" Inspiré par l’œcuménisme de la culture indienne, Hazrat Inayat Khan fit une adaptation du soufisme spécifiquement destinée aux chercheurs occidentaux. Il mit de côté, sans les nier, les liens avec toute confession spécifique et ouvrit les enseignements à tous. Il affirmait clairement que le soufisme n’exigeait pas d’adhérer à un dogme quelconque, au contraire, qu’il intensifie et rend réelle l’expérience spirituelle de tout chercheur en lui permettant de maintenir et d’approfondir sa foi d’origine. "
Pourquoi tu dis ça Wiskaro, le soufisme te ferait il peur ?
Il ne faut pas, pir Hazrat ne propose que d’approfondir sa propre foi, ‘sa foi d’origine’ comme il dit. Tu n’aurais pas peur de ça j’espère, c’est même ce que tu veux non, ce que tous les musulmans veulent ?
À moins que tu fasses partie de ceux qui s’interdisent de méditer et de réfléchir, j’en ai déjà vu sur ce forum ?
Le soufisme est la branche spirituelle de l’islam reconnue par tous dans le monde, ce serait dommage de ne pas s’en inspirer, surtout si on est musulman. Suivre le dogme apprendre le coran et les hadiths par cœur c’est très mais ça ne suffit pas, c’est d’abord en nous au plus profond de nous, au-delà de nous qu’on trouve Dieu – La vision Universelle est au delà de notre ego … Mais heureusement beaucoup vont plus loin que les limites que certains voudraient leur imposer et se laissent à écouter Dieu les guider. En fait beaucoup sont soufis sans en prendre l’étiquette, ce n’est pas important …
Citation Wiskaro a écrit: Non. Non. Et non.
Je suis un des fils de l’éternité de créations où je vis …
À l’avenir je ne me présenterai plus comme soufi sans dogme, c’est vrai qu’on a tous une ‘foi d’origine’ donc forcément c’est elle qu’on approfondit. Alors je suis un chrétien qui en plus est devenu soufi, en fait le christ a toujours été mon prophète favori, et j’ai été placé sous la protection de la vierge Marie ce n’est pas rien aussi …
" Inspiré par l’œcuménisme de la culture indienne, Hazrat Inayat Khan fit une adaptation du soufisme spécifiquement destinée aux chercheurs occidentaux. Il mit de côté, sans les nier, les liens avec toute confession spécifique et ouvrit les enseignements à tous. Il affirmait clairement que le soufisme n’exigeait pas d’adhérer à un dogme quelconque, au contraire, qu’il intensifie et rend réelle l’expérience spirituelle de tout chercheur en lui permettant de maintenir et d’approfondir sa foi d’origine. "
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