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Les musulmans de France sont bien intégrés à la société
k
11 janvier 2011 12:11
Hypocondriaque, ou réellement malade, et même gravement ? Régulièrement, la France a la fièvre et gémit : si elle souffre, c'est la faute aux étrangers. Plus précisément, aux musulmans - qui, paraît-il, ne s'"intègrent" pas et, pis, menacent l'"identité nationale".

Mais que signifie ce diagnostic ? Qu'est-ce qu'un musulman "intégré" ? Un musulman qui parle le français ? C'est le cas de la majorité, qui le parle fort bien, et bien mieux que le président de la République. Un musulman qui boit l'apéro ? Il y en a, comme il y a des Français qui n'en boivent pas. Un musulman qui mange du porc ? Mais bien des Français préfèrent le poulet ou le poisson. Un musulman monogame ? Mais quasiment tous le sont, et de nombreux Français sont officieusement bi- ou trigames, sinon plus...

Arrêtons cet inventaire absurde : l'intégration n'est qu'un pseudo-concept, ou un concept-prétexte, qui dit autre chose que ce qu'il semble dire. Et quelque chose que, de nos jours, il n'est pas plaisant, il est même dangereux d'avouer : le racisme est un délit. Alors, autant jouer sur les mots, ou avec, et parler d'intégration, ou de non-intégration : une façon, socialement acceptable et politiquement correcte, d'exprimer son rejet de l'autre. Son racisme.

Même surdiplômé et "bien sous tous rapports", un musulman reste en effet un musulman et, si aucune bizarrerie ne révèle cette "musulmanité", elle est quand même là, en lui, invisible, certes, mais capable, on ne sait jamais, de se manifester : quand on s'appelle Mustapha Kessous, un journaliste du Monde, on n'est pas vraiment "intégré". Ni "intégrable". Et même si l'on sort de Sciences Po, on a du mal à se faire embaucher.

Reprocher aux musulmans de n'être pas, ou pas assez, intégrés n'a qu'un sens : c'est leur reprocher d'être ce qu'ils sont. Et d'être de trop chez nous. Le rejet des musulmans n'est qu'une variante, la variante actuelle, d'une constante nationale : le rejet de l'étranger, que Montaigne, il y a plus de quatre siècles, dénonçait déjà.

Un étranger qu'ont représenté les Noirs - longtemps interdits de séjour en "douce France", les Russes ("Grattez le Russe, vous trouvez le Tatar", fait dire Dostoïevski aux Français), les Polonais, auxquels les Lillois et autres "nordiques" reprochaient de n'être pas de "vrais" catholiques, les juifs, expédiés à Auschwitz, les musulmans, confinés dans des cités poubelles : tout au long de leur histoire, les Français, comme bien d'autres peuples, évidemment, se sont inventé des boucs émissaires qu'ils accusaient de tous les maux et badigeonnaient de leurs fantasmes.

Parmi ces fantasmes : cette "menace" que les musulmans, assure-t-on, font peser sur "nos valeurs". Mais là encore, lesquelles ? On est ici en plein déni. Et en pleine projection.

Déni : "Liberté, Egalité, Fraternité" ne sont jamais descendues du frontispice des mairies et moins que jamais elles n'informent ni ne structurent les réalités de la société française. La liberté reste celle du renard dans le poulailler, l'écart ne cesse de croître entre riches et pauvres, de plus en plus de citoyens perdent logement et travail, les classes moyennes ne cessent de s'appauvrir et l'école n'a qu'une fonction : dégager une élite, en laissant en friche des centaines de milliers de potentialités.

La laïcité bat de l'aile : un curé est mieux placé qu'un instituteur, déclare le président de la République, pour former la conscience des enfants, et la fraternité n'a jamais été qu'un beau rêve. Nos valeurs menacées par les musulmans ? Mais nous sommes les premiers à les bafouer !

Quant au non-respect des femmes, qu'on leur reproche souvent par projection inconsciente, c'est d'abord notre société qu'il convient d'accuser. Une société toujours très patriarcale, profondément conservatrice et machiste, qui tient la majorité des femmes à la lisière des postes de direction et de représentation.

