque toute la tribu était fixée sur les rives de la Moulouya mais elle ne tarda pas à se disperser. Les transhumants devenant chaque année de plus en plus nombreux, un jour leur nombre leur permit de s'installer définitivement dans l'Azarhar d'Aïn-El-Leuh. Ce fut alors une véritable émigration, la majorité quittant la Moulouya et n'y laissant que deux fractions que nous y trouvons actuellement ». 138.
Segonzac 139 retrouva ainsi dans la vallée de la Moulouya, près de l'Oued Ouizerte, une fraction Bni-Ahsene, demeurée en arrière-garde dans cette région et habitant un des trois ksour qui composent Ouizerte. « Trop faibles pour se défendre contre leurs puissants voisins, écrit-il, ils ont dû se placer sous la protection des Oulad-Khaoua qui les rançonnent à merci et leur interdisent d'aller rejoindre la portion principale de leur tribu ». Ces frères des Bni-Ahsene de la
Mâmora se livrent à l'agriculture, et, dit Segonzac, « leurs jardins... s'étendent sur une large bande; les vergers sont charmants : ce sont des oasis d'arbres fruitiers ». Gerhard Eohlfs, autre voyageur, retrouva ainsi en 1864, au ksar Aït Hamara, sur la rive gauche de la Haute Moulouya, à une trentaine de kilomètres du jbel Ayachi, des descendants d'arabes Bni-Ahsene dont la tribu avait été chassée de ces lieux par les Bni-Mtir, eux-mêmes repoussés ensuite par les Bni-Mguild 14°.
Demeurés en pays devenu étranger, les fractions ou les douars ayant sollicité le droit de cité et cédé à la force, conservent, plus que les partants, le souvenir des liens anciens. Ainsi s'explique la persistance de certains îlots dans des couloirs d'invasion, accrochés à leurs terres, incorporés dans les tribus arrivantes mais gardant longtemps encore le sentiment de leur particularisme. On ne peut d'ailleurs concevoir qu'une tribu quitte un habitat en laissant derrière une place nette, ou que l'envahisseur fasse table rase de toute occupation antérieure du pays conquis : la coutume berbère offre trop de possibilités de transactions pour ne pas laisser place à des arrangements où chacun trouve son profit. Le genre de vie des tribus nomades ou semi-pastorales explique à la fois la vocation aux grands espaces complémentaires 141 et le mélange séculaire des populations.
c) Causes politiques.
L'aridité et le surpeuplement des régions du Sud, la vie pastorale, favorisent les départs et les glissements de populations. Mais il faut rechercher ailleurs certaines causes plus directes, susceptibles de déclencher des ébranlements dans l'équilibre dynamique établi par les hommes entre la steppe et les hautes vallées de l'Atlas, entre la montagne et les basses vallées. G.S. Colin142 a démontré l'origine arabe des grands mouvements des populations berbères du Moyen Atlas. Jusqu'au 10e siècle, explique-t-il, des Zénètes venant soit du Maghreb Central, soit de l'Ifriqiya, soit de Tripolitaine sont parvenus
141. Marmol, l'Afrique, 1667, trad. Perrot d'Ablancourt, t. III, p. 308, rapporte que les Bni Ahsen cultivant entre Almis du Guigou et Missour (la vallée sortant du Cunaïgel Gherben plus exactement) et menant leurs troupeaux en montagne, allaient cependant encore « aux déserts *. L'aire de leurs déplacements se situe donc entre la Haute Moulouya et les steppes présahariennes.
dans le Maroc du Nord. Beaucoup se fixent comme sédentaires sur les pentes du Moyen Atlas, dans l'hinterland de Fès et le Tadla. Mais les populations de la partie centrale du massif restent en majorité des Sanhajas. Le mouvement almoravide apporte alors des perturbations dans le Maroc présaharien 14S, entraîne la destruction de petits centres zénètes, foyers d'arabisation et centres de résistance à la poussée Sanhaja. Et surtout, l'arrivée des arabes Maâqil au 13e siècle, grands nomades venus d'Arabie à travers l'Egypte, la Tripo- litaine, la zone saharienne du Maghreb Central, crée un fait nouveau et essentiel. Confinée dans les régions présahariennes tant que les Almohades et les Mérinides restent puissants, imposant alors leur tutelle aux sédentaires et leur protection payante aux caravaniers, la décadence Mérinide leur permet de s'engager dans le Moyen Atlas, à la recherche sans doute de pâturages d'été. Nous avons vu précédemment comment Bni-Ahsene et Zaër parvinrent ainsi à la fin du 16e siècle, les premiers, dans la région d'Annoceur et Sefrou, les seconds, depuis le Tigrigra jusqu'aux environs de Moulay-Bouâzza. « Les Ma'qil, écrit G.S. Colin, avaient ainsi frayé un chemin à travers les populations Berbères sanhajiennes du Moyen Atlas et créé un vide. D'autres tribus, berbères cette fois, vont s'engager sur leurs traces et les Ma'qil vont devenir victimes de l'avalanche qu'ils ont provoquée »142. Le Moyen Atlas, qui n'a joué aucun rôle politique dans l'histoire du Maroc jusqu'au 16e siècle va donc poser un problème vital pour la dynastie alaouite : le maintien dans la montagne des tribus transhumantes ou semi-nomades, prêtes à dévaler dans la plaine et à imiter les Maâqil.
L'influence de la Zaouïa de Dila mérite également d'être évoquée. Appuyée sur les Aït-Idrassene qui nomadisaient vers la Haute Moulouya, le Haut Guigou et le Haut Oum-er-Rebia, la zaouïa de Dila a provoqué la cristallisation de la vieille haine contre les Arabes, soutiens du Makhzen saadien, attisé le désir de s'emparer de terres fertiles et créé un vaste mouvement de révolte auquel une importante partie du pays peut s'offrir comme champ d'action. En effet, Sidi- Mohammed El-Haj-Ed-Dilaï fit reconnaître son autorité par Fès, Meknès, le Tadla; ses troupes saccagèrent même la région entre Salé et Casablanca et il y chercha un port ouvert au commerce pour s'approvisionner. A l'apogée de sa puissance, au milieu du 17e siècle, la zaouïa de Dila se fait obéir au Maroc Central et dans une partie du S.E. marocain; son autorité s'exerce sur le Moyen et le Haut
souvenir de leurs émigrations ». C'est ainsi que les Aït-Haddidou, Aït-Morrhad, Aït-Âtta, Aït-Alouane, Aït-Bouzid du Sahara, Mhamid du Dra, Arabes du Sahara et du Tafilalet sont installés le long de la montagne et que les Aït-Haddidou et les Aït-Morrhad stationnent même dans la région de Meknès et en pays Guérouane. « Vous donnerez chacune une fraction pour venir en aide à Moulay-Ismaïl-Ben-
Âli » aurait dit à l'époque Sidi-Bou-Yacoub aux tribus du Sud : les déplacements ainsi opérés dans un but de police vont pour beaucoup au devant du désir des populations d'émigrer vers le Nord, ils ne calment un mouvement qu'en déclenchant chez d'autres tribus l'envie de s'ébranler à leur tour.
Le rêve des Dilaïtes, la percée des Maâqil, la politique alaouite pratiquant le déplacement des tribus issues des zones présahariennes, apportent dans l'ensemble des tribus berbères du Haut- Atlas Central et du Moyen Atlas, une perturbation telle que seule l'arrivée des Français arrêtera, au 20e siècle, un mouvement vers le Nord aussi profond et aussi continu.
