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TRIBU KA vs LDJ-Betar Round 2 : victoire par KO!
Récapitulatif de l’épisode précédent : face aux ratonnades anti-noires commises en toute impunité par la Ligue de Défense Juive et le Betar, la Tribu KA en accord avec ses principes Maâtique de droiture, vérité et justice, décida le vendredi 19 Mai de se rendre sur le lieu d’entraînement de ces deux milices juives habituellement si promptes à casser du nègre. Une fois sur place, les personnes présentes nous assurent n’avoir rien avoir à faire avec ces deux organisations. Devant tant de bégaiements, et dans le bénéfice du doute nous décidons de nous en tenir là.
L’information circulant, il n’en fallait pas plus pour que nos « terreurs » juives nous contactent par téléphone, proposant en guise de séance de rattrapage un nouveau rendez-vous pour ce dimanche. Comble suprême de la lâcheté et pensant sûrement nous intimider par ce choix, nos valeureux miliciens n’ont que pour seul lieu de rendez-vous à nous proposer, que celui de leur fief Rue des Rosiers. Quartier qui n’est rien d’autre qu’un mini « Tel Aviv sur Seine ». Stupéfait devant tant de « courage » et sans la moindre hésitation, nous acceptons leur « invitation ». Et les miliciens de l’ombre de nous promettre-toujours par coup de téléphones ou mails-, l’enfer…
Une fois n'est pas coutume, nous constatons arrivés sur place que face à la Tribu KA, aucun juif arpentant le quartier incriminé ne se présente dans son propre fief comme membre d'une de ces puériles milices que sont la LDJ et le Betar, pire encore, les voitures, scooters identifiés par nos sources comme étant celles utilisées par ces milices pour surveiller leur quartier font demi tour en nous apercevant... , C'est ainsi que devant tant de dérobades voir de silence (tout en étant présents) de la part de nos nervis juifs (plus prompt à jouer les terroristes par mail ou par téléphone), et une fois le sentiment acquis que le message était bel et bien passé, décision fut prise après 30 minutes d'une interminable et vaine attente Rue des Rosiers de lever camp.
De retour à notre local, nous constatons un exceptionnel comité d'accueil composé de 16 FOURGONS PLEIN DE 80 CRS nous attendant, prêt à nous interpeller.
Motif, trouble à l'ORDRE PUBLIC rue des Rosiers. L'interpellation dura 30 Minutes, jusqu'à ce que que le Fara Kémi Séba eut été entendu par le Commissaire Belamy sur les motifs de notre "visite", après quoi nous fûmes relâchés.
Admirons donc l'éthique de ces comiques du Betar et compagnie; Ils nous fixent rendez vous chez eux, mais ne se déclarent pas, visiblement effrayés, et ne trouvent rien de mieux à faire que d'appeler la police pour nous interpeller... Et dire que ces groupes ont terrorisé la France pendant des années, quelle comédie...
Soit,
La Tribu KA, organisation de libération du peuple kémite, n’étant pas un gang ni une bande, n’a pas pour vocation à jouer éternellement au jeu du chat et à la souris avec des milices juives qui le jour-j, relèvent plus de l’hologramme que de la réalité. Constatant l’incapacité de l’ennemi à honorer un rendez-vous dont il est pourtant lui-même l’instigateur, qui plus est sur ses propres terres, la Tribu KA concernant ces deux milices, considère le débat clos.
Toutefois, connaissant la fourberie habituelle des membres de la LDJ et du Betar, jamais aussi fort que lorsqu’il s’agit de fondre sur sa proie pour mieux l’attaquer par derrière, la Tribu KA avertit qu’elle ne tolérera (sous peines de nouveaux raids) pas la moindre agression sur l’un des membres de notre communauté.
Désormais, tenez-vous loin des nôtres, et ne vous avisez plus jamais de ratonner des noirs !
A ce sujet, nous publions un extrait de la newsletter d' "ISRAEL MAGAZINE" de ce Dimanche soir qui nous a été envoyé par une tierce personne relatant à leur façon notre sortie de cette après midi. Nous rappelons bien entendu que nous n’avions pour seule arme que notre détermination et notre désir d’en découdre avec ces milices sans le moindre usage de quelconques « barres de fer ».
Quant aux soits-disants « saluts nazis », « gilets pare-balles », etc…, tout droit sortis de l’imaginaire un peu trop fertile de nos « Spielberg » de la Rue des Rosiers, la ficelle de la calomnie semble tellement grosse qu’il convient de prendre ces mensonges éhontés avec la sagesse maâtique et l’amusement qui s’impose…
Voici le texte de propagande :
"Opération Commando anti juif dans le Marais
Comment 40 Hommes de race noire habillés en paramilitaire, mesurant tous au moins 1mètre 90, la fameuse tribu Ka, les Kémites Athoniens, ont traversé aujourd'hui tout Paris à pied, ont fait une descente dans le quartier juif de la Rue des Rosiers et ont menacé, armés de barres de fer pour certains et d'autres protégés par des gilets pare-balles et des protège-dents, des passants juifs et des touristes de passage.