Pis, une société incapable de les protéger : chaque jour, 200 femmes sont violées (654 000 en 2010, soit 25 % de plus qu'en 2009), tous les deux jours et demi, une femme meurt d'avoir été battue. Plutôt que de le reconnaître et, surtout, de mettre en oeuvre une politique qui protège la vie - le droit à la vie - et l'intégrité de la moitié de la population française, on part en guerre contre la burqa !

S'indigner, comme le demande Stéphane Hessel ? Sans doute. Et dénoncer. Et s'insurger. Mais, dans l'aboulie générale qui caractérise cette société, où, "à droite comme à gauche, l'enjeu est de servir les droits acquis plutôt que de développer ceux de demain", il est peu probable que se dissipent bientôt les fantasmes à travers lesquels on perçoit les musulmans et à cause desquels on s'interdit de comprendre à quel point la plupart d'entre eux sont parfaitement intégrés dans la société française.
Maurice T. Maschino, journaliste-écrivain

source :

[ le monde]
b
13 janvier 2011 19:04
Intégrés en apparence et seulement en apparence ...
l'Islam hors des pays de l'Islam est perçu par le non musulman chrétiens ou athées, comme ennemi des idées imposées tout au long des siècles par les promoteurs de la chrétienté que furent des rois, papes, chevaliers et aujourd'hui gens de la politiques extrêmes ou modérés.
L'Islam est devenue la religion gênante pour les puissants de l'occident et les peuples occidentaux les plus neutres adhèrent à cette idée, si bien que quotidiennement à travers le monde musulman les agressions et occupations de pays de l'Islam sont devenues routines et justifiées.
Il faut dire que depuis les années 67, hormis les mouvances terroristes rouges de mode contestataire (allemandes, italiennes, japonaises, sud-américaines disparues à ce jour), le terrorisme moyen-oriental sévissant sur certains territoires européens neutres et non concernées par les problèmes a convaincu les peuples non musulmans d'occident que l'ennemi aveugle qui s'en prenait à des citoyens dans les rues, les transports, les stades, les écoles était musulman et que par conséquent l'Islam est à l'origine du mal.
Il devient extrêmement difficile de faire accepter l'idée que l'Islam dans sa réelle configuration est religion de paix et de non-violence à des hommes et femmes qui lors d'un attentat aveugle commis depuis Abou-Nidal et Arrafat jusqu'à nos jours par des forces cachées qui combattent sur des terres non concernées par leurs revendications.
Le futur a des augures tristes pour le musulman hors des patries de l'Islam, sous le silence des chrétiens et des autres qui pour l'instant demeurent encore discrets et sans se prononcer, germe la réaction de ras le bol à l'échelle planétaire parce que des soit-disant musulmans se sont cru assez fort pour semer la terreur aveuglément partout cachés derrière des nappes de tables aux impressions barbelé et jetant le discrédit sur des milliards d'individus et faisant payer leurs fanfaronnades à tout arabe musulman exilé hors des terres de l'Islam.
Allah nous préserve des amalgames et fasse que tous les humains nos frères sachent faire la différence entre gens de biens et ceux agissant pour le compte du malin.
a
14 janvier 2011 18:22
Citation
koulchikayn a écrit:
Hypocondriaque, ou réellement malade, et même gravement ? Régulièrement, la France a la fièvre et gémit : si elle souffre, c'est la faute aux étrangers. Plus précisément, aux musulmans - qui, paraît-il, ne s'"intègrent" pas et, pis, menacent l'"identité nationale".

Mais que signifie ce diagnostic ? Qu'est-ce qu'un musulman "intégré" ? Un musulman qui parle le français ? C'est le cas de la majorité, qui le parle fort bien, et bien mieux que le président de la République. Un musulman qui boit l'apéro ? Il y en a, comme il y a des Français qui n'en boivent pas. Un musulman qui mange du porc ? Mais bien des Français préfèrent le poulet ou le poisson. Un musulman monogame ? Mais quasiment tous le sont, et de nombreux Français sont officieusement bi- ou trigames, sinon plus...