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Les circonstances politiques ont motivé l'accélération d'un phénomène dont les causes profondes résident dans la pauvreté du Sud et son surpeuplement principalement provoqué par les invasions venues de l'Est. La vie pastorale a favorisé les grandes oscillations des tribus et attiré les populations des zones rudes vers les douceurs de l'Azarhar et les plaines atlantiques; les tribus placées en tête ont mis ainsi sept et huit siècles pour parvenir au terme d'un déplacement fatalement imposé par des forces à la recherche d'un équilibre, entre un pôle de dispersion aride et la zone d'attraction atlantique. Tantôt poussées, tantôt poussant, les tribus se succèdent aux passages obligés de la montagne laissant parfois çà et là des îlots accrochés au sol. Les premiers arrivés résistent contre la poussée de ceux qui les suivent. Aussi chaque vague est-elle l'ennemie de celle du Nord et de celle du Sud et le mouvement ne s'accomplit pas sans luttes sévères ou de pénibles accommodations.
Les Zemmour ont connu ce destin et obéi à la même fatalité
tiennent selon tout probabilité. Cependant, Zemmour et Zaïan, en tête de la coulée sanhaja vers le Nord, ont une origine qui demeure assez obscure. Vers la fin du 10e siècle en effet, date à laquelle on les signale dans le Maroc présaharien, la distinction entre Zénètes et Sanhaja sahariens, tous deux grands nomades, s'avère bien difficile et l'époque vers laquelle les Zénètes ont été remplacés par d'autres Sanhaja, bien imprécise. Aussi bien, ne cherchons pas à intégrer les Zemmour dans un système explicatif d'ensemble 147 : l'insuffisance des données historiques et l'hétérogénéité des tribus rendaient une telle classification à la fois hypothétique et purement nominale.
1) Maroc présahaHen et Haut Atlas Central
Dans des études consacrées aux tribus du Sud Marocain et se basant sur les traditions des populations locales, divers auteurs signalent le passage des Zemmour dans le jbel Sarhro. On pourrait parfois douter des affirmations émanant de tribus déplacées, et relatives à leur ancien pays; mais combien apparaissent plus sûrs les souvenirs qu'elles ont laissés sur place : noms de lieux, noms de pistes, constructions... Ces particularités sont conservées par les nouveaux occupants et souvent pieusement maintenues par le substrat ethnique précédent.
Le Cne Spillmann 148 note que « les Guérouane, les Bni-Ahsene, et les Zemmour, actuellement installés dans la région de Meknès et dans le Eharb, occupaient autrefois le Sarhro où ils ont été remplacés par les Aït-Âtta ». Le lieutenant Beaurpère 149 observe également que le Sarhro « a été autrefois habité par les Merwan et les Zemmour qui, ne pouvant plus y vivre, l'ont abandonné pour des terres plus fertiles ». A l'époque, les Zemmour exploitaient sans doute les ressources des vallées, poussaient leurs troupeaux dans les steppes semi-désertiques à la recherche de pâturages dont l'étendue devait compenser la faible valeur, et passaient l'été dans les massifs montagneux du Sarhro.
Un manuscrit trouvé à Sidi-Bou-Kil, dans le Haut Ziz, signale le passage des Zemmour, suivis des Zaïan, au sud de l'Oued-Mzizel vers
Dans leur marche vers le Nord, deux routes de part et d'autre du Jbel Âyachi s'offraient aux tribus Zemmour. La présence de certains de leurs éléments dans la région de Sidi-Hamza pourrait faire penser que les Zemmour empruntèrent la grande route du Talrhemt, à laquelle mènent les vallées de l'oued Mzizel et de l'Oued Sidi-Hamza aux environs de Rich ; mais rien ne permet de penser que les Zemmour utilisèrent la route des dattes du Tafilalet, parcourue par les commerçants et les pèlerins. Par contre, certains souvenirs surtout en tribu Haouderrane et Bni-Hakem, laisseraient supposer que les Zemmour franchirent les passes du Haut Atlas à l'Ouest du Jbel Âyachi, par la trouée de Tounflte.
Les Aït-Bou-Chlifene 163 (Haouderrane) se souviennent parfaitement de l'Assif Melloul, région extrêmement importante en liaison très facile avec la Moulouya et aussi la vallée du Ziz, étape toute naturelle entre les deux versants Sud et Nord du Grand Atlas : « On savait depuis longtemps, écirvait J. Célérier en 1927, sans en bien comprendre la raison, le rôle important que jouait cette rivière dans la circulation indigène entre le versant saharien et le versant atlantique. Cette rivière est constituée par deux sections à angle droit,
une supérieure longitudinale et parallèle à l'Oued el Âbid, une inférieure transversale et perpendiculaire au fleuve principal. Celle-ci forme une gorge étroite et profonde; mais quand on a atteint le sillon supérieur, on se trouve dans une large vallée d'où l'on gagne sans grande difficulté les affluents du Ziz et du Rheris... » 164. Après être passés par ce croisement de routes S.E.-N.O. et S.O.-N.E. que constitue la vallée de l'Assif Melloul, les Aït-Bou-Chlifene franchirent le col de Tizi M'Saf et passèrent par Agoudim, sur la haute vallée de l'Oued Ansegmir165. Les Bni-Zoulite, des Bni-Hakem se souviennent être venus de la région de Tounfite, passage principal vers la haute Moulouya et la route du Tazreft 16e.
L'époque vers la quelle, s'avançant au delà du versant saharien et franchissant les passes, les Zemmour aboutirent au versant atlantique du Haut Atlas, ne peut être évaluée qu'approximativement. Les Maâqil au 16e siècle poussaient encore leurs troupeaux dans le Moyen Atlas, en partant de la Moulouya... On peut donc situer vers la fin
du 16e siècle l'arrivée des Zemmour en vue de la Haute Moulouya, au moment où les Bni-Ahsene et les Zaër qui les précèdent effectuèrent un nouveau bond en avant vers l'Azarhar.
2) Haute Moulouya et Moyen Atlas
Peu de souvenirs encore sur le séjour des Zemmour en Haute Moulouya, les Aït-Bou-Chlifene citent Arhbalou-N'Serdane et Kerrou- chene. Les Aït-Âyyache se souviennent, outre du Âri-Ayachi qui domine leur histoire, de la région de « Milouya » (entre Bou-Mia et Midelt), puis d'Itzère. Les Aït-Ouahi sont passés à Azerzou. Les Ija- natene mentionnent la région de « Mia-n-Tarhda-ou-n-Tarhda (près de l'Oued Fellate, affluent de l'Oum-er-Rbia) et de Tabekrite (Bekrite). La tradition veut d'ailleurs que Bni-Hakem et Haouderrane aient vécu autrefois dans la région de Mia-n-Tarhda-ou-n-Tarhda 167.
Les rapports entre les Zemmour et les « chorfa » Aït Yadine (d'Âïn-el-Hout) datent très vraisemblablement de cette époque. Près de Bou Mia en effet repose le chérif qui établit son influence sur les tribus Zemmour, et dont les émissaires continuèrent à recueillir la « ziara » en territoire Zemmour jusqu'au jour où ils s'y fixèrent eux- mêmes.