« On va vous karchériser, où est le Bétar, où sont les milices juives ? », ont-ils crié aux passants !
Pas de policiers, pas de CRS ! Un policier qui était questionné sur le vide policier a déclaré que c'était un ordre venu d'en haut.
Le SPCJ (Service de protection de la communauté juive), le Betar et la LDJ (Ligue de défense juive) sont arrivés sur les lieux mais ces milices (...) avaient disparu. Des témoins affirment avoir été traumatisés par une attitude qui aurait pu dégénérer en tuerie"
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Un ancien du Betar parle
Le site Recherche sur le terrorisme a récemment publié un texte fort intéressant intitulé "Un ancien du Betar parle". On le trouvera repris ci-dessous :
Dans les quartiers de Paris à forte concentration juive, il existe des milices. Si vous cherchez une adresse dans ces secteurs, simplement si vous y flânez, immanquablement quelqu'un vous accostera pour vous demander ce que vous voulez. Aux terrasses des cafés de la rue des Rosiers, on voit des bandes de jeunes aux cheveux gominés scruter la foule. Qu'un groupe de trois ou quatre Maghrébins passe par là et ils enfourchent leurs scooters et l'encerclent. Histoire de jalonner " leur " territoire. Le Bétar, fondé en 1929 par un sioniste radical, Vladimir Jabotinsky, et la LDJ (2), qui s'inspire de l'idéologie du rabbin Meir Kahana (2), fournissent les troupes de choc de ces milices.
Dans un article précédent, Ali Khodja avait enquêté chez les islamistes radicaux . Cette fois, il a interviewé un ancien membre du Bétar.
Mickael Toledano, un costaud de type méditerrannéen qui se donne des airs de dur de banlieue. Il m'a donné rendez-vous dans un bistro de la rue des Blancs-Manteaux (Paris IVème). " Quand j'étais môme, commence-t-il, mon père m'avait inscrit dans une école juive. Le grand frère d'un copain faisait partie du Tagar. Il nous attendait à la sortie pour nous parler des entraînements aux arts martiaux. Il nous vantait les vacances organisées en Israël, la pratique du Krav Maga(1). Il nous parlait de l'antisémitisme grandissant.La France s'arabisait, nous disait-il, il fallait que les juifs de ce pays se protègent et se battent s'il le fallait. Moi, je trouvais cela super. J'en ai parlé à mes parents. Au début, ils n'étaient pas très convaincus. Puis, un soir, nous sommes tous allés dîner avec les parents de mon copain. Devant la famille de celui-ci, à table, mon père m'a donné l'autorisation de rentrer au Tagar. Il avait été convaincu.
Ali Khodja : Comment devient-on membre du Bétar ?
Mickael Toledano : Tout repose sur la résistance à la douleur. Il faut apprendre à encaisser les coups. On est alors jugé apte à aller plus loin dans le mouvement. Pour ma part, j'ai eu la possibilité de m'entraîner du côté de Pontoise avec la LDJ (2) pour apprendre la guérilla. J'ai même appris à porter des coups mortels au Krav Maga (1). Nous apprenions ça au cas où nous aurions à appuyer l'armée israélienne pendant les combats. Je crois même que c'était l'État français qui finançait ces stages.
A.K : Avez-vous exécuté des missions pour le Bétar ?
M.T : Nous nous postions devant les synagogues et les écoles juives pour transmettre le message que nous avions reçu plus jeunes. Il fallait parler de sport et insister sur notre sentiment d'appartenance à une communauté qui doit se protéger. On expliquait aussi l'importance de l'alya (3).
A.K. : C'est tout ?
M.T. : Il y avait aussi des actions plus musclées, comme la protection des manifestations. On débarquait en scooter, casques sur la tête. On encerclait les opposants à nos idées et, à coups de matraque ou à mains nues, on les tabassait. J'ai participé à plusieurs actions dont la presse a parlé. Aujourd'hui, à cause de ça, je suis sous contrôle judiciaire pour violence en réunion. J'attends le jugement. J'espère bénéficier d'un sursis. Mais on ne sait jamais. Une chose est sûre, je laisse tomber. J'ai compris que les cadres du Bétar nous bourrent le crâne et nous manipulent. Je me prenais pour un modèle de la communauté. En fait, les autres juifs ne nous aiment pas. Ils nous fuient même (4).
A.K : Comment expliquez-vous la liberté d'action laissée par l'État français à des organisations comme le Bétar ?