Arrêtons cet inventaire absurde : l'intégration n'est qu'un pseudo-concept, ou un concept-prétexte, qui dit autre chose que ce qu'il semble dire. Et quelque chose que, de nos jours, il n'est pas plaisant, il est même dangereux d'avouer : le racisme est un délit. Alors, autant jouer sur les mots, ou avec, et parler d'intégration, ou de non-intégration : une façon, socialement acceptable et politiquement correcte, d'exprimer son rejet de l'autre. Son racisme.

Même surdiplômé et "bien sous tous rapports", un musulman reste en effet un musulman et, si aucune bizarrerie ne révèle cette "musulmanité", elle est quand même là, en lui, invisible, certes, mais capable, on ne sait jamais, de se manifester : quand on s'appelle Mustapha Kessous, un journaliste du Monde, on n'est pas vraiment "intégré". Ni "intégrable". Et même si l'on sort de Sciences Po, on a du mal à se faire embaucher.

Reprocher aux musulmans de n'être pas, ou pas assez, intégrés n'a qu'un sens : c'est leur reprocher d'être ce qu'ils sont. Et d'être de trop chez nous. Le rejet des musulmans n'est qu'une variante, la variante actuelle, d'une constante nationale : le rejet de l'étranger, que Montaigne, il y a plus de quatre siècles, dénonçait déjà.

Un étranger qu'ont représenté les Noirs - longtemps interdits de séjour en "douce France", les Russes ("Grattez le Russe, vous trouvez le Tatar", fait dire Dostoïevski aux Français), les Polonais, auxquels les Lillois et autres "nordiques" reprochaient de n'être pas de "vrais" catholiques, les juifs, expédiés à Auschwitz, les musulmans, confinés dans des cités poubelles : tout au long de leur histoire, les Français, comme bien d'autres peuples, évidemment, se sont inventé des boucs émissaires qu'ils accusaient de tous les maux et badigeonnaient de leurs fantasmes.

Parmi ces fantasmes : cette "menace" que les musulmans, assure-t-on, font peser sur "nos valeurs". Mais là encore, lesquelles ? On est ici en plein déni. Et en pleine projection.

Déni : "Liberté, Egalité, Fraternité" ne sont jamais descendues du frontispice des mairies et moins que jamais elles n'informent ni ne structurent les réalités de la société française. La liberté reste celle du renard dans le poulailler, l'écart ne cesse de croître entre riches et pauvres, de plus en plus de citoyens perdent logement et travail, les classes moyennes ne cessent de s'appauvrir et l'école n'a qu'une fonction : dégager une élite, en laissant en friche des centaines de milliers de potentialités.

La laïcité bat de l'aile : un curé est mieux placé qu'un instituteur, déclare le président de la République, pour former la conscience des enfants, et la fraternité n'a jamais été qu'un beau rêve. Nos valeurs menacées par les musulmans ? Mais nous sommes les premiers à les bafouer !

Quant au non-respect des femmes, qu'on leur reproche souvent par projection inconsciente, c'est d'abord notre société qu'il convient d'accuser. Une société toujours très patriarcale, profondément conservatrice et machiste, qui tient la majorité des femmes à la lisière des postes de direction et de représentation.

Pis, une société incapable de les protéger : chaque jour, 200 femmes sont violées (654 000 en 2010, soit 25 % de plus qu'en 2009), tous les deux jours et demi, une femme meurt d'avoir été battue. Plutôt que de le reconnaître et, surtout, de mettre en oeuvre une politique qui protège la vie - le droit à la vie - et l'intégrité de la moitié de la population française
, on part en guerre contre la burqa !