La Haute Moulouya, l'oued Aguersif, Bou-Mia, semblent avoir constitué au 17e siècle et pendant de longues années, le pôle d'attache des Zemmour. A la fin du 17e siècle, lorsque Moulay Ismaïl eut chargé le Caïd des Zemmour et des Bni-Hakem d'une mission offensive contre les populations du Moyen et du Haut Atlas 168, c'est à Âïn-Choua que Àli-Ben-Ichchou, leur chef, concentra ses troupes; F. de la Chapelle rapproche le nom de cette source de « Talat Ouchoua'ou », un des ruisseaux qui forment l'Aguersif, au nord de Bou-Mia 169.
Segonzac 17° campant chez les Aït-Mouli et décrivant le système hydraulique de la région, parle de « l'Assif Aguersif qui vient du Moyen Atlas où il prend sa source chez les Zemmour, dans la fraction des Aït Yadine aux pieds du Ari Bou Safou ». Affirmation contraire aux faits historiques puisque, à cette date, les Zemmour occupaient déjà leur territoire entre Meknès et Rabat. Persistance d'un souvenir
Tigrigra178. Les Aït-Ouribele honorent encore le marabout de Sidi-
Mohammed-Ben-Âmor, près d'Agouraï 177, ainsi que certaines fractions d'origine Bni-Ahsene incorporées dans les Zemmour : les Aït-Lârbi-
ou-Âli, des Ehouaoura (Kotbiyine) 178 et certains Zahna des Aït- Âbbou179. Les Hejjama se souviennent de Timhadit, d'Aïn-El-Leuh, d'Azrou 18°. Les Aït-Ouahi se disent détachés des Aït-Ouahi d'Âïn-El- Leuh181. Les Aït-Bou-Chlifene passèrent de Arhbalou N-Serdane à Kerrouchene, Khenifra puis Aguelmouss, près du plateau du Ment 182. Les Aït-Baboute conservent de nos jours des relations avec des parents habitant Souk-Jemâa de Mrirt; leurs silos se trouvaient traditionnellement à Tachenrhoute près du Ment183, endroit particulièrement sec et bien exposé ; en pays Aït-Baboute, on cite le cas de Mouloud-
ben-Âïssaoua, du douar Aït-Slimane, qui a quitté récemment Souk- Jemâa de Mrirt où sa famille habitait depuis toujours, pour rejoindre sa tribu. Les Aït-Sidi-Lahsene, nous l'avons vu, sont chorfa d'Aïn-El- Leuh et cette origine est attestée par des dahirs de l'époque.
Les Aït-Bou-Meksa, des Bni-Hakem, appelés autrefois Bni-Âtta, se souviennent de leur séjour près d'Âïn-El-Leuh. Ils continuent de nos jours à vénérer le tombeau de Sidi-Haroun près d'Âïn-El-Leuh, qu'ils atteignent à travers la montagne d'Oulmès après trois jours de voyage à dos de mulets 184.
Les Mzourfa, qui sont d'origine zaïane (Bni-Âmeur des Zemmour) se souviennent parfaitement de la région de Tigrigra ; chose curieuse, ils déclarent venir aussi d'un lieu plus lointain dit « kaf rhorab », « la grotte du corbeau » 185 ; et Léon L'Africain 18e signalait autrefois la présence des Bni-Ahsene dans le « Gunaig el Gherben », ou « Khaneq el Ghorban » qui en est le diminutif, c'est-à-dire « la gorge » ou « le défilé des corbeaux ». Masignon situe ce lieu entre Sefrou et le Cers 187, G. S. Colin entre Missour et Almis du Guigou. Célérier cependant l'identifie avec le col de Becifa (cluse de l'oued Âtchane), sur
la route historique de Fès à Sijilmassa, par Sefrou, Annoceur, Enjil et Ksabi 188. Les Bni-Ahsene ont emprunté ce repaire de corneilles et de corbeaux, caractérisé de nos jours encore par la présence nombreuse de ces oiseaux; mais ni les Zaïan, ni les Zemmour ne semblent avoir suivi, pour remonter vers le Nord, la route traditionnelle de Fès à Sijilmassa; au contraire, les souvenirs recueillis se localisent plutôt autour de la route du Tazref t, d'Itzère à Azrou par le Trik Adjir, plus pénible, coupée par la neige, mais plus favorable aux défilements des pasteurs 189. La permanence d'un tel souvenir en tribu Mzourfa peut s'expliquer par la présence d'îlots Bni-Ahsene incorporés dans cette tribu lors de l'occupation du pays (« bled khalia ») abandonné par les populations Bni-Ahsene chassées vers le Nord. <
Les souvenirs des Zemmour se localisent sur la carte en deux zones principales, nettement distinctes. La haute vallée de l'Oued Beht (O. Tigrigra, région d' Azrou et d'Âïn-El-Leuh), demeure présente dans la mémoire de la plupart des tribus occupant le centre, le nord et l'est de l'actuel pays Zemmour. Par contre, les tribus du Sud se souviennent plus particulièrement de la haute vallée de l'Oum-er- Bbia et des affluents supérieurs du Bou-Regreg (oued Ksiksou • oued Guennour).
Quelques fractions, nous l'avons vu, font preuve de souvenirs géographiquement plus lointains se situant dans le Haut-Atlas ou dans la Haute Moulouya : il s'agit sans doute de populations incorporées plus tardivement aux Zemmour, ayant acompli plus rapidement que les autres les différentes étapes du cheminement S. N. suivi par la confédération. La partie Ouest du Moyen-Atlas, comprise entre Azrou et Bekrite, semble bien constituer pour la majorité des tribus Zemmour, l'habitat incontestable de leurs ancêtres, occupé assez longtemps pour que, bien souvent, dans la mémoire pourtant fidèle des vieillards, toute trace des pays postérieurement traversés se soit effacée devant son dominant souvenir.
Pendant de nombreuses années, les Zemmour ont déplacé tentes et troupeaux dans un pays s'étalant sur 50 à 80 kilomètres du Nord au Sud. Le Tigrigra fut sans doute un de leurs greniers et ce pays reste dans les mémoires un lieu béni, presque une terre promise. Parvenus dans l'Azarhar 190, zone où s'estompent les reliefs et où les pâturages
Chenier 193 place sur sa carte la province des Bni-Ahsene immédiatement à l'Ouest de Meknès, englobant le Sebou jusqu'à son embouchure et tout le bassin du Bou Regreg depuis son confluent avec l'Oued Grou : c'est-à-dire à peu près le territoire actuel des Zemmour; par contre il cite les « Timour, le long du Moyen Atlas, depuis Mique- nez jusqu'à Tedla». L. Massignon194 identifie comme Zemmour le Timour de Chenier.
On peut donc considérer que, au début du xviir* siècle les Zemmour se trouvaient encore au S.O. de Meknès, dominant les hautes vallées des bassins supérieurs du Bou Regreg et du Beht, alors que les Bni-Ahsene occupaient les bassins moyens et inférieurs de ces deux fleuves. Poussés par les Bni-Mguild, les Zemmour se trouvent dans l'obligation de bousculer les Bni-Ahsene.
b) Le mouvement des Bni-Hakem.
Installés au Sud des Zemmour proprement dits, les Bni-Hakem semblent avoir plus particulièrement suivi les vallées de l'Oued Guennour et du Ksiksou. Ils se heurtent d'abord aux Zaër installés sur le plateau du Ment, dans la région d'Aguelmouss ; ceux-ci abandonnent cette région et se replient jusqu'à Moulay-Bouâzza « sans dépasser le lieu dit Bir-El-Hakemaoui près du Fourhal » 195. Les Bni-Hakem conservent le souvenir de ces pays; Aït-Baboute et Bni- Zoulite cachaient leurs grains à Tachenrhoute ; les premiers révèrent encore Sidi-Mohammed-Ben-Mbarek, Saint national des Zaër, et en-deça de Moulay-Bouâzza se trouvaient leurs terrains de culture (Jnanat Aït-Sidi-Bou-Âbed). Thomas Pellow, renégat anglais, signale aussi que, sous Moulay-Âbdallah, il participe à une expédition contre les Its-Hacam (Aït-Hakem), près du Ment, non loin de la montagne de « Ceedeboazzo Multerria » (Sidi-Bouâzza). Les Bni-Hakem parcouraient déjà cette région vers 1760 196.