M.T. : C'est simple, le Bétar, comme la LDJ, se servent de l'antisémitisme. Les agents de l'État ont peur, s'en prenant à ces organisations, de se faire taxer d'antisémitisme. Et puis, ils ne peuvent rien contre l'organisation de voyages en Israël ou des activités culturelles destinées aux jeunes juifs. Le Bétar et la LDJ occultent leurs activités violentes. De plus, ils sont toujours prêts à mettre en avant que se défendre est un droit.
A.K. : Combien le Bétar et la LDJ (2) comptent-ils de membres ?
M.T : Personnellement, j'en connais une centaine. On dit qu'ils seraient 300 à 500 miliciens.
NOTES (1) en hébreu, " combat-rapproché, " technique de combat créée par les sionistes.
(2) " Ligue de Défense Juive. " Le rabbin Meir Kahana est le fondateur de l'organisation extrémiste sioniste Kach. Il est mort assassiné dans un hôtel de New York. La LDJ est interdite aux États-Unis et au Canada. Pas en France !
(3) Pour un juif de la diaspora, le fait de s'installer en Israël.
(4) Le Bétar est néanmoins cité de manière favorable, comme une organisation de jeunesse juive, dans l'hebdomadaire " Actualité Juive ".
www.geostrategie.com
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Final Cut a écrit:
La tribu ka a tenu plusieurs réunions dans le théâtre de Dieudonné. .
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Iron-man a écrit:
Ps:je parle de "bétar" et cie bien sur!
On sait bien qu il n y a que des "bétasses" chez eux
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a écrit:
le Ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy aurait déclaré au président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) Roger Cukierman, qu'il recevait Place Beauveau, vouloir prendre des mesures contre les membres de la Tribu Ka. Un empressement bienvenu mais qui contraste avec l'absence consternante de poursuite contre les extrémistes de la Ligue de défense juive, pourtant impliqués dans plusieurs actions violentes.
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a écrit:
"Nous condamnons tout acte raciste"
NOUVELOBS.COM | 30.05.06 | 16:32
par Yaakov, responsable du Bétar
La Tribu KA affirme avoir agi à la suite à d'agressions de noirs lors de la manifestation à la mémoire d'Ilan Halimi. Avez-vous eu connaissance de tels incidents ?
- Je souhaiterais tout d'abord apporter un droit de réponse à l'article de nouvelobs.com d'hier qui nous présentait comme un mouvement extrémiste et violent: le Bétar n'approuve pas, et dénonce, tout acte à connotation raciste commis à l'encontre d'une quelconque communauté. Notre seul but est la défense de la communauté juive et d'Israël.
Maintenant, concernant la manifestation à la mémoire d'Ilan Halimi, il faut savoir que le Bétar n'avait pas spécifiquement appelé à manifester ce jour-là et que nos militants s'y sont rendus à titre individuel. Mais, après en avoir parlé avec eux, aucun n'a constaté d'agression raciste ou de débordement et, surtout, aucun d'entre eux ne saurait participer à de tels actes. Et s'il est avéré que ces actes ont bel et bien eu lieu, bien entendu nous les condamnerons vigoureusement.
Avant l'incident de dimanche dernier, la Tribu KA affirme avoir eu au téléphone des personnes se présentant comme membres de la Ligue de défense juive (LDJ) et du Bétar et les "invitant" à se rendre rue des Rosiers pour en découdre. La LDJ a d'ailleurs publié un communiqué assez provocateur intitulé "Blanc de peur!". Confirmez-vous ces contacts ?
- Je le démens formellement nous concernant. Concernant la LDJ, je ne peux pas être au courant. La LDJ n'est pas le Bétar et nous n'avons aucun rapport. Je ne connais d'ailleurs pas les membres de ce mouvement et aucun de nos militants n'en fait partie. C'est pour nous une condition sine qua non. Cela peut peut-être paraître une ligne "dure", mais nous ne partageons pas nos idées avec d'autres mouvements et nous n'avons donc aucun contact avec la LDJ.
Mais, de toute manière, nous condamnons toute violence et tout discours violent et raciste. Notre travail est avant tout éducatif et idéologique et nous n'avons, je le répète, aucun rapport avec ces affaires.
Comment comptez-vous réagir ? Comment éviter que la situation ne dégénère ?
- Je pense que c'est d'abord aux pouvoirs publics de réagir.
Si nous sommes attaqués physiquement, nous utiliseront bien entendu notre droit à la légitime défense, mais pour l'instant ce n'est pas le cas et, encore une fois, la violence ne fait pas partie de la politique du Bétar. Pour l'instant, il faut laisser la police faire son travail.