S'indigner, comme le demande Stéphane Hessel ? Sans doute. Et dénoncer. Et s'insurger. Mais, dans l'aboulie générale qui caractérise cette société, où, "à droite comme à gauche, l'enjeu est de servir les droits acquis plutôt que de développer ceux de demain", il est peu probable que se dissipent bientôt les fantasmes à travers lesquels on perçoit les musulmans et à cause desquels on s'interdit de comprendre à quel point la plupart d'entre eux sont parfaitement intégrés dans la société française.
Maurice T. Maschino, journaliste-écrivain

source :

[ le monde]

Excellent article qui résume parfaitement la situation et je le constate tous les jours. Je suis très pessimiste qd à l'avenir, il n'y a que plus de fermeture et de crispations. Tout cela ne peut que mal finir.
S
14 janvier 2011 22:33
Je déteste lorsqu'on emploi le mot "intégrer"... Vraiment je ne supporte pas...

En quoi, nous, originaire du Maghreb, devons nous intégrer dans le pays - cad la France - dans lequel nous sommes né ou voir grandi ?

Ne serais-ce pas aux français de nous accepter tel que nous sommes - cad accepter notre religion - tout comme nous acceptons leurs croyances, leurs cultures et leurs traditions ?

S'intégrer se définit-t-il par le simple fait de ne pas être différent des français ? Le sommes-nous ? Ou simplement ce qu'ils leurs dérange c'est la religion que nous adhérons -cad l'islam - et que pour eux la définition de "s'intégrer" se résume à adopter leurs croyances et traditions ?

Ou utiliser ce mot "intégration" serait simplement un terme qui sous entend, en réalité, un sentiment raciste ? Car le fait même de "s'intégrer" ferme les portes à toutes autres traditions et croyances d'autres cultures...

Vraiment très intéressant cet article...
Merci
n
15 janvier 2011 15:39
Citation
samma a écrit:
Je déteste lorsqu'on emploi le mot "intégrer"... Vraiment je ne supporte pas...

En quoi, nous, originaire du Maghreb, devons nous intégrer dans le pays - cad la France - dans lequel nous sommes né ou voir grandi ?

Ne serais-ce pas aux français de nous accepter tel que nous sommes - cad accepter notre religion - tout comme nous acceptons leurs croyances, leurs cultures et leurs traditions ?

S'intégrer se définit-t-il par le simple fait de ne pas être différent des français ? Le sommes-nous ? Ou simplement ce qu'ils leurs dérange c'est la religion que nous adhérons -cad l'islam - et que pour eux la définition de "s'intégrer" se résume à adopter leurs croyances et traditions ?

Ou utiliser ce mot "intégration" serait simplement un terme qui sous entend, en réalité, un sentiment raciste ? Car le fait même de "s'intégrer" ferme les portes à toutes autres traditions et croyances d'autres cultures...

Vraiment très intéressant cet article...
Merci

tu as raison
c est pas a nous de nous integrer c est a eux d accepter nos diferentes cultures et notre religion qui est diferente de la leur
15 janvier 2011 15:45
Citation
nabil-alg a écrit:
Citation
samma a écrit:
Je déteste lorsqu'on emploi le mot "intégrer"... Vraiment je ne supporte pas...

En quoi, nous, originaire du Maghreb, devons nous intégrer dans le pays - cad la France - dans lequel nous sommes né ou voir grandi ?

Ne serais-ce pas aux français de nous accepter tel que nous sommes - cad accepter notre religion - tout comme nous acceptons leurs croyances, leurs cultures et leurs traditions ?

S'intégrer se définit-t-il par le simple fait de ne pas être différent des français ? Le sommes-nous ? Ou simplement ce qu'ils leurs dérange c'est la religion que nous adhérons -cad l'islam - et que pour eux la définition de "s'intégrer" se résume à adopter leurs croyances et traditions ?

Ou utiliser ce mot "intégration" serait simplement un terme qui sous entend, en réalité, un sentiment raciste ? Car le fait même de "s'intégrer" ferme les portes à toutes autres traditions et croyances d'autres cultures...

Vraiment très intéressant cet article...
Merci

tu as raison
c est pas a nous de nous integrer c est a eux d accepter nos diferentes cultures et notre religion qui est diferente de la leur

et+
si les mérites de tout sorte pouvais arrêter les cours des années je ne vieillirai jamais mais puisqu'il m'est impossible de commander au temps qui s’enfuie malgré moi,,,,,,
16 janvier 2011 00:46
Faut même pas rentrer dans ce débat là...