Ensuite une forte poussée des Zaïan va rejeter les Bni-Hakem au-delà du bassin du Grou et les diriger vers les vallées du Ksikou et du Guennour qu'ils vont utiliser pour progresser en direction d'Oul-
mes. Les Zaër, contenus au Nord par les Bni-Hakem, bousculés par les Zaïan, vont se diriger vers les plateaux qu'ils occupent actuellement : ainsi l'une des premières tribus Maâquil parvenues dans la région atlantique se trouve écartée du chemin des Zemmour et les Bni-Hakem vont glisser le long d'elle pour occuper leur emplacement actuel. Le chemin des Bni-Hakem n'apparaît pas pour autant dégagé. Ils passèrent près d'Oulmès, où ils laissèrent d'ailleurs des souvenirs : Tadjourout par exemple, sur le plateau d'Oulmès, appartenait aux Aït-El-Âlem fixés aujourd'hui près de Maâziz m. Mais ils rencontrè- rentrent les Sehoul, les Hosseïne et les Âmeur, tribus arabophones installées dans le pays et qu'ils vont repousser jusqu'à la côte, aidés en cela par leurs voisins Haouderrane. Pendant un certain temps
également, des tribus zaïanes Aït-Âmar qui avaient réussi lors de la poussée des Zaïan à pénétrer dans la région d'Oulmès puis à remonter dans la région de l'Oued Tanouberte, se trouvèrent également devant les Bni-Hakem, mais la pression des Haouderrane les amena à se diriger vers l'Ouest, en Pays Zaër. Les Sehoul ont laissé beaucoup de traces dans la région : le marabout de Sidi-Moussa près de El-Harcha, le jnan Touir qui tire son nom de la fraction Bni-Touir des Sahoul, le lieu-dit Zabouj-Ben-Khouda (olivier sauvage) 198, le silo « mers kebbal » en pays Haouderrane (Ouled-Âli) ainsi que la plupart des jardins de la vallée de Bou-Kegreg où ne subsistent plus d'ailleurs que des épineux. On peut encore apercevoir, au lieu-dit Bab-Ameur au nord du jbel Gour, un ancien jardin des Sehoule avec la trace du puits et des séguias d'irrigation. Les Sehoul se souviennent parfaitement de leur ancien habitat; un ressortissant Aït-Baboute 199, allant à Salé acheter du sucre, un peu avant le Protectorat, s'est vu reprocher par un épicier originaire des Sehoul, l'occupation par les Bni-Hakem des terrains appartenant à sa tribu.
Les Bni-Hakem ont atteint leur emplacement définitif dans la seconde moitié du xixe siècle, la tradition voulant que les Sehoul aient quitté le pays à la suite d'une grande famine (1870-1880). Cette importante tribu, toujours citée avec les Zemmour par les auteurs marocains, donc assez particularisée et puissante, semble avoir toujours occupé la partie sud de l'ensemble Zemmour. Les Bni-Hakem ne se souviennent que du « jbel », mot qui revient sans cesse dans les récits
des anciens. Attribuent-ils à ce terme le même sens que les Zaïans ? Selon V. Loubignac200 et Pillant201 en effet, les Zaïans désignent par « jbel » la partie montagneuse de leur habitat, interdite l'hiver par le froid, et située sur la rive gauche de l'Oum-er-Rebia, alors que l'Azarhar est la région plus tempérée s'étalant vers le N.O., de l'autre côté de l'Oum-er-Rebia. Il semble bien que les Bni-Hakem n'aient fait que glisser sur les pentes Sud de l'Azarhar, sans aller au-delà de Mrirt et de El Hamman, occupant successivement le Tendra, le Ment, le Fourhal, le Mserser, le Plateau d'Oulmès, et le Zguite, Par contre les autres tribus Zemmour se répandaient dans tout FAzarhar jusqu'à El-Hajeb et Agouraï. Les Bni-Hakem, encore imprégnés de nos jours d'habitudes pastorales et montagnardes, se savent gens du « jbel » et non de l'Azarhar 202.
c) Le mouvement des autres tribus Zemmour.
Les autres tribus Zemmour ont plus particulièrement affaire aux Bni-Ahsene. La région d'Agouraï a été longtemps le champ de bataille où combattaient tour à tour les tribus Aït-Ndir (Bni-Mtir), Gue- rouane, Aït-Mguild, Zaïan et Zemmour qui voulaient chacune réserver à ses troupeaux les pentes herbeuses de ses confins 203 ; mais elle fut sans doute pour les Zemmour l'extrême pointe de leur avance en direction du Nord. On les signale pour la première fois en 1784 à l'Ouest de l'Oued Beht; c'est à cette date en effet que, pour fuir l'expédition de Sidi Mohammed-Ben-Âbdallah, ils se réfugièrent dans le Tafou deït 204. Du Tigrigra et de l'Adarouch, hautes vallées du bassin supérieur du Beht, les Zemmour pouvaient facilement descendre la vallée et utiliser ainsi une voie de pénétration remarquable 205. La tradition rapporte que le Sultan, venu à leur rencontre pour empêcher l'infiltration, aurait été défait près d'une « oulja » (plaine d'alluvions dans la boucle d'un cours d'eau), devenue depuis l'Ouljete-es-Soltane.
200. V. Loubignac, Etude sur le dialecte berbère des Zaër, p. 1.
Les Hauteurs du Tafoudeït auraient été ravies aux Bni-Ahsene, grâce à une ruse guerrière dont le souvenir reste vivace : les Haou- derrane allumèrent la nuit un grand feu pour faire croire à leur venue; les Bni-Ahsene, surpris et croyant avoir affaire à un ennemi nombreux, abandonnèrent le Tafoudeït; lors de la bataille qui suivit cette attaque deux groupes Haouderrane perdirent respectivement 40 et 20 tués, et s'appelèrent depuis Aït-Rabâïne et Aït-Âchrine. Le Tafoudeït conquis, l'Oued Berrejline, dernier obstacle avant l'arrivée sur le Bas Plateau, fut facilement traversé.
On peut considérer que les Zemmour occupent le plateau situé au Sud de la Mâmora, depuis le début du xixe siècle. En 1843 en effet, le Sultan Moulay-Âbd-er-Rahmane et ses troupes pillent les Zemmour tout autour de leur campement, installé à Khmissète 206. Les Aït-Zekri et les Kabliyine semblent avoir joué cette fois un rôle principal, sous la condiute du caïd El-Rhazi; ils chassent les Bni-Ahsene de la Kasbah construite dans le pays occupé aujourd'hui par les Aït- Âbbou (Souk-Sebt-des Aït-Âbbou) puis « s'installent entre l'Oued Beht et l'Oued Bir Charef, Daïet er Roumi et l'Oued Berrejline 207; les Messarhra et les Haouderrane les débordent au Nord et au Sud et s'installent dans les territoires où ils se trouvent encore aujourd'hui208. Le caïd fit construire sa maison sur l'Oued Tfaouti, à quelques kilomètres au Nord de Khmissète209. Les Bni-Ahsene, dépossédés d'une partie de leurs terres de cultures et dangereusement exposés aux coups des Zemmour, abandonnèrent la région comprise entre POued Bir-Charef et l'Oued Fouarate pour s'enfoncer dans la Mâmora et la déborder au Nord.
Autant que l'on puisse se hasarder à schématiser des poussées aussi diluées et aussi fertiles en perturbations locales, sans autres renseignements que ceux conservés par la mémoire des hommes, il semble que la migration des Zemmour ait suivi deux directions générales :
— un mouvement issu de la région comprise entre Khénifra et Mrirt, d'abord orienté vers l'Ouest jusqu'au Fourhal, puis vers le N.O., dans le sens général des vallées de l'Oued Ksiksou et de l'Oued Guennour (Haut Bou-Regreg) ;

