Heureusement que le nain de jardin part bientôt car c'est les petites entreprises qui paient les charges sociales et qui font tourner le pays ; Donc on va droit dans le mur.
Il est possible de créer des tontines et des banques coopératives.
Le système des tontines est à la base de la réussite des Chinois et d'autres Asiatiques.
Parmi les banques coopératives, la Banque WIR est intéressante.
Ce que l'entrepreneur aborde aussi, c'est la sinistrose qu'on trouve en France (et, dans une moindre mesure, dans toute l'Europe): Depuis la crise pétrolière de 1975, on raconte que tout va mal: C'est un bruit de fond qui pollue tout. Par exemple: Les écolos-pastèques n'arrêtent pas de brailler que c'est la fin du monde, parce que foutre la trouille aux gens est leur fond de commerce. L'extrême-Droite en remet une couche, en prétendant que les retraites ne seront jamais payées (quoique: C'est ce qui est prétendu depuis que la plupart des systèmes de retraites existent)
Les attaques concernant les retraites sont plus récentes que le lent minage pratiqué par les Gauchistes et les Écolos-pastèque. La politique du pire est intrinsèque au Marxisme, car le but est de faire pourrir la société, dans l'attente hypothétique qu'elle s'effondre.
Dans ces circonstances, chacun cherche à sauver les meubles et ne prend plus aucun risque. On peut même dire que les investisseurs solvables qui investissent dans l'économie réelle sont des héros des temps modernes. Pas besoin d'être riche pour investir localement: Celui qui fait travailler un artisan local et le paie fournit de l'emploi.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt.
Les chiens aboient, la caravane passe.
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Eh oui, on fait peur aux gens pour maintenir une politique au rabais : ça permet de donner très, très peu (avec la peur du lendemain, les gens sont trop contents du peu qu'ils ont et s'y accrochent comme des "morts de faim", de payer les gens au rabais, de toujours leur demander plus et plus et de leur faire accepter le pire, de créer la division et le chacun pour soi (comme en tant de guerre finalement). Stratégie. Pendant ce temps, les nantis et ceux qui ont les clés de l'économie, du politique, des finances etc peuvent continuer à s'en mettre les poches, font autant de c.... ds leur gestion qu'ils veulent et être incompétents ss que personne ne leur dise rien, détourner, falsifier, mentir etc... Et si le peuple en a trop marre ou si la mauvaise gestion fait couler le pays ou l'économie mondiale, on lui donne un os à ronger, une victime désignée (suivant les époques, il change mais c'est toujours l'étranger ou le plus démuni, le plus faible....) sur qui se défouler pour détourner l'attention et l'agressivité. Pratique et politique bourgeoise de management (les étudiants en management l'apprennent d'ailleurs, c'est le b-a-ba) qui ont existé depuis toujours, surtout depuis la chute des royautés et l'avènement de la grande bourgeoisie ds la direction du pays, un peu la politique de la terre brûlée. La grande bourgeoisie arrive ainsi à garder ses billes et à s'enrichir, faisant porter et tourner le système social par les petites et moyennes classes par un système de promotion sociale des petites classes qui deviennent des moyennes classes et qui portent les petites et ainsi de suite, ça s'auto-régénère, avec l'illusion que c'est grâce à cette grande bourgeoisie. Malin comme système mais qui est entrain de se casser la figure, puisque de plus en plus de personnes ne sont plus dupes ; la banque est un faux problème : j'ai une amie conseillère à la banque qui est autant pressurisée que nous et se retrouve aussi à la solde de ces détenteurs de gros capitaux qui jouent avec les systèmes banquiers.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 16/04/11 18:31 par azzzozza.
, de payer les gens au rabais, de toujours leur demander plus et plus et de leur faire accepter le pire, de créer la division et le chacun pour soi (comme en tant de guerre finalement). Stratégie. 
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