Arrêtez de parler d'intégration, ca me gave ca aussi...

Les Musulmans Francais sont chez eux, ils ont aucun compte à rendre à qui que ce soit...

S'ils veulent parler intégration, ben qu'on parle de leur intégrations aux valeurs et à la culture des Musulmans... Car je ne vois pas pourquoi ce serait aux Musulmans d'abandonner leur repéres...

C'est eux qui sont plus paumés que nous...
L
16 janvier 2011 10:49
Citation
samma a écrit:
Je déteste lorsqu'on emploi le mot "intégrer"... Vraiment je ne supporte pas...

En quoi, nous, originaire du Maghreb, devons nous intégrer dans le pays - cad la France - dans lequel nous sommes né ou voir grandi ?

Ne serais-ce pas aux français de nous accepter tel que nous sommes - cad accepter notre religion - tout comme nous acceptons leurs croyances, leurs cultures et leurs traditions ?

S'intégrer se définit-t-il par le simple fait de ne pas être différent des français ? Le sommes-nous ? Ou simplement ce qu'ils leurs dérange c'est la religion que nous adhérons -cad l'islam - et que pour eux la définition de "s'intégrer" se résume à adopter leurs croyances et traditions ?

Ou utiliser ce mot "intégration" serait simplement un terme qui sous entend, en réalité, un sentiment raciste ? Car le fait même de "s'intégrer" ferme les portes à toutes autres traditions et croyances d'autres cultures...

Vraiment très intéressant cet article...
Merci

Salam,

Ca me fait penser aux articles de la presse francaise sur l'angleterre apres les attentats de londres.

La france voit plus facilement la paille dans l'oeil de l'angleterre que la poutre dans l'oeil de la france.

La presse francaise analysait la situation des jeunes musulmans en angleterre d'une facon frappante de vérité. Et disait en gros ceci:

"L'angleterre demande aux musulmans anglais, souvent d'origine pakistanaise, de s'intégrer. Mais s'intégrer à quoi?

La jeunesse anglaise de souche est en effet en totale perte des reperes sociaux, politique et familiaux.
Elle socialise notamment par les beuveries (binge drinking), au cours desquelles les jeunes anglais s'alcoolisent jusqu'à la perte de conscience, tombant sur le trottoir a minuit passé, voire terminant à l'hopital - au point que c'est devenu un probleme de santé publique.
Elle socialise aussi par la violence: phenomene de bandes, souvent armées de couteaux.
Enfin, un de ses passe temps est une vie sexuelle débridée, qui conduit de nombreuses jeunes filles à l'avortement ou à la maternité, a 16 ans voire avant.

Comment demander aux jeunes musulmans anglais d'origine pakistanaise de s'identifier à cette jeunesse, et de s'intégrer à elle en l'imitant? Finalement, est il vraiment sain de demander aux jeunes musulmans de faire comme les jeunes anglais? A la limite, l'inverse ne serait il pas préférable?"

J'avais été tres surpris de lire ce genre d'articles dans la presse francaise à l'époque. Presse francaise qui se gardait bien de faire une quelconque analogie entre l'angleterre et la france....
k
16 janvier 2011 21:24
Excellent article vraiment !
16 janvier 2011 21:45
Ils disent que la vérité, et paf, ils passent pour de méga révolutionnaires...
S
17 janvier 2011 17:13
Vraiment ça me désole de voir à quelle point ils peuvent être si ignorant et fermer d'esprit... C'est tellement facile de critiquer l'autre mais si difficile de se remettre en question.

Que voulez vous, c'est à cause de cette crainte d'aller vers l'inconnu qu'ils parlent d'intégration. Comme si aller vers l'autre aller forcément nous changer...

Oui LeMask tu as raison, c'est eux qui sont le plus paumés que nous... le pire c'est qu'ils n’applique même pas ces propos dans leurs pays comme si ça n'était pas la même chose en France.

La France n'est-elle pas connue comme un pays de mélange d'origines et de cultures ? C'est dommage de vouloir en faire un défaut alors que c'est un atout au contraire.
 
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