d'éléments zaïans, et désireux de les intégrer davantage dans leur communauté, exigèrent d'eux une alliance solide. Ils épousèrent les filles des tentes Aït-Âmar et exigèrent des hommes le serment de ne pas quitter la région, ou plutôt, selon la formule employée, de « n'enlever pas même un piquet de tente ». Au bout d'un certain temps, les Aït-Feska voulurent revenir en pays Imazirhene, tout près d'eux d'ailleurs, de l'autre côté du Bou Eegreg. Une année, prenant pour prétexte la coutume de célégrer la fête du printemps, ils invitèrent leurs sœurs et leurs filles, mariées à des Zaër, aux réjouissances organisées à cet effet. Ils profitèrent de l'obscurité pour décamper et, afin de respecter leur serment, coupèrent les cordes des tentes et laissèrent en terre les piquets; ils réussirent ainsi à s'enfuir, en laissant cependant sur place les enfants issus de mères zaïanes et gardés dans les tentes paternelles.
Les Aït-Feska revinrent donc en pays berbère et occupèrent le « bled Khalia », le terrain demeuré vide au sud de la Mâmora, après le départ des Bni-Ahsene qui ne pouvaient plus en assurer la défense. Leur exil en pays Zaër fut d'assez courte durée et, assez proches du pays Zemmour, ils réussirent à garder leur langue et leurs coutumes. De nos jours encore, ils continuent à honorer Sidi-El-Rhazi, culte qu'ils partagent avec la souche mère des Aït-Âmar d'Oulmès 218. Ils passèrent par Ouljete-es-Soltane (près du Souk-el-Arbaâ des Sehoul), Aguibete-ez-Ziar, Moulay-Idriss-Arhbal, Sidi-Mahmoud. Ils s'installèrent devant les Aït-Zekri, dans le pays («bled Khalia») occupé actuellement par les Aït-Bou-Yahya, les Hejjama et les Aït-Belkassem. Les Aït-Feska se souviennent parfaitement des lieux qu'ils occupèrent à l'époque : Bir-Charef, O. Belkouche, Àïn-Nejjam,
O. El-Hamma; Sidi-Bou-Msafer, Talha-Dguig, Bir-ed-Doukkali, Âïn- Jorf, O. El-Arjate 214.
L'installation des Âït-Feska ne se fit pas sans difficultés, car les Aït-Zekri accueillirent mal ces nouveaux arrivés qui se plaçaient au-devant d'eux. Mais le caïd de l'époque, El-Rhazi, plus clairvoyant et plus fin politique, était favorable aux nouvelles tribus. Il réunit un jour sa « jemaâ » pour discuter de cette question :
Ce jour-là, dit la légende 215, la tempête faisait rage. Ne réussissant pas à convaincre ses frères, Si Ahmed fit relever les côtés de la tente et leur tint alors ce langage :
« Si vous voulez être à l'abri du vent, il vous faut interposer cette muraille entre lui et vous; pour nous, Berbères, les Zaër, les Sehoul,
les Âmeur, les Bni-Ahsene, Arabes, représentent la tempête menaçante; si vous voulez vous garder de leurs atteintes, laissez donc les
Bni-Âmeur s'interposer entre vous et eux; ils seront pour nous une muraille protectrice ». Ces paroles furent écoutées, les Bni-Ameur reconnurent l'autorité de Si-Ahmed-El-Rhazi, s'incorporant ainsi à la Confédération des Zemmour.
Les Aït-Affane (Kotbiyine, Mzourfa) finirent par rejoindre leurs frères Aït-Feska. Enfoncés plus profondément en pays Zaër, éloignés plus longtemps du pays berbère que les Aït-Feska, les « Affanis » s'arabisèrent et perdirent l'usage du berbère. De même, ils oublièrent le culte de Sidi-El-Ehazi pratiqué par leurs ancêtres. Mais ils revinrent en pays Imazirhene, occupèrent eux aussi le « bled khalia », et
se placèrent entre les Aït-Âli-ou-Lahsene et les Khazna. La fraction Oulad-Saïd, des Hejjama (eux-mêmes détachés des Kotbiyine), constitue un souvenir vivant de leur passage en pays Sehoul, avant leur arrivée au « bled Khalia » : elle passe pour descendre d'esclaves de
Sidi-Âbdelâziz-Ben-Slimane, dont le tombeau se trouve chez les Sehoul216.
Ainsi, le « bled Khalia », finit par aspirer deux groupements d'origine berbère, dispersés en pays Zaër, et se peupler de nouvelles tribus pastorales, se joignant aux Aït-Zekri, face à la forêt de la Mâmora 217.
3) La conquête de la Mâmora
La plaine conquise ne suffisait pas aux Zemmour, habitués à la vie pastorale et se sentant à l'étroit sur leurs terres. Toute proche, la Mâmora offrait des pâturages réputés, des vallées herbeuses et bi
arrosées, un couvert pour les animaux pendant la saison froide. Aussi les Zemmour eurent-ils bientôt pour but de s'approprier cette immense forêt-parc, en complément aux terres nouvellement occupées, afin de reprendre le rythme alterné des déplacements de troupeaux. De continuelles escarmouches les opposent dès lors aux Bni-Ahsene 218f 219.
a) Action à l'Ouest.
Les Bni-Ahsene, perdant peu à peu du terrain, décidèrent un jour de porter un coup d'arrêt à l'avance des Zemmour et se liguèrent avec les Zaër, les Sehoul et les Âmeur, quelques années avant la mort du Sultan Moulay-Hassan. Toutes les tribus Zemmour, faisant taire leurs querelles intestines, rassemblent alors leurs forces et envoient leur contingent de cavaliers à la « harka » commune, qui se constitue sur la rive gauche de l'Oued El-Arjate, vers 1892, après les labours. La rencontre eut lieu sur l'Oued-El-Arjate et les Zemmour battirent complètement leurs adversaires. Sehoul et Zaër traversèrent le Bou Regreg jusqu'à l'Oued El-Haba, près du Souk-el-Tleta des Sehoul; les Ameur et les Bni-Ahsene se réfugièrent sous les murs de Salé. Désormais Zaër et Sehoul ne prirent plus part aux combats et les Âmeur rejoignirent leur pays. Les BniAhsene évacuèrent totalement la forêt
et se tinrent au Nord d'une ligne Sidi-Âyache, Mechra-er-Remla (sensiblement la route de Kénitra à Sidi-Yahya du Rharb). La harka Zemmour des tribus de l'Oued Beht (Messarhra, Aït-Sibeur, Âït-Mi- moun) rentra chez elle et les autres cavaliers occupèrent la vallée du Fouarate jusqu'à El-Hammane, puis campèrent sur l'Oued Tiflete aux environs de Sidi-Âbderahmane.
b) Actions au centre.