Nous appelons également à ne pas faire d'amalgame. Le Bétar souffre malheureusement d'une mauvaise image de marque qui n'est pas justifiée. Notre travail est un travail éducatif, de défense de la communauté juive et du sionisme. Nous sommes un mouvement qui n'est ni raciste ni xénophobe, et nous condamnons tout acte de violence. Le peuple juif, de par son histoire et les souffrances qu'il a endurées, ne peut devenir un peuple à consonance raciste.
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a écrit:
"La LDJ et le Bétar nous ont ouvertement invités"
NOUVELOBS.COM | 30.05.06 | 15:11
par Sémi Kéba, leader de la Tribu KA
Quelle est votre version des faits concernant votre opération de dimanche dernier rue des Rosiers ?
- Notre version est simple: nous nous sommes déplacés, non pour faire une "chasse aux juifs" comme on peut l'entendre aujourd'hui, mais pour chercher les responsables de groupes extrémistes qui se sont rendus coupables de ratonnades à l'encontre de noirs lors de la manifestation à la mémoire d'Ilan Halimi.
Nous savions que ces personnes se trouvaient rue des Rosiers et nous nous sommes déplacés comme des hommes, sans armes, pour demander des comptes et que justice soit faite pour les noirs qui ont été frappés et dont les agresseurs semblent bénéficier d'une totale impunité dans ce pays.
J'affirme qu'il n'y a eu aucun slogan antisémite scandé et qu'aucun de nous n'était armé. Ce que d'ailleurs a confirmé la police qui nous a contrôlés. Je pense que l'on peut également faire confiance aux Renseignement généraux qui étaient très largement présents ce jour là, en civil, et qui auraient pu très bien nous interpeller.
Nous nous sommes rendus rue des Rosiers simplement pour demander des comptes à la LDJ et au Bétar, deux organisations extrémistes qui poignardent et tabassent des noirs sans qu'il n'y ait aucune réaction de la part des pouvoirs publics.
Que s'est-il passé exactement lors de la manifestation pour Ilan Halimi ? Votre opération de dimanche intervient après une précédente action au cours de laquelle vous vous étiez rendus dans une salle de sport afin d'y trouver des membres de la LDJ et du Bétar. La LDJ vous avait répondu dans un communiqué intitulé "Blanc de peur!". Ne craignez-vous pas d'envenimer les choses en leur répondant ?
- Lors de ce défilé [pour Ilan Halimi, ndlr] des membres de la LDJ et du Bétar s'en sont sauvagement pris à tout ce qui n'était pas juif. Et donc, en ce qui nous concerne, à des noirs. Il était de notre devoir de leur faire comprendre qu'on ne peut pas toucher un noir impunément.
Après notre première action dans leur salle d'entraînement, nous avons effectivement reçus des appels de personnes se présentant comme membres de la LDJ et du Bétar.
Ces personnes nous ont ouvertement invités à venir rue des Rosiers, nous affirmant qu'elles seraient là, prêtes à nous recevoir.
Tout le monde connaît les agissements de ces groupes dont la liste des exactions ne tiendrait pas dans une encyclopédie. Mais personne n'intervient. Nous ne sommes plus des sous-hommes et je ne crois pas que répondre à ce type de personnes soit agir en provocateur. Nous nous sommes déplacés les mains nues, simplement en hommes, et pas en lâches.
Nicolas Sarkozy entend demander la fermeture de votre site, qui dès aujourd'hui n'est plus disponible, l'accusant de propager un message antisémite. Qu'en est-il exactement ?
- Notre site a été fermé sur ordre de Nicolas Sarkozy sans aucune justification ni avertissement alors que ceux de la LDJ et du Bétar continuent encore aujourd'hui de diffuser leurs messages. On se croirait en URSS ou en Afrique du Sud!
Concernant les accusations d'antisémitisme, si c'est être antisémite que de pointer certaines parties d'une religion qui ont servi de justification à l'oppression d'un peuple, alors oui, nous le sommes.
En l'occurrence, dans la torah, il y a des passages, par ailleurs repris par la religion catholique, sur la "malédiction de Cham", le fils de Noé puni par Dieu, qui ont permis d'asseoir l'esclavage. C'est tout ce que nous disons et je ne vois pas ce qu'il y a là d'antisémite.
Mais je pense que toute cette affaire est, au fond, une extraordinaire occasion pour nous d'exposer nos idées sur la place publique. Ceux qui nous accusent vont rapidement se rendre compte qu'ils sont face à des gens qui ont étudié leur histoire et qui savent de quoi ils parlent. Ces personnes nous offrent une extraordinaire tribune et ceux qui nous ont calomniés vont devoir payer. J'espère que tous les journalistes qui ont affirmé que nous avions proféré des menaces antisémites ont de bons avocats car nous comptons bien les attaquer pour diffamation.