Une seconde offensive des Bni-Ahsene produisit une nouvelle rencontre à Dar-Salem; battus cette fois encore, ils laissèrent une soixantaine de morts dans les jardins de l'Oued Tiflete et reculèrent jusqu'à Sidi-Yahya du Rharb, poursuivis par les Zemmour. Ces derniers profitèrent de leur victoire pour s'installer sur l'Oued Touirzate, entre Âïn-Âssou et Dayete-Touarfa, rejoints aussitôt par la harka des
Ahl-el-Oued, de nouveau accourue. Les Bni-Ahsene se replient alors sur le Beht.
Une nouvelle tentative des Bni-Ahsene déclenche une offensive vigoureuse des Zemmour qui bousculent leurs ennenmis et les poursuivent jusqu'à Lalla-Itto. Les Zemmour et Bni-Ahsene, respectivement sur le Touirzate et le Beht, s'observent. « A quelque temps de là, les Zemmour ayant appris qu'un gros campement Bni-Ahsene s'était installé à M'zouk, ils décidèrent de l'enlever. Laissant leurs tentes sur le Touirzate, ils partirent une belle nuit et, à la pointe du jour, sans avoir été éventés, tombèrent sur les douars, s'emparèrent des tentes ou les brûlèrent, emmenèrent un grand nombre de femmes et des provisions de toutes sortes. Après ce désastre, les Bni-Ahsene se réfugièrent sur la rive droite du Beht ».
c) Actions à l'Est.
La trêve des moissons terminée, les labours étant à peine commencés, le caïd Slimane, des Messarhra, provoque une nouvelle « harka », réunit les contingents près de Sidi-Moussa-el-Harati et descend la vallée du Beht. La « harka » rencontre les Bni-Ahsene en amont du confluent de l'Oued Merdja. « Le baroud dura trois jours consécutifs qui furent trois jours de victoire pour les Zemmour; le premier jour ils arrêtèrent l'offensive à Sidi-Boulbane (un peu au sud de Si-Mohammed-Chleuh) ; le second jour, ils débusquèrent les Bni-Ahsene de Dar-Bel-Hamri dont ils dévastèrent les contrées, les jardins et les silos; le troisième jour ils continuèrent leur poursuite jusqu'à l'emplacement du Souk-el-Arbaâ des Ouled-Yahya (Sidi-Sli- mane). A la suite de cette défaite, les Bni-Ahsene s'enfuirent jusqu'au Rdom puis décidèrent de s'incliner devant la force; ils envoyèrent alors des targuïba (sacrifices de taureaux) aux Zemmour qui rentrèrent chez eux. Pendant longtemps les Bni-Ahsene n'osèrent plus installer leurs douars au Sud de la ligne Kenitra-Lalla-Itto.
Ayant vaincu leurs ennemis à l'Ouest, au Centre, puis à l'Est, les Zemmour se considèrent désormais comme maîtres de la forêt. Les Bni-Âmeur demeurèrent au Nord de la Confédération en avant des Aït-Zekri et furent un peu considérés comme les régisseurs de la forêt ; devenus moualin el-rhaba (maîtres de la forêt) ils occupèrent donc la Mâmora en permanence et eurent le privilège de labourer les clairières et les vallées, tandis que les autres tribus y envoyaient seulement leurs troupeaux, sauf les Messarhra qui gardèrent un morceau de forêt. Protégés contre un retour offensif des Bni-Ahsene, assures
d'être accueillis en forêt par des amis, les tribus Zemmour conservent en toute tranquilité leurs terrains de culture sur le plateau. Les Bni- Ameur s'organisent peu à peu en forêt, face aux Bni-Ahsene, établissent des limites plus ou moins respectées ou plus ou moins définies, entretiennent des rapports variables selon les tribus. C'est à l'aube de ce nouvel équilibre des forces et de l'économie Zemmour que se produit l'intervention française.
4) Aspects de ces mouvements
a) Lenteur relative.
Après un séjour d'une cinquantaine d'années dans le Moyen Atlas Central, les Zemmour ont mis presque un siècle pour parvenir sur le plateau des Khmissète. Trente années d'escarmourches incessantes et quelques années de combats décisifs leur permettent de s'approprier les parcours qui leur font défaut et de conquérir la Mâmora. Pour avancer de 150 kilomètres environ à vol d'oiseau, les Zemmour connurent presque un siècle et demi de pérégrinations diverses. Cette lenteur relative dans l'avance exclut toute idée d'invasion massive, sous forme d'armée en marche. Les actions violentes ont certes joué un grand rôle et les derniers épisodes de l'installation des Zemmour en Mâmora offrent une image de conflits armés importants. Mais les tribus n'ont jamais d'objectifs lointains ni de plans à longue échéance ; dans ces sociétés moléculaires, les désirs sont à portée immédiate : la possibilité d'utiliser ou de garder un canton herbeux, l'attrait d'un butin bien visible, l'assouvissement d'une vengeance, la réparation d'un meurtre ou d'un affront. La lutte pour la conservation du petit groupe, dans une nature physique et sociale hostile, a dominé la vie des Zemmour, comme celle de toutes les tribus pastorales et transhumantes. Leur avance a été une longue fluctuation où des poussées ont été données ou reçues, mais où les raids ont été à courte échelle.
b) Formes de la progression.
La vie transhumante ou semi-nomade exige non seulement des mouvements entre des zones complémentaires d'agriculture et d'élevage, mais aussi une extrême dilution des groupements sociaux. Chacun d'eux exerçant une double activité à dominante plus ou moins agricole, selon les lieux et les temps, ne peut occuper simultanément ses deux autres aires d'activité; il compense alors par la
e
25 juillet 2010 16:49
je m'adresse à ayqvali le kabyliste ....Maintenant tu comprends pourquoi je n'ai pas besoin de tes tests genetiques? je descends des beni hsen qui ont été refoulé par les berberes zemmours au dela de la foret maamora...en deça des bni hsen ont été soumis au zemmours et donc berberisés....on peut les croiser à la region d'agouray tous les ans .....On peut demontrer à travers cette article que les arabes peuvent etre berberisés comme des berbere peuvent etre arabisés....Mais c'est uniquement le contexte geo historique qui peut demontrer notre origine. J'espere que tu as compris et garde ton projet genetique dans ta poche car peu de gens s'y interressent. wa salam
i
1 août 2010 18:58
Pour les tests génétiques,
C est évidemment une activité commerciale puisqu il y a une contrepartie consistante (50 % du SMIC marocain)

Mon commentaire;. Ce serait légitime si on avait la moindre garantie scientifique autre qu une promesse ou un papier
la garantie devra etre assurée par un controle rigoureux d un établissement compétent et neutre. .



Pour l'arabité ou berbérité des marocains
J ai un voisin né berberophone dans une zone bérbérophone à 100 pour 100.
En même temps lui et ses freres et cousins et neveux sont membres attitrés de la Ligue des idrissides (qui est officiellement reconnue et agréée par le makhzen chérifien). Certains d entre eux sont meme des membres influents

Mon commentaire. je préfere vous poser la question suivante
en admettant que l ancetre est réellement Moulay Idriss de Zerhoune. pour Idriss al azhar de Fes, N y avait il jamais de risque d"accidents de parcours dans cette lignée chérifienne?



Personnellement, je me sens marocain arabe car arabophone
mais je me sens bien plus proche de l amazighophone de l Aurès que du prétendu arabe du Hijaz ou du Koweit







.
e
2 août 2010 19:12
pas sur ils sont bouffes par du sang perse l ennemi des arabes
et du sang africain confere union avec des esclaves femmes
la tu rejete un point c'est que les arabes su maroc sont soit originaire du levant syrie essentiellement et de quraysch
et ensuite beaucoup de tribu sont de sang arabe
ft savoir qu'au debut du siecle des region comme la chaouia n'avait 300 000 habitant sur 4 millions
les zaers 50 000
doukkala 150 000
Abda 100 000 et le reste Haouz et tribu hassani et le gharb donc environ 800 milles à 1 Million de personnes sur 4 millions soit entre 20 et 25 % de la population. Après si tu decrete qu 'il y pas d'arabe alors t un menteur et tu refute la relaité historique

Apres faudrait aussi comptés le nombre de juif convertis, le nombre de renegat chretiens(espagnol, hollandais...) les anciens esclaves slaves
le maroc est divers mais unis
e
4 août 2010 14:01
Citation
elatrach a écrit:
pas sur ils sont bouffes par du sang perse l ennemi des arabes
et du sang africain confere union avec des esclaves femmes
la tu rejete un point c'est que les arabes su maroc sont soit originaire du levant syrie essentiellement et de quraysch
et ensuite beaucoup de tribu sont de sang arabe
ft savoir qu'au debut du siecle des region comme la chaouia n'avait 300 000 habitant sur 4 millions
les zaers 50 000
doukkala 150 000
Abda 100 000 et le reste Haouz et tribu hassani et le gharb donc environ 800 milles à 1 Million de personnes sur 4 millions soit entre 20 et 25 % de la population. Après si tu decrete qu 'il y pas d'arabe alors t un menteur et tu refute la relaité historique

Apres faudrait aussi comptés le nombre de juif convertis, le nombre de renegat chretiens(espagnol, hollandais...) les anciens esclaves slaves
le maroc est divers mais unis
SALAM frère
Tu as lu mon article? en faisant des recherches historiques approfondies, les test genetiques s'averent inutiles
Un petit commentaire: les habitants de chaouia par exemples sont pour la plupart des descendands de berberes arabisés avec une infimes partie de sang hilalien (banou hilal). ...
wa salam
F
7 décembre 2014 12:22
Votre porbleme est claire mais la veriter est autre de ce que vous croiyez.des testes de certains amies qui pensez etres arabe moi aussi on totalement choquer quand ils ont decouverts qu'ils portent une adn amazigh E1b1b1 M81 une surprise inattendue merci .
a
7 décembre 2014 17:07
Citation
Familie Charif a écrit:
Votre porbleme est claire mais la veriter est autre de ce que vous croiyez.des testes de certains amies qui pensez etres arabe moi aussi on totalement choquer quand ils ont decouverts qu'ils portent une adn amazigh E1b1b1 M81 une surprise inattendue merci .
C'est pas une surprise inattendue, quand on réfléchit un peu.
w
8 décembre 2014 14:23
Citation
allami78 a écrit:
C'est pas une surprise inattendue, quand on réfléchit un peu.

Salam

Faut pas se limiter à un gêne, il faut s'accrocher au gêne le plus important.

Le gêne originel, celui de nos aïeux les pères de l'humanité.

Comment peut on, on arriver à renier notre aïeux à des fin vil politique et de haine.

Toi chef d'état tu massacrerai pour un rien. Ill

Il est vrai que l'humanité partage des gênes en commun et surtout le gêne originel que tu dois détester au plus profond de toi.

Dans ton cas, un bon psy pour extirper toute cette frustrations et cette haine, trop longtemps digérer dans le plus profond de ton être.

Laisse un peu le peuple amazigh en paix, occupe toi de tes moutons ou autre ...
On ne t'as rien demandé.
a
8 décembre 2014 21:45
Citation
wakrim a écrit:
Salam

Faut pas se limiter à un gêne, il faut s'accrocher au gêne le plus important.

Le gêne originel, celui de nos aïeux les pères de l'humanité.

Comment peut on, on arriver à renier notre aïeux à des fin vil politique et de haine.

Toi chef d'état tu massacrerai pour un rien. Ill

Il est vrai que l'humanité partage des gênes en commun et surtout le gêne originel que tu dois détester au plus profond de toi.

Dans ton cas, un bon psy pour extirper toute cette frustrations et cette haine, trop longtemps digérer dans le plus profond de ton être.

Laisse un peu le peuple amazigh en paix, occupe toi de tes moutons ou autre ...
On ne t'as rien demandé.
désolé mais je n'ai rien compris a ce charabia